GRETA de Catherine Robert

Vu le nombre de signes, ça sent le Trash

Non, et pour au moins trois raisons:
1) Il manque 20 000 signes pour faire un TRASH
2) Notre planning est bouclé jusqu'à l'été 2016
3) Nous ne validons aucun projet au-delà de cette date

Mais j'ai écrit "plusieurs idées".

Oui, c'est terminé depuis ce matin. Un peu plus de 146 000 signes.
Là, je vais laisser reposer un peu, pour me sortir de cette histoire et aborder les relectures avec un minimum de recul.
Parce qu'effectivement, Zaroff a trouvé la bonne définition, j'étais bouffée par mon histoire. Et sur les genoux, j'ai déjà refait trois siestes aujourd'hui .
En tout cas, c'est une sensation géniale. Non seulement d'arriver au bout de ce drôle de projet qui a démarré de pas grand chose, mais aussi de le vivre aussi intensément.

Quant à ce qu'il vaut, je ne me prononcerai pas, j'en sais absolument rien. Tout ce que je sais, c'est que quoi qu'il vaille, moi je l'aime bien.

1) Il manque 20 000 signes pour faire un TRASH

Ouais, moi j'arrive à faire un truc ou trop court ou trop long. Mais franchement, je ne l'ai pas écrit en pensant à TRASH ou à quoi que ce soit d'ailleurs. Je me suis contentée d'écrire en m'obligeant à ne pas me laisser parasiter par une quelconque pensée autre qu'avancer dans l'histoire.

Dommage, Trash + Catherine, ç'aurait été une superbe association. Mais je doute pas que les autres idées de projet seront tout aussi géniales. J'ai hâte de voir ce que tout ça nous réserve.

Content que tu sois venue à bout de la bête, Catherine. (Et que ça ait pas été l'inverse surtout. ) La dernière fois, lointaine, où j'ai fini une histoire aussi longue, je me suis senti comme si j'avais gagné un oscar. Alors j'imagine bien comment tu dois te sentir en ce moment.

Félicitations, Catherine!

Merci à tous pour vos encouragements. L'air de rien, ce topic pas très intéressant m'a beaucoup aidé.

Et avant de parler de projet, je préfère attendre l'avis de Léo lorsqu'il aura lu le texte (ce qui n'est pas pour tout de suite, corrections obligent et je suis incapable d'estimer le temps que ça peut me prendre).
Parce que ça peut très bien être juste une bonne bouse

Cache-toi, oui, cache-toi!

Félicitations d'être allée jusqu'au bout Catherine

Bravo Catherine ! Rien de plus à dire que ça...

Merciiiiiii !!!!
Bon, j'ai encore du boulot, faut que je retravaille tout ça et je l'ai jamais fait sur un texte aussi gros. Mais ça ne me stresse pas plus que ça de plonger dans les corrections, l'idée est même plutôt plaisante, sauf que j'ai toujours l'impression que je vois pas ce qu'il y a à travailler (à part bien sûr, les fautes/coquilles et autres petites bourdes).
N'empêche que je m'y attellerai sérieusement la semaine prochaine.

Et bien, je vais vous dire : je m'emmerde.
J'ai l'impression de n'avoir rien à faire maintenant que j'ai terminé ce récit. Alors, je lis un peu, mais j'ai même pas envie. Je me dis que je n'ai qu'à entamer l'écriture d'un petit truc court et vite fait, mais y a rien qui vient et donc je m'emmerde.

Le syndrome post projet intensif, c'est toujours sans pitié.
Tu peux essayer de relire/corriger Gretta du coup, d'une façon, tu serais encore dans ce projet.

Oui, mais je continue à penser qu'il ne faut pas que je m'y mette trop vite. Mon cerveau, il est encore à fond là-bas avec elle, dans le désert. Du coup, à part quelques fautes, je suis pas sûre de voir grand chose.

Alors là, à part te changer les idées en faisant des trucs qui n'ont rien à voir avec l'écriture ou la lecture (regarder un bon film, t'occuper des "affaires courantes" (lessive, ménage, courses et autres choses affreuses), te promener, voir des gens, etc.), je vois pas!

Hier, j'ai fait une première grosse relecture de corrections. J'ai commencé par relire, tout en corrigeant les petites fautes d'orthographe qui arrivent toujours à se glisser (et il doit sûrement en rester, on ne parvient jamais à les voir toutes - et j'aime pas ça -) et en soulignant tous les passages que je voulais peaufiner. Ensuite, j'ai repris au départ, mais en ne m'occupant que des passages soulignés (y en avait un paquet quand même, des fois juste un mot que j'avais repéré en répétition, des fois tout un paragraphe qui ne me plaisait pas).
Et bien, l'air de rien, ça m'a pris ma journée pour ainsi dire.

J'ai aussi suivi le conseil de Léo et j'ai ajouté "Désert" un peu retravaillé, en prologue.

Ce qui fait que maintenant, j'ai passé le seuil des 150 000 signes. C'est cool !

Bon, j'ai pas fini hein. Je relirai encore (et je trouverai encore des fautes ). Et puis j'ai toute une scène qui me pose problème. Pas un gros problème, mais je vois pas du tout comment le résoudre. Et tant qu'à faire autant profiter des bons conseils de mes bons écritoiriens .
En gros, c'est une scène de bagarre entre deux protagonistes (deux femmes) dont on ne connaît pas le nom (et je ne veux pas qu'elles aient de noms). Et c'est là mon problème. Je passe de l'une à l'autre, je dois donc à chaque fois définir de laquelle des deux il s'agit. Au moment de l'écriture, j'ai fait simple pour ne pas me prendre la tête, j'ai utilisé des qualificatifs à la noix (genre, "la plus jeune", "la plus âgée", "brunette"), mais ça ne rend pas bien du tout. Sauf que je n'arrive pas à trouver comment gérer le truc.