Master of Dark Puppets
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°14 : D'après images
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Re: Master of Dark Puppets
Finalement je l’ai lu tout de suite.
L’entrée dans l’histoire est aisée : l’accroche fonctionne bien et l’histoire en elle-même est intéressante. En revanche j’ai trouvé que le lien avec la photo est plutôt lointain même s’il s’agit de moines blancs et que 95% au moins de l’histoire se passe dans un édifice religieux. Mais sur ce dernier point, je vais attendre de voir comment tout le monde a perçu cette consigne pour savoir comment l’intégrer dans mon critère de classement, j’ai bien conscience que c’est assez subjectif.
Je ne suis pas fan des citations longues ou chansons dans les romans mais là, cela s’intègre bien et tu as pas mal réussi à leur donner un style bien distinct de la narration.
Les personnages auraient gagné à être un peu plus développés mais malgré tout on sait bien à qui on a à faire. Ceci dit ils ont quelques « trous ». Par exemple le père supérieur se flagelle mais je n’ai pas compris pourquoi, à moins qu’il ne s’estime responsable des déviances de sa famille, ce qui serait plutôt surprenant.
J’ai relevé des erreurs : je te détaille ça uniquement pour les premières pages :
Page 2 : Je ne suis pas spécialiste mais je croyais qu’il n’y avait qu’un seul cierge pascal par église et qu’il devait brûler sans interruption.
« De l’ouverture » ou Par l’ouverture ?
« Et un éclair… » le Et est inutile
« Tapis dans l’ombre… » Tapi
« Avant qu’il ait eu le temps de s’articuler » : tu emploies beaucoup ce verbe tout au long du récit et je ne comprends pas toujours quel sens tu lui donnes.
« face la toute-puissance’ » : il manque un à
« Dans les méandres du moine » : les méandres de la pensée du moine ?
Page 3
« …les deux frères l’emmènent dans une autre direction » : cela donne l’impression qu’ils ne respectent pas les ordres de l’abbé.
« Frère Luc tombé à cause… » : si c’est formel, il vaut mieux employer « sous le coup des forces… »
« …s’exclama l’abbé, leva ses bras et se volta » : il faut couper la phrase pour éviter la succession de verbes.
Firent vœu de silence
Rompe ce vœu : recueillement plus approprié
Page 4
L’esclandre au repas ne s’intègre pas dans le récit, même avec les excuses que Frère Pascal vient faire plus tard
« donner la messe » puis « la messe se donnait » répétition
Page 5
« Avaient passé », le passé simple est plus adapté
« roulait au pas dû » : en raison de plutôt que dû
Il y a une bonne base, un bon scénario et il y a des fautes mais cela se corrige avec la pratique, on est tous passés par là, sauf les admins qui sont des êtres d’exception. En revanche l’ensemble laisse un goût d’inachevé et c’est dommage car l’histoire a du potentiel et son déroulement est bien logique et possède un bon équilibre. Comme l’a dit Murphy, il y a un réel problème avec la fin.
L’idéal quand on écrit une histoire c’est de laisser poser une à deux semaines et de relire, ainsi on voit mieux toutes les faiblesses qu’il est alors possible de corriger
L’entrée dans l’histoire est aisée : l’accroche fonctionne bien et l’histoire en elle-même est intéressante. En revanche j’ai trouvé que le lien avec la photo est plutôt lointain même s’il s’agit de moines blancs et que 95% au moins de l’histoire se passe dans un édifice religieux. Mais sur ce dernier point, je vais attendre de voir comment tout le monde a perçu cette consigne pour savoir comment l’intégrer dans mon critère de classement, j’ai bien conscience que c’est assez subjectif.
Je ne suis pas fan des citations longues ou chansons dans les romans mais là, cela s’intègre bien et tu as pas mal réussi à leur donner un style bien distinct de la narration.
Les personnages auraient gagné à être un peu plus développés mais malgré tout on sait bien à qui on a à faire. Ceci dit ils ont quelques « trous ». Par exemple le père supérieur se flagelle mais je n’ai pas compris pourquoi, à moins qu’il ne s’estime responsable des déviances de sa famille, ce qui serait plutôt surprenant.
J’ai relevé des erreurs : je te détaille ça uniquement pour les premières pages :
Page 2 : Je ne suis pas spécialiste mais je croyais qu’il n’y avait qu’un seul cierge pascal par église et qu’il devait brûler sans interruption.
« De l’ouverture » ou Par l’ouverture ?
« Et un éclair… » le Et est inutile
« Tapis dans l’ombre… » Tapi
« Avant qu’il ait eu le temps de s’articuler » : tu emploies beaucoup ce verbe tout au long du récit et je ne comprends pas toujours quel sens tu lui donnes.
« face la toute-puissance’ » : il manque un à
« Dans les méandres du moine » : les méandres de la pensée du moine ?
Page 3
« …les deux frères l’emmènent dans une autre direction » : cela donne l’impression qu’ils ne respectent pas les ordres de l’abbé.
« Frère Luc tombé à cause… » : si c’est formel, il vaut mieux employer « sous le coup des forces… »
« …s’exclama l’abbé, leva ses bras et se volta » : il faut couper la phrase pour éviter la succession de verbes.
Firent vœu de silence
Rompe ce vœu : recueillement plus approprié
Page 4
L’esclandre au repas ne s’intègre pas dans le récit, même avec les excuses que Frère Pascal vient faire plus tard
« donner la messe » puis « la messe se donnait » répétition
Page 5
« Avaient passé », le passé simple est plus adapté
« roulait au pas dû » : en raison de plutôt que dû
Il y a une bonne base, un bon scénario et il y a des fautes mais cela se corrige avec la pratique, on est tous passés par là, sauf les admins qui sont des êtres d’exception. En revanche l’ensemble laisse un goût d’inachevé et c’est dommage car l’histoire a du potentiel et son déroulement est bien logique et possède un bon équilibre. Comme l’a dit Murphy, il y a un réel problème avec la fin.
L’idéal quand on écrit une histoire c’est de laisser poser une à deux semaines et de relire, ainsi on voit mieux toutes les faiblesses qu’il est alors possible de corriger
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
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Re: Master of Dark Puppets
Salut Perroccina : "Wouahou !", je ne sais pas vraiment quoi te répondre. Or ton retour m'a fait très chaud au cœur ! Je n'ai pas osé le lire on me l'a gentiment dicté et, après lecture, j'ai été plutôt surpris, même ravi. Merci !
Ah, les fautes... Grrrr ! En tout cas, merci pour ta lecture
Ah, les fautes... Grrrr ! En tout cas, merci pour ta lecture
Petit-Carmin- ---Double-Posteur Frénétique--- Disciple du Grand Dess(e)in
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Re: Master of Dark Puppets
J'ai profité d'un moment de liberté pour lire cette histoire. Comme tout le monde le sait, je suis très friand de récits d'horreur satanique (et de films du même acabit). Pourtant, je mentirais si je prétendais avoir été enthousiasmé par cette nouvelle, pourtant joliment présentée et pleine de références à Metallica, groupe que j'adorais dans les années 80.
Ce qui m'a le plus gêné, pour ne pas dire perturbé, c'est l'abondance de fautes et de maladresses. Étant très sensible à la forme, il m'est de plus en plus difficile de faire abstraction des tournures fautives. En effet, celles-ci me font perdre de vue le fond proprement dit.
J'ai réalisé un relevé (non exhaustif) de coquilles diverses et variées :
Page 3 :
« Il fut secouru par ses congénères » Le terme « coreligionnaires » me semble plus approprié.
« je n’ai rin pu faire » Rien.
« de l’apporter dans l’infirmerie » De l'emmener, de le transporter. Le verbe « apporter » s'applique plutôt à un objet.
« Frère Luc était le plus téméraires » Téméraire.
« et furent vœu de silence » Firent. Sans oublier le point en fin de phrase.
Page 4 :
«Le visage de Joseph rougit et ses yeux s’imbibèrent de larmes et il partit sans ajouter mot. » La répétition de la conjonction « et » alourdit la phrase.
« Ce n’est qu’une fois l’arrêt de cette sonnerie qu’un bruit sec se répéta en rythme. » Je ne comprends pas le sens de cette phrase.
Page 5 :
«Quelques jours avaient passés » Avaient passé.
« une Peugeot 104 roulait au pas dû à l’épais brouillard » À cause de...
«Son arrogance le dirigea vers le coffre de sa voiture et l’ouvrit. » Quel est le sujet du verbe « ouvrir » ?
«cela ravis les cœurs de chacun. » Ravit.
« Bien qu’agacé du cadre » ?????
«sa verste en cuir » Veste.
« une vielle armoire » Vieille.
«sortit le 3 mars 1986 » Sorti.
Page 7 :
« Et frère Pascal entra pour se faire pardonner de s’être apporter l’autre jour. » S'être emporté.
« et devinrent aussi dur » Durs.
«à plein poumon » À pleins poumons.
« Une personne vêtue de blanc, qu’il n’avait jamais vu » Vue.
Page 8 :
« Nerval s’empara alors instant de son corps » ????????????
« des mains crochues sortirent du la terre. » De la terre.
Page 11 :
« de son manuscrit s’échappa des montres » S'échappèrent des monstres.
Page 12 :
« je suis d’accord pour vous essayer d'arrêter mon grand-père » ?????????
«et ses yeux pétillèrent de joies. » De joie.
« Jérémy trouva ça plutôt cool » Le terme « cool » détonne.
Page 13 :
« sa gueule dragonesque » Dragonesque ? S'agit-il d'un néologisme ?
« sur le cloché » Le clocher.
«le seau magique » Le sceau.
Une fois ces fautes corrigées, on obtient une histoire qui pourrait fonctionner en tant que récit d'action mais qui n'en manque pas moins d'éléments franchement horrifiques et glaçants. Une histoire impliquant des démons possédant des vivants devrait être terrifiante (cf. L'Exorciste).
Comme le faisait remarquer Murphy, l'autre problème de ce texte est qu'il dit davantage qu'il ne montre (cf. le fameux "Show don’t tell" cher à Stephen King et à Paladin).
Ce qui m'a le plus gêné, pour ne pas dire perturbé, c'est l'abondance de fautes et de maladresses. Étant très sensible à la forme, il m'est de plus en plus difficile de faire abstraction des tournures fautives. En effet, celles-ci me font perdre de vue le fond proprement dit.
J'ai réalisé un relevé (non exhaustif) de coquilles diverses et variées :
Page 3 :
« Il fut secouru par ses congénères » Le terme « coreligionnaires » me semble plus approprié.
« je n’ai rin pu faire » Rien.
« de l’apporter dans l’infirmerie » De l'emmener, de le transporter. Le verbe « apporter » s'applique plutôt à un objet.
« Frère Luc était le plus téméraires » Téméraire.
« et furent vœu de silence » Firent. Sans oublier le point en fin de phrase.
Page 4 :
«Le visage de Joseph rougit et ses yeux s’imbibèrent de larmes et il partit sans ajouter mot. » La répétition de la conjonction « et » alourdit la phrase.
« Ce n’est qu’une fois l’arrêt de cette sonnerie qu’un bruit sec se répéta en rythme. » Je ne comprends pas le sens de cette phrase.
Page 5 :
«Quelques jours avaient passés » Avaient passé.
« une Peugeot 104 roulait au pas dû à l’épais brouillard » À cause de...
«Son arrogance le dirigea vers le coffre de sa voiture et l’ouvrit. » Quel est le sujet du verbe « ouvrir » ?
«cela ravis les cœurs de chacun. » Ravit.
« Bien qu’agacé du cadre » ?????
«sa verste en cuir » Veste.
« une vielle armoire » Vieille.
«sortit le 3 mars 1986 » Sorti.
Page 7 :
« Et frère Pascal entra pour se faire pardonner de s’être apporter l’autre jour. » S'être emporté.
« et devinrent aussi dur » Durs.
«à plein poumon » À pleins poumons.
« Une personne vêtue de blanc, qu’il n’avait jamais vu » Vue.
Page 8 :
« Nerval s’empara alors instant de son corps » ????????????
« des mains crochues sortirent du la terre. » De la terre.
Page 11 :
« de son manuscrit s’échappa des montres » S'échappèrent des monstres.
Page 12 :
« je suis d’accord pour vous essayer d'arrêter mon grand-père » ?????????
«et ses yeux pétillèrent de joies. » De joie.
« Jérémy trouva ça plutôt cool » Le terme « cool » détonne.
Page 13 :
« sa gueule dragonesque » Dragonesque ? S'agit-il d'un néologisme ?
« sur le cloché » Le clocher.
«le seau magique » Le sceau.
Une fois ces fautes corrigées, on obtient une histoire qui pourrait fonctionner en tant que récit d'action mais qui n'en manque pas moins d'éléments franchement horrifiques et glaçants. Une histoire impliquant des démons possédant des vivants devrait être terrifiante (cf. L'Exorciste).
Comme le faisait remarquer Murphy, l'autre problème de ce texte est qu'il dit davantage qu'il ne montre (cf. le fameux "Show don’t tell" cher à Stephen King et à Paladin).
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Re: Master of Dark Puppets
Mince, mais avec du recul, je l'ai écrite avec tellement d'entrain et un brin d'humour, voire enthousiasmé de folie que finalement, ça fait un nanar du genre les films des années 80 censés faire peur. Ceux avec l'hémoglobine faussement exagérée comme la franchise, visualisés quand j'avais 12 ans, Evil Dead I, II, III : (L''Armée Des Ténèbres and co).
Mince alors ! Encore et toujours de fautes, vraiment navrée...
Mince alors ! Encore et toujours de fautes, vraiment navrée...
Petit-Carmin- ---Double-Posteur Frénétique--- Disciple du Grand Dess(e)in
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Re: Master of Dark Puppets
Bonsoir Petit-Carmin.
Des bonnes choses comme une volonté de soigner une ambiance d'enfermement autour d'une religion ou plutôt de cultes poussés à un paroxysme déroutant. Ce genre de tensions peut pervertir les âmes, en particulier celle du maître des marionnettes - mais je n'ai pas bien compris s'il faisait partie des moines ou pas ; s'il était le grand-père de Jeremy...
Le problème pour moi serait la caractérisation des personnages. Je me suis embrouillée, oubliant les noms des moines et leurs rôles.
Et les différentes "fautes", mots bizarres (il s'articule ? par exemple)... relevés par Blahom, Perro.
La construction ne m'apparait pas servir ton idée et les personnages car tu mêles plusieurs moments ensemble alors qu'ils ne le devraient pas.
En première partie (Verset 1) : tu aurais dû développer plus le personnage adepte du mal (l'homme vêtu d'une cape vermeille) sur plusieurs pages avant l'élément déclencheur du début (le démon introduit dans la chapelle, tuant le frère Luc) réservant ce dernier pour le milieu du texte.
En deuxième partie, montrer la vie au monastère, les caractères de chacun des moines, leur histoire pour qu'on puisse s'y attacher un peu...
Seulement en troisième partie commencer à décrire des phénomènes anormaux surgissant à l'improviste, puis ce démon invoqué par "le maître des marionnettes". La mort de frère Luc.
Ensuite s'attarder sur Jeremy, la demande de l'abbé Mole, sa venue auprès des moines...
En dernier, la résolution du problème.
Voilà, sinon, oui il y a du progrès.
Des bonnes choses comme une volonté de soigner une ambiance d'enfermement autour d'une religion ou plutôt de cultes poussés à un paroxysme déroutant. Ce genre de tensions peut pervertir les âmes, en particulier celle du maître des marionnettes - mais je n'ai pas bien compris s'il faisait partie des moines ou pas ; s'il était le grand-père de Jeremy...
Le problème pour moi serait la caractérisation des personnages. Je me suis embrouillée, oubliant les noms des moines et leurs rôles.
Et les différentes "fautes", mots bizarres (il s'articule ? par exemple)... relevés par Blahom, Perro.
La construction ne m'apparait pas servir ton idée et les personnages car tu mêles plusieurs moments ensemble alors qu'ils ne le devraient pas.
En première partie (Verset 1) : tu aurais dû développer plus le personnage adepte du mal (l'homme vêtu d'une cape vermeille) sur plusieurs pages avant l'élément déclencheur du début (le démon introduit dans la chapelle, tuant le frère Luc) réservant ce dernier pour le milieu du texte.
En deuxième partie, montrer la vie au monastère, les caractères de chacun des moines, leur histoire pour qu'on puisse s'y attacher un peu...
Seulement en troisième partie commencer à décrire des phénomènes anormaux surgissant à l'improviste, puis ce démon invoqué par "le maître des marionnettes". La mort de frère Luc.
Ensuite s'attarder sur Jeremy, la demande de l'abbé Mole, sa venue auprès des moines...
En dernier, la résolution du problème.
Voilà, sinon, oui il y a du progrès.
Re: Master of Dark Puppets
Merci Francoise, Arf, c'est pas simple l'écriture... En fait, je crois que je n'arrive pas à trouver un style adéquat. Ou peut-être que ce thème n'était pas le meilleur pour affirmer cela... --'
Petit-Carmin- ---Double-Posteur Frénétique--- Disciple du Grand Dess(e)in
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Re: Master of Dark Puppets
Petit-Carmin,
Je viens de lire ton histoire (enfin ). Je ne vais pas m'attarder sur les fautes. D'un parce que j'ai le même problème et de deux parce que d'autres le ferons mieux que moi.
Ton histoire est bien meilleure que la précédente. Le fait que tu te sois précipité et le nombre de personnage doivent être des raisons qui font que ton texte est un peu difficile a suivre par moment. Bravo pour la progression dans ton écriture. Ne lâche rien et si tu prends en compte les conseils qui te seront donné ici, tu progressera encore d'avantage.
Je viens de lire ton histoire (enfin ). Je ne vais pas m'attarder sur les fautes. D'un parce que j'ai le même problème et de deux parce que d'autres le ferons mieux que moi.
Ton histoire est bien meilleure que la précédente. Le fait que tu te sois précipité et le nombre de personnage doivent être des raisons qui font que ton texte est un peu difficile a suivre par moment. Bravo pour la progression dans ton écriture. Ne lâche rien et si tu prends en compte les conseils qui te seront donné ici, tu progressera encore d'avantage.
kalcidian- —Couteau Suisse des arts — Disciple des mystères mystérieux
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Localisation : Toulouse
Re: Master of Dark Puppets
Effectivement tu progresses, et c'est pour toi le point à retenir. Bien sûr, tu as encore une énorme marge de progression, mais on voit les avancées.
Personnellement, je suis très réticente aux récits de possessions ou mettant en scène des éléments religieux du christianisme. Ça ne m'a pas aidé à entrer dans ton texte.
Au-delà de ça, ça fourmille encore de maladresses diverses et de phrases maladroites, et si c'est mieux qu'avant, ça n'empêche que ça doit être signalé.
Les personnages sont un peu creux, il faudrait parvenir à les caractériser plus. De plus, ils sont un peu nombreux pour une nouvelle. Dis-toi que dans un texte court (une nouvelle donc), le nombre de personnages doit être restreint.
La fin est un peu expédiée :
Au niveau du respect de l'image, je pense que c'est respecté. Des moines me semblent correspondre à ce qu'on voit.
Personnellement, je suis très réticente aux récits de possessions ou mettant en scène des éléments religieux du christianisme. Ça ne m'a pas aidé à entrer dans ton texte.
Au-delà de ça, ça fourmille encore de maladresses diverses et de phrases maladroites, et si c'est mieux qu'avant, ça n'empêche que ça doit être signalé.
Les personnages sont un peu creux, il faudrait parvenir à les caractériser plus. De plus, ils sont un peu nombreux pour une nouvelle. Dis-toi que dans un texte court (une nouvelle donc), le nombre de personnages doit être restreint.
La fin est un peu expédiée :
- Spoiler:
- Ils ont fui, mais ils reviendront pour lutter. L'impression que tu as mal géré le nombre de caractères maximum et qu'arrivé au bout, tu as plaqué une phrase de conclusion vite fait pour terminer le texte. Et ça ne clôture donc pas bien ton histoire.
Au niveau du respect de l'image, je pense que c'est respecté. Des moines me semblent correspondre à ce qu'on voit.
Re: Master of Dark Puppets
Salut Catherine.
Oui j'ai fait des progrès, mais pas assez, hélas. Le prochain, concours sera un autre Petit-Carmin. Je ferais également par d'une plus grande vigilance pour l'orthographe et autre profondeurs...
En fait, je voulais en faire une petite nouvelle. Cela dit, je me suis encore éparpillé avec tous ses personnages, mouarf. Par conséquent, la prochaine se focalisera sur un ou deux personnages seulement.
Merci également Kalcidian pour ta lecture,
Oui j'ai fait des progrès, mais pas assez, hélas. Le prochain, concours sera un autre Petit-Carmin. Je ferais également par d'une plus grande vigilance pour l'orthographe et autre profondeurs...
En fait, je voulais en faire une petite nouvelle. Cela dit, je me suis encore éparpillé avec tous ses personnages, mouarf. Par conséquent, la prochaine se focalisera sur un ou deux personnages seulement.
Merci également Kalcidian pour ta lecture,
Petit-Carmin- ---Double-Posteur Frénétique--- Disciple du Grand Dess(e)in
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Re: Master of Dark Puppets
Je ressors un peu dubitatif de mes lectures, tout en étant un brin interloqué, et passablement séduit par la dose de second degré que je crois deviner au travers de ces lignes.
Ce n'est pas clairement une parodie (encore que l'abbé Mole, hein.) Pourtant, tout est si grandiloquent, les dialogues, les situations, c'est too much très vite et longtemps. Tu oses beaucoup de choses. Les incantations, les interventions surnaturelles incroyables, les chants d'exorcisme, tout ça fait un peu toc en 2019. Mais toi, tu fonces. Je respecte. Je pense que j'aurai davantage apprécié cette façon ultra Z de voir le satanisme sur un écran. Pas pour me moquer, je suis au-delà de la moquerie, j'aime vraiment le ciné bis avec interprétation surjouée, effets spéciaux en mousse et méchants de pacotille. Disons que par écrit, c'est pas pareil. Il m'a manqué quelque chose, un ton, une finalité, peut-être.
Ton méchant me semble de pacotille. Pourquoi ? Parce qu'il est sans nuance, totalement démoniaque, et son seul objectif semble d'être le maître du monde.
L'hommage affiché et plus qu'évident à la célèbre chanson des Mets apporte un quelque chose de très eighties, forcément, ce qui de ce fait appuie l'hommage au cinéma bis de la même époque. De ce point de vue, je vois une belle cohérence.
Autant j'ai apprécie le côté déliant de l'ensemble, et la rigueur de la construction, autant je reste un peu en retrait par rapport aux émotions. Que voulais-tu faire ? Amuser ? Faire peur ? Un peu des deux, à la façon des films des eighties, justement. Ou juste rendre un hommage sans trop trahir ton matériau de base, à savoir la chanson des Mets ? Si je devais répondre, ce serait plutôt la 3ème option.
L'histoire du jeune à l'âme pure est un peu trop vite expédiée, au profit d'un combat entre entités surnaturelles. J'aurais aimé mieux connaître ce personnage, et les liens particuliers qu'il doit entretenir avec son maléfique grand-père. Ne serait-ce que pour créer une base dramatique solide.
Je ne reviendrai pas sur les remarques qui ont été faites sur la forme. L'orthographe pêche encore un peu, certaines tournures de phrases paraissent étranges, mais honnêtement, c'est très lisible.
Enfin, le gros point faible du récit : le dénouement. Cette façon de l'expédier en quelques lignes façon "to be continued..." laisse augurer un récit plus long, alors que tu aurais sans doute pu limiter ton intrigue dans les limites du concours. Tu avais la matière, je pense.
En tout cas, bravo pour avoir osé !
Ce n'est pas clairement une parodie (encore que l'abbé Mole, hein.) Pourtant, tout est si grandiloquent, les dialogues, les situations, c'est too much très vite et longtemps. Tu oses beaucoup de choses. Les incantations, les interventions surnaturelles incroyables, les chants d'exorcisme, tout ça fait un peu toc en 2019. Mais toi, tu fonces. Je respecte. Je pense que j'aurai davantage apprécié cette façon ultra Z de voir le satanisme sur un écran. Pas pour me moquer, je suis au-delà de la moquerie, j'aime vraiment le ciné bis avec interprétation surjouée, effets spéciaux en mousse et méchants de pacotille. Disons que par écrit, c'est pas pareil. Il m'a manqué quelque chose, un ton, une finalité, peut-être.
Ton méchant me semble de pacotille. Pourquoi ? Parce qu'il est sans nuance, totalement démoniaque, et son seul objectif semble d'être le maître du monde.
L'hommage affiché et plus qu'évident à la célèbre chanson des Mets apporte un quelque chose de très eighties, forcément, ce qui de ce fait appuie l'hommage au cinéma bis de la même époque. De ce point de vue, je vois une belle cohérence.
Autant j'ai apprécie le côté déliant de l'ensemble, et la rigueur de la construction, autant je reste un peu en retrait par rapport aux émotions. Que voulais-tu faire ? Amuser ? Faire peur ? Un peu des deux, à la façon des films des eighties, justement. Ou juste rendre un hommage sans trop trahir ton matériau de base, à savoir la chanson des Mets ? Si je devais répondre, ce serait plutôt la 3ème option.
L'histoire du jeune à l'âme pure est un peu trop vite expédiée, au profit d'un combat entre entités surnaturelles. J'aurais aimé mieux connaître ce personnage, et les liens particuliers qu'il doit entretenir avec son maléfique grand-père. Ne serait-ce que pour créer une base dramatique solide.
Je ne reviendrai pas sur les remarques qui ont été faites sur la forme. L'orthographe pêche encore un peu, certaines tournures de phrases paraissent étranges, mais honnêtement, c'est très lisible.
Enfin, le gros point faible du récit : le dénouement. Cette façon de l'expédier en quelques lignes façon "to be continued..." laisse augurer un récit plus long, alors que tu aurais sans doute pu limiter ton intrigue dans les limites du concours. Tu avais la matière, je pense.
En tout cas, bravo pour avoir osé !
Re: Master of Dark Puppets
Merci Cancer ! Ton commentaire me touche, oui tu as bien vu sur toute la ligne. Cependant, j'ai été trop pressé, hélas. Je le reprendrai ultérieurement.
Petit-Carmin- ---Double-Posteur Frénétique--- Disciple du Grand Dess(e)in
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Re: Master of Dark Puppets
Effectivement Petit-Carmin, il y a un contenu vaste et grandiloquent dans ce récit. En plus des fautes déjà relevées, fais attention aux répétitions, au début par exemple 8 fois "frère Luc" d'affilé, dans chacune des phrases qui se suivent. La traque des répétitions permet de chercher à enrichir son écrit, il faut le garder à l'esprit.
L'histoire n'est pas loin d'être sympa, tu disposes de nombreux personnages, d'un passé derrière certains d'entre eux dans lequel tu puises des motivations et une origine aux événements qui se déroulent. Le format des nouvelles est idéal pour apprendre à maîtriser son écriture, mais ça viendra au fur et à mesure. Tu avais trop de choses à dire, à présenter. Et donc ça reste brouillon, et non conclus. N'hésite pas à retravailler ton récit pour l'améliorer. C'est aussi ce qui permet de progresser, et de devenir plus incisif. Bravo à toi en tout cas...
L'histoire n'est pas loin d'être sympa, tu disposes de nombreux personnages, d'un passé derrière certains d'entre eux dans lequel tu puises des motivations et une origine aux événements qui se déroulent. Le format des nouvelles est idéal pour apprendre à maîtriser son écriture, mais ça viendra au fur et à mesure. Tu avais trop de choses à dire, à présenter. Et donc ça reste brouillon, et non conclus. N'hésite pas à retravailler ton récit pour l'améliorer. C'est aussi ce qui permet de progresser, et de devenir plus incisif. Bravo à toi en tout cas...
Re: Master of Dark Puppets
Merci pour ta lecture, Paulux ! Ton commentaire me va aussi droit au cœur. La prochaine, je ferais une nouvelle plus concise et plus aboutie.
Petit-Carmin- ---Double-Posteur Frénétique--- Disciple du Grand Dess(e)in
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Re: Master of Dark Puppets
J'ai eu du mal à le lire entièrement, peut-être n'étais-je pas dans de bonnes conditions, mais j'ai trouvé la narration assez poussive, et les dialogues peu naturels. Mais il y a par moment des fulgurances : les litanies des démons en sont une, parce que la forme poétique alors n'a plus besoin d'être réaliste... Dommage que le côté "rap/slam" gâche un peu. On a l'impression que les démons vont parler en verlan.
Donc, je n'ai pas trop accroché, mais moi aussi je constate que tu progresses, et qu'il y a de bonne choses par moment dans ton texte.
Donc, je n'ai pas trop accroché, mais moi aussi je constate que tu progresses, et qu'il y a de bonne choses par moment dans ton texte.
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