Roman : Les Terres de Légendes
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Re: Roman : Les Terres de Légendes
Je viens d'en finir avec les suggestions de Perro', j'attaque une nouvelle relecture avec les remarques de Tici. Il est quatre heures du matin. Le monde appartient à ceux qui ne dorment pas.
Re: Roman : Les Terres de Légendes
Fini de lire. Un bouquin touffu, foisonnant qui sent son pesant d'heures de cogitation, une fresque qui ne manque ni de lyrisme (inattendu), ni de qualités visionnaires, mais où il reste quelques raccords à revoir.
Mais je t'en dirai plus demain.
Mais je t'en dirai plus demain.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: Roman : Les Terres de Légendes
Well, par où commencer ?
- Sur le fond, je supprimerais la partie de la prophétie ou du livre des elfes qui dit qu'Erya finira par revenir aux seuls humains. Si elfes, nains et consort sont appelés à disparaître, c'en sera fini des Terres de Légende et Erya ne sera plus qu'une GaÏa 2. Et comment motiver les non-humains pour se battre aux côtés des hommes pour sauver un monde dont ils finiront par être exclus de toute façon ? Un détail propre à pourrir l'ambiance et dont je ne vois pas l'utilité.
- Dans la partie 1, je reverrais le découpage. C'est la mise en route, on distribue les cartes du jeu et les premiers rôles, soit, mais il y a des lourdeurs et des complications superflues qui nuisent au démarrage.
1/ La chronologie d'Erya qui gagnerait à être condensée et renvoyée en annexe à la fin.
2/ Le chant de Titania, qui n'apporte pas grand-chose et que je remplacerais par celui des elfes (p. 170) qui est superbe et présente une belle vue d'ensemble de l'histoire et de ses ressorts.
3/ Garder le prologue (charmant Mr MacCrombie) avec, si tu y tiens, les flashes de perturbation sur Gaïa (peut-être en italiques et en s'en tenant aux signes : la disparition d'internet est un bouleversement trop profond et prématuré à ce stade),
4/ Et enchaîner par la scène toulousaine où Tohngor vient d'enfoncer la voiture d'un suspect et qui donne un bon aperçu du personnage principal en action.
Après, souffler un petit peu en allant faire un tour chez le roi Joronhee, et lancer Amalric dans l'aventure d'Erya.
Pas grand-chose à redire sur les rencontres et les débuts du long périple d'Amalric et ses amis (sauf à l'auberge de Tukran dont ils seraient mieux inspirés de s'échapper en sautant par la fenêtre de leur chambre qu'en retraversant une salle bondée d'humains hostiles et inexplicablement passifs).
Quelques points me chiffonnent ensuite :
- Après la réunion au Q.G. secret de Joronhee, trois des compagnons d'Amalric (personnage capital à protéger), se barrent sur un cygne géant pour un simple motif de confort. Là, il manque une raison sérieuse à la séparation de la compagnie (un de ses membres blessé ou empoisonné à faire soigner d'urgence, par ex.) - superbe scène de l'orage !
- A Erem-Amary, le comportement de Loric est grotesque et caricatural. Il aurait mérité d'être un peu plus visqueux et surtout de prendre un flèche dans le dos en s'enfuyant.
- La scène de la crucifixion d'Amalric me semble de trop. L'enchaînement de captures et de sauvetages devient trop répétitif à cet endroit du récit : Andeyan capturé par les elfes noirs est sauvé par Arien pour tomber aussitôt après aux mains d'un cardinal fou qui le condamne au bûcher, bûcher dont il est sauvé par ses compagnons, lesquels laissent en route et à sa place Amalric himself que l'inquisiteur s'empresse de de clouer en croix, ce qui oblige ses copains à revenir pour le tirer de là et à refaire un numéro de guérison miraculeuse (après celle de Frost). Cela fait beaucoup. Alors, à moins que tu tiennes à tout prix au symbole de la croix, sors Andeyan du bûcher et restes-en là.
(Pardonne, j'ai des trucs à faire : à suivre...)
- Sur le fond, je supprimerais la partie de la prophétie ou du livre des elfes qui dit qu'Erya finira par revenir aux seuls humains. Si elfes, nains et consort sont appelés à disparaître, c'en sera fini des Terres de Légende et Erya ne sera plus qu'une GaÏa 2. Et comment motiver les non-humains pour se battre aux côtés des hommes pour sauver un monde dont ils finiront par être exclus de toute façon ? Un détail propre à pourrir l'ambiance et dont je ne vois pas l'utilité.
- Dans la partie 1, je reverrais le découpage. C'est la mise en route, on distribue les cartes du jeu et les premiers rôles, soit, mais il y a des lourdeurs et des complications superflues qui nuisent au démarrage.
1/ La chronologie d'Erya qui gagnerait à être condensée et renvoyée en annexe à la fin.
2/ Le chant de Titania, qui n'apporte pas grand-chose et que je remplacerais par celui des elfes (p. 170) qui est superbe et présente une belle vue d'ensemble de l'histoire et de ses ressorts.
3/ Garder le prologue (charmant Mr MacCrombie) avec, si tu y tiens, les flashes de perturbation sur Gaïa (peut-être en italiques et en s'en tenant aux signes : la disparition d'internet est un bouleversement trop profond et prématuré à ce stade),
4/ Et enchaîner par la scène toulousaine où Tohngor vient d'enfoncer la voiture d'un suspect et qui donne un bon aperçu du personnage principal en action.
Après, souffler un petit peu en allant faire un tour chez le roi Joronhee, et lancer Amalric dans l'aventure d'Erya.
Pas grand-chose à redire sur les rencontres et les débuts du long périple d'Amalric et ses amis (sauf à l'auberge de Tukran dont ils seraient mieux inspirés de s'échapper en sautant par la fenêtre de leur chambre qu'en retraversant une salle bondée d'humains hostiles et inexplicablement passifs).
Quelques points me chiffonnent ensuite :
- Après la réunion au Q.G. secret de Joronhee, trois des compagnons d'Amalric (personnage capital à protéger), se barrent sur un cygne géant pour un simple motif de confort. Là, il manque une raison sérieuse à la séparation de la compagnie (un de ses membres blessé ou empoisonné à faire soigner d'urgence, par ex.) - superbe scène de l'orage !
- A Erem-Amary, le comportement de Loric est grotesque et caricatural. Il aurait mérité d'être un peu plus visqueux et surtout de prendre un flèche dans le dos en s'enfuyant.
- La scène de la crucifixion d'Amalric me semble de trop. L'enchaînement de captures et de sauvetages devient trop répétitif à cet endroit du récit : Andeyan capturé par les elfes noirs est sauvé par Arien pour tomber aussitôt après aux mains d'un cardinal fou qui le condamne au bûcher, bûcher dont il est sauvé par ses compagnons, lesquels laissent en route et à sa place Amalric himself que l'inquisiteur s'empresse de de clouer en croix, ce qui oblige ses copains à revenir pour le tirer de là et à refaire un numéro de guérison miraculeuse (après celle de Frost). Cela fait beaucoup. Alors, à moins que tu tiennes à tout prix au symbole de la croix, sors Andeyan du bûcher et restes-en là.
(Pardonne, j'ai des trucs à faire : à suivre...)
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: Roman : Les Terres de Légendes
Sache Didier que je n'oublie pas la lecture de ton livre. Je compte bien m'acquitter de cette tâche (rassure-toi) et te faire part de mes impressions, critiques et observations dès que possible... Reste plus qu'à commencer en somme !
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Roman : Les Terres de Légendes
No soucis, Silence, take your time.
Jack : tu es un allié précieux, mais en même temps, je te déteste, tu vas me faire ré-écrire le bouquin !
Je vais voir tout ça à tête reposée, et j'attends la suite avec impatience (et un peu d'inquiétude). Tu as plus que raison sur certains points, il va peut-être me falloir refaire certaines scènes, mais en d'autres endroits, je vais pouvoir m'en sortir par une pirouette.
Jack : tu es un allié précieux, mais en même temps, je te déteste, tu vas me faire ré-écrire le bouquin !
Je vais voir tout ça à tête reposée, et j'attends la suite avec impatience (et un peu d'inquiétude). Tu as plus que raison sur certains points, il va peut-être me falloir refaire certaines scènes, mais en d'autres endroits, je vais pouvoir m'en sortir par une pirouette.
Re: Roman : Les Terres de Légendes
Ben, tu n'as pas choisi la facilité non plus. Une fresque épique, c'est des tas d'actions, de descriptions et de personnages à mener de front, des millers de trucs à inventer et surtout à coordonner pour que l'ensemble tienne debout. Pour qui te connaît un peu, ça se sent d'ailleurs au niveau du style : tu es obligé de faire attention, d'où un ton plein de retenue, presque didactique par endroits. En fait, à part quelques scènes, tu ne commences à te lâcher réellement qu'avec l'arrivée du personnage de Trouillepoil.
Il y a d'abord cette vision en plongée subjetctivesur l'anneau du multivers (sacré numéro d'écriture soit dit en passant ! ) puis à partir du formidable réveil du dragon doré, les morceaux de bravoure s'enchaînent sans temps mort jusqu'à l'affrontement dantesque final.
Je ne me permettrai juste deux remarques de structure :
- Le gamin trouvé dans la citadelle ne fonctionne pas. Trop hors contexte pour être gobé par les personnages. Je sais, comment introduire Morwen en douce ? pas simple. Il pourrait peut-être prendre l'apparence d'un Joronhee blessé. Celui-ci est tombé au cours de la charge finale mais, dans le feu de l'action, qui peut en être sûr ? En tout cas, il ferait plus plausilble, plus "acceptable".
- L'autre remarque porte sur le retour des héros. J'aime bien ces pages de calme revenu avant de refermer le livre, mais je comprends mal le dernier crochet d'Amalric sur Gaïa. Déjà, qu'il sorte du coma en armure intégrale (armure qu'il n'avait plus aucune raison de porter d'ailleurs à ce moment-là), c'est difficile à avaler mais que ce type qui vient de vivre enfin tout ce qu'il lui manquait avant, qui sait maintenant qui et ce qu'il est, et qui est à présent pleinement maître de son destin, se remette à piccoler et à faire la manche, non ! C'est qu'il n'a rien appris, rien compris et pas évolué d'un poil. Le seul motif valable qui pourrait le faire revenir un temps sur Terre, ce serait pour aller sonner chez Christelle Laplace et luis présenter ses excuses pour lui avoir pourri la vie toutes ces années. Ce serait la moindre des choses de la part d'un semi-éternel digne de ce nom. Après, il peut tirer un trait définitif sur sur son passé terrestre. Ce serait mieux, non ?
Si tu ne me hais pas trop, j'aurais encore quelque petites bricoles mais ce sera pour la prochaine fois.
Il y a d'abord cette vision en plongée subjetctivesur l'anneau du multivers (sacré numéro d'écriture soit dit en passant ! ) puis à partir du formidable réveil du dragon doré, les morceaux de bravoure s'enchaînent sans temps mort jusqu'à l'affrontement dantesque final.
Je ne me permettrai juste deux remarques de structure :
- Le gamin trouvé dans la citadelle ne fonctionne pas. Trop hors contexte pour être gobé par les personnages. Je sais, comment introduire Morwen en douce ? pas simple. Il pourrait peut-être prendre l'apparence d'un Joronhee blessé. Celui-ci est tombé au cours de la charge finale mais, dans le feu de l'action, qui peut en être sûr ? En tout cas, il ferait plus plausilble, plus "acceptable".
- L'autre remarque porte sur le retour des héros. J'aime bien ces pages de calme revenu avant de refermer le livre, mais je comprends mal le dernier crochet d'Amalric sur Gaïa. Déjà, qu'il sorte du coma en armure intégrale (armure qu'il n'avait plus aucune raison de porter d'ailleurs à ce moment-là), c'est difficile à avaler mais que ce type qui vient de vivre enfin tout ce qu'il lui manquait avant, qui sait maintenant qui et ce qu'il est, et qui est à présent pleinement maître de son destin, se remette à piccoler et à faire la manche, non ! C'est qu'il n'a rien appris, rien compris et pas évolué d'un poil. Le seul motif valable qui pourrait le faire revenir un temps sur Terre, ce serait pour aller sonner chez Christelle Laplace et luis présenter ses excuses pour lui avoir pourri la vie toutes ces années. Ce serait la moindre des choses de la part d'un semi-éternel digne de ce nom. Après, il peut tirer un trait définitif sur sur son passé terrestre. Ce serait mieux, non ?
Si tu ne me hais pas trop, j'aurais encore quelque petites bricoles mais ce sera pour la prochaine fois.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
- Messages : 2415
Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 72
Localisation : Narbonne
Re: Roman : Les Terres de Légendes
Je ne te hais point, Jack, bien au contraire ! Je suis même surpris à quel point tu vas dans le détail pour un si gros bouquin, presque comme si tu le connaissais par cœur.
Des remerciements ? Ben tiens, une pleine brouette !
Putain, j'ai du bouleau et du pin sur la planche.
Des remerciements ? Ben tiens, une pleine brouette !
Putain, j'ai du bouleau et du pin sur la planche.
Re: Roman : Les Terres de Légendes
Allez, hop, je suis les conseils de Tici. Je viens d'envoyer le truc à Bragelonne tout en continuant les corrections. Qui vivra verra.
Re: Roman : Les Terres de Légendes
Je suis même pas sûr qu'ils lisent les trucs, chez Bragelonne. Je crois que j'ai jamais eu de réponse, même négative (me souvient plus très bien). Cette histoire de soumission électronique, j'y crois moyen (suffit de voir les commentaires ultra blasés d'un de ceux qui doit s'en occuper sur le forum - genre le mec faisait comprendre qu'il en pouvait plus de lire nos trucs). Ils peuvent pas tout lire, de toute façon. Faut croiser les doigts, allumer des cierges, et tout.
Bonne chance !
Bonne chance !
Max- Écritoirien émérite
- Messages : 779
Date d'inscription : 19/11/2012
Age : 36
Re: Roman : Les Terres de Légendes
Tu pourrais aussi essayer Mnémos qui publie de jeunes auteurs français dans sa collection "Hélios".
J'ai soulevé ce qui me semblait coincer dans ton bouquin (c'était le but du jeu) mais, tel qu'il est, il reste de superbes images : Mr MacCrombie des Highlands, l'oncle Gwendal et son chien, les apparitions d'Arien, l'orage et le chant des Valkérès, celui des Elfes, l'évocation onirique de l'anneau des univers, les extraits de correspondances de guerre, le réveil du dragon doré, la poursuite dans les airs, la fournaise des combats entre l'avant-poste et la citadelle, l'ultime charge de l'Ordre Rouge, la citadelle en anneau (comme celui des univers, c'est voulu ?) et l'affrontement final contre le Pourpre, autant de passages inspirés qui mériteraient de retenir l'attention d'un éditeur un peu futé.
Alors, oui, tente ta chance.
En attendant, encore quelques derniers petits points à fignoler, peut-être ?
- D'accord avec Tici, Amalric culpabilise un peu trop (ce n'est pas lui qui a réveillé l'Ennemi, ni décrété la mobilisation générale).
- Je trouve le personnage de Joronhee bien pâlichon, trop lisse. Il a de la prestance, le sens du devoir et de l'honneur, un brave type à l'aise dans son rôle et droit dans ses bottes, mais il n'est manifestement pas à la hauteur. La bataille d'Enalondil le montre dépassé et piètre stratège. Je pense qu'il suffirait de quelques réflexions amères d'auto-ironie (le montrant douloureusement conscient de ses limites) pour lui donner l'épaisseur humaine qui lui manque. Mais c'est toi qui vois...
- Il y a aussi quelques points qui me paraissent relever d'une vision plutôt romantique de l'écologie, mais comme c'est souvent le cas en Fantasy et que ça n'a pas d'incidence sur le récit, on peut laisser courir.
Dernières bricoles :
- Vers le début, Joronhee renvoie sans délai en mission un messager qui vient d'arriver en trébuchant d'épuisement. Pas chic, ça, de la part d'un roi qui doit avoir au moins un compagnie d'estafettes à son service.
- Je ne sais plus à l'entrée de quelle ville, la compagnie doit franchir un tunnel de 8000 m. Comme il leur faut presque une heure à pied à cause des encombrements, je suppose que c'est 800 m qu'il faut lire.
Voilà, c'est tout ce qui me vient à l'esprit en faisant au plus court.
Si tu as des questions, des points à développer ou à discuter, n'hésite pas.
J'ai été heureux de te lire. Merci pour cette aventure.
J'ai soulevé ce qui me semblait coincer dans ton bouquin (c'était le but du jeu) mais, tel qu'il est, il reste de superbes images : Mr MacCrombie des Highlands, l'oncle Gwendal et son chien, les apparitions d'Arien, l'orage et le chant des Valkérès, celui des Elfes, l'évocation onirique de l'anneau des univers, les extraits de correspondances de guerre, le réveil du dragon doré, la poursuite dans les airs, la fournaise des combats entre l'avant-poste et la citadelle, l'ultime charge de l'Ordre Rouge, la citadelle en anneau (comme celui des univers, c'est voulu ?) et l'affrontement final contre le Pourpre, autant de passages inspirés qui mériteraient de retenir l'attention d'un éditeur un peu futé.
Alors, oui, tente ta chance.
En attendant, encore quelques derniers petits points à fignoler, peut-être ?
- D'accord avec Tici, Amalric culpabilise un peu trop (ce n'est pas lui qui a réveillé l'Ennemi, ni décrété la mobilisation générale).
- Je trouve le personnage de Joronhee bien pâlichon, trop lisse. Il a de la prestance, le sens du devoir et de l'honneur, un brave type à l'aise dans son rôle et droit dans ses bottes, mais il n'est manifestement pas à la hauteur. La bataille d'Enalondil le montre dépassé et piètre stratège. Je pense qu'il suffirait de quelques réflexions amères d'auto-ironie (le montrant douloureusement conscient de ses limites) pour lui donner l'épaisseur humaine qui lui manque. Mais c'est toi qui vois...
- Il y a aussi quelques points qui me paraissent relever d'une vision plutôt romantique de l'écologie, mais comme c'est souvent le cas en Fantasy et que ça n'a pas d'incidence sur le récit, on peut laisser courir.
Dernières bricoles :
- Vers le début, Joronhee renvoie sans délai en mission un messager qui vient d'arriver en trébuchant d'épuisement. Pas chic, ça, de la part d'un roi qui doit avoir au moins un compagnie d'estafettes à son service.
- Je ne sais plus à l'entrée de quelle ville, la compagnie doit franchir un tunnel de 8000 m. Comme il leur faut presque une heure à pied à cause des encombrements, je suppose que c'est 800 m qu'il faut lire.
Voilà, c'est tout ce qui me vient à l'esprit en faisant au plus court.
Si tu as des questions, des points à développer ou à discuter, n'hésite pas.
J'ai été heureux de te lire. Merci pour cette aventure.
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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