Lectures en cours 2017-2019
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Re: Lectures en cours 2017-2019
Bon, va falloir que je parle du génial Merfer, que je viens d'achever et qui comme d'habitude avec les romans de Miéville, m'a encore une fois laissé sur le cul. Mais en attendant, je viens de commencer ce livre d'une jeune auteure prometteuse :
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Lectures en cours 2017-2019
Ah génial, Pala ! Tu vas passer un sacré bon moment (me fait penser d'ailleurs que chuis vraiment à la bourre pour ma chro'...). Mais il fallait donc d'abord que je laisse un petit mot sur Merfer du toujours excellent China Miéville.
Alors oui, à lire le 4e de couv' et les différents résumés trouvables sur la toile, on peut se dire d'emblée que l'on a affaire à un remake déguisé de Moby Dick. Ce qui n'est pas faux dans une certaine mesure (Miéville n'ayant d'ailleurs jamais caché ses influences, ni même sa parenté avec l'auteur dudit roman). Mais ce n'est là qu'une des nombreuses facettes de ce roman difficilement classable dans une catégorie ou l'autre. Alors oui, il y est question d'un(e) capitaine dont l'obsession est cristallisée par une proie redoutable et insaisissable, d'une chasse folle et démesurée ayant tout d'une quête. Mais pas que. Car ce qui fascine en premier lieu - et comme souvent avec Miéville - c'est l'univers dont lequel prend place cette histoire.
La Merfer est déjà un concept en soi : un monde déglingué où la mer est remplacée par un océan de rails, d'embranchements et d'aiguillages à perte de vue, sous un ciel toxique abritant des créatures aussi effroyables que meurtrières. Outre la transposition de tout un univers maritime et son jargon (les matelots se transforment ici en "traineux") à celui du trafic ferroviaire, l'univers fascine car il est riche, complexe et laisse beaucoup de zones d'ombres où le lecteur peut à loisir interpréter ou y apporter son propre imaginaire. Mais l'auteur s'est fait plaisir également en imaginant tout un ecosystème basé sur cette idée même de "mer de rails", jusque dans le langage utilisé, comprenant beaucoup de termes inventés de toutes pièces mais prenant réellement sens dans ce contexte particulier. On parle ici de "plateterre", de "grundnorm", d'"outreciel" pour caractériser les différents niveaux de ce monde à moitié ravagé par la ferraille, mais on y trouve aussi un panthéon riche (bien qu'à peine esquissé) qu'un bestiaire à la hauteur des ambitions -- le squale géant se trouvant ici remplacé par une "darboune" (une taupe) colossale aux allures de trophée ultime. Bien des mystères et des surprises sont au rendez-vous et je les passerais sous silence pour ne spoiler, mais il y a énormément de choses à dire là-dessus.
Plus intéressant encore, Miéville s'est amusé ici à adopter une narration souvent calquée sur le rythme des motrices, distillant même parfois quelques "pauses" dans l'intrigue où le narrateur lui-même s'amuse à nous balader d'un rail à l'autre ou d'opérer une halte afin de nous expliquer quelques concepts essentiels sur la Merfer, ses coutumes, son folklore -- taupe-là, mon pote ! Et pour qui est un minimum réceptif à ce genre de procédés, c'est du pur régal !
Ainsi l'histoire prend-elle place dans un monde à mi-chemin entre le post-apo et le steampunk, mais comprenant également quelques traces lointaines de fantasy transfigurée : tout ce que j'adore chez Miéville, donc ! D'un autre côté, on sent que celui-ci essaie de rendre son roman plus accessible au quidam que les précédents, quitte à balayer quelques uns des aspects auparavant davantage mis en avant (notamment en ce qui concerne l'aspect "social" ou politique de ses intrigues, plus présentes dans ses oeuvres précédentes). D'ailleurs, le roman a été classifié "young-adult" lors de sa publication, là où le propos général de ses premiers livres pouvait paraître plus "matûre" à première vue.
Cependant, on est loin d'être ici dans une lecture "facile" ; il y a toujours cette exigence chez Miéville, que ce soit par le choix des mots, la construction de l'intrigue où la création d'univers, qui en fait toujours un auteur atypique et loin des stéréotypes.
Peut-être l'intrigue manque-t-elle un peu de rythme dans sa première partie cependant, quitte à faire décrocher le lecteur par moments. Peut-être également la toute dernière portion enlève-t-elle un peu de "magie" au monde si brillamment conçu jusque-là... et pourtant, tout se tient magnifiquement bien, toujours avec cet esprit d'aventure propre aux meilleurs écrits de l'auteur (et ici clairement transcendé dans ses meilleurs moments). Lequel cite, outre Moby Dick, L'île au Trésor de Stevenson et quelques autres classiques de la littérature d'aventure et populaire.
Autrement, c'est le seul menu reproche que je pourrais faire à ce fascinant et captivant Merfer : si la patte de l'auteur est bel et bien présente, plus canalisée peut-être qu'autrefois, on sent également qu'il a voulu trop bien faire en n'exploitant pas jusqu'au bout des possibilités de ce monde unique. La mythologie de celui-ci n'est qu'à peine abordée et beaucoup de pistes ne sont à peine qu'esquissées, en voulant davantage mettre en avant un récit linéaire et "calibré", là où il pouvait jadis rebondir d'un thème à l'autre en creusant à chaque nouvelle page les villes-univers dans lesquels ceux-ci prenaient place (d'ailleurs, je crois que c'est plus court roman que j'ai pu lire de lui, avec à peine 430 pages et des brouettes au compteur). Un bien pour un mal, si on veut...
Mais au final, je garde tout de même une très forte impression de ce Merfer, qui brasse mine de rien beaucoup de genres et de concepts différents, tout en restant très cohérent (même si certains pourraient être déçus du manque "d'explications" sur le pourquoi du comment de ce monde foisonnant). Une fin peut-être en queue de poisson également, diront certains déçus ; pour ma part j'adore ce genre de fins ouvertes, alors ça ne me dérange nullement.
Belle plume, belles idées et l'un de ces voyages comptant plus pour eux-même que pour la destination finale (qui n'est d'ailleurs qu'un point de départ vers un nouvel ailleurs, laissant à entendre que le voyage ne se termine jamais, en fin de compte). China Miéville reste donc pour ma part l'un des grands auteurs de l'imaginaire de ce début de siècle, explorant avec son style et sa fougue bien à lui toute la richesse et la diversité se cachant derrière l'intitulé générique SFFF.
En la matière, il reste l'un des meilleurs en ce qui me concerne. Lu et approuvé donc, par toutes les Têtepierres !
Alors oui, à lire le 4e de couv' et les différents résumés trouvables sur la toile, on peut se dire d'emblée que l'on a affaire à un remake déguisé de Moby Dick. Ce qui n'est pas faux dans une certaine mesure (Miéville n'ayant d'ailleurs jamais caché ses influences, ni même sa parenté avec l'auteur dudit roman). Mais ce n'est là qu'une des nombreuses facettes de ce roman difficilement classable dans une catégorie ou l'autre. Alors oui, il y est question d'un(e) capitaine dont l'obsession est cristallisée par une proie redoutable et insaisissable, d'une chasse folle et démesurée ayant tout d'une quête. Mais pas que. Car ce qui fascine en premier lieu - et comme souvent avec Miéville - c'est l'univers dont lequel prend place cette histoire.
La Merfer est déjà un concept en soi : un monde déglingué où la mer est remplacée par un océan de rails, d'embranchements et d'aiguillages à perte de vue, sous un ciel toxique abritant des créatures aussi effroyables que meurtrières. Outre la transposition de tout un univers maritime et son jargon (les matelots se transforment ici en "traineux") à celui du trafic ferroviaire, l'univers fascine car il est riche, complexe et laisse beaucoup de zones d'ombres où le lecteur peut à loisir interpréter ou y apporter son propre imaginaire. Mais l'auteur s'est fait plaisir également en imaginant tout un ecosystème basé sur cette idée même de "mer de rails", jusque dans le langage utilisé, comprenant beaucoup de termes inventés de toutes pièces mais prenant réellement sens dans ce contexte particulier. On parle ici de "plateterre", de "grundnorm", d'"outreciel" pour caractériser les différents niveaux de ce monde à moitié ravagé par la ferraille, mais on y trouve aussi un panthéon riche (bien qu'à peine esquissé) qu'un bestiaire à la hauteur des ambitions -- le squale géant se trouvant ici remplacé par une "darboune" (une taupe) colossale aux allures de trophée ultime. Bien des mystères et des surprises sont au rendez-vous et je les passerais sous silence pour ne spoiler, mais il y a énormément de choses à dire là-dessus.
Plus intéressant encore, Miéville s'est amusé ici à adopter une narration souvent calquée sur le rythme des motrices, distillant même parfois quelques "pauses" dans l'intrigue où le narrateur lui-même s'amuse à nous balader d'un rail à l'autre ou d'opérer une halte afin de nous expliquer quelques concepts essentiels sur la Merfer, ses coutumes, son folklore -- taupe-là, mon pote ! Et pour qui est un minimum réceptif à ce genre de procédés, c'est du pur régal !
Ainsi l'histoire prend-elle place dans un monde à mi-chemin entre le post-apo et le steampunk, mais comprenant également quelques traces lointaines de fantasy transfigurée : tout ce que j'adore chez Miéville, donc ! D'un autre côté, on sent que celui-ci essaie de rendre son roman plus accessible au quidam que les précédents, quitte à balayer quelques uns des aspects auparavant davantage mis en avant (notamment en ce qui concerne l'aspect "social" ou politique de ses intrigues, plus présentes dans ses oeuvres précédentes). D'ailleurs, le roman a été classifié "young-adult" lors de sa publication, là où le propos général de ses premiers livres pouvait paraître plus "matûre" à première vue.
Cependant, on est loin d'être ici dans une lecture "facile" ; il y a toujours cette exigence chez Miéville, que ce soit par le choix des mots, la construction de l'intrigue où la création d'univers, qui en fait toujours un auteur atypique et loin des stéréotypes.
Peut-être l'intrigue manque-t-elle un peu de rythme dans sa première partie cependant, quitte à faire décrocher le lecteur par moments. Peut-être également la toute dernière portion enlève-t-elle un peu de "magie" au monde si brillamment conçu jusque-là... et pourtant, tout se tient magnifiquement bien, toujours avec cet esprit d'aventure propre aux meilleurs écrits de l'auteur (et ici clairement transcendé dans ses meilleurs moments). Lequel cite, outre Moby Dick, L'île au Trésor de Stevenson et quelques autres classiques de la littérature d'aventure et populaire.
Autrement, c'est le seul menu reproche que je pourrais faire à ce fascinant et captivant Merfer : si la patte de l'auteur est bel et bien présente, plus canalisée peut-être qu'autrefois, on sent également qu'il a voulu trop bien faire en n'exploitant pas jusqu'au bout des possibilités de ce monde unique. La mythologie de celui-ci n'est qu'à peine abordée et beaucoup de pistes ne sont à peine qu'esquissées, en voulant davantage mettre en avant un récit linéaire et "calibré", là où il pouvait jadis rebondir d'un thème à l'autre en creusant à chaque nouvelle page les villes-univers dans lesquels ceux-ci prenaient place (d'ailleurs, je crois que c'est plus court roman que j'ai pu lire de lui, avec à peine 430 pages et des brouettes au compteur). Un bien pour un mal, si on veut...
Mais au final, je garde tout de même une très forte impression de ce Merfer, qui brasse mine de rien beaucoup de genres et de concepts différents, tout en restant très cohérent (même si certains pourraient être déçus du manque "d'explications" sur le pourquoi du comment de ce monde foisonnant). Une fin peut-être en queue de poisson également, diront certains déçus ; pour ma part j'adore ce genre de fins ouvertes, alors ça ne me dérange nullement.
Belle plume, belles idées et l'un de ces voyages comptant plus pour eux-même que pour la destination finale (qui n'est d'ailleurs qu'un point de départ vers un nouvel ailleurs, laissant à entendre que le voyage ne se termine jamais, en fin de compte). China Miéville reste donc pour ma part l'un des grands auteurs de l'imaginaire de ce début de siècle, explorant avec son style et sa fougue bien à lui toute la richesse et la diversité se cachant derrière l'intitulé générique SFFF.
En la matière, il reste l'un des meilleurs en ce qui me concerne. Lu et approuvé donc, par toutes les Têtepierres !
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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Re: Lectures en cours 2017-2019
Avec une collègue nous nous sommes échangé des bouquins. Je lui ai confié "Cybione" et "L'homme aux semelles de foudre" d'Ayerdhal. Elle m'a porté des policiers qui se passent en Islande et Norvège et dont les auteurs sont islandais ou norvégiens, moi qui rêve depuis toujours d'aller là-bas...
J'ai démarré mes lectures par "la femme en vert" d'Analdur Idriõason qui se passe à Helsinski au printemps. C'est assez prenant et l'auteur sème pas mal de fausses pistes en racontant tout à la fois le dévoloppement de l'enquête et la génèse de la situation qui aboutit au meurtre. Les personnages sont présentés sous un éclairage plutôt cru ce qui apporte du réalisme à l'histoire. Pourtant l'intrigue est plutôt improbable à la base : un bout d'os appartenant à un cadavre entier estimé vieux de 70 ans est retrouvé dans les fondations d'un chantier de construction. Trois flics sont dépéchés sur l'affaire et ils font appel à des archéologues pour déterrer le squelette, ce qui evidemment prend du temps et ne permet pas de savoir dès le départ s'il s'agit d'un homme ou d'une femme. Dit comme ça ce n'est peut-être pas très folichon, mais les deux trames d'histoire qui se suivent et se coupent donnent finalement pas mal de rythme.
J'ai démarré mes lectures par "la femme en vert" d'Analdur Idriõason qui se passe à Helsinski au printemps. C'est assez prenant et l'auteur sème pas mal de fausses pistes en racontant tout à la fois le dévoloppement de l'enquête et la génèse de la situation qui aboutit au meurtre. Les personnages sont présentés sous un éclairage plutôt cru ce qui apporte du réalisme à l'histoire. Pourtant l'intrigue est plutôt improbable à la base : un bout d'os appartenant à un cadavre entier estimé vieux de 70 ans est retrouvé dans les fondations d'un chantier de construction. Trois flics sont dépéchés sur l'affaire et ils font appel à des archéologues pour déterrer le squelette, ce qui evidemment prend du temps et ne permet pas de savoir dès le départ s'il s'agit d'un homme ou d'une femme. Dit comme ça ce n'est peut-être pas très folichon, mais les deux trames d'histoire qui se suivent et se coupent donnent finalement pas mal de rythme.
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
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Date d'inscription : 26/12/2012
Age : 59
Localisation : Béarn
Re: Lectures en cours 2017-2019
Je viens de commencer la lecture de Espérer Le Soleil, de l'amie Nelly/Plumitive :
Et si j'ai un peu le temps ce week-end, je ferais un petit point sur mes dernières lectures (oui je sais, je suis grave à la bourre...).
Et si j'ai un peu le temps ce week-end, je ferais un petit point sur mes dernières lectures (oui je sais, je suis grave à la bourre...).
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Lectures en cours 2017-2019
J'ai commencé le recueil d'un gars inconnu, un truc avec des pas, quinze d'ailleurs, étrange idee non de s'arrêter aussi vite.
Première nouvelle lue, bien sympathique pour tout avouer.
Je ferai une chronique quqnd je l'aurai fini.
Première nouvelle lue, bien sympathique pour tout avouer.
Je ferai une chronique quqnd je l'aurai fini.
Lecture "Contes de la vodka" de Pascal Malosse
Bonjour à tous,
J'ai eu la chance d'avoir la visite de Paladin à Nice Fictions 2018 et de rencontrer en même temps Pascal Malosse, autre écriturien qui sévit dans les alpes maritimes, et je lui ai acheté son recueil les "Contes de la Vodka" que j'ai beaucoup apprécié et que je viens de finir.
Pascal a vécu deux ans à Berlin et sept ans à Varsovie, et son recueil - tout comme son titre - fleure bon les régimes oppressifs, la seconde guerre mondiale, le régime russe et la guerre froide vécue de l'intérieur dans l'Est. Les nouvelles sont toutes passionnantes, très variées en époque et sujet, en traumatismes et expériences.
J'ai particulièrement apprécié l'une de ces histoires dans laquelle le protagoniste se retrouve piégé entre plusieurs postes frontières. Ou la toute dernière "Du gouvernement par la vodka" qui est délicieusement subversive, tout en résumant parfaitement tout ce qu'on vient de lire dans les autres récits. Petit bémol pour ne pas trop faire de louanges déplacées, j'ai précisé à l'auteur que certaines histoires étaient trop courtes parfois, et auraient demandé plus de matière. Vu la qualité, c'est sûr qu'on en aurait voulu plus.
Bref, un très bon ouvrage que je vous recommande
J'ai eu la chance d'avoir la visite de Paladin à Nice Fictions 2018 et de rencontrer en même temps Pascal Malosse, autre écriturien qui sévit dans les alpes maritimes, et je lui ai acheté son recueil les "Contes de la Vodka" que j'ai beaucoup apprécié et que je viens de finir.
Pascal a vécu deux ans à Berlin et sept ans à Varsovie, et son recueil - tout comme son titre - fleure bon les régimes oppressifs, la seconde guerre mondiale, le régime russe et la guerre froide vécue de l'intérieur dans l'Est. Les nouvelles sont toutes passionnantes, très variées en époque et sujet, en traumatismes et expériences.
J'ai particulièrement apprécié l'une de ces histoires dans laquelle le protagoniste se retrouve piégé entre plusieurs postes frontières. Ou la toute dernière "Du gouvernement par la vodka" qui est délicieusement subversive, tout en résumant parfaitement tout ce qu'on vient de lire dans les autres récits. Petit bémol pour ne pas trop faire de louanges déplacées, j'ai précisé à l'auteur que certaines histoires étaient trop courtes parfois, et auraient demandé plus de matière. Vu la qualité, c'est sûr qu'on en aurait voulu plus.
Bref, un très bon ouvrage que je vous recommande
Re: Lectures en cours 2017-2019
Et bonne idée d'en reparler : j'avais envie de l'acheter puis ça m'était sorti de la tête. Vous avez passé un bon moment ? Où sont les photos ?
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
- Messages : 5782
Date d'inscription : 04/05/2015
Age : 48
Localisation : au fond à droite
Re: Lectures en cours 2017-2019
Moi il est toujours sur ma PAL, mais comme elle arrête pas de pousser comme du mauvais chiendent, c'est pas encore pour tout de suite... Mais en tous cas ton retour donne sacrément faim, Paulux !
Et pareil, on veut voir des photos
Et pareil, on veut voir des photos
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Lectures en cours 2017-2019
Merci pour le partage, Paulux (et dis donc, elle est sacrément classe, cette affiche ! ).
Mais où est donc passé Pala ? Tu lui as quand même donné ses pilules, rassures-moi... !
Mais où est donc passé Pala ? Tu lui as quand même donné ses pilules, rassures-moi... !
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Lectures en cours 2017-2019
Carrément trop bien ! Ça en jette, dis donc !
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
- Messages : 5782
Date d'inscription : 04/05/2015
Age : 48
Localisation : au fond à droite
Re: Lectures en cours 2017-2019
En effet, je n'ai pas pris de photo ce jour-là, ni Paulux de moi... Mais j'ai eu le plaisir de revoir Paulux que je connaissais déjà, et de rencontrer Malossep, ainsi que Nathalie Dau, qui n'est pas inscrite sur le forum, mais qui est une grande autrice de fantasy française !
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