La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
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Pagan Pandemia
Zaroff
Paladin
Strahd Von Zarovitch
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Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
Écrire un roman est une oeuvre de longue haleine mais qui ouvre d'autres perspectives que la nouvelle, c'est sûr! Elle permet de travailler les personnages, les descriptions, de construire un univers cohérent qui ne peut être qu'ébauché dans une nouvelle. Elle permet aussi les rebondissement, les développements, les descriptions détaillées...C'est une aventure, si tu veux t'y lancer, tu en tirera sûrement beaucoup de plaisir!
Fin de chapitre...
Curieusement, je ne me sens plus à mon aise dans la nouvelle. L'idée (ce n'est pour le moment qu'une idée) de m'inscrire dans un travail de longue durée me séduit davantage. Comme tu le dis : il va me falloir travailler mon style, la construction de mon/mes intrigues, la psychologie des personnages, etc. Tout cela va prendre du temps, beaucoup de temps. Mais faut bien se lancer un jour, non ?
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Age : 50
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
@Silence : comme tu ne sais pas faire court, lance toi dans le roman. A mon avis, tu réussiras parfaitement.
Pour les " Cliff ...", je n'ai pas d'avis tranché : un auteur peut utiliser ce procédé s'il en a besoin et selon le genre de l'histoire... Il faut que ce soit discret car moi aussi, je n'aime pas trop voir les ficelles et cela me déçoit si l'on m'a fait miroiter quelque chose qui n'arrivera jamais ou plus faible qu’annoncé par ces cliffs.
Pour les " Cliff ...", je n'ai pas d'avis tranché : un auteur peut utiliser ce procédé s'il en a besoin et selon le genre de l'histoire... Il faut que ce soit discret car moi aussi, je n'aime pas trop voir les ficelles et cela me déçoit si l'on m'a fait miroiter quelque chose qui n'arrivera jamais ou plus faible qu’annoncé par ces cliffs.
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
SILENCE, si tu veux te lancer dans le roman, je suis pas inquiet pour toi !
T'as les armes ! Ne reste plus qu'à planter l'intrigue et t'en es capable !
Vraiment pas inquiet ! Je dirais même que je suis impatient de découvrir le résultat...
T'as les armes ! Ne reste plus qu'à planter l'intrigue et t'en es capable !
Vraiment pas inquiet ! Je dirais même que je suis impatient de découvrir le résultat...
Fin de chapitre...
Merci à toi Françoise et grand merci à toi aussi Pagan.
Pour ce qui est d'arrêter de me poser des question, que dire ? Rien sinon que je n'y peux rien, je crois que c'est dans mes gènes...
Pour ce qui est d'arrêter de me poser des question, que dire ? Rien sinon que je n'y peux rien, je crois que c'est dans mes gènes...
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Date d'inscription : 02/01/2012
Age : 50
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
Yep, y a des cérébraux et des blaireaux !
Toi, t'es dans la première catégorie et moi dans la seconde...
C'est important les clivages !
Mon clivage à moi, je l'assume sans problème, c'est un rempart très solide et très opaque...
Écris, bonhomme, le talent, tu l'as !
Les vraies questions que tu dois te poser, c'est celles qui ne se terminent pas par un point d'interrogation !
Si Didier était là, il t'engueulerait, crois-moi bien...
Toi, t'es dans la première catégorie et moi dans la seconde...
C'est important les clivages !
Mon clivage à moi, je l'assume sans problème, c'est un rempart très solide et très opaque...
Écris, bonhomme, le talent, tu l'as !
Les vraies questions que tu dois te poser, c'est celles qui ne se terminent pas par un point d'interrogation !
Si Didier était là, il t'engueulerait, crois-moi bien...
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
Bon, et bien c'est bien, je vois que mon sujet faire couler du clavier.
Avant de rentrer dans le détail d'un réponse, un mot pour SILENCE : je ne dirais pas mieux que Pagan et les autres : lance-toi, sans trop gamberger.
Les questions, tu auras assez le temps de les ressasser durent l'écriture en elle-même.
Pagan, je t'interdis de dire que t'es un blaireau : ou alors, il y a blaireau et blaireau !
Ce qui veut dire, si j’interprète correctement, que pour toi, la forme est plus importante que le fond ? Que la forme soit importante, c'est une évidence. Mais qu'elle prenne le pas sur le fond, j'ai des doutes. À mon sens, il faut un équilibre entre les deux. Une bonne histoire bien racontée.
Et cette forme, demandeuse en travail, n'est, à mon sens, pas plus chronophage que la construction d'un récit (son intrigue).
Me faire lire 40 pages excellemment bien rédigées dans un français parfaitement maîtrisé sur la description d'une pomme me fera royalement chier. Lire 40 pages d'une intrigue prenante serait plus à même de me faire oublier une certaine maladresse d'écriture.
Mais peut-être est-ce du au style du récit.
S.
Avant de rentrer dans le détail d'un réponse, un mot pour SILENCE : je ne dirais pas mieux que Pagan et les autres : lance-toi, sans trop gamberger.
Les questions, tu auras assez le temps de les ressasser durent l'écriture en elle-même.
Pagan, je t'interdis de dire que t'es un blaireau : ou alors, il y a blaireau et blaireau !
Qu'est ce que la parralittérature ?très rare dans la paralittérature
Intéressant, comme phrase, car le point de vue et le narrateur, j'en sors (je vais d'ailleurs pouvoir bientôt vous faire un résumé du bouquin). Ce qui m'interpelle, dans ta phrase, c'est "le roman travaillé comme de l'art".Si le point de vue du narrateur est profond, le roman travaillé au minimum comme de l'art (et ne pas avoir uniquement le soucis d'avoir " une histoire à raconter "), tu peux transformer les histoires les plus simplistes en d'excellents romans. Bien sûr, ça demande largement plus de travail que de tout axer sur l'histoire.
Ce qui veut dire, si j’interprète correctement, que pour toi, la forme est plus importante que le fond ? Que la forme soit importante, c'est une évidence. Mais qu'elle prenne le pas sur le fond, j'ai des doutes. À mon sens, il faut un équilibre entre les deux. Une bonne histoire bien racontée.
Et cette forme, demandeuse en travail, n'est, à mon sens, pas plus chronophage que la construction d'un récit (son intrigue).
Me faire lire 40 pages excellemment bien rédigées dans un français parfaitement maîtrisé sur la description d'une pomme me fera royalement chier. Lire 40 pages d'une intrigue prenante serait plus à même de me faire oublier une certaine maladresse d'écriture.
Là-dessus, je suis d'accord. D'ailleurs, lorsque je finis un chapitre de la sorte, je ne me force pas. Ça vient "naturellement". Je ne cherche pas à créer un artifice, c'est ma façon d'écrire (pour le moment en tout cas) qui est comme ça.De toute façon, des cliffhangers, t'en feras naturellement sans l'avoir voulu. Te soucies pas de ge genre de choses.
Mais peut-être est-ce du au style du récit.
Complètement d'accord .Du coup avoir du métier signifie à mon avis savoir comment mener l'intrigue, créer du suspens (au sens large du terme) et donc manier le cliffhanger, doser les effets, etc. Toutes ces choses doivent être réfléchies, pensées, pesées. Elles relèvent de la plus pure des créations.
S.
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
Strahd Von Zarovitch a écrit:Me faire lire 40 pages excellemment bien rédigées dans un français parfaitement maîtrisé sur la description d'une pomme me fera royalement chier. Lire 40 pages d'une intrigue prenante serait plus à même de me faire oublier une certaine maladresse d'écriture.
S.
C'est pour ça que je chie vertical sur Balzac !
J'ai jamais pu saquer ses descriptions à la con !
Dire qu'il fait partie du patrimoine de la littérature française... putain, j'ai envie de m'enfiler la cravate de chanvre, pour le coup...
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
C'est lui le coup de la pomme ? Ça m'évoquait quelque chose, mais j'étais plus sûr .
S.
S.
chapitres...
Suis OK avec SVZ... Pagan qui se pense Blaireau maintenant ? Putain on aura tout vu/lu.
Quant aux descriptions chiadées mais chiantes, là encore OK avec SVZ.
Quant aux descriptions chiadées mais chiantes, là encore OK avec SVZ.
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Date d'inscription : 02/01/2012
Age : 50
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
ou mouflette ?Zaroff a écrit:En plus Pagan n'est pas un blaireau mais une moufette.
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
La paralittérature est le terme originel de ce qu'on appelle aujourd'hui la littérature de genre (policier, fantastique, science-fiction, etc.) pour la différencier de la littérature classique ou contemporaine. Les buts ne sont pas les mêmes, ni les définitions. Le problème est que beaucoup d'auteurs reconnus de genre qualifient leurs romans de littérature, ce qu'ils ne sont pas en général (y a des exceptions). Ils embrouillent tous, car eux-mêmes ne font pas las différence entre les deux (et surtout ne supportent pas qu'on les qualifie d'auteurs de genres, pensant que c'est péjoratif). J'aime les deux et les différencie.
Paracelse- Éventreur titulaire
- Messages : 468
Date d'inscription : 19/10/2012
Age : 50
Re: La fin d'un chapitre. Cliffhanger ou pas?
Au temps pour moi.
J'ai rien dit.
S.
C'est un édit d'une réponse qui n'a pas raison d'être.
J'ai rien dit.
S.
C'est un édit d'une réponse qui n'a pas raison d'être.
Dernière édition par Strahd Von Zarovitch le Ven 2 Nov 2012 - 0:25, édité 1 fois
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