NIGHT STALKER de Zaroff

J'ai profité de ce week-end pour terminer ton roman !!!

Pour être honnête, je ne connais pas trop le gore... donc c'est plutôt une découverte. Au final, on découvre une approche très réaliste, crue et pourtant bien écrite. J'ai apprécié de retourner dans les années 80 (étant né en 77, c'était ma jeunesse), et de découvrir une Amérique méconnue, réaliste et concrète, qui donne l'impression d'y avoir vécu !!!

L'histoire est bien menée. On est entraîné dans une sorte de descente aux enfers, ou de surenchère du fameux Night Stalker.

Les éléments que j'ai le plus apprécié sont: les passages avec le journaliste, parce qu'il flirte avec le danger, et cherche à profiter de la situation (ce qui est... exaltant); et le passage avec la dernière victime. Son histoire de grenouilles est peut-être la perle du roman (selon moi), ainsi que sa réaction face au criminel, que l'on aurait peut-être souhaitée plus approfondie, voire dérangeante.

Le final est vraiment bien trouvé... Il conclut en "beauté" ce roman, avec beaucoup d'ironie je trouve ^^

Merci Paulux.

Conte Zaroff, conte... " Night Stalker ", c'est du tout bon. J'ai lu ton roman avec plaisir et je suis ébloui par votre qualité d'écriture à tous chez Trash. Les petits débutants, ils décapent dur tout en ciselant, y a de quoi laisser les vieux sur le cul.

Merci Brice. Je t'aime.   

Zaroff a écrit:Quelle chronique de David ! Je suis bluffé et ému. Un grand merci. Tu as compris le sens de mon bouquin, celui que je voulais rendre aux lecteurs. En effet, Nécrorian est un réel mentor et je me devais de lui rendre hommage. Un hommage sanglant bien évidemment.

Merci Zaroff, et ma chro vient du fond du coeur, ou des tripes ! Je me suis souvent cru dans un bon vieux Gore en lisant ton "Night Stalker", et dans ma bouche, c'est plus qu'un compliment comme tu le sais !

Je le sais bien mon pote. Et j'en suis ému.

Après Wikipedia, mon bouquin est intégré dans NOOSFERE :

http://www.noosfere.net/icarus/livres/niourf.asp?numlivre=2146587355

Au tour des tatoués de subir la dure loi du Night Stalker... et ils aiment ça:   

Ouch, quel roman! Du goret pur premium qui ne mégote pas sur la violence gratuite et perverse... j'ai rarement lu un truc aussi extrême (j'ai pourtant une bibliothèque gavée de crapuleries littéraires), que c'est bon! Premier livre du catalogue 'Trash' que je lis, un éditeur qui reprend les choses là où l'avait plus ou moins laissé la fameuse collection 'Gore' (chez Fleuve Noir) dans les années 80... Ce nouvel éditeur souffle sa première bougie, avec déjà 6 références dans le panier. J'avais reniflé le bon coup avec ce 'Night Stalker', (très) librement adapté des sordides exactions du tueur en série Richard Ramirez, violeur boucher-charcutier qui a sévi dans les ruelles sombres de LA au milieu des années 80. Le cocktail est enivrant : meurtres sauvages, tortures inhumaines, viols barbares, sévices sexuels hautement dépravés et satanisme expéditif. Ajoutez une galerie de personnages bien allumés (les flics, le maire, les proies, et je ne parle même pas de ce bon vieux Ramirez, bref que des gens équilibrés), une ambiance ultra 80's (pas mal de références habilement placées, ça sent la VHS vicelarde millésime 86 tout ça!), et une bande son exclusivement ciblée sur le titre "Night Prowler" d'AC/DC (sur l'album "Highway to Hell", dont il est pas mal question dans l'intrigue)... un titre qui semble avoir un effet plutôt néfaste sur Ramirez, sans même écouter le vinyl à l'envers, hein!

Aucun tabou, aucune limite, femme handicapée, couple de retraités, enfants, vieilles rombières solitaires, femmes au foyer, le Richie décime à l'aveuglette, sans faire dans la dentelle. C'est explicite et très descriptif, comme on aime au pays!

L'auteur ne cache pas son admiration pour Necrorian (Zaroff lui dédie carrément ce livre, le désignant comme son "mentor incontesté", et un personnage secondaire de l'histoire est même affublé de ce pseudo, hommage plus qu'appuyé!), un des auteurs les plus excessifs de l'écurie 'Gore' (son "Blood-Sex" a posé les bases du genre gerbeux et vicieux) et véritable référence quand il s'agit de littérature populaire la plus vile et la plus outrancièrement malsaine.

Un roman court (150 pages) et incisif, lu d'une traite, c'est dégueulasse et régressif mais tellement jouissif! J'en redemande, j'ai pas encore ma dose... je vais m'envoyer le "Pestilence" de Deguellus (chez le même éditeur), en espérant que ça lacère, transperce, déchiquète, dissèque et pénètre avec autant de générosité! Miam miam!"

Une sacrée belle chronique signée Sam Guillerand pour Rise Tatoo Magazine. La classe, quoi.

   
Eh eh ! Ta réputation grandit mon p'tit Zaroff ! J'suis contente pour toi !

Je suis ravie que ta prose soit tellement appréciée, Zaroff.   

Bonne continuation.

T.

Et bientôt une chronique de Night Stalker au sommaire du prochain podcast de Now It's Dark #44 (Mars 2014) en ligne la semaine prochaine.

J'en connais un qui est au taquet avec notre actu sur FB...
Tu voudrais pas devenir admin de TRASH, par hasard ?  

Arrêtez de poster des chroniques sur moi aussi !   

C'est la rançon du succès   

Bon allez, ce mois-ci je garde des sous et je vais le commander !