ENTRE NOUS
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: N°11 : Classique revu à la sauce SFFF
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Re: ENTRE NOUS
Merci Mormir pour ton commentaire
Cela me fait très plaisir d'avoir réussi ce pari-là : utiliser l'univers du GM un peu à ma sauce, sans pour autant tout mettre sens dessus dessous...
J'entends que le texte a une atmosphère envoûtante qui colle à ce que je voulais faire; donc je suis plutôt contente
Cela me fait très plaisir d'avoir réussi ce pari-là : utiliser l'univers du GM un peu à ma sauce, sans pour autant tout mettre sens dessus dessous...
J'entends que le texte a une atmosphère envoûtante qui colle à ce que je voulais faire; donc je suis plutôt contente
Re: ENTRE NOUS
Comme le texte de Nao, je connais pas le roman, du coup je suis sûrement passé à côté de plein de trucs...
Mais je me range aux côtés de mes camarades pour l'aspect onirique, vraiment réussi. Tu installes une belle atmosphère, empreinte de mystère et d'intemporalité, qui sans verser dans le fantastique pur, apporte néanmoins un joli relief à cette partie du récit.
Après, il y a juste un truc qui m'a légèrement gêné dans ce texte : la plume est bonne, aucun soucis, mais j'ai trouvé les dialogues et plus particulièrement le vocabulaire utilisé par les deux amis pas vraiment en adéquation ni avec leurs âges respectifs ni le ton du dialogue. On est souvent, dans le style narratif pur et parfois avec des constructions un peu (trop) alambiquées...
Souviens-toi que ce sont des ados de notre époque. Ils ne vivent pas en 1860. Je cite juste un passage, pour l'exemple :
"Ma mère m’avait laissé le long de la départementale D616 (pas besoin de préciser ici "la départementale", puisque "D616" fait déjà référence au type de route dont il s'agit)et
me récupérerait à la maison du parc à Piney deux heures plus tard… Je me mis à
trottiner sur le chemin forestier quand des enfants qui sortaient du sous-bois arrivèrent
dans ma direction ("lorsque je croisai des gamins"?). Je cessai ma course, me cachant (je "stoppai"?). Imagine ma surprise (tu vois vraiment un ado dire à un autre "imagine ma surprise" ? lol désolé mais dans mon esprit, je vois plus Dédé l'ancien du village avec son ami à la barbiche usée) : en plein
hiver, que faisaient -ils là ? Ils ne semblaient pas m’avoir repéré, ni avoir très froid. Je
trouvai que l’air était particulièrement doux. Je me débarrassai de mon bonnet de laine
en les regardant passer. Ils se tenaient par la main en chantant à tue-tête des comptines
anciennes. (là, pareil : "chanter à tue-tête", c'est pas une expression qu'on va facilement entendre sortir de la bouche d'un ado ou d'un jeune adulte... je crois que même moi, je m'en suis jamais servi à l'oral lol quant au bonnet de laine plus haut, désolé, mais je vois encore ce bon vieux Dédé !)"
Bref, ce n'est peut-être qu'un étrange ressenti perso, mais j'ai eu du mal à appréhender ces jeunes hommes s'exprimant comme des seniors se racontant leurs souvenirs de jeunesse. Ce décalage m'a déconcerté et m'a vraiment empêché par moments de rentrer dans ton texte...
Au point que même en ancrant celui-ci dès le début à notre époque, j'ai souvent eu des doutes. J'avais plutôt l'impression de me retrouver au XIXe siècle. Et pourtant, tu fais référence plus loin à un message sms: là j'avoue, j'ai été complètement largué
Peut-être t'es-tu un peu trop fait influencer par le contexte, le cadre et le style du roman, pour réussir à le transposer à notre époque, je sais pas...
C'est d'autant plus dommage qu'en ancrant ce texte davantage dans notre époque (aussi bien par le style que par les petites choses du quotidien), tu aurais accentué encore plus le décalage entre celle-ci et l'entre-deux indéfini de l'escapade de ton personnage autour du château.
Cela aurait certainement apporté une nouvelle plus-value à ce passage et renforcé son caractère fantasmatique : a-t-il vraiment rêvé tout ça, où se trouve la frontière entre le réel et le rêve... ? (bon, on sait bien qu'il a vécu tout ça, mais ça aurait quand même renforcé tout cet aspect de ton intrigue).
Bref, comme tu peux le voir, ce point m'a un peu posé problème et m'a empêché de me plonger complètement dans ton texte (mais peut-être était-ce intentionnel ?).
Hormis ce point, j'ai quand même passé un bon moment et comme je le disais plus haut, tu as réussi à créer une belle atmosphère. Pour le reste, il me manque aussi peut-être des éléments pour juger, ne connaissant pas le roman de base...
Une très sympathique participation, néanmoins.
Mais je me range aux côtés de mes camarades pour l'aspect onirique, vraiment réussi. Tu installes une belle atmosphère, empreinte de mystère et d'intemporalité, qui sans verser dans le fantastique pur, apporte néanmoins un joli relief à cette partie du récit.
Après, il y a juste un truc qui m'a légèrement gêné dans ce texte : la plume est bonne, aucun soucis, mais j'ai trouvé les dialogues et plus particulièrement le vocabulaire utilisé par les deux amis pas vraiment en adéquation ni avec leurs âges respectifs ni le ton du dialogue. On est souvent, dans le style narratif pur et parfois avec des constructions un peu (trop) alambiquées...
Souviens-toi que ce sont des ados de notre époque. Ils ne vivent pas en 1860. Je cite juste un passage, pour l'exemple :
"Ma mère m’avait laissé le long de la départementale D616 (pas besoin de préciser ici "la départementale", puisque "D616" fait déjà référence au type de route dont il s'agit)et
me récupérerait à la maison du parc à Piney deux heures plus tard… Je me mis à
trottiner sur le chemin forestier quand des enfants qui sortaient du sous-bois arrivèrent
dans ma direction ("lorsque je croisai des gamins"?). Je cessai ma course, me cachant (je "stoppai"?). Imagine ma surprise (tu vois vraiment un ado dire à un autre "imagine ma surprise" ? lol désolé mais dans mon esprit, je vois plus Dédé l'ancien du village avec son ami à la barbiche usée) : en plein
hiver, que faisaient -ils là ? Ils ne semblaient pas m’avoir repéré, ni avoir très froid. Je
trouvai que l’air était particulièrement doux. Je me débarrassai de mon bonnet de laine
en les regardant passer. Ils se tenaient par la main en chantant à tue-tête des comptines
anciennes. (là, pareil : "chanter à tue-tête", c'est pas une expression qu'on va facilement entendre sortir de la bouche d'un ado ou d'un jeune adulte... je crois que même moi, je m'en suis jamais servi à l'oral lol quant au bonnet de laine plus haut, désolé, mais je vois encore ce bon vieux Dédé !)"
Bref, ce n'est peut-être qu'un étrange ressenti perso, mais j'ai eu du mal à appréhender ces jeunes hommes s'exprimant comme des seniors se racontant leurs souvenirs de jeunesse. Ce décalage m'a déconcerté et m'a vraiment empêché par moments de rentrer dans ton texte...
Au point que même en ancrant celui-ci dès le début à notre époque, j'ai souvent eu des doutes. J'avais plutôt l'impression de me retrouver au XIXe siècle. Et pourtant, tu fais référence plus loin à un message sms: là j'avoue, j'ai été complètement largué
Peut-être t'es-tu un peu trop fait influencer par le contexte, le cadre et le style du roman, pour réussir à le transposer à notre époque, je sais pas...
C'est d'autant plus dommage qu'en ancrant ce texte davantage dans notre époque (aussi bien par le style que par les petites choses du quotidien), tu aurais accentué encore plus le décalage entre celle-ci et l'entre-deux indéfini de l'escapade de ton personnage autour du château.
Cela aurait certainement apporté une nouvelle plus-value à ce passage et renforcé son caractère fantasmatique : a-t-il vraiment rêvé tout ça, où se trouve la frontière entre le réel et le rêve... ? (bon, on sait bien qu'il a vécu tout ça, mais ça aurait quand même renforcé tout cet aspect de ton intrigue).
Bref, comme tu peux le voir, ce point m'a un peu posé problème et m'a empêché de me plonger complètement dans ton texte (mais peut-être était-ce intentionnel ?).
Hormis ce point, j'ai quand même passé un bon moment et comme je le disais plus haut, tu as réussi à créer une belle atmosphère. Pour le reste, il me manque aussi peut-être des éléments pour juger, ne connaissant pas le roman de base...
Une très sympathique participation, néanmoins.
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: ENTRE NOUS
Merci pour ta lecture et tes impressions.
En fait, le narrateur a plus de 30 ans et se souvient de cette histoire arrivée pendant son adolescence. Il tient un journal, ce qui explique son langage peu en adéquation avec celui d'un ado...
Dans le texte d'origine, c'est également ainsi. Il relate (l'ami du Grand Meaulnes) ses souvenirs puisqu'à la fin il est déjà adulte.
Tu as raison pour ancrer plus à notre époque avec des détails (peut-être une actualité, je sais pas, mais je n'y ai pas pensé...).
Je verrai en le relisant si j'ai des idées à ce sujet.
En fait, le narrateur a plus de 30 ans et se souvient de cette histoire arrivée pendant son adolescence. Il tient un journal, ce qui explique son langage peu en adéquation avec celui d'un ado...
Dans le texte d'origine, c'est également ainsi. Il relate (l'ami du Grand Meaulnes) ses souvenirs puisqu'à la fin il est déjà adulte.
Tu as raison pour ancrer plus à notre époque avec des détails (peut-être une actualité, je sais pas, mais je n'y ai pas pensé...).
Je verrai en le relisant si j'ai des idées à ce sujet.
Re: ENTRE NOUS
Tak a écrit:
"Ma mère m’avait laissé le long de la départementale D616 (pas besoin de préciser ici "la départementale", puisque "D616" fait déjà référence au type de route dont il s'agit)
Moi, au contraire, je dirais simplement "la départementale", sans préciser le numéro, inutile...
Pour les expressions comme "imagine ma surprise" ou "Chanter à tue-tête", il faut savoir à quelle époque vit le narrateur. En fait, j'ai oublié si l'histoire de Françoise se passe de nos jours (Dans ce cas, en effet, il y aurait décalage) ou si elle se passa à l'époque où Alain Fournier a écrit Le Grand Meaulnes, c'est à dire en 1913. Si c'est le cas, il est normal qu'il parle comme ça, le décalage serait qu'il dise "La vérité, comment j'ai été trop surpris! "
Re: ENTRE NOUS
C'est vrai que ce détail du numéro de départementale est franchement inutile !
En ce qui concerne l'ancrage temporel, j'ai imaginé que ça se passait dans les années 80 pour la rencontre au lycée... puisque à l'époque du Grand Meaulnes, il y avait encore le certificat d'études et pas le BAC pour entrer dans le professorat ensuite.
À part ça, j'ai gardé le passage atemporel du château en insistant sur les vêtements vieillots, les carcasses de vieilles voitures ou chansons d'antan car je voulais qu'il y ait un décalage avec le moment réel (apparemment raté ; ou pas assez accentué comme le remarque Tak). Je voulais aussi une impression de flou et d'incertitude.
Bref, ce n'était pas facile de doser sans casser la magie du lieu et la construction de l'ensemble.
En ce qui concerne l'ancrage temporel, j'ai imaginé que ça se passait dans les années 80 pour la rencontre au lycée... puisque à l'époque du Grand Meaulnes, il y avait encore le certificat d'études et pas le BAC pour entrer dans le professorat ensuite.
À part ça, j'ai gardé le passage atemporel du château en insistant sur les vêtements vieillots, les carcasses de vieilles voitures ou chansons d'antan car je voulais qu'il y ait un décalage avec le moment réel (apparemment raté ; ou pas assez accentué comme le remarque Tak). Je voulais aussi une impression de flou et d'incertitude.
Bref, ce n'était pas facile de doser sans casser la magie du lieu et la construction de l'ensemble.
Re: ENTRE NOUS
FRançoise GRDR a écrit:
En fait, le narrateur a plus de 30 ans et se souvient de cette histoire arrivée pendant son adolescence. Il tient un journal, ce qui explique son langage peu en adéquation avec celui d'un ado...
Dans le texte d'origine, c'est également ainsi. Il relate (l'ami du Grand Meaulnes) ses souvenirs puisqu'à la fin il est déjà adulte.
Dans ces cas toutes mes excuses Françoise, j'ai dû louper un élément au début.
Et ça remet beaucoup de choses en perspective, alors ne prends pas tout ce que j'ai dit plus haut au pied de la lettre. Merci pour l'éclaircissement
Mais comme l'a expliqué Françoise ensuite pala, le texte se déroule (pour la partie "lycée") dans les années 80, ce qui nuance un peu à la fois mes remarques et les tiennes. Du coup, je reste sur mon idée, que tu aurais pu essayer davantage d'ancrer ce récit dans une époque contemporaine, pour que le décalage entre la partie "présente" et le récit "fantasmé"du personnage soit plus appuyé...
Mais évidemment, ce n'est qu'un ressenti perso et très subjectif.
Pour le reste, ton texte se tient très bien Françoise et je répète que j'ai eu grand plaisir à le lire (même sans ne rien connaître de l'oeuvre d'origine).
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: ENTRE NOUS
Merci Tak pour ton point de vue qui, une fois le concours terminé, me permettra d'améliorer ce texte au cas où je n'aurais rien d'autre à faire
Merci d'avoir apprécié cette parenthèse d'un autre temps, même si de notre époque, au départ...
François, mon narrateur (le double du roman d'origine) vient souvent à la campagne, en bordure de la forêt et du lac où il y a peu de changement. Peut-être la puissance des machines agricoles ?
Il y a la vidange du lac dont je fais mention qui appartient au présent car le lac-réservoir Seine a été mis en service en 1966 et elle a lieu tous les 10 ans. Et l'allusion aux classes prépas qui je pense n'existaient pas en 1900...
Merci d'avoir apprécié cette parenthèse d'un autre temps, même si de notre époque, au départ...
François, mon narrateur (le double du roman d'origine) vient souvent à la campagne, en bordure de la forêt et du lac où il y a peu de changement. Peut-être la puissance des machines agricoles ?
Il y a la vidange du lac dont je fais mention qui appartient au présent car le lac-réservoir Seine a été mis en service en 1966 et elle a lieu tous les 10 ans. Et l'allusion aux classes prépas qui je pense n'existaient pas en 1900...
Re: ENTRE NOUS
Le texte est fluide et agréable à la lecture. L'histoire est jolie et calme. Pour comparer à l'œuvre originale...bah j'en sais rien, je ne connaissais même pas ce texte de nom avant le concours. Mais en comparant de mémoire au texte de Nao, j'ai l'impression que tu l'a respecté.
J'ai passé un bon moment.
J'ai passé un bon moment.
Re: ENTRE NOUS
La référence à l’oeuvre est bien claire.
Le style et l’écriture sont aisés et dans l’ensemble agréables ; une expression m’a fait tiquer « Dormir devenait sa principale ambition » j’aurais plutôt employé obsession désir…
L’histoire est plaisante et bien imaginée mais j’ai eu du mal avec la chronologie du récit : il commence au retour des vacances de Noël et très rapidement égrène des souvenirs. Puis là le déroulé reprend sans bien marquer la différence avec le récit. Il aurait été mieux de se remémorer les souvenirs de cette histoire à partir de la lettre et de l’arrivée du bébé.
Dans l’ensemble c’est une belle histoire qui aurait gagné en travaillant ces quelques détails.
Le style et l’écriture sont aisés et dans l’ensemble agréables ; une expression m’a fait tiquer « Dormir devenait sa principale ambition » j’aurais plutôt employé obsession désir…
L’histoire est plaisante et bien imaginée mais j’ai eu du mal avec la chronologie du récit : il commence au retour des vacances de Noël et très rapidement égrène des souvenirs. Puis là le déroulé reprend sans bien marquer la différence avec le récit. Il aurait été mieux de se remémorer les souvenirs de cette histoire à partir de la lettre et de l’arrivée du bébé.
Dans l’ensemble c’est une belle histoire qui aurait gagné en travaillant ces quelques détails.
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
- Messages : 4109
Date d'inscription : 26/12/2012
Age : 59
Localisation : Béarn
Re: ENTRE NOUS
Merci Perro C'est vrai que j'aurais pu marquer un peu plus les différents moments du récit (celui d'hier et celui d'auj) et accentuer le côté journal.) Mais bon, j'avais envie de brouiller les pistes.
Re: ENTRE NOUS
Ma foi, c'est un bon récit bien équilibré et qui tient la route. Belle participation, Françoise. Bravo à toi.
Re: ENTRE NOUS
Il y a quelque chose de Lord Dusany ("La fille du roi des Elfes") dans ta version du "Grand Meaulnes" et c'est tant mieux. (Ce que j'ai pu me barber à essayer de lire ce fichu roman !)
Quelle jolie idée de ramener cette histoire dans le giron du Petit Peuple : les petites filles et leur comptine rappellent la Ronde des Fées et le bébé déposé sur le seuil a un faux air de "changeling" inversé. Un brin de fantasy bienvenu qui ajoute une dimension supplémentaire à la poésie tant vantée du récit originel (point de vue tout personnel).
Bref, du Françoise grand cru.
Peut-être une fin un peu plate dans la forme. Elle mériterait une petite image évocatrice, une touche d'émotion ou de nostalgie, je ne sais trop...
Mais c'est déjà excellent comme ça.
P-S : Hé, page 5 : "délices infinis". Pas de bol de tomber sur l'un des trois seuls mots (avec amour et orgue) qui changent de sexe au pluriel !
Quelle jolie idée de ramener cette histoire dans le giron du Petit Peuple : les petites filles et leur comptine rappellent la Ronde des Fées et le bébé déposé sur le seuil a un faux air de "changeling" inversé. Un brin de fantasy bienvenu qui ajoute une dimension supplémentaire à la poésie tant vantée du récit originel (point de vue tout personnel).
Bref, du Françoise grand cru.
Peut-être une fin un peu plate dans la forme. Elle mériterait une petite image évocatrice, une touche d'émotion ou de nostalgie, je ne sais trop...
Mais c'est déjà excellent comme ça.
P-S : Hé, page 5 : "délices infinis". Pas de bol de tomber sur l'un des trois seuls mots (avec amour et orgue) qui changent de sexe au pluriel !
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
- Messages : 2415
Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 72
Localisation : Narbonne
Re: ENTRE NOUS
Tous ces compliments me font chaud au cœur Jack et tu as pointé une bien belle faute que je corrigerais dès que possible (dès que mon texte "Peaux-Mortes" sera revu et corrigé !!!)
PS : il faut que je lise "La fille du roi des elfes" que tu cites, de toute urgence !!!
PS : il faut que je lise "La fille du roi des elfes" que tu cites, de toute urgence !!!
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