Le peuple des collines (texte retiré)
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Le peuple des collines (texte retiré)
Publié dans le recueil De l'Autre Côté chez Les Ombres d'Elyranthe
Dernière édition par Paladin le Mar 15 Jan 2019 - 13:09, édité 2 fois
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Un petit conte sur la cruauté de l'enfance traité à la manière de Gudule. Puis cette gamine se réfugie dans les sensations procurées par un pin et du petit peuple qui l'environne. Mais ici, point de fées tendres ou de gentils lutins. Pour la protéger de son entourage familial défaillant, les dryades sortiront leurs griffes.
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
En dehors des contes pour enfants, le "petit peuple" n'a rien de charmant, il ne partage pas nos conceptions du bien et du mal et peut être trés cruel par moment...
Dans les critiques on a plusieurs fois regretté qu'on ne voie pas vraiment qui sont les dryades.
Dans les critiques on a plusieurs fois regretté qu'on ne voie pas vraiment qui sont les dryades.
Dernière édition par Paladin le Ven 31 Jan 2014 - 14:01, édité 1 fois
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Paladin a écrit:
Dans les critiques on a plusieurs fois regretté qu'on ne voie pas vraiment qui sont les dryades.
A la limite, je préfère les imaginer. Les décrire, même succinctement, aurait enlevé un peu de puissance imaginative. Tu as fait le bon choix je pense.
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Lu !
J'ai apprécié le texte. Je pense qu'il gagnerait en intensité s'il était présenté sous forme de journal intime (même si ce format pose problème pour le dernier passage...). Il y a en outre quelques phrases et certaines tournures qui sont trop adultes. J'avais eu ce souci aussi pour un texte où le narrateur était un gamin de moins de 10 ans.
Mike
J'ai apprécié le texte. Je pense qu'il gagnerait en intensité s'il était présenté sous forme de journal intime (même si ce format pose problème pour le dernier passage...). Il y a en outre quelques phrases et certaines tournures qui sont trop adultes. J'avais eu ce souci aussi pour un texte où le narrateur était un gamin de moins de 10 ans.
Mike
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Merci Mike!
C'est vrai qu'il n'est pas toujours facile de faire parler un enfant pas trop grand ni trop petit!
C'est vrai qu'il n'est pas toujours facile de faire parler un enfant pas trop grand ni trop petit!
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
J'ai bien aimé.
Pour des raisons toutes personelles, j'aime beaucoup les histoires de gosses et de petit peuple, mais en filigranne, sans savoir si c'est vrai ou pas. A mon sens, la principale caractéristique des fées, des lutins, des elfes, etc... c'est qu'on ne les voie que du coin de l'oeil, et quand on regarde, il n'y a plus rien.
Les ouvrages de Pierre Dubois, comme les encyclopédies des fées ou des lutins, sont pour cela de véritables trésors.
Revenons à l'histoire. Quelques fautes d'accord, rien de grave. Le reste suit bien. En fait, je n'ai pas grand chose à dire, j'aurais aimé un peu plus de ce que j'ai expliqué plus haut vers la fin. J'aurais aimé en lire un peu plus sur les troubles de la mère, et ce qui a poussé le père à vouloir coupé l'arbre. C'est certes dispensable, on comprend très bien comme ça, mais on est privés d'un background très réel à mettre face aux dryades de la gamine. Réel contre imagination. Réalité dure et sans concession contre jardin secret de gosse où se réfugier, s'échapper.
Alors je pose une question délicate : était-ce une bonne idée de traiter cette histoire à la première personne, et par les yeux d'une enfant ?
Pour des raisons toutes personelles, j'aime beaucoup les histoires de gosses et de petit peuple, mais en filigranne, sans savoir si c'est vrai ou pas. A mon sens, la principale caractéristique des fées, des lutins, des elfes, etc... c'est qu'on ne les voie que du coin de l'oeil, et quand on regarde, il n'y a plus rien.
Les ouvrages de Pierre Dubois, comme les encyclopédies des fées ou des lutins, sont pour cela de véritables trésors.
Revenons à l'histoire. Quelques fautes d'accord, rien de grave. Le reste suit bien. En fait, je n'ai pas grand chose à dire, j'aurais aimé un peu plus de ce que j'ai expliqué plus haut vers la fin. J'aurais aimé en lire un peu plus sur les troubles de la mère, et ce qui a poussé le père à vouloir coupé l'arbre. C'est certes dispensable, on comprend très bien comme ça, mais on est privés d'un background très réel à mettre face aux dryades de la gamine. Réel contre imagination. Réalité dure et sans concession contre jardin secret de gosse où se réfugier, s'échapper.
Alors je pose une question délicate : était-ce une bonne idée de traiter cette histoire à la première personne, et par les yeux d'une enfant ?
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Merci Didier!
En fait je dirais que l'usage de la première personne en général s'impose à moi dans une histoire, elle me vient comme ça et dans ce cas il m'est trés difficile de la raconter à la troisième personne, je ne saurais trop dire pourquoi sinon que peut-être ça me permet plus facilement de faire passer le ressenti du personnage. Pareil, quand j'ai écris cette histoire ma femme m'a demandé pourquoi je faisais parler une petite fille et pas un petit garçon alors que je suis un homme...Et là je ne sais absolument pas, ça c'est imposé à moi comme ça!
Je n'ai pas parlé des troubles de la mère, peut-être parce que pour moi ce genre de chose est "banale" puisque je la côtoie tous les jours dans mon travail d'infirmier psy et que j'ai du oublier que le lecteur ne connaissait pas forcement le sujet! Le père a coupé l'arbre en pensant qu'il incitait trop sa fille à fuir dans un monde "imaginaire"...Bon, c'est un peu capilotracté, c'est vrai!
Je possède les trois encyclopédies de Pierre Dubois sur les lutins, les fées et les elfes, celle sur les elfes est même dédicacée de sa main (Au salon du livre de Paris). C'est vrai que se sont des mines d'or pour l'inspiration!
En fait je dirais que l'usage de la première personne en général s'impose à moi dans une histoire, elle me vient comme ça et dans ce cas il m'est trés difficile de la raconter à la troisième personne, je ne saurais trop dire pourquoi sinon que peut-être ça me permet plus facilement de faire passer le ressenti du personnage. Pareil, quand j'ai écris cette histoire ma femme m'a demandé pourquoi je faisais parler une petite fille et pas un petit garçon alors que je suis un homme...Et là je ne sais absolument pas, ça c'est imposé à moi comme ça!
Je n'ai pas parlé des troubles de la mère, peut-être parce que pour moi ce genre de chose est "banale" puisque je la côtoie tous les jours dans mon travail d'infirmier psy et que j'ai du oublier que le lecteur ne connaissait pas forcement le sujet! Le père a coupé l'arbre en pensant qu'il incitait trop sa fille à fuir dans un monde "imaginaire"...Bon, c'est un peu capilotracté, c'est vrai!
Je possède les trois encyclopédies de Pierre Dubois sur les lutins, les fées et les elfes, celle sur les elfes est même dédicacée de sa main (Au salon du livre de Paris). C'est vrai que se sont des mines d'or pour l'inspiration!
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
En fait je dirais que l'usage de la première personne en général s'impose à moi dans une histoire, elle me vient comme ça et dans ce cas il m'est trés difficile de la raconter à la troisième personne, je ne saurais trop dire pourquoi sinon que peut-être ça me permet plus facilement de faire passer le ressenti du personnage. Pareil, quand j'ai écris cette histoire ma femme m'a demandé pourquoi je faisais parler une petite fille et pas un petit garçon alors que je suis un homme...Et là je ne sais absolument pas, ça c'est imposé à moi comme ça!
J'ai remarqué que beaucoup de nos nouvelles à tous, amateurs, sont à al première personne. Je pense que c'est par facilité qu'on fait ça, pour obtenir une écriture proche du langage parlé, donc naturelle et fluide. Je pense aussi que pour cette nouvelle, passer à la troisième personne et varier les points de vue donne un potentiel énorme. Cette histoire mérite un roman, je le dis comme je le pense, mon bon monsieur. Parce que, ainsi que tu le dit :
Je n'ai pas parlé des troubles de la mère, peut-être parce que pour moi ce genre de chose est "banale" puisque je la côtoie tous les jours dans mon travail d'infirmier psy et que j'ai du oublier que le lecteur ne connaissait pas forcement le sujet! Le père a coupé l'arbre en pensant qu'il incitait trop sa fille à fuir dans un monde "imaginaire"...Bon, c'est un peu capilotracté, c'est vrai!
Tu vois, t'as tous les ingrédients. Le point de vue de la gamine que t'as utilisé (il faudrait pas grand-chose pour augmenter le contraste réel/échappatoire merveilleux), le point de vue de la mère et ses troubles, et comme dit King, il faut causer de ce qu'on connait, alors en tant qu'infirmier psy, tu devrais pas te priver, et le point de vue du père qui voit sa fille faire des trucs bizarres alors qu'il a vraiment pas besoin de ça. Sa fille deviendrait-elle folle comme sa mère ? Et qu'est qu'elle fout à parler à cet arbre ? Et pourquoi ces gamins qui l'embêtaient se sont-ils fait agresser ? Est-ce que ma fille est tarée et cristallise sa folie dans cet arbre ? Cet arbre est-il hanté ? Je vais le couper, ça ira mieux pour tout le monde.
Et paf ! Une putain de scène intense quand le père prend la tronçonneuse. Accident ? L'arbre qui se défend ? Nom de nom, qu'est ce qui se passe ? Les dryades dont parle cette petite sont-elles réelles ou pas ?
Sans dec, y'a tout ce qu'il faut. J'ai encore jamais dit ça pour aucune nouvelle que j'ai pu lire ici ou sur le manoir. Cette histoire est juste bloquée par l'emploi de la première personne. Tu sais à quoi elle me fait penser ? Au film "le labyrinthe de Pan", c'est le même thème.
Si, juste un truc, le début. La famille qui s'installe dans une nouvelle maison, tout ira bien, tu te feras de nouveaux amis, blablabla... Je n'ai rien contre les clichés, mais ça, c'en est un.
Je possède les trois encyclopédies de Pierre Dubois sur les lutins, les fées et les elfes, celle sur les elfes est même dédicacée de sa main (Au salon du livre de Paris). C'est vrai que se sont des mines d'or pour l'inspiration!
Idem ! Mais pas la spécial dédicace. Je ne compte plus les heures de rêveries que j'ai pu avoir. C'est tellement bien écrit, j'en suis parfois resté sans voix. Vraiment. Littéralement scotché. J'encourage tout amateur de fantastique/merveilleux de se les procurer.
Allez, au boulot. Je veux un premier jet dans 6 mois !
J'ai remarqué que beaucoup de nos nouvelles à tous, amateurs, sont à al première personne. Je pense que c'est par facilité qu'on fait ça, pour obtenir une écriture proche du langage parlé, donc naturelle et fluide. Je pense aussi que pour cette nouvelle, passer à la troisième personne et varier les points de vue donne un potentiel énorme. Cette histoire mérite un roman, je le dis comme je le pense, mon bon monsieur. Parce que, ainsi que tu le dit :
Je n'ai pas parlé des troubles de la mère, peut-être parce que pour moi ce genre de chose est "banale" puisque je la côtoie tous les jours dans mon travail d'infirmier psy et que j'ai du oublier que le lecteur ne connaissait pas forcement le sujet! Le père a coupé l'arbre en pensant qu'il incitait trop sa fille à fuir dans un monde "imaginaire"...Bon, c'est un peu capilotracté, c'est vrai!
Tu vois, t'as tous les ingrédients. Le point de vue de la gamine que t'as utilisé (il faudrait pas grand-chose pour augmenter le contraste réel/échappatoire merveilleux), le point de vue de la mère et ses troubles, et comme dit King, il faut causer de ce qu'on connait, alors en tant qu'infirmier psy, tu devrais pas te priver, et le point de vue du père qui voit sa fille faire des trucs bizarres alors qu'il a vraiment pas besoin de ça. Sa fille deviendrait-elle folle comme sa mère ? Et qu'est qu'elle fout à parler à cet arbre ? Et pourquoi ces gamins qui l'embêtaient se sont-ils fait agresser ? Est-ce que ma fille est tarée et cristallise sa folie dans cet arbre ? Cet arbre est-il hanté ? Je vais le couper, ça ira mieux pour tout le monde.
Et paf ! Une putain de scène intense quand le père prend la tronçonneuse. Accident ? L'arbre qui se défend ? Nom de nom, qu'est ce qui se passe ? Les dryades dont parle cette petite sont-elles réelles ou pas ?
Sans dec, y'a tout ce qu'il faut. J'ai encore jamais dit ça pour aucune nouvelle que j'ai pu lire ici ou sur le manoir. Cette histoire est juste bloquée par l'emploi de la première personne. Tu sais à quoi elle me fait penser ? Au film "le labyrinthe de Pan", c'est le même thème.
Si, juste un truc, le début. La famille qui s'installe dans une nouvelle maison, tout ira bien, tu te feras de nouveaux amis, blablabla... Je n'ai rien contre les clichés, mais ça, c'en est un.
Je possède les trois encyclopédies de Pierre Dubois sur les lutins, les fées et les elfes, celle sur les elfes est même dédicacée de sa main (Au salon du livre de Paris). C'est vrai que se sont des mines d'or pour l'inspiration!
Idem ! Mais pas la spécial dédicace. Je ne compte plus les heures de rêveries que j'ai pu avoir. C'est tellement bien écrit, j'en suis parfois resté sans voix. Vraiment. Littéralement scotché. J'encourage tout amateur de fantastique/merveilleux de se les procurer.
Allez, au boulot. Je veux un premier jet dans 6 mois !
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
J'ai en effet bien envie de me mettre à un roman cette année...Mais bon, pas à partir de cette nouvelle. Peut-être en effet pourrait-elle en devenir un, mais là si je me met à écrire "long" ce sera l'instant sur quelque chose de nouveau. J'ai quelques vagues pistes qui demanderaient à être creusées, où alors je devrais trouver autre chose. Je me donne jusqu'à cet été environ pour démarrer un truc.
(Et Zaroff je te rappelle qu'on a un projet commun en suspens!)
C'est tout à fait vrai, mais bon, si y'a que celui là...
Oui, tu as sans doute mis le doigt sur ce que cherchais à dire: la première personne aide à la fluidité du texte. Mais je ne comprends pas cette réticence que j'ai souvent lue sur les forums d'écriture par rapport à la première personne. Par facilité? Je ne formulerais pas ça comme ça. Je pense que celui qui écrit doit trouver ce qui lui convient le mieux. aucune forme n'est par ailleurs plus "facile" ou moins. La première personne donne un langage parlé plus fluide, mais comme tu le dis, empêche de varier les points de vue. L'auteur doit donc trouver d'autres procédés pour retranscrire ce qui se passe chez l'autre, c'est aussi un exercice. Vice versa, rendre le subjectif est plus dur à la troisième personne. Certains romans sont bâtis aussi sur l'alternance de points de vue différents à la première personne...
Enfin je ne suis pas sûr que la première personne soit caractéristique d'amateurs comme nous, elle est fréquente chez Poe ou Maupassant, pour ne citer qu'eux!
Justement, je voulais laisser ces sujets dans le vague pour maintenait l'ambiguité jusqu'à la fin!
Merci encore en tout cas de ton analyse et de tes encouragements! Je te dis, pour le roman, j'y pense, peut-être un jour je pourrais utiliser cette nouvelle mais pour l'instant je voudrais partir sur du neuf!
(Et Zaroff je te rappelle qu'on a un projet commun en suspens!)
Si, juste un truc, le début. La famille qui s'installe dans une nouvelle maison, tout ira bien, tu te feras de nouveaux amis, blablabla... Je n'ai rien contre les clichés, mais ça, c'en est un.
C'est tout à fait vrai, mais bon, si y'a que celui là...
J'ai remarqué que beaucoup de nos nouvelles à tous, amateurs, sont à al première personne. Je pense que c'est par facilité qu'on fait ça, pour obtenir une écriture proche du langage parlé, donc naturelle et fluide. Je pense aussi que pour cette nouvelle, passer à la troisième personne et varier les points de vue donne un potentiel énorme
Oui, tu as sans doute mis le doigt sur ce que cherchais à dire: la première personne aide à la fluidité du texte. Mais je ne comprends pas cette réticence que j'ai souvent lue sur les forums d'écriture par rapport à la première personne. Par facilité? Je ne formulerais pas ça comme ça. Je pense que celui qui écrit doit trouver ce qui lui convient le mieux. aucune forme n'est par ailleurs plus "facile" ou moins. La première personne donne un langage parlé plus fluide, mais comme tu le dis, empêche de varier les points de vue. L'auteur doit donc trouver d'autres procédés pour retranscrire ce qui se passe chez l'autre, c'est aussi un exercice. Vice versa, rendre le subjectif est plus dur à la troisième personne. Certains romans sont bâtis aussi sur l'alternance de points de vue différents à la première personne...
Enfin je ne suis pas sûr que la première personne soit caractéristique d'amateurs comme nous, elle est fréquente chez Poe ou Maupassant, pour ne citer qu'eux!
Et paf ! Une putain de scène intense quand le père prend la tronçonneuse. Accident ? L'arbre qui se défend ? Nom de nom, qu'est ce qui se passe ? Les dryades dont parle cette petite sont-elles réelles ou pas
Justement, je voulais laisser ces sujets dans le vague pour maintenait l'ambiguité jusqu'à la fin!
Merci encore en tout cas de ton analyse et de tes encouragements! Je te dis, pour le roman, j'y pense, peut-être un jour je pourrais utiliser cette nouvelle mais pour l'instant je voudrais partir sur du neuf!
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Pour me défaire un peu du polar momentanément, j'ai commencé l'ébauche d'une esquisse de contours d'une oeuvre immense et essentielle du 21ème siècle, un polar cyberpunk... voire de tendance dystopique uchronique cyberpunk !
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Je viens de lire.
alors pas de dissertation sur le peuple des arbres.
je trouve que c'est trés bien écrit, la lecture est fluide... je trouve aussi qu'on suit bien le cheminement de la petite fille...
j'aime beaucoup le côté poétique sombre... un peu à la "labyrinthe de pan"
Pour l'attaque de l'arbre et sa défence qui aurait pu être un peu dévellopé... c'est ce que je me disai aussi au moment ou ça arrive mais en même temps, comme le conteur est la fillette, elle ne peu que raconter ce qu'elle sait... par contre je suis bien content que tu ne décrive pas plus les habitants de l'arbre... jusqu'au petit mot des enquéteurs sur le corps disparu on se pose la question et c'est là que le "malaise", le fantastique se pose vraiment...
enfin voilà, j'ai passé une bonne lecture
alors pas de dissertation sur le peuple des arbres.
je trouve que c'est trés bien écrit, la lecture est fluide... je trouve aussi qu'on suit bien le cheminement de la petite fille...
j'aime beaucoup le côté poétique sombre... un peu à la "labyrinthe de pan"
Pour l'attaque de l'arbre et sa défence qui aurait pu être un peu dévellopé... c'est ce que je me disai aussi au moment ou ça arrive mais en même temps, comme le conteur est la fillette, elle ne peu que raconter ce qu'elle sait... par contre je suis bien content que tu ne décrive pas plus les habitants de l'arbre... jusqu'au petit mot des enquéteurs sur le corps disparu on se pose la question et c'est là que le "malaise", le fantastique se pose vraiment...
enfin voilà, j'ai passé une bonne lecture
Invité- Invité
Re: Le peuple des collines (texte retiré)
Oui, j'ai voulu finir sur la confirmation de l'existence des dryades, ce qui donne une fin on dira relativement optimiste.
Décidement cette histoire me fait jouer à l'inspecteur Colombo, je vais encore parler de ma femme: elle avait trouvé cette histoire sinistre, alors que ce n'est pas mon avis!
Décidement cette histoire me fait jouer à l'inspecteur Colombo, je vais encore parler de ma femme: elle avait trouvé cette histoire sinistre, alors que ce n'est pas mon avis!
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