Le peuple des collines (texte retiré)
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Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Je viens d'exhumer cette nouvelle, et je dis "sympa". Je vais me faire de la pub, mais elle m'a fait penser à une histoire à moi, "Le Sanctuaire". (Celle que Pagan n'a pas aimée).
Même le personnage a pas mal de points communs avec mon héroïne. Sinon, j'ai trouvé la narration maîtrisée, et l'emploi de la première personne, que je n'aime pas à titre personnel, ne m'a pas dérangé. L'histoire coule de source, et l'absence de détail, le léger flou procuré par l'absence de description trop précise des dryades créée une ambiance onirique qui va bien avec le propos.
Même le personnage a pas mal de points communs avec mon héroïne. Sinon, j'ai trouvé la narration maîtrisée, et l'emploi de la première personne, que je n'aime pas à titre personnel, ne m'a pas dérangé. L'histoire coule de source, et l'absence de détail, le léger flou procuré par l'absence de description trop précise des dryades créée une ambiance onirique qui va bien avec le propos.
lester l gore- — — Dragon de Huelgoat — — Disciple des Douze Heures
- Messages : 2309
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 62
Localisation : à la campagne
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Merci Lester!
Je vais lire ton histoire...Elle est sur l'Ecritoire?
Je vais lire ton histoire...Elle est sur l'Ecritoire?
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
lester l gore a écrit:Je viens d'exhumer cette nouvelle, et je dis "sympa". Je vais me faire de la pub, mais elle m'a fait penser à une histoire à moi, "Le Sanctuaire". (Celle que Pagan n'a pas aimée).
Même le personnage a pas mal de points communs avec mon héroïne. Sinon, j'ai trouvé la narration maîtrisée, et l'emploi de la première personne, que je n'aime pas à titre personnel, ne m'a pas dérangé. L'histoire coule de source, et l'absence de détail, le léger flou procuré par l'absence de description trop précise des dryades créée une ambiance onirique qui va bien avec le propos.
Qui de vous deux à plagié ?!
Invité- Invité
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Non, Paladin, il faut acheter le recueil, pour la lire.... Gnark ! Gnark ! Gnark !
Les deux, Mathieu, les deux...
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lester l gore- — — Dragon de Huelgoat — — Disciple des Douze Heures
- Messages : 2309
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 62
Localisation : à la campagne
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Et bien ta nouvelle m'a beaucoup plus! J'ai trouvé l'histoire triste tout de même.
Je connaissais pas du tout Les Dryades. Ça ne me dérange pas de na pas savoir à quoi ils ressemblent.
Le mystère est entier et on s'imagine différentes choses...
Le texte est bien écrit, c'est fluide. Je ne me suis pas ennuyé. C'est bien rythmé et la fin j'avoue ne pas m'y avoir attendu! Donc bonne surprise.
Je connaissais pas du tout Les Dryades. Ça ne me dérange pas de na pas savoir à quoi ils ressemblent.
Le mystère est entier et on s'imagine différentes choses...
Le texte est bien écrit, c'est fluide. Je ne me suis pas ennuyé. C'est bien rythmé et la fin j'avoue ne pas m'y avoir attendu! Donc bonne surprise.
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Noctis ---> On peut trouver l'histoire triste à cause de la souffrance de l'enfant, ceci étant je considère que la fin est plutôt optimiste...Les dryades sont à l'origine, chez les grecs, des nymphes liées aux arbres: http://fr.wikipedia.org/wiki/Dryades_(mythologie mais là j'en ai fait une interprétation toute personnelle!
Lester ---> je ne dis pas quej vais commender ton livre tout de suite mais je le ferai, d'autant plus que Zaroff l'a beaucoup aimé et que j'ai confiance en son jugement!
Lester ---> je ne dis pas quej vais commender ton livre tout de suite mais je le ferai, d'autant plus que Zaroff l'a beaucoup aimé et que j'ai confiance en son jugement!
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Ah, merci pour ce cours. Je ne connaissais pas du tout. Bien que le terme "nymphes" me dit vaguement quelque chose...
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Paladin, en l'occurrence ça confirme que Zaroff a un goût très sûr.
Tu me diras quand tu l'auras lu ce que tu en penses.
Tu me diras quand tu l'auras lu ce que tu en penses.
lester l gore- — — Dragon de Huelgoat — — Disciple des Douze Heures
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Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 62
Localisation : à la campagne
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Un peu de saine lecture en tête à tête avec mon sandwich-jambon ; et voici que je tombe sur cette perle de notre ami Paladin !!!
J'ai tout simplement adoré ce texte ! Sa sensibilité, sa finesse toute en suggestions.
Il y a bien quelques tournures de phrases à revoir, quelques fautes de détail à corriger. Mais c'est de la gnognotte à côté du potentiel de plaisir qu'il recèle !
Qu'as-tu fait de ce texte ? A-t-il été édité ?
J'ai tout simplement adoré ce texte ! Sa sensibilité, sa finesse toute en suggestions.
Il y a bien quelques tournures de phrases à revoir, quelques fautes de détail à corriger. Mais c'est de la gnognotte à côté du potentiel de plaisir qu'il recèle !
Qu'as-tu fait de ce texte ? A-t-il été édité ?
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
- Messages : 2638
Date d'inscription : 11/05/2013
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Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Bon du coup, j'ai remarqué après avoir lu que j'arrivais un peu tard (l'histoire date de 2011). Mais pour une fois que je pense avoir repérer une petite faute, je ne peux la taire "Oubliée la maladie de Maman et ma solitude." = OubliéeS parce que ça inclue la maladie et la solitude. / Et une faute de frappe un peu plus loin : "demandait Tata Elise ne pleurant".
Sinon, j'ai été surpris de me prendre dans l'histoire à ce point. D'habitude, un récit fait par un enfant, ça m'attire pas trop. Mais là, il y avait une sorte de poésie dans l'histoire elle-même. Pas forcément dans la forme, mais dans le fond.
Par moments, je trouvais des formulations étranges pour une enfant (par exemple "hélas" mais faut bien avouer que je n'ai trouvé aucun synonyme qui serait mieux passé). Par contre, je trouve que tu as très bien retranscrit la psychologie infantile, avec ses logiques propres et ses causes/conséquences "naïves" (par exemple, "il m'engueule plus parce que ça sert à rien d'engueuler une folle").
Et j'admire ton pouvoir de suggestion aussi, avec toutes ces scènes primordiales dans l'histoire qu'on imagine plus qu'on ne lit au final. Le tout laissant place à un doute maitrisé sur la réalité ou non de ces évènements. J'adore cette subtilité.
Personnellement, cette histoire me fait penser à une sorte de conte désenchanté (qui finit bien malgré tout). Avec une mélancolie omniprésente en fond et une sorte de crescendo tout au long de l'histoire (plus on avance, plus les dryades prennent de l'importance et semblent "présentes" à leur façon). Du coup, étant comme l'héroïne plus du côté de l'imaginaire que du réel, dans la même idée, plus j'avançais dans l'histoire, plus j'étais pris dedans.
En bref, ça me fait penser à une sorte de Labyrinthe de Pan mais en bien mieux
J'ai lu les autres commentaires un peu en diagonal donc mille excuses si je ne fais que les répéter. En tout cas, même si je m'attendais à autre chose comme première lecture, ça m'a fait une bonne entrée en la matière sur ce forum.
Sinon, j'ai été surpris de me prendre dans l'histoire à ce point. D'habitude, un récit fait par un enfant, ça m'attire pas trop. Mais là, il y avait une sorte de poésie dans l'histoire elle-même. Pas forcément dans la forme, mais dans le fond.
Par moments, je trouvais des formulations étranges pour une enfant (par exemple "hélas" mais faut bien avouer que je n'ai trouvé aucun synonyme qui serait mieux passé). Par contre, je trouve que tu as très bien retranscrit la psychologie infantile, avec ses logiques propres et ses causes/conséquences "naïves" (par exemple, "il m'engueule plus parce que ça sert à rien d'engueuler une folle").
Et j'admire ton pouvoir de suggestion aussi, avec toutes ces scènes primordiales dans l'histoire qu'on imagine plus qu'on ne lit au final. Le tout laissant place à un doute maitrisé sur la réalité ou non de ces évènements. J'adore cette subtilité.
Personnellement, cette histoire me fait penser à une sorte de conte désenchanté (qui finit bien malgré tout). Avec une mélancolie omniprésente en fond et une sorte de crescendo tout au long de l'histoire (plus on avance, plus les dryades prennent de l'importance et semblent "présentes" à leur façon). Du coup, étant comme l'héroïne plus du côté de l'imaginaire que du réel, dans la même idée, plus j'avançais dans l'histoire, plus j'étais pris dedans.
En bref, ça me fait penser à une sorte de Labyrinthe de Pan mais en bien mieux
J'ai lu les autres commentaires un peu en diagonal donc mille excuses si je ne fais que les répéter. En tout cas, même si je m'attendais à autre chose comme première lecture, ça m'a fait une bonne entrée en la matière sur ce forum.
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Merci à toi, en tout cas!
Un "Labyrinthe de Pan mais en bien mieux", voila qui est flatteur !
Un "Labyrinthe de Pan mais en bien mieux", voila qui est flatteur !
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Une bonne histoire, même si je ne pense pas que ce soit ta meilleure, ce qui ne veut pas dire que je n'ai pas aimé et puis c'est peut-être parce que je l'avais déjà lue il y a longtemps et que je m'en rappelais bien, je n'avais donc aucune surprise en la lisant.
Rien à voir, mais j'ai vu que vous parliez de Pierre Dubois et j'ai envie de vous raconter une petite anecdote.
Lorsque nous avons organisé notre premier festival bd, on l'y avait invité. Il était arrivé le vendredi, ainsi que trois quatre autres auteurs. On offrait le repas du soir. On était tout un groupe, entre les auteurs, parfois avec leur épouse, le lithographe (et son épouse aussi), mon mari et moi, mon frère et sa femme et deux collègues qui participaient de diverses façons à l'aventure.
Le souper se passe bien, les plus modérés s'en vont assez tôt. On se retrouve avec Pierre Dubois, les deux collègues, mon mari, sa fille et moi. Et sur les six, il y en a quatre qui ont bien arrosé le repas et n'ont aucune envie de retrouver leur lit. Les heures passant, le restaurant ferme ses portes et on atterrit dans le seul quartier (bien que quartier pour une ville aussi petite que Bastogne soit un grand mot) avec des cafés ouverts. Les fêtards continuent donc à fêter.
A un moment, je vois Pierre sortir un couteau, avec une belle lame. Et puis, le voilà qui s'amuse à se taillader le visage. Il posait la lame sur ses joues et appuyait fortement, jusqu'à se faire une entaille.
La suite, je ne l'ai pas vue, mon mari ayant décidé de rentrer, plantant là Pierre, un collègue et sa fille, les trois bien imbibé. C'est le collègue qui nous a raconté la fin de la nuit.
Pierre Dubois a continué à jouer avec son couteau sur ses joues, ma belle-fille a fini par s'écrouler au sol, quasiment dans les pommes tellement elle avait bu.
Et puis, la police est entrée dans le café. J'imagine bien le tableau qu'ils ont découvert : une jeune femme à terre, un homme pissant le sang et c'est à mon collègue qu'ils ont posé les questions.
"Vous la connaissez ?"
"Oui, c'est la fille d'un ami."
"Elle s'appelle comment ?"
Et là, le mec a le trou (faut dire qu'il n'était pas dans un état des plus frais non plus), pas moyen de se rappeler le nom de ma belle-fille.
Vous n'allez pas le croire, les flics sont simplement ressortis du café comme s'il n'y avait rien qui clochait.
Ensuite, Pierre et le collègue ont décidé d'aller à l'hôtel où ils avaient chacun une chambre réservée. Mais ils n'allaient pas laisser ma belle-fille sur place, donc, ils l'ont embarquée et le trio s'est mis en route, la fille soutenue par les deux hommes, plus traînée qu'autre chose. Au milieu de la place, prise d'un besoin urgent, elle a absolument voulu uriner (ce qu'elle a fait d'ailleurs), puis ils ont confondu la boulangerie du coin avec l'hôtel un peu plus loin, ont gueulé pour qu'on leur ouvre avant de s'apercevoir de leur erreur, ont fini par trouver l'hôtel et oubliant qu'ils devaient rentrer par l'entrée de nuit, ont sonné jusqu'à ce qu'un responsable vienne leur ouvrir en râlant.
Mon collègue ne sachant que faire de ma belle-fille, l'a mise dans sa chambre (bien que Pierre se soit proposé, mais le collègue n'a pas voulu) et puis il n'a pas osé dormir là et est parti dormir dans son véhicule.
Fin de l'anecdote (enfin à peu près). Le lendemain, tout le monde était fidèle au poste. A noter qu'étant rentrée à 4h du matin et devant me lever à 4h30 (puisqu'on avait des trucs à finaliser avant l'ouverture), je n'ai pas dormi cette nuit là.
Rien à voir, mais j'ai vu que vous parliez de Pierre Dubois et j'ai envie de vous raconter une petite anecdote.
Lorsque nous avons organisé notre premier festival bd, on l'y avait invité. Il était arrivé le vendredi, ainsi que trois quatre autres auteurs. On offrait le repas du soir. On était tout un groupe, entre les auteurs, parfois avec leur épouse, le lithographe (et son épouse aussi), mon mari et moi, mon frère et sa femme et deux collègues qui participaient de diverses façons à l'aventure.
Le souper se passe bien, les plus modérés s'en vont assez tôt. On se retrouve avec Pierre Dubois, les deux collègues, mon mari, sa fille et moi. Et sur les six, il y en a quatre qui ont bien arrosé le repas et n'ont aucune envie de retrouver leur lit. Les heures passant, le restaurant ferme ses portes et on atterrit dans le seul quartier (bien que quartier pour une ville aussi petite que Bastogne soit un grand mot) avec des cafés ouverts. Les fêtards continuent donc à fêter.
A un moment, je vois Pierre sortir un couteau, avec une belle lame. Et puis, le voilà qui s'amuse à se taillader le visage. Il posait la lame sur ses joues et appuyait fortement, jusqu'à se faire une entaille.
La suite, je ne l'ai pas vue, mon mari ayant décidé de rentrer, plantant là Pierre, un collègue et sa fille, les trois bien imbibé. C'est le collègue qui nous a raconté la fin de la nuit.
Pierre Dubois a continué à jouer avec son couteau sur ses joues, ma belle-fille a fini par s'écrouler au sol, quasiment dans les pommes tellement elle avait bu.
Et puis, la police est entrée dans le café. J'imagine bien le tableau qu'ils ont découvert : une jeune femme à terre, un homme pissant le sang et c'est à mon collègue qu'ils ont posé les questions.
"Vous la connaissez ?"
"Oui, c'est la fille d'un ami."
"Elle s'appelle comment ?"
Et là, le mec a le trou (faut dire qu'il n'était pas dans un état des plus frais non plus), pas moyen de se rappeler le nom de ma belle-fille.
Vous n'allez pas le croire, les flics sont simplement ressortis du café comme s'il n'y avait rien qui clochait.
Ensuite, Pierre et le collègue ont décidé d'aller à l'hôtel où ils avaient chacun une chambre réservée. Mais ils n'allaient pas laisser ma belle-fille sur place, donc, ils l'ont embarquée et le trio s'est mis en route, la fille soutenue par les deux hommes, plus traînée qu'autre chose. Au milieu de la place, prise d'un besoin urgent, elle a absolument voulu uriner (ce qu'elle a fait d'ailleurs), puis ils ont confondu la boulangerie du coin avec l'hôtel un peu plus loin, ont gueulé pour qu'on leur ouvre avant de s'apercevoir de leur erreur, ont fini par trouver l'hôtel et oubliant qu'ils devaient rentrer par l'entrée de nuit, ont sonné jusqu'à ce qu'un responsable vienne leur ouvrir en râlant.
Mon collègue ne sachant que faire de ma belle-fille, l'a mise dans sa chambre (bien que Pierre se soit proposé, mais le collègue n'a pas voulu) et puis il n'a pas osé dormir là et est parti dormir dans son véhicule.
Fin de l'anecdote (enfin à peu près). Le lendemain, tout le monde était fidèle au poste. A noter qu'étant rentrée à 4h du matin et devant me lever à 4h30 (puisqu'on avait des trucs à finaliser avant l'ouverture), je n'ai pas dormi cette nuit là.
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
J'ai bien apprécié cette nouvelle, elle laisse derrière elle un brin de nostalgie mais je ne suis pas capable d'expliquer pourquoi ou en quoi.
L'histoire et sa progression sont bien menées, le thème est à la fois original et bateau.
Bateau : les dryades, les peuples des collines et des bois
Original : c'est ce que tu en fais, là où tu nous emmènes : la mort comme une solution, une délivrance.
Juste un truc : le coup de la tronçonneuse m'a rappelé mon mari, alors que j'ai enceinte de mon fils qui est arrivé tout à coup dans la maison la jambe pleine de sang parce qu'il venait de se mettre un coup de tronçonneuse. Heureusement c'était moins grave.
@Cath : c'est une histoire vraie ton truc ? Là tout de suite, tu en fais une nouvelle j'aurais dû mal à adhérer à l'histoire.
L'histoire et sa progression sont bien menées, le thème est à la fois original et bateau.
Bateau : les dryades, les peuples des collines et des bois
Original : c'est ce que tu en fais, là où tu nous emmènes : la mort comme une solution, une délivrance.
Juste un truc : le coup de la tronçonneuse m'a rappelé mon mari, alors que j'ai enceinte de mon fils qui est arrivé tout à coup dans la maison la jambe pleine de sang parce qu'il venait de se mettre un coup de tronçonneuse. Heureusement c'était moins grave.
@Cath : c'est une histoire vraie ton truc ? Là tout de suite, tu en fais une nouvelle j'aurais dû mal à adhérer à l'histoire.
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
- Messages : 4109
Date d'inscription : 26/12/2012
Age : 59
Localisation : Béarn
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Oh oui que c'est une histoire vraie. Ce fut un week-end épuisant. Le lendemain, heureusement la soirée fut plus calme, préparé sur place après une journée passée les pieds dans l'eau, et pourtant on était en salle, mais il y avait un problème à la toiture de la verrière. Les auteurs ont pas été ravis, on les avait mis juste sous la verrière (ils avaient une bonne lumière et on n'était absolument pas au courant des problèmes de toiture) avec les marchands sur le pourtour (mais pas sous la verrière). On a passé la journée à racler l'eau. Walthéry et Batem se sont désistés pour le dimanche, prétextant un problème familial (ils étaient venus ensemble). Je ne sais toujours pas s'ils disaient vrai ou s'ils ont voulus éviter une deuxième journée les pieds dans l'eau. Par contre, la soirée fut très sympathique avec Mitton et sa guitare qui nous a chanté plein de classiques de la chanson française (il chante d'ailleurs pas mal du tout).
Le dimanche fut à nouveau arrosé, on a mangé avec Pierre Dubois qui ne repartait que le lendemain (et paraît que le lendemain fut épique d'après le collègue qui l'a reconduit chez lui et qui n'est rentré que le mardi).
Le dimanche fut à nouveau arrosé, on a mangé avec Pierre Dubois qui ne repartait que le lendemain (et paraît que le lendemain fut épique d'après le collègue qui l'a reconduit chez lui et qui n'est rentré que le mardi).
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