NIGHT STALKER de Zaroff
+24
Murphy Myers
Amaranth
Malbordus
davidoff
anouk
A'Tuin
Julien H
DDidelot
Brice Tarvel
paulux
mormir
Jack-the-rimeur
Garraty
lester l gore
Catherine Robert
Tipram
Schootswater
Zaroff
Naëlle
Didier Fédou
FRançoise GRDR
Paladin
SILENCE
Léonox
28 participants
Page 13 sur 17
Page 13 sur 17 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14, 15, 16, 17
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
De sexe et de sang, pardon.
Malbordus- Éventreur titulaire
- Messages : 416
Date d'inscription : 17/07/2014
Age : 52
Localisation : Clermont-Ferrand
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Et oui, j'ai aussi lu notre Zaza
Donc,... c'est du Zaroff. Précis, direct, trash et gore. On suit le taré avec plaisir jusqu'au bout de son périple, témoin de ses crimes plus sanglants les uns que les autres pour terminer sur un faux happy-end de très bonne facture.
Bon encore un avis bien bref, tant pis, faut faire avec.
Zaroff, rappelle-moi que je ne veux absolument pas que tu m'offres des chips
Donc,... c'est du Zaroff. Précis, direct, trash et gore. On suit le taré avec plaisir jusqu'au bout de son périple, témoin de ses crimes plus sanglants les uns que les autres pour terminer sur un faux happy-end de très bonne facture.
Bon encore un avis bien bref, tant pis, faut faire avec.
Zaroff, rappelle-moi que je ne veux absolument pas que tu m'offres des chips
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Merci Cath. Si tu ne veux pas de chips, on peut se contenter de céréales.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
NIGHT STALKER
Ma curiosité a été grandement satisfaite avec ce roman inspiré par l’errance et les actes démentiels de Richard Ramirez (lui-même adorant Satan et la musique d’ACDC) qui sévissaient dans les années 80 en Californie.
Déballage gore beaucoup moins cruel que ceux de Bloodfist (le premier de cette collection Trash que j’ai lu) car le tueur en série mentionné dès le départ pose déjà des limites. La barbarie même la plus monstrueuse peut trouver une explication dans un délire de toute puissance.
Tout l’art de Zaroff a été de se mettre dans la peau de ce personnage hors norme et d’imaginer ce qui pouvait se passer dans sa tête : très fort !
Du gore, oui mais pas que : une vraie histoire policière en plus. Les passages salaces (sexe) et les meurtres (gore) sont contrebalancés par les répliques des enquêteurs savoureuses montrant que les rapports humains ne sont pas basés sur la compassion, plutôt l’immoralité. Il n’y a que Darden, le profileur qui tire son épingle du jeu (Sherman aussi mais il est un peu trop sous contrôle du maire).
Tous les personnages vivent sous la plume de Zaroff comme s’il les avait rencontrés, ce qui est admirable. On pourrait croire qu’il les connaît personnellement, c’est assez étonnant. Le Willy, adjoint et acolyte du policier Sherman vaut son pesant de chips Lay’s !
Du coup, l’écriture disparaît au profit de l’intrigue et d’une plongée dans ce quartier de Glendale, banlieue de Los Angeles des années 80.
J’ai vécu, tout du long du livre, au rythme des futures victimes ainsi que de ce pauvre Sherman obligé de se coltiner un obsédé sexuel incompétent, pistonné par son oncle de maire du Comté de Glendale. Confrontée à ce tueur incontrôlable qui me terrifiait mais qui m’interrogeait : est-ce ainsi que le vrai s’y prenait ?
Peu importe les excès allant crescendo : ces crimes ne font que renforcer l’idée que l’âme humaine peut être vraiment noire ! Le passage où le tueur se fait agresser par la foule puis dépecer est un beau morceau ! J’aime aussi beaucoup l’ironie sous-jacente comme la rencontre avec Nécrorian.
Pour conclure, un roman à lire d’urgence pour ceux qui hésitent.
Déballage gore beaucoup moins cruel que ceux de Bloodfist (le premier de cette collection Trash que j’ai lu) car le tueur en série mentionné dès le départ pose déjà des limites. La barbarie même la plus monstrueuse peut trouver une explication dans un délire de toute puissance.
Tout l’art de Zaroff a été de se mettre dans la peau de ce personnage hors norme et d’imaginer ce qui pouvait se passer dans sa tête : très fort !
Du gore, oui mais pas que : une vraie histoire policière en plus. Les passages salaces (sexe) et les meurtres (gore) sont contrebalancés par les répliques des enquêteurs savoureuses montrant que les rapports humains ne sont pas basés sur la compassion, plutôt l’immoralité. Il n’y a que Darden, le profileur qui tire son épingle du jeu (Sherman aussi mais il est un peu trop sous contrôle du maire).
Tous les personnages vivent sous la plume de Zaroff comme s’il les avait rencontrés, ce qui est admirable. On pourrait croire qu’il les connaît personnellement, c’est assez étonnant. Le Willy, adjoint et acolyte du policier Sherman vaut son pesant de chips Lay’s !
Du coup, l’écriture disparaît au profit de l’intrigue et d’une plongée dans ce quartier de Glendale, banlieue de Los Angeles des années 80.
J’ai vécu, tout du long du livre, au rythme des futures victimes ainsi que de ce pauvre Sherman obligé de se coltiner un obsédé sexuel incompétent, pistonné par son oncle de maire du Comté de Glendale. Confrontée à ce tueur incontrôlable qui me terrifiait mais qui m’interrogeait : est-ce ainsi que le vrai s’y prenait ?
Peu importe les excès allant crescendo : ces crimes ne font que renforcer l’idée que l’âme humaine peut être vraiment noire ! Le passage où le tueur se fait agresser par la foule puis dépecer est un beau morceau ! J’aime aussi beaucoup l’ironie sous-jacente comme la rencontre avec Nécrorian.
Pour conclure, un roman à lire d’urgence pour ceux qui hésitent.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Et dire que mon cher numéro six n'est même pas là pour se délecter de cette belle chronique !
Ainsi as-tu trouvé Night Stalker moins "cruel" que Bloodfist. Ce qui me flatte ( ), tout en m'étonnant un peu. En effet, Richard Ramirez avait une idée de ce qui est le bien et le mal, et s'il a décidé d'agir ainsi, en conscience, c'était en l'honneur de son Maître. Mon gars à moi, en revanche, ne reconnaît "ni Dieu ni maître". Il ne mesure pas vraiment la portée de ce qu'il fait. Il se construit en suivant son instinct, ce qui pourrait le placer "par-delà le bien et le mal".
Mais il est vrai que le roman de Zaroff et le mien ne sont pas du tout écrits de la même façon. Alors peut-être qu'en effet le mien peut paraître plus cruel, parce que plus "froid". J'avoue que je n'y avais pas pensé, mais c'est une interprétation très intéressante. Quoiqu'il en soit, tous nos remerciements pour ce retour enthousiaste et judicieusement argumenté, Françoise.
Ainsi as-tu trouvé Night Stalker moins "cruel" que Bloodfist. Ce qui me flatte ( ), tout en m'étonnant un peu. En effet, Richard Ramirez avait une idée de ce qui est le bien et le mal, et s'il a décidé d'agir ainsi, en conscience, c'était en l'honneur de son Maître. Mon gars à moi, en revanche, ne reconnaît "ni Dieu ni maître". Il ne mesure pas vraiment la portée de ce qu'il fait. Il se construit en suivant son instinct, ce qui pourrait le placer "par-delà le bien et le mal".
Mais il est vrai que le roman de Zaroff et le mien ne sont pas du tout écrits de la même façon. Alors peut-être qu'en effet le mien peut paraître plus cruel, parce que plus "froid". J'avoue que je n'y avais pas pensé, mais c'est une interprétation très intéressante. Quoiqu'il en soit, tous nos remerciements pour ce retour enthousiaste et judicieusement argumenté, Françoise.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Grands mercis Françoise. Je collerai ta chronique sur mon blog dès que je rentre chez moi.
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Oui, tu peux
Pour la petite différence de cruauté, c'est ce que je voulais dire Léonox : ton "gars" est au delà du bien et du mal et c'est plus inconfortable à imaginer qu'un tueur classique même de la trempe de Ramirez...
Merci à vous de nous offrir des histoires pareilles
Pour la petite différence de cruauté, c'est ce que je voulais dire Léonox : ton "gars" est au delà du bien et du mal et c'est plus inconfortable à imaginer qu'un tueur classique même de la trempe de Ramirez...
Merci à vous de nous offrir des histoires pareilles
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Pour info, je suis en pleine concentration pour mon Gore en cours.
Des images de mon activité cérébrale :
Des images de mon activité cérébrale :
- Zaroff donne tout ! :
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Un bon psycho killer aux scènes frontales comme je les aime. Ramirez est abjecte au possible et on se demande ou s'arrêtera sa course sanglante. Bref, j'adore et on sent bien l'hommage à Nécrorian.
Invité- Invité
Amaranth- Book'trotteuse de l'extrême — Reflet dans un œil gore —
- Messages : 2051
Date d'inscription : 07/03/2012
Age : 32
Re: NIGHT STALKER de Zaroff
Han! Pourquoi t'as pas eu cette idée plus tôt?! FUMIER!
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
- Messages : 3668
Date d'inscription : 29/11/2012
Age : 33
Localisation : Sur la Lune
Page 13 sur 17 • 1 ... 8 ... 12, 13, 14, 15, 16, 17
Sujets similaires
» U-Chroniques
» Collectif ZLL : le blog (anciennement Zaroff vs Léonox)
» BAYOU de Zaroff
» CACESTHESIA - Guy KERMEN (Zaroff)
» Nocturne numéros 15 et 17 (Zaroff)
» Collectif ZLL : le blog (anciennement Zaroff vs Léonox)
» BAYOU de Zaroff
» CACESTHESIA - Guy KERMEN (Zaroff)
» Nocturne numéros 15 et 17 (Zaroff)
Page 13 sur 17
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum