NIGHT STALKER de Zaroff
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Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Histoire d'être objectif, je me suis fait déboîter le bassin par un critique de Phenix-Web :
"L’objectif de la collection Trash est clair : rendre hommage à la collection « Gore », des Editions du Fleuve Noir et offrir au public des romans courts, sans concession, qui secoue le lecteur et lui offre sa ration de sang frais, de foutre et d’évasion… Une idée en soit intéressante, reste que ce parti-pris doit-il pour autant déboucher sur un récit facile, des effets répétitifs et une écriture quelque peu… légère ? Certes, celui qui entre dans la collection Trash sait ce qu’il vient y chercher, mais Night Stalker, qui s’articule autour d’une chasse au serial-killer dans le L. A. des années ’80, franchit à plusieurs reprises la frontière entre le délire pulp assumé et des erreurs pures et simples… Ainsi, après seulement 50 pages, le shérif menant l’enquête se contredit d’un paragraphe à l’autre, balance une référence à « Strange » (revue française de comics, jamais parue aux USA…), un personnage change de nom, un autre ouvre une fenêtre au 56ème étage… Et les déductions qui font avancer l’enquête ressemblent davantage à des intuitions de médium qu’à de réelles réflexions d’agents des forces de l’ordre…
Certes, vous me direz que la sodomie pratiquée sur des diptères est l’apanage des critiques et que nous sommes tous là pour nous amuser comme des gamins, sans trop se prendre la tête… Reste que les meilleures série « Z » sont celles qui sont réalisées avec un sens profond de l’honnêteté et une implication totale de leurs créateurs. Ici, l’impression est plutôt celle d’un récit vite écrit sur le coin d’une table, sans même la plus élémentaire des relectures. Dommage. D’autant plus dommage que la formule peut fonctionner, comme le prouve « Emoragie », de Brain Salad, chroniqué par ailleurs."
Et voici ma réponse, postée sur leur site :
"Merci pour la critique. J’assume certaines erreurs mais le principe du gore est d’assouvir une pulsion morbide et littéraire sans trop s’attarder sur de quelconques effets documentaires chiants et policés. Décortiquer un gore ne sert à rien et on s’en fout. Bref, je suis content de cette chronique argumentée et généreuse mais je m’insurge totalement sur ce passage : "un sens profond de l’honnêteté et une implication totale de leurs créateurs. Ici, l’impression est plutôt celle d’un récit vite écrit sur le coin d’une table, sans même la plus élémentaire des relectures"... c’est un peu facile et c’est méconnaître le boulot effectué par TRASH et l’auteur. Mais bon... les critiqueurs sont souvent désinformés de la réalité créatrice. Par manque de chance ou de talent ?"
"L’objectif de la collection Trash est clair : rendre hommage à la collection « Gore », des Editions du Fleuve Noir et offrir au public des romans courts, sans concession, qui secoue le lecteur et lui offre sa ration de sang frais, de foutre et d’évasion… Une idée en soit intéressante, reste que ce parti-pris doit-il pour autant déboucher sur un récit facile, des effets répétitifs et une écriture quelque peu… légère ? Certes, celui qui entre dans la collection Trash sait ce qu’il vient y chercher, mais Night Stalker, qui s’articule autour d’une chasse au serial-killer dans le L. A. des années ’80, franchit à plusieurs reprises la frontière entre le délire pulp assumé et des erreurs pures et simples… Ainsi, après seulement 50 pages, le shérif menant l’enquête se contredit d’un paragraphe à l’autre, balance une référence à « Strange » (revue française de comics, jamais parue aux USA…), un personnage change de nom, un autre ouvre une fenêtre au 56ème étage… Et les déductions qui font avancer l’enquête ressemblent davantage à des intuitions de médium qu’à de réelles réflexions d’agents des forces de l’ordre…
Certes, vous me direz que la sodomie pratiquée sur des diptères est l’apanage des critiques et que nous sommes tous là pour nous amuser comme des gamins, sans trop se prendre la tête… Reste que les meilleures série « Z » sont celles qui sont réalisées avec un sens profond de l’honnêteté et une implication totale de leurs créateurs. Ici, l’impression est plutôt celle d’un récit vite écrit sur le coin d’une table, sans même la plus élémentaire des relectures. Dommage. D’autant plus dommage que la formule peut fonctionner, comme le prouve « Emoragie », de Brain Salad, chroniqué par ailleurs."
Et voici ma réponse, postée sur leur site :
"Merci pour la critique. J’assume certaines erreurs mais le principe du gore est d’assouvir une pulsion morbide et littéraire sans trop s’attarder sur de quelconques effets documentaires chiants et policés. Décortiquer un gore ne sert à rien et on s’en fout. Bref, je suis content de cette chronique argumentée et généreuse mais je m’insurge totalement sur ce passage : "un sens profond de l’honnêteté et une implication totale de leurs créateurs. Ici, l’impression est plutôt celle d’un récit vite écrit sur le coin d’une table, sans même la plus élémentaire des relectures"... c’est un peu facile et c’est méconnaître le boulot effectué par TRASH et l’auteur. Mais bon... les critiqueurs sont souvent désinformés de la réalité créatrice. Par manque de chance ou de talent ?"
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Zaroff a écrit:Par manque de chance ou de talent ?"[/color]
Je n'ai pas la réponse à cette question.
En revanche, ce qui est certain, c'est que Phénix-Web aurait dû prendre le temps de relire son texte, de toute évidence "vite écrit sur le coin d’une table, sans même la plus élémentaire des relectures". J'en veux pour preuve les fautes qui abondent dès ses premières lignes :
Début de citation
L’objectif de la collection Trash est clair : rendre hommage à la collection « Gore », des Editions du Fleuve Noir, et offrir au public des romans courts, sans concession, qui secouent le lecteur et lui offrent sa ration de sang frais, de foutre et d’évasion… Une idée en soi
Fin de citation
Où est la paille, où est la poutre ?
Heureusement que le ridicule ne tue pas...
Ne te mets pas martel en tête Zaroff, et affûte ta plume pour ton prochain roman.
Tipram
T.
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Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Ce critique a droit de donner un avis mais je n'admets que l'on se permette de juger un travail sans connaître tout le dynamisme de TRASH et le boulot acharné qui se passe dans les coulisses.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Après lecture de cette "chronique" imbécile, aussi mal écrite que mal argumentée, voici quelques éléments complémentaires à propos de Phénix-Web et des scribouillards qui y officient. Tout a commencé il y a quatre mois, quand le rédacteur en chef Marc Bailly nous a contactés pour nous demander des services de presse d'une façon tout à fait péremptoire. Malgré ce ton déplaisant, nous lui avons quand même fait parvenir les trois ouvrages de notre deuxième vague. Et les trois ont effectivement été chroniqués. Par Christophe Corthouts, donc, qui n'est autre que l'un des "nègres" de Henri Vernes sur Bob Morane depuis une dizaine d'années. En tant qu'amateur de la série et attentif aux avis de ses lecteurs, je peux vous assurer qu'il s'est constitué au fil des ans un solide réseau de détracteurs. Sans doute en a-t-il conçu quelque aigreur, aggravée par l'insuccès total de ses autres romans "hors-Bob".
Parce qu'il n'en est pas à son coup d'essai avec nous. En effet, il s'était déjà fendu d'une chronique désagréable (manifestement le ton en vigueur chez Phénix-Web) de Silence Rouge que nous avons préféré ne pas relayer. Car autant nous sommes disposés à accepter les mauvaises critiques (il y en a déjà eu, et il y en aura d'autres, c'est la loi de la jungle, maintenant que le premier venu s'improvise "chroniqueur"), autant les histoires de pailles et de poutres, ça a plutôt tendance à nous faire rigoler. Parce que Corthouts, avec ses romans bourrés de fautes qu'un enfant de douze ans ne commettrait pas, il n'est pas franchement le mieux placé pour nous donner des leçons de relecture. Et son cas déjà problématique est aggravé par sa méconnaissance manifeste de la collection GORE, à laquelle il ne cesse pourtant de se référer. Au temps pour la crédibilité de sa position déjà plus que vacillante.
Jusqu'ici, Night Stalker n'avait suscité que des échos extrêmement enthousiastes. Et ce ne sont pas quelques lignes mal torchées qui vont me faire changer d'avis: nous sommes très fiers de notre numéro six. Et le machin Corthouts, là, je n'ai même pas envie de lui répondre. Parce que je ne n'ai pas de temps à perdre à m'adresser à des adeptes de "la sodomie pratiquée sur des diptères". Et puisque l'auteur excelle manifestement dans l'art de l'autoportrait, j'ajouterai que "facile, des effets répétitifs et une écriture quelque peu… légère" définissent merveilleusement la "qualité" de sa chronique, et de son oeuvre en général. Moralité de l'histoire: plutôt balancer nos livres à la poubelle que d'en renvoyer un jour à Phénix-Web. Et moi aussi j'attends le prochain roman de Zaroff avec impatience, tout comme mon partenaire Julien. Et tout comme les dizaines de lecteurs qui ont adoré Night Stalker.
Parce qu'il n'en est pas à son coup d'essai avec nous. En effet, il s'était déjà fendu d'une chronique désagréable (manifestement le ton en vigueur chez Phénix-Web) de Silence Rouge que nous avons préféré ne pas relayer. Car autant nous sommes disposés à accepter les mauvaises critiques (il y en a déjà eu, et il y en aura d'autres, c'est la loi de la jungle, maintenant que le premier venu s'improvise "chroniqueur"), autant les histoires de pailles et de poutres, ça a plutôt tendance à nous faire rigoler. Parce que Corthouts, avec ses romans bourrés de fautes qu'un enfant de douze ans ne commettrait pas, il n'est pas franchement le mieux placé pour nous donner des leçons de relecture. Et son cas déjà problématique est aggravé par sa méconnaissance manifeste de la collection GORE, à laquelle il ne cesse pourtant de se référer. Au temps pour la crédibilité de sa position déjà plus que vacillante.
Jusqu'ici, Night Stalker n'avait suscité que des échos extrêmement enthousiastes. Et ce ne sont pas quelques lignes mal torchées qui vont me faire changer d'avis: nous sommes très fiers de notre numéro six. Et le machin Corthouts, là, je n'ai même pas envie de lui répondre. Parce que je ne n'ai pas de temps à perdre à m'adresser à des adeptes de "la sodomie pratiquée sur des diptères". Et puisque l'auteur excelle manifestement dans l'art de l'autoportrait, j'ajouterai que "facile, des effets répétitifs et une écriture quelque peu… légère" définissent merveilleusement la "qualité" de sa chronique, et de son oeuvre en général. Moralité de l'histoire: plutôt balancer nos livres à la poubelle que d'en renvoyer un jour à Phénix-Web. Et moi aussi j'attends le prochain roman de Zaroff avec impatience, tout comme mon partenaire Julien. Et tout comme les dizaines de lecteurs qui ont adoré Night Stalker.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Léonox a écrit: Et moi aussi j'attends le prochain roman de Zaroff avec impatience, tout comme mon partenaire Julien. Et tout comme les dizaines de lecteurs qui ont adoré Night Stalker.
Merci les amis. Je suis flatté.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Sacrément balèze celui qui peut prétendre poser une frontière nette entre délire et erreur (le clin d'oeil à Strange, par ex). Qu'il en tire argument pour juger de la valeur du bouquin, c'est un peu léger mais c'est son droit. De là à mettre en doute l'honnêteté de l'auteur, il y a un abus injustifié et inacceptable. ("L'implication totale des créateurs" ! C'est quoi, cette bête ?)
Il fallait une réponse immédiate et tu n'y as pas manqué. L'insinuation sur le talent du critique n'était peut-être pas des plus judicieuses mais la légitime défense peut excuser le recours à une certaine facilité...
Le top aurait été une conclusion en forme d'interrogation narquoise, du genre : "Mais que fait donc la Société Protectrice des Diptères Sodomisés ?"(mais je suppose qu'on ne peut pas trop en demander non plus à un auteur de gore...)
Heu... je te laisse, j'ai un truc sur le feu, là !
P-S : Et ne t'en fais pas outre mesure : "La bave du crapaud n'atteint pas le buzard impassible".
Il fallait une réponse immédiate et tu n'y as pas manqué. L'insinuation sur le talent du critique n'était peut-être pas des plus judicieuses mais la légitime défense peut excuser le recours à une certaine facilité...
Le top aurait été une conclusion en forme d'interrogation narquoise, du genre : "Mais que fait donc la Société Protectrice des Diptères Sodomisés ?"
Heu... je te laisse, j'ai un truc sur le feu, là !
P-S : Et ne t'en fais pas outre mesure : "La bave du crapaud n'atteint pas le buzard impassible".
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Localisation : Narbonne
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
J'espère que cette mauvaise critique ne t'a pas trop atteint, Zaroff.
Je plussoie le proverbe de Jack, et, pour rester dans le même genre, je vais citer Les Tontons flingueurs:
"La bave du crapaud n'empêche pas la caravane de passer!"
Me demande si je vais pas la mettre en signature, tiens...
Je plussoie le proverbe de Jack, et, pour rester dans le même genre, je vais citer Les Tontons flingueurs:
"La bave du crapaud n'empêche pas la caravane de passer!"
Me demande si je vais pas la mettre en signature, tiens...
Dernière édition par Naëlle le Sam 8 Mar 2014 - 12:40, édité 1 fois
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Localisation : Sur la Lune
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Ne te laisse pas démonter par une critique qui est en elle-même critiquable, Zaroff. Pour avoir un peu de poids, ce chroniqueur aurait dû s'appliquer ce qu'il préconise, et donc relire attentivement ses propres mots. De ce fait, son attaque devient caduque.
"Phénix", autrefois, je crois me souvenir que c'était un bon fanzine. Un rapport avec ce site ?
"Phénix", autrefois, je crois me souvenir que c'était un bon fanzine. Un rapport avec ce site ?
lester l gore- — — Dragon de Huelgoat — — Disciple des Douze Heures
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Age : 62
Localisation : à la campagne
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
En effet. Si toutefois l'on admet que les Bouddhas de Bâmiyân ont encore un rapport avec leur splendeur d'antan depuis le passage des talibans.lester l gore a écrit:"Phénix", autrefois, je crois me souvenir que c'était un bon fanzine. Un rapport avec ce site ?
D'ailleurs, histoire d'en remettre une couche et afin de rendre mon opinion plus visible, voilà un copié-collé du message que je viens de laisser sur le blog de Zaroff:
"Phénix fut jadis une des plus belles revues de l'imaginaire francophone. Aujourd'hui il n'en reste qu'un site banal, laborieusement alimenté par un quarteron de scribouillards frustrés. Cet avis "vite écrit sur le coin d'une table, sans même la plus élémentaire des relectures", en fournit un pathétique exemple. Ceci n'est pas une critique. Ceci est le niveau zéro de la chronique.
N'oublions pas que Nécrorian a adoré Night Stalker, et qu'il a écrit que ce roman "est un vrai Gore et qu'il aurait eu sa place dans la défunte collection". Voilà une opinion qui compte. D'autre part, si TRASH est tout à fait prêt à accepter les critiques, nous n'éprouvons que du mépris à l'égard des jugements à l'emporte-pièce émis par les adeptes de "la sodomie pratiquée sur des diptères".
TRASH attend donc avec impatience le prochain roman de Zaroff. Et a déjà placé la sentence de Christophe Corthouts à la place qui lui revient de droit: au fond de la poubelle."
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
La guerre est déclarée. Je ne suis pas ulcéré par cette chronique car on ne peut pas plaire à tout le monde et le web permet toutes les déviances. On peut critiquer mon bouquin mais dire que nous nous foutons du lecteur par manque de travail... c'est hors de question !!!
Fumier.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Ce n'est pas une déclaration de guerre. Si j'avais voulu déclencher une telle offensive, j'aurais posté ça à la source, ce que je ne fais jamais. Parce qu'il n'est pas question de laisser ces plumitifs penser qu'on leur accorde une importance qu'ils n'auront jamais. Afin de clore cette non-affaire, voici d'ailleurs une copie du mail que j'ai envoyé ce matin à mon compère Julien :
En fait, j'ai ajouté ce message sur le blog de Zaroff grâce à Lester, qui par sa question posée sur le forum, m'a rappelé ce que fut jadis la revue Phénix. De plus, cette réponse m'a permis de rendre notre réaction plus visible, tout en marquant le soutien que TRASH se doit d'apporter à ses auteurs. Maintenant je n'ai rien à ajouter. J'espère juste que les types de Phénix finiront par tomber sur ce message. Et que l'avis de Nécrorian leur pètera à la gueule.
En fait, j'ai ajouté ce message sur le blog de Zaroff grâce à Lester, qui par sa question posée sur le forum, m'a rappelé ce que fut jadis la revue Phénix. De plus, cette réponse m'a permis de rendre notre réaction plus visible, tout en marquant le soutien que TRASH se doit d'apporter à ses auteurs. Maintenant je n'ai rien à ajouter. J'espère juste que les types de Phénix finiront par tomber sur ce message. Et que l'avis de Nécrorian leur pètera à la gueule.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Ils ne répondent même pas à mon commentaire. Je pense qu'ils sont timides.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Arrêtez de descendre Phénix, c'est dans leur webzine que j'ai publié pour la première fois deux nouvelles, dans le "spécial Chutes" ....
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Soit la meilleure preuve que s'ils sont incapables d'écrire des chroniques dignes de ce nom (voir par ailleurs le traitement lamentable réservé à l'avant-dernier roman de Justine Niogret, Coeurs de rouille), il leur arrive encore de savoir reconnaître le talent de loin en loin.
Vraie info ou accident, je l'ignore, mais il y a en effet des exceptions à toutes les règles.
Vraie info ou accident, je l'ignore, mais il y a en effet des exceptions à toutes les règles.
Dernière édition par Léonox le Mer 12 Mar 2014 - 21:28, édité 1 fois
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