La mort est un coffre vide
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours n°18 : Dans le coffre
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Re: La mort est un coffre vide
Je trouve aussi que le titre fait très giallo (Et comme souvent dans les gialli, il a peu de rapport avec l'histoire ) !
Par contre le contenu, lui, n'est pas du tout celui d'un giallo, mais on est là plutôt dans une histoire d'horreur pulp façon Robert Bloch ou Bradbury dans sa période "horrifique". Donc une forme classique (Et je sais que tu assumes bien ce terme, ce n'est pas péjoratif) pour une histoire bien menée.
Un truc m'intrigue :
Le côté "pulp" est augmenté par un ton de narration vintage (Le journal, etc.) et l'ensemble est très agréable à lire.
Par contre le contenu, lui, n'est pas du tout celui d'un giallo, mais on est là plutôt dans une histoire d'horreur pulp façon Robert Bloch ou Bradbury dans sa période "horrifique". Donc une forme classique (Et je sais que tu assumes bien ce terme, ce n'est pas péjoratif) pour une histoire bien menée.
Un truc m'intrigue :
- Spoiler:
- si le coffre "digère" ce qui est mis dedans, est-ce vraiment Max que les parents entendent s'adresser à eux à la fin (dans ce cas-là, il n'est pas "digéré") ou est-ce une ruse du coffre pour les attirer à lui eux aussi ?
Le côté "pulp" est augmenté par un ton de narration vintage (Le journal, etc.) et l'ensemble est très agréable à lire.
Re: La mort est un coffre vide
Tu sais, je suis moi-même très "classique" et, si je puis me permettre, totalement "vintage". Non seulement, j'assume, mais je revendique ces appellations.
Le titre évoque le giallo même si le récit n'a rien à voir avec ce genre que j'adore lorsqu'il est décliné sous forme de films. J'ajouterai que ce titre est bancal et constitue le seul point de cette nouvelle dont je ne suis guère satisfait (avec les trois autres détails relevés par Françoise et Trantor. Vu la longueur du texte, cela est pardonnable, d'autant plus que je n'ai pas de bêta-lecteur à disposition.)
Pour en revenir au truc qui t'a intrigué, je laisse aux lecteurs la possibilité d'interpréter cela comme ils le souhaitent.
- Spoiler:
- Cependant, si l'on s'en tient à la logique du récit, il ne peut que s'agir d'une ruse de l'entité. Après tout, si elle a le pouvoir de modifier son apparence, pourquoi ne pourrait-elle pas imiter les voix ? Après tout, même Michel Leeb y arrive...
Merci Paladin.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Date d'inscription : 02/10/2013
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Re: La mort est un coffre vide
Cette histoire se lit avec intérêt du début à la fin. Elle a effectivement un côté "vieille école" que tu maîtrises bien. Cela étant, il m'a quand même manqué un ch'ti truc, peut-être, un peu comme sur mon texte, un peu plus de pep's. Ce genre de texte à le désavantage d'avoir un côté un peu trop tranquille et une originalité moindre que d'autres récits.
Dans le fond, ce n'est pas un défaut, cela n'empêche qu'il est vraiment bon.
Par contre, j'ai tiqué sur la tournure signalée par Perro. Rien de dramatique. Et moi aussi, j'ai songé parfois que le ton était un peu trop soutenu quand Véra s'exprime sous hypnose, mais ça ne m'a pas sortie pour autant de ce qu'elle raconte. Surtout que rien ne dit que c'est bien Véra qui parle.
Niveau thème, tu y es, rien à dire.
Dans le fond, ce n'est pas un défaut, cela n'empêche qu'il est vraiment bon.
Par contre, j'ai tiqué sur la tournure signalée par Perro. Rien de dramatique. Et moi aussi, j'ai songé parfois que le ton était un peu trop soutenu quand Véra s'exprime sous hypnose, mais ça ne m'a pas sortie pour autant de ce qu'elle raconte. Surtout que rien ne dit que c'est bien Véra qui parle.
Niveau thème, tu y es, rien à dire.
Re: La mort est un coffre vide
Je suis content que tu aies apprécié ce texte malgré tes quelques petits bémols.
Pour ce qui est du "côté un peu trop tranquille", j'ai volontairement laissé les aspects racoleurs de côté (l'équivalent littéraire des "jump scares") afin de privilégier l'atmosphère et l'implicite. Quant à l'originalité, tant pis si elle n'est pas au rendez-vous, du moment que le récit fonctionne (je n'ai jamais été fan de l'Oulipo).
Merci Catherine.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Age : 57
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Re: La mort est un coffre vide
Merci pour la forme aérée des paragraphes, j’ai repéré une coquille page 2.
« Des cris provenant d’en haut firent retentir le rdc » ce serait plutôt « Des cris provenant d’en haut retentirent jusqu’au rdc ».
Le thème est parfaitement respecté et abordé de façon originale. L’introduction est tout de suite intrigante et captive l’intérêt. Puis le développement épaissit encore le mystère , c’est franchement bien construit. La suite a un certain côté « l’exorciste » mais sans plus, puisque tu explores une autre voie et de façon réussie. On y croit vraiment à cette petite Vera format Dr Jekyll et Mr Hyde. La fin est assez haute en couleurs, de celle que j’aime. Bref une très bonne participation.
« Des cris provenant d’en haut firent retentir le rdc » ce serait plutôt « Des cris provenant d’en haut retentirent jusqu’au rdc ».
Le thème est parfaitement respecté et abordé de façon originale. L’introduction est tout de suite intrigante et captive l’intérêt. Puis le développement épaissit encore le mystère , c’est franchement bien construit. La suite a un certain côté « l’exorciste » mais sans plus, puisque tu explores une autre voie et de façon réussie. On y croit vraiment à cette petite Vera format Dr Jekyll et Mr Hyde. La fin est assez haute en couleurs, de celle que j’aime. Bref une très bonne participation.
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
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Re: La mort est un coffre vide
Lorsque j'ai lu ton commentaire, Perro, j'ai cru que je perdais la boule ou que j'étais affecté par un phénomène de "déjà vu".
Mais, vérification effectuée, je suis rassuré. En effet, tu as déjà commenté mon texte le 2 mai dernier à 18 h 30.
Merci quand même pour ces lignes encourageantes.
Mais, vérification effectuée, je suis rassuré. En effet, tu as déjà commenté mon texte le 2 mai dernier à 18 h 30.
Merci quand même pour ces lignes encourageantes.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Date d'inscription : 02/10/2013
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Re: La mort est un coffre vide
J'ai beaucoup apprécié ce texte et son ambiance à l'ancienne comme je les aime. Tu arrives toujours aussi bien à nous plonger dans ce genre d'intrigues, avec un style maîtrisé qui s'y prête totalement.
Côtés bémols, les propos de Véra que le narrateur "rapporte tels quels" auraient à mes yeux gagné à être plutôt retranscrits par le narrateur dans ses mots à lui, car les 2 parties du texte sont d'un style vraiment semblable en l'état. Que Véra parle de manière soutenue ne me gêne pas, mais il faudrait alors vraiment trouver un moyen de démarquer ses formulations, tics, etc de ceux du narrateur. Je trouverais plus simple de simplement préciser qu'il reformule le discours à sa sauce ; et ça serait d'autant plus efficace que ce genre d'histoires fonctionne sur l’ambiguïté. On y voit rarement les faits directement, ils sont souvent rapportés ; voire rapportés par un personnage à partir du discours lui-même rapporté d'un autre personnage, ce qui permet d'accentuer encore plus l'effet de doute et donc l'ambiance mystérieuse du tout.
Un détail qui m’a fait tiqué aussi : Max et Léo se ressemblent tant que même leur mère peine à les différencier ; pourtant, le narrateur entend en page 8 la voix « reconnaissable entre mille » de Max… La ressemblance peut n’être que physique, mais le début me donnait vraiment l’impression qu’on ne pouvait pas du tout les distinguer (d’ailleurs, Véro parle à Max en croyant qu’il s’agit de Léo, elle ne remarque pas de différence dans leurs voix).
Bon, je m'attarde souvent sur les bémols, aussi insignifiants soient-ils pour la plupart, mais j'ai trouvé la lecture particulièrement plaisante malgré tout. Le thème est respecté et le mystère nous tient en haleine d'un bout à l'autre de l'histoire. Pour moi, c'est une réussite.
Côtés bémols, les propos de Véra que le narrateur "rapporte tels quels" auraient à mes yeux gagné à être plutôt retranscrits par le narrateur dans ses mots à lui, car les 2 parties du texte sont d'un style vraiment semblable en l'état. Que Véra parle de manière soutenue ne me gêne pas, mais il faudrait alors vraiment trouver un moyen de démarquer ses formulations, tics, etc de ceux du narrateur. Je trouverais plus simple de simplement préciser qu'il reformule le discours à sa sauce ; et ça serait d'autant plus efficace que ce genre d'histoires fonctionne sur l’ambiguïté. On y voit rarement les faits directement, ils sont souvent rapportés ; voire rapportés par un personnage à partir du discours lui-même rapporté d'un autre personnage, ce qui permet d'accentuer encore plus l'effet de doute et donc l'ambiance mystérieuse du tout.
- Spoiler:
- Bon, vu le final du texte, miser sur l’ambiguïté n'était vraisemblablement pas le but ici , mais je pense que l'histoire gagnerait à semer le doute au maximum avant la dernière ligne droite malgré tout
Un détail qui m’a fait tiqué aussi : Max et Léo se ressemblent tant que même leur mère peine à les différencier ; pourtant, le narrateur entend en page 8 la voix « reconnaissable entre mille » de Max… La ressemblance peut n’être que physique, mais le début me donnait vraiment l’impression qu’on ne pouvait pas du tout les distinguer (d’ailleurs, Véro parle à Max en croyant qu’il s’agit de Léo, elle ne remarque pas de différence dans leurs voix).
- Spoiler:
- Aussi, pourquoi Véra meurt-elle après avoir raconté son histoire ? Scénaristiquement parlant, le personnage avait rempli son office et pouvait disparaître du récit sans problème, mais dans les faits, j’ai eu du mal à saisir les causes de cette mort soudaine. Un arrêt cardiaque suite à une séance d’hypnose trop intense, j’aurais pu l’entendre, mais elle n’aurait alors pas craché du sang.
Bon, je m'attarde souvent sur les bémols, aussi insignifiants soient-ils pour la plupart, mais j'ai trouvé la lecture particulièrement plaisante malgré tout. Le thème est respecté et le mystère nous tient en haleine d'un bout à l'autre de l'histoire. Pour moi, c'est une réussite.
Re: La mort est un coffre vide
Murphy Myers a écrit:
les propos de Véra que le narrateur "rapporte tels quels" auraient à mes yeux gagné à être plutôt retranscrits par le narrateur dans ses mots à lui, car les 2 parties du texte sont d'un style vraiment semblable en l'état. Que Véra parle de manière soutenue ne me gêne pas, mais il faudrait alors vraiment trouver un moyen de démarquer ses formulations, tics, etc de ceux du narrateur. Je trouverais plus simple de simplement préciser qu'il reformule le discours à sa sauce ; et ça serait d'autant plus efficace que ce genre d'histoires fonctionne sur l’ambiguïté. On y voit rarement les faits directement, ils sont souvent rapportés ; voire rapportés par un personnage à partir du discours lui-même rapporté d'un autre personnage, ce qui permet d'accentuer encore plus l'effet de doute et donc l'ambiance mystérieuse du tout.
Je prends note de cette suggestion astucieuse à laquelle je n'ai pas pensé lors de la phase de rédaction.
En ce qui concerne les jumeaux, ta remarque s'avère intéressante. J'ai certes insisté sur leur ressemblance physique. Mais rien ne dit qu'ils ont exactement la même voix. De plus, à ce stade de l'histoire, il ne peut s'agir que du gamin disparu, l'autre étant chez ses grands-parents ou ses voisins (je ne sais plus).
La mort de la gamine intervient alors que sa duplicité a été révélée à tout le monde. Elle est donc "grillée", comme Mme de Merteuil à la fin des Liaisons dangereuses. C'est pourquoi je la fais mourir et de manière sanglante parce que c'est plus amusant comme ça. Cette petite peste ne méritait certainement pas une fin paisible.
Merci Murphy pour ces remarques intéressantes.
Je suis surtout ravi que tu aies apprécié mon texte.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
- Messages : 2383
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Re: La mort est un coffre vide
Salut Blahom ! : )
Dernier texte que je commente, premier dans mon classement lol
Comme d'autres, je suis très sensible au style typé des années 70 et au final, ce genre-là à toujours ma préférence quand je lis le texte d'un autre.
Tout comme Murphy, tu arrives à nous plonger dans une ambiance horrifique particulière, avec une grande maîtrise des codes et une écriture impeccable.
Il y aurait bien quelques petites choses à redire, comme l'on peut trouver à redire sur ce qui se faisait il y a cinquante ans mais perso je m'en fiche complètement, c'est le goût de l'histoire qui l'emporte.
Excellente nouvelle que j'imagine bien adaptée en film que j'aurai très certainement sélectionné au vidéo-club, à cette époque où je dévorais la section horreur. C'est vraiment agréable de retrouver dans un texte actuel le parfum de cette époque-là, ça me rend tout nostalgique lol
J'ai passé un très bon moment de lecture, merci beaucoup.
Mnémosyne- Hydre Alter-native
Disciple de la douzaine d'Eux - Messages : 1835
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Re: La mort est un coffre vide
Merci pour ce commentaire très positif, Mnémosyne.
Que tu aies apprécié le "style typé des années 70" de cette histoire est intéressant en soi dans la mesure où elle pourrait tout aussi bien se passer dans les années 80... Disons que je parlerais plutôt de parfum "vintage" puisque je ne me rappelle plus à quelle époque je situe précisément l'action. Mais cela n'est pas très important...
Je serais le premier à apprécier une version cinématographique d'une histoire de ce genre.
Encore merci à toi.
Que tu aies apprécié le "style typé des années 70" de cette histoire est intéressant en soi dans la mesure où elle pourrait tout aussi bien se passer dans les années 80... Disons que je parlerais plutôt de parfum "vintage" puisque je ne me rappelle plus à quelle époque je situe précisément l'action. Mais cela n'est pas très important...
Je serais le premier à apprécier une version cinématographique d'une histoire de ce genre.
Encore merci à toi.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
- Messages : 2383
Date d'inscription : 02/10/2013
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Localisation : Sud-Est
Re: La mort est un coffre vide
le "style typé des années 70" de cette histoire est intéressant en soi dans la mesure où elle pourrait tout aussi bien se passer dans les années 80
Oui, la frontière n'est pas toujours nette dans mon esprit, sans doute la faute à ma boulimie cinématographique désordonnée de l'époque. C'est l'impression que j'ai eu en tout cas mais bon, mes impressions... lol
Je crois que ça vient de l'absence dans ton texte du côté "rock n'roll", plus déjanté qui, toujours dans mon esprit, est davantage associé aux années 80/90 (typiquement Fright Night, Brainscan, etc, mais là en ce qui nous concerne c'est plus le délire de K, moi je préfère quand l'horreur est plus calme... x) ).
Mnémosyne- Hydre Alter-native
Disciple de la douzaine d'Eux - Messages : 1835
Date d'inscription : 14/01/2020
Age : 40
Re: La mort est un coffre vide
Mnémosyne a écrit:
Je crois que ça vient de l'absence dans ton texte du côté "rock n'roll", plus déjanté qui, toujours dans mon esprit, est davantage associé aux années 80/90 (typiquement Fright Night, Brainscan, etc, mais là en ce qui nous concerne c'est plus le délire de K, moi je préfère quand l'horreur est plus calme... x) ).
Sur ce point, tu as entièrement raison. À partir des années 80, on a eu droit à beaucoup de films d'horreur, notamment les slashers, expressément destinés aux adolescents, sur fond de musique rock, puisque c'était le style musical qui marchait.
C'est vrai que mon histoire insiste davantage sur l'atmosphère et évoque peut-être plus les films des années 70. Même si j'apprécie les années 80, j'ai toujours eu un faible pour la décennie d'avant.
Fright Night : j'adore ce film avec le regretté Roddy McDowall et l'excellent William Ragsdale.
En revanche, je ne connais pas Brainscan. Il y a bien un film ayant ce titre avec Edward Furlong mais il date de 1994.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
- Messages : 2383
Date d'inscription : 02/10/2013
Age : 57
Localisation : Sud-Est
Re: La mort est un coffre vide
Tu as une bien meilleure connaissance que moi des termes (qui fonctionne principalement par impression... lol).
Fright Night : j'adore ce film
J'en étais sûr, faut dire qu'il est génial, on n'en fait plus des comme ça, malheureusement... x)
Pour Brainscan c'est bien celui-là, oui, et il déborde sur les années 90, mais il est tellement année 80 en fait x)
Je te le conseil, même s'il est moins mature que Fright Night, c'est clair, il vaut carrément le coup d’œil quand même !
Et avec une bande son du tonnerre comme on n'en fait plus non plus ! 8D
Mnémosyne- Hydre Alter-native
Disciple de la douzaine d'Eux - Messages : 1835
Date d'inscription : 14/01/2020
Age : 40
Re: La mort est un coffre vide
Je ne connaissais pas, mais ça a l'air divertissant. Certains aspects ont un côté années 80 prononcé (l'espèce de monstre et l'extrait de la B.O.) mais les bagnoles, les vêtements et la coupe de Furlong sont définitivement nineties.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
- Messages : 2383
Date d'inscription : 02/10/2013
Age : 57
Localisation : Sud-Est
Re: La mort est un coffre vide
Oui, sans doute, mais c'est gommé par mon impression...
Mnémosyne- Hydre Alter-native
Disciple de la douzaine d'Eux - Messages : 1835
Date d'inscription : 14/01/2020
Age : 40
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