Zomb's short (7 short stories) (texte retiré)

On pourrait faire une anthologie écritoirienne mais ce serait le bordel avec les droits d'auteurs. Et le Dago, il pourrait pas nous refaire un tirage comme Lisière ? On sélectionnerait nos meilleurs récits juste pour nous.

Tout est possible maintenant, mais c'est vrai qu'il y a de quoi faire un sacré recueil avec les petits trésors qu'on trouve par ici.

Lulu.com, BoD, il suffit de faire une mise en page parfaite et une couverture, mais ça, vous savez faire !

Enfin si vous vous décidez, j'en veux 1 exemplaire !

Suffit de faire un numéro avec impression à la demande comme Madgad. Le problème c'est le temps pour s'en occuper comme d'hab. Mais sinon c'est faisable.

C'est lu ! Ça se parcourt comme des olives vertes fourrées aux anchois, tes short stories (anglais technique) !
Vu que tu démarres sur les chapeaux de roue avec des chutes qui cisaillent les tendons, les deux suivantes sont moins mordantes même si la troisième est parfaitement noire et cynique : tu joues en slide (toujours technique, l'anglais) sur nos fibres paternelles (Oui, Sandra, maternelles aussi, pardon !).
Pour la dernière, je l'ai trouvée très cinématographique ! Une scène pareille au cinoche, ça te transforme la moelle épinière en Mister Freeze...

Carré, pro, bien écrit, propre...
Y a du défi pour les autres et c'est tant mieux !
L'idée effleurée du prochain concours peut être excellente... à creuser !

Merci Pagan. Je suis content car j'ai écrit le tout très vite et en un seul jet et les commentaires sont positifs. Je vais renouveler l'expérience, c'est certain.

J'aime bien les petites histoires, c'est plus simple à lire à l'écran, et c'est souvent un véritable défi à l'imagination.
Ma préférée, dans les 4 ici présentes, c'est la troisième. Un brin de nostalgie ne fait jamais de mal.
Le dénouement de la deuxième est trop abrupte. On ne sent pas dans le récit que la mère est sur le point de perdre la raison. Du coup, l'idée de dévorer son propre enfant est trop rapide.
La quatrième manque un peu de souffle.
Mais je pinaille, c'est très sympa à lire.

Merci cancer.

Ouh la la, j'ai surkiffé la première. Efficace, tout sur les sensations et l'horreur en crescendo. La dernière phrase te cueille comme la lame de la faucheuse.
La 2nde et la 3eme m'ont beaucoup même plu (même si la seconde est très maline, la plus horrible parce qu'il y a un enfant, je pense) et la 4ème redonne un coup de fouet : images percutantes et style nerveux.
Sur des histoires aussi courtes, tu arrives à planter ton ambiance, les émotions et c'est très fort !

Merci mon bon roi.

Ouf... y'a des moments où j'allais commencer à sourire, devant l'ironie du sort, un sorte d'humour noir, genre noir foncé, mais finalement non. Horrible. Parfaitement. Je ne sais pas si tu es plus à l'aise dans du format court comme ça, mais t'as fait du bon boulot. Les trois premières sont quasi parfaites, le stress du survivant est parfaitement rendu. J'aime moins la quatrième, sans doute parce qu'elle fait intervenir la grosse artillerie, j'ai préféré la solitude angoissante des personnages.

Et putain, le coup du nouveau-né trainé au bout du cordon m'a foutu par terre.

Du coup, je me demande si le titre et l'illustration servent bien tes histoires. Je m'attendais à du gore ketchup, mais non, c'est de la bonne horreur flippante que tu nous donnes, tant mieux.

Merci didier. Je réduis mes textes de plus en plus. Je vais finir poète sans m'en apercevoir.

Zaroff a écrit:Merci didier. Je réduis mes textes de plus en plus. Je vais finir poète sans m'en apercevoir.

Jusqu'au Haïku ? Non quand même pas, tu nous punirais...

On ne sait jamais ce que l'avenir nous réserve. Sobriété ? Nihilisme ? Dénuement ? La phrase pure. La puissance d'évocation d'un mot...

La puissance d'évocation d'un mot...

Merde ?

Ça ne me parle pas, à moi ces petites bidulettes de deux/trois lignes... je sais qu'on risque de me jeter des cailloux, mais c'est comme ça.

Lestat a écrit:

La puissance d'évocation d'un mot...

Merde ?

Puissant Lestat