Lune bleue ( chapitre 2)

Re je vous publie le chapitre 2 car le premier tout seul ne glorifie vraiment pas mon histoire qui est plutôt longue au démarrage. Je dois admettre que si ma famille n'était pas contre je pourrai écrire plus et surtout plus rapidement (Ecrire des romans est inutile ! bah tient heureusement que non sinon on se ferai royalement chier Enfin bref voila la suite bonne lecture


Chapitre 2: Naissance - Le code des Saïtens

11 juillet 1992 - 22h

À l’intérieur de la cité qu'est notre sanctuaire se trouve le temple de la Déesse; cette nuit aura lieu la grande cérémonie. Une grande cérémonie qui n'a lieu que tout les 10 ans. Les Champions de la Déesse, jeunes hommes ayant réussis l’Épreuve seront imprégnés de la magie sauvage de la lune bleu et deviendront des Combattants en recevant leurs deux esprits: l'un les guidant vers le savoir et la sagesse, l'autre vers la chasse et le combat.
En attendant le moment ou je devrai m'occuper de la cérémonie, je me promenait dans la cité souterraine en admirant les sculptures. Les habitations étaient taillés à même la roche à l’intérieur de gouffres profonds ayant en leurs centre des colonnes immenses. Si les paroi des gouffres étaient taillées et façonnaient; les colonnes, elles étaient creusées de l'intérieure afin de construire dans la roche: maisons, rue et marché où vivre. Les parois du gouffres étaient reliés aux colonnes par des ponts qui assurés la sécurité des déplacements. En chemin pour le temple de la Déesse dans la Galerie des Oubliés ouest, Je découvris une foule immense à l'entré du territoire des Del Sayana, un clan composés d'hybrides, issus d'unions avec des humains de la surface. Rejetés pour cette raisons il occupe les plus bas rang de notre société.
Intrigué je parti voir la cause de cette agitation, Sarana la plus jeune femme parmi les Del Sayana allée bientôt accouché, deux Combattants était là, comme toujours si l'enfant était un garçon il serai tué par l'un d'eux. Aucun hybride n'a le droit de devenir un combattants, afin d'assurer que cela ne se produise jamais le Conseil des Gardians avait il y a cinq milles ans condamné a mort tout sang mêlé n’épargnant que les filles car celle-ci ne pouvait devenir des Combattants ,rang réservé aux hommes.
"tu a vue c'est Sarana, murmura une passante
- je sais, la pauvre ses son troisième...répondit une autre avant d'être coupée
- pourquoi "la pauvre" ?
- ses 2 premiers étaient des garçons, les Combattants les ont tués sans aucune pitié.
- la pauvre j'espère que ce sera une fille, s'indigna la femme;
- moi aussi mais tu sait ...la plus vielle s'aperçue de l'attention que je portait à leur conversation et emmena son amie plus loin pour ne plus être entendue.
j'espéré également que l'enfant soit une fille, et ne comprenais pas, même en étant membre du Conseil; pourquoi une tel loi existait.
Je repris la direction du temple de Shen'asha, il serait minuit dans peu de temps et s'était durant les dix première qui suit minuit que la magie sauvage pouvait être reçue par les nouveaux Combattants. En m'approchant de l'autel où se trouvé une statue représentant notre Déesse celle-ci par le passé se montrée toujours à nous sous forme humaine ou animale de sexe féminin d'ou l'obligation d’épargner la vie des filles lors des jugements pense-je , pierre de 3 m de haut ayant une forme vague de corps humain féminin située au centre du temple.
A genou juste à coté de l'autel se trouvés 6 garçons dont le premier était le troisième fils du second membre du Conseil des Gardians, voulant certainement suivre les trace de son père.
Inspirant profondément je prononçais le discours rituel, sachant qu'une fois encore la Déesse ne serait pas là pour choisir ses combattants:
"Cette nuit jeunes hommes vous allés devenir des Combattant de la Déesse,
votre devoir sera de protéger le peuple des Saïten, votre mission chasser les Yokaï troublant l'équilibre de notre monde et devenir les guides des prochains champions du Néant, êtes-vous sur de votre dévouement pour Shen'asha ?
-Oui, clamèrent-ils d'une seul voix "
Minuit sonne, je prend le tisonnier qui marquera sur leurs poitrines le stigma noir des Combattants
Autrefois s'était la Déesse elle même qui marqués les nouveaux combattants un stigma argenté comme la lune pour ses favoris un noir pour les valeureux. c'est sur cette pensée que je m’apprêtais à marquer le premier garçon quand retentit une explosion faisant tremblée toute la cité.



Voilà la suite le prochain chapitre marquera le début de l'action bonne lecture et surtout merci de prendre le temps de me lire

Désolé je n'entre pas dans le récit. C'est trop embrouillé et ça pullule de détails. Le lecteur se perd facilement dans le suivi de l'intrigue. De plus c'est pas trop mon trip la fantasy (je décroche Tolkien au bout de cinq pages) alors je laisse les amateurs du genre commenter à ma place. Je suis un mauvais conseiller lorsque la Fantasy montre son nez ! Mais j'admets que le texte de Sanilia (qui joue dans cette catégorie) m'a quand même intéressé malgré cela.

Je préfère de loin la Fantasy urbaine (et paladin est fort dans ce domaine, des contes et légendes ancrés dans le quotidien) mais les trucs avec des chevaliers, dragons, elfes, dieux, shamans et tout le toutim me gonflent très rapidement.

J'ai donc fait comme Zaroff: j'ai pris le temps de lire ce qui constitue le 'deuxième' chapitre de ton histoire. Je précise quand même que, contrairement à Zaroff, je n'ai rien contre la Fantasy. Je partage cependant l'avis de notre illustre saigneur (non non il n'y a pas de faute!!!) et maître. Le style est confus, très confus pour tout dire. Sans doute les choses sont-elles évidentes pour toi mais sache qu'elles ne le sont pas pour tes lecteurs qui par définition ne se situent pas dans ta tête et son bien obligés de faire appel à des représentations mentales propres. Par exemple, je n'ai rien compris du tout à la description que tu fais de la ville avec les murs et les colonnes etc... De même, tu encombres ton récit d'une foule de détails et de noms qui ont sans doute une importance toute relative au regard du contexte. Ex : "juste à coté de l'autel se trouvés (Oh ! quand même la conjugaison...!) 6 garçons dont le premier était le troisième fils du second membre du Conseil des Gardians". D'une, ça fait beaucoup de chiffres (6, 1, 3, 2). Deux, on ne voit pas très bien ce que peuvent nous apporter ces précisions/informations. Et l'on pourrait multiplier comme cela longtemps les exemples... Et toujours ces fautes d'orthographe qui nuisent à la lecture... Je suis sincèrement désolé Ombre mais je n'ai pas accroché non plus...

J'ai lu et l'idée est intéressante mais comme Silence, je m'embrouille et le monde dans lequel tu veux nous entraîner n'est pas assez structuré ( pour l'instant ... peut-être qu'ensuite, c'est plus clair ). Donc, les différentes "espèces" que tu nommes très vite dans le premier chapitre sont toujours aussi obscures : leurs caractéristiques, taille, aspect ... les adeptes de la déesse, pourquoi sont - ils là ( est-ce sur Terre ? ).
Sinon, quelle est ta famille qui ne veut pas que tu écrives ? Tiens bon ! Mais c'est sûr que des proches hostiles ne facilitent pas l'entrée en écriture.

Pour info Ombre, il y a quelques fautes dans mon message...
Par ailleurs, je suis du même avis que Françoise : il faut sans doute alléger ton style, faire dans la simplicité, prendre le temps de construire ton intrigue et surtout ton récit... L'écriture est une expérience de télépathie (S. King) c'est réussir à faire entrer dans la tête d'une personne qui est loin de toi, ce qui se trouve dans ta tête à toi... Pour ce qui est de ces personnes qui ne font que te décourager... Ben il en existera toujours, faut pas se démonter pour autant...

J'ai au moins corrigé la faute d'accord dans le titre: Lune Bleue

Trop drôle !