GRETA de Catherine Robert

Fini. Chronique en ligne le 21 décembre. Ouch ! Une vraie claque. Du Siébert au féminin. Bravo Cath.

Impatiente de lire ta chronique. Mais déjà ces quelques mots

Pour ceux et celles qui désireraient un Greta dédicacé, la solution à laquelle je pensais, ça va pas.
Après avoir réfléchi, j'en ai trouvé une autre, un peu moins rapide que la poste, mais pas tant que ça si on considère que pour le paiement, je suis obligée de vous demander un virement international et que ça prend toujours quelques jours.
En clair, ceux qui sont intéressés, mp moi, je vous donnerai mes coordonnées bancaires et les colis partiront dans la semaine après Noël par un ami qui les postera de France. Ainsi les frais de port seront dans la norme à 2,5 €.

Donc, il faut te faire un mandat international de 8,5 € ?


(L'internaaationaaalllleeeeuuu sera le genre humain... ... Je ne sais pas si on a encore le droit de chanter ça, en France! )

Je parlais d'un virement bancaire, mais un mandat, oui pourquoi pas.
Mais ce sera 9,50 € (7 € pour Greta et 2,5 € de port).

O.K. Tu peux me mettre tes coordonnées bancaires en mp
Merci pour cette solution.

MP envoyé.

Envoie à moi aussi!
Je le ferai dés que j'ai le temps...

MP envoyé.

Reçu!

Merci!

Moi, je crois que les dédicaces, c'est un exercice dans lequel je ne serai jamais à l'aise. Samedi, c'était encore assez tête vide pour trouver quoi dire. C'est que les dédicaces aux gens que tu connais, c'est une autre forme de torture. Par contre, leur mine à la lecture du résumé, ça c'est la récompense .
Mon vieux collègue de presque quatre-vingt ans faisait moins le fiérot, lui qui me demandait depuis des semaines après Greta, mais il a pris quand même, bien trop curieux de le lire. Un autre m'enquiquinait pour que je lui lise un passage, j'ai marchandé le coup : il achète, je lis. Hihihihihi ! Il a acheté, j'ai voulu lire le résumé, il savait plus où se mettre et m'a demandé d'arrêter.
Finalement, c'était bien amusant.

... Il va faire une crise cardiaque, le pauvre!

Première chronique pour Greta, par l'un des contributeurs de Gore, dissection d'une collection !

"Une plume féminine pour nous conter les pires tortures et sévices, cela ne se peut! Eh bien si, Catherine Robert l'a fait, et de fort belle manière si j'ose dire.
Car en ces lignes ,fort peu de belles manières mais surtout les plus viles ,basses et crasses tortures que l'on puisse faire subir à un etre humain. Tout y passe et ce n'est rien de le dire tant l'auteure s'amuse à graduer l'horreur. Celle ci,crescendo monte en puissance et en originalité. Pas de redites et aucune lassitude n'étreint le lecteur devant l'énumération inexorable de ces horreurs. Et ca c'etait pas evident.Trop d'abominations peuvent parfois diriger le lecteur vers l'ennui, le contraindre a une lecture distraite car il en a deja pris tout son soul.Au contraire, ce texte (je dois bien l'avouer)à su aiguiser mon esprit voyeur.Car l'on n'est rien d'autre qu'un voyeur,un mateur de ces ignominies, insatiable qui attend avec délectation la suite des turpitudes de Greta.
Greta!Si ce prénom résonne aux oreilles de certains comme celui d'une fruste et brutale tortionnaire,alors dans ce cas votre surprise n'en sera que plus grande.
Enfin,dans ce texte froid et implacable et totalement dénué d'echappatoires,Catherine traite le gore de la plus belle des facons qui soit,comme beaucoup avant elle l'ont fait dans la collection du meme nom.J'ai meme par moment retrouvé les delires d'un certain Eric Verteuil,notamment a partir du chapitre 13.
Mais je n'en dis pas plus car ce livre mérite d'etre découvert.Point de défloraison de ma part donc, juste un bravo à Catherine pour ce bouquin et à l'équipe Trash pour le choix qualitatif de ces publications."

Merci Laurent !
Et bravo Catherine (être comparé à l'affreux duo Verteuil n'est pas donné à tout le monde.)

Je l'ai déjà lue une flopée de fois cette première chronique. Qu'est-ce que ça fait plaisir.
Bien sympathique monsieur que ce Laurent.
Bon, j'ai compris, va falloir que je lise l'affreux duo Verteuil, honte à moi, ce n'est pas encore fait (trop de retard à rattraper dans toute la bidoche moi).

Ma chronique sera en ligne le 21 décembre. Et je suis content de moi. J'ai réussi à traduire mon ressenti et, croyez-moi, c'était pas facile.