Directives

10 000 signes, oui c'est jouable. Et il reste encore plus d'un mois pour trouver une idée motivante.

T'es dans la dernière ligne droite, Blahom. Hâte de lire le rendu final.

L'idée a mûri dans ma tête, je pense que je vais rester sur celle-là, plus qu'à l'écrire, maintenant.

Je me suis tapé un coup de pression en me demandant tout à l'heure si la date butoir n'était pas fin novembre plutôt que décembre (la mémoire c'est pas mon truc) et je suis venu vérifier... ouf, sauvé !

Bon, j'ai encore rien commencé, j'en suis encore à la phase de tri de mes idées, mais ça commence à se préciser entre deux lignes directrices (rigolez pas, à la base j'avais au moins 3 ou 4 trucs différents en tête).
J'essaie juste d'affiner au gré des recherches et en essayant de pas tomber dans le gros cliché des zombies par nuit de pleine lune/thriller/mickael jackson/nanas à poil/en haillons sur fond de mauvais hard-rock.
En tous cas, que j'y parvienne ou non, j'ai tout de même hâte de vous lire !

Tak a écrit:Je me suis tapé un coup de pression en me demandant tout à l'heure si la date butoir n'était pas fin novembre plutôt que décembre (la mémoire c'est pas mon truc) et je suis venu vérifier... ouf, sauvé !

J'ai fait exactement pareil.
Pour l'instant, j'en suis à 9147 caractères, c'est-à-dire que mon texte ne s'inscrit pas encore dans les limites du concours.

J'ai hâte de voir ça Amaranth, Tak et Blahom !

Tu penses que ton histoire finira avant les 10 000, Blahom ? Si c'est le cas, il suffirait de quelques phrases de plus par-ci par-là pour atteindre le quota.

Toujours rien ! En revanche, j'ai pris une belle photo du cimetière qui jouxte la fac de droit de Caen. Parce que je ne l'ai pas encore dit, mais la fac de droit a été construite à côté, voire sur, un cimetière : le cimetière protestant avec ses tombes romantiques et couvertes de mousse et ses arbres centenaires... C'est ici, dans ce tout petit espace, que Brummell, le célèbre Dandy est enterré. Il est mort dans la plus grande pauvreté. Ici également que les étudiants vont se fumer un joint ou boire une (ou plusieurs !) bières. Étant d'une famille majoritairement protestante, ma grand-mère m'expliquait quand j'étais gosse que mon arrière grand-père était inhumé sous les roues des bagnoles (une partie de ce cimetière étant devenue le parking de la BU droit-lettres) ! Une pierre bizarroïde, qui pourrait bien être une pierre tombale, affleure d'ailleurs sous un arbre planté pile devant l'entrée de la bibliothèque. Je passe tellement souvent devant ce cimetière que je n'y fait plus vraiment attention. C'est en conduisant mon gosse à la crèche aujourd'hui qu'il s'est rappelé à moi. Voici quelques photos afin de prouver mes dires :

http://france3-regions.francetvinfo.fr/basse-normandie/sites/regions_france3/files/assets/images/2013/10/30/cimetieres.jpg

Moins romantique la photo ci-dessous montre le cimetière et la fac de droit en arrière-plan:

http://farm4.static.flickr.com/3273/2556163842_d8453da854.jpg

Bref, tout cela pour dire que j'enseigne tout près d'un cimetière ! Ce qui devrait me motiver et ouvrir les vannes de l'inspiration me direz-vous ? Et bien non ! Même pas ! Je suis dég ! Vous pouvez m'insulter !

C'est ce qu'on pourrait appeler "le cimetière du père La Chaire", non ?

Mais... Silence ! Y a des trucs à exploiter dans ce cimetière à moitié recouvert par une fac ! Non ? En lisant ton message, j'ai pensé à l'ascenseur qui déverse des flots de sang dans Shining (le film) parce que l'ancien gardien de l'hôtel a tué sa femme et ses filles (désolée si ce que je raconte n'est pas tout à fait exact, j'ai vu le film y a 10 ans). Y a sûrement moyen de faire un truc dans la même veine avec ta fac ! Des événements étranges, des étudiants qui meurent, tout ça... Et c'est dû à une malédiction parce qu'on a construit la fac par dessus un cimetière.

Oui, sans doute Naëlle, mais je ne sais pas pourquoi je n'arrive pas à écrire sur des choses qui me sont quotidiennes ! La faute de la routine sûrement... Alors écrire une histoire ayant pour cadre mon lieu de travail c'est mission impossible pour moi (ce qui ne m'empêche pas de foutre les boules à mes étudiants en leur parlant du cimetière !).
@ Jack : bonne vanne !

Tu pourrais tenter une histoire sur un ancien cimetière indien, avec une gamine qui disparait dans la télé et un gamin attaqué par des clowns et des arbres (comment ça, c'est du plagiat ? ).

Plus sérieusement, je comprends pourquoi ça t'inspire pas forcément. C'est facile d'être parasité par de vieux clichés/stéréotypes et de pondre un truc déjà vu mille fois. Et comme toi, j'ai du mal à écrire sur moi ou mon quotidien, ou même de m'en inspirer vraiment.

A la limite, pourquoi ne pas considérer ce cimetière comme n'importe quel cimetière, mais t'inspirer plutôt de ce qu'il t'évoque quand tu passes à côté pour voir si ça fait jaillir quelques idées d'histoires ? Ca te débarrasserait du côté personnel.

Sinon, c'est bizarre que l'idée de pouvoir tuer tes étudiants dans un texte ne t'emballe pas plus que ça. C'est une occasion qui ne se présente pas tous les jours quand même.

Murphy Myers a écrit:

Tu penses que ton histoire finira avant les 10 000, Blahom ? Si c'est le cas, il suffirait de quelques phrases de plus par-ci par-là pour atteindre le quota.

Non, pas du tout. L'histoire dépassera sans problème les 10 000 signes. C'est davantage un problème de temps que d'inspiration.

Presque 15000 signes et il ne me reste plus que le dénouement. C'est un truc très classique, mais j'ai l'histoire très précise dans la tête et j'écris plus facilement que d'habitude. Sans compter que ça me fait du bien. Je laisserai un peu poser ensuite donc n'attendez pas ma prose tout de suite.

Truc amusant, la plupart (je ne dis pas tous) situe leur histoire en novembre-décembre. Moi y compris d'ailleurs. Les représentations ont la vie dure.

Je n'ai pas participé, pas cette fois, mais le début d'idée que j'avais, je le situais en novembre. Pas simplement à cause du thème, mais parce que c'est une constante chez moi, sauf obligation due à l'histoire, elle se passe toujours à la saison où je l'écris.

C'est peut-être pour ça que j'ai été incapable d'écrire pur l'AT Hivers, qui tombait en plein été.

Tu ne seras pas de la partie pour ce concours, pala ? Mouarf, c'est con...

Moi j'ai essayé de commencer quelque chose, ce matin. Une ligne et demie. Nulle, qui plus est.
Bon bah, je vais vous lire un peu en attendant, ça ne pourra que me faire du bien (et me rappeler comment on fait pour écrire, aussi).

Ce n'est pas la première fois que je ne participe pas à un concours... Il y a régulièrement des périodes  où j'ai besoin de prendre des distances et faire un break avec l'écriture.

Par contre peut être bientôt je vous posterai de nouvelles photos de figurines, même si je sais que vous n'en avez rien à battre !