La Nuit Du Vampire

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Notez l'influence à peine cachée de quelques membres du forum

Hello,

J'aime le style, direct, simple, efficace.

Cependant, quelques fautes d'orthographe à corriger et des mots qui se baladent (tu as dû modifier des phrases et oublier de virer des mots). Par exemple:

refusaient de manger d’en manger

Tu changes de temps : un coup le passé simple, un coup le présent. il faut choisir. Je pense que le présent est un bon choix, donnant un côté + percutant.

Attention au choix des mots (contresens) :

Les raisons qui poussent ... A vrai dire, je n’en vois que deux : Se faire exploser la cervelle et rendre le travail des agents immobiliers infernal : ce ne sont pas des raisons, mais plutôt des conséquences (les raisons seraient chômage, divorce, etc...)

Le vampire lui fendit dessus / lui fondit plutôt.

Relis-toi bien pour les fautes et la conjugaison.

Sinon, j'aime bien ce style, ce petit texte m'a bien emporté !

A+

Merci beaucoup, je corrige ça tout de suite : )

(Je voulais dire fondit, oui).

Pas aimé du tout.

Spoiler:

Spoiler:

. Merci d'avoir lu en tout cas. (Et pour l'avatar ! ^^ )

Je pense au contraire que ça pourrait faire un bon texte !

Le problème c'est qu'il manque de la substance. Oui, les noms font clichés et la fin, bah c'est pas une fin. Toute la force du texte est dans l'introduction. Scène 1, le groom. Il nous faut la scène 2. La scène 3, voire 4. Et la conclusion (avec le twist). Toute la substance viendra dans la conclusion, le reste c'est de la péripétie, de l'amuse-gueule.

Zaroff est un aficionado des personnages aux noms français. Je suis de son avis, ça donne plus de profondeur, c'est moins cliché.
On peut utiliser les stéréotypes, mais jamais les clichés. Et il faut les utiliser d'une manière détournée, ou évidente (mais ne jamais prendre le lecteur pour un plouc "comme Spirou, ou "comme Thomas Edison").

Aussi, une grosse erreur à ne jamais faire : "…même si vous êtes en droit d’en douter, après tout je suis en train de parler en ce moment-même"
Le narrateur n'est pas entrain d'en parler, puisque le lecteur est entrain de le lire ! Si le narrateur en parle, à qui le raconte-t-il ? Il faut l'écrire, l'expliciter, l'argumenter, en gros rajouter une partie.

En lisant ton texte, j'ai tout de suite vu le potentiel qu'il pouvait donner. Je crois qu'il faut que tu te jettes dessus pour le retravailler. Y'a une bonne nouvelle à écrire avec lui.

Merci beaucoup je prends en note tout ça.

Je modifie les noms, du moins sur mon fichier Word, j'avoue que je ne me suis pas foulé pour les trouver (Colin Farrel, Martin Scorsese, Davy Jones) et je veillerais à être plus explicite sur le premier paragraphe.
Et sinon oui, tu as visé juste : Ce n'est que la scène 1.
J'envisage d'écrire la suite en suivant différents protagonistes, qui au final tenteront de survivre heure par heure.

Ce qui est sûr c'est que tu manies bien l'écriture, ta façon de raconter est trés vivante et les dialogues sonnent bien. On sent l'influence du King, c'est un fait!

Sur l'histoire je reste bien sur ma faim...Comme le dit Zaroff c'est pas mal inspiré de Ca , ce qui ne serait pas grave si tu avais pondu un truc original. Là finalement il ne se passe pas grand chose, juste une fin pas trés crédible...

Spoiler:

En fait voila ma critique: une trés bonne narration mais pas vraiment d'histoire! Mais c'est déjà beaucoup de savoir bien écrire, pour l'histoire tu as le temps d'évoluer!

T'as intérêt de parler des types aux sandwichs. Sinon j'arrête de te lire.

Il faut surtout que Sweetie se détache de son carcan Kingien pour prendre son envol. Il a du potentiel mais...

Et bien je n'écris que depuis un mois, ce sont mes deux premières nouvelles "complètes" sur trois, la première étant restée inachevée, et à vrai dire je les considère plutôt comme des premiers chapitres que comme de véritables nouvelles. Je pense que je vais encore continuer avec mes béquilles Kingienne pendant quelques temps, mais chacun de vos conseils et encouragements me va droit au coeur (ou sur un petit bout de papier notes ) et me donne de l'assurance pour continuer. J'espère réussir à toutes les deux les achevés (je désire faire de Un Jour Nouveau un roman et de La Nuit Du Vampire une nouvelle longue) afin de vous les présenter dans une véritable version finale et retravailler = )

As-tu un bêta-lecteur pour t'aiguiller ? Un tiers-oeil permet d'affiner et d'ajuster son style, en se débarrassant des idiotismes que l'on traîne de nos influences...

Pour quelqu'un qui n'écrit que depuis un mois, le résultat est probant. Le jour où tu vas trouver ton style, tu vas faire des merveilles. Tu as de l'imagination, tu sais mettre en scène et tu sais faire parler tes personnages. Et tout cela, on l'a ou pas. Ça ne s'apprend pas.

Zaroff a écrit:Il faut surtout que Sweetie se détache de son carcan Kingien pour prendre son envol. Il a du potentiel mais...

Mai c'est normal, Sweetie commence à peine à écrire et comme tous ceux qui commencent il est influencé par un de ses auteurs fétiches, c'est le cas même des plus grands écrivains: Dostoïevski dans ses premiers romans était influencé par Hugo et chez Stephen King on note l'influence par exemple de Lovecraft (Voir la nouvelle longue et indigeste qui s'appelle "Celui qui garde le ver" dans Danse Macabre qui compte pourtant aussi des textes courts parmi ses meilleurs!)

Je trouve que pour quelqu'un qui écrit depuis un mois il manie trés bien l'écriture. Mais il faut un temps de pratique pour trouver son style propre.

Bon, j'ai fait un effort pour te lire Sweetie, parce qu'en principe les vampires me sortent par les yeux, mais j'ai quand même lu ton texte, par curiosité.

Je suis assez d'accord avec ce qui a été dit avant sur le fond et la forme, et j'ai juste envie d''y rajouter que j'ai eu un peu de mal avec ce mélange de références americano-françaises. Soit ça se passe aux states, soit en France, mais quand ton texte cite des références culturelles précises (Spirou, Edison), alors il faut choisir de quel coté te mène ta barque. Certes, quand on débute on fait tous plus ou moins "l'erreur" d'américaniser notre écriture, en s'inspirant des auteurs ou des films qui nous ont marqué, mais en fait il faut surtout écrire sur des sujets/milieux dans lesquels on se sente bien, que ce soit le marché de Bangkok ou les cités du Neuf-Trois. Là tu verras, ça viendra naturellement et il n'y aura plus aucune incohérence ou maladresse de ce genre-là.

Sinon, ben j'ai relevé pas mal de fautes, surtout d'inattention et d'accords :

De son parquet doré en bois massif sur lequel se répond mon sang rouge nacré. : p2
, des taches de rousseurS lui saupoudrAIT le visage : p2
Il avait été nourri aux supers héros/ : p2 (pas de S pour super dans ce cas-là et dans la même phrase, X-men n'en prend pas, c'est un mot invariable)
certains refusaient d'en manger d'en manger (les dernières tranches de dindes.. : p2
Comme si les français ne mangeaient pas de porcs ! : p2 (tu peux l'écrire au pluriel, mais le sens n'est pas tout à fait le même)
, rentré chez ma maison ! : p4
comme un pantin désarticuler/...et lui déchirait ses vêtement. :p4 (dans la même phrase ; vêtementS au pluriel)
Aller on se casse les gars ! : p4
,ne sont pas encore tout à faot cicatriser. : p4
, et il ne lui restait en restait : p4
, ils avaient éconimisés pendant de longues années : p4
Soudain les lèvres ensanglantées de "l'homme" frémir : p5
Matt le regarda s'approché sans bouger, comme un lapin figé dans les phrases d'une voiture : p6 (les "phrases" d'une voiture c'est vraiment pas mal lol faut que je la ressorte !)

Bon voilà, mais pour finir sur une touche plus positive, je dirais effectivement que pour un début c'est plutôt pas mal. Reste plus qu'à travailler sur le fond pour structurer un peu tout ça et en faire une vraie histoire - sur la forme y'a du boulot aussi, mais ça se mettra en place tout seul, à force de pratique.

Bonne continuation à toi, Sweetie !