Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Paranormal activity 4 : c'est vrai que c'est assez lent, avec plein de scènes "mortes" où il ne se passe rien et on se contente de glisser de la cuisine au living ou aux chambres. L'idée en elle-même pourquoi pas, c'est une histoire de fantômes ou de démons ou de sorcières, mais ça manque vraiment de punch. Vous me direz, c'est le principe de ce genre de film caméra à l'épaule. Pas trop mon truc au final.
Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Hier soir chuis allé au cinoche, j'ai vu Batman v Superman. Attention, gros pavé :
Il y a quelques années encore, j'aurais sûrement jubilé en voyant ce film. Là en l'état, je l'ai juste trouvé "sympa". Peut-être même un peu plus que ça, mais pas inoubliable pour autant (et pourtant ça me fait mal au cul de dire ça, étant un fan de monsieur Zack Snyder).
Peut-être a-t-on trop vu de super-héros et de villes détruites entre-temps. Peut-être qu'à moins d'un nouveau héros aux pouvoirs révolutionnaires, une certaine lassitude s'installe-t-elle, même avec des têtes d'affiches aussi fortes que Batman et Superman. Pour autant, je n'ai pas passé un "mauvais" moment non plus, faut pas déconner.
Au rayon des bonnes choses, on peut saluer le style de Zack Snyder, toujours capable d'emballer des plans ou des séquences formidables, transcendées dans la grâce du mouvement. Que ce soit la très belle intro mettant en scène la jeunesse traumatisante de Bruce Wayne ou le passage suivant, montrant le même Bruce Wayne, plus de 30 ans plus tard, se frayer un chemin dans une Metropolis assiégée, le réalisateur sait toujours donner l'impact nécessaire à ses stupéfiantes images. Et quant il s'atèle à l'iconisation de certains, là encore on est fasciné. Une très belle idée d'ailleurs, que d'avoir voulu traiter Superman ici sous l'angle d'un dieu au milieu des hommes. Le discours fait sens avec les actes aussi bien que le poids des conséquences de ceux-ci, à l'échelle d'un monde entier. J'ai trouvé ce point du scénario très bien traité et soulevant des problématiques qu'on n'a pas forcément l'habitude de voir chez les concurrents de Marvel, par exemple.
Un très bon point.
De même, le traitement, de façon générale plus adulte et mature du genre - pas si noir qu'on n'aurait bien voulu nous le faire croire non plus - apporte un ton particulier à l'ensemble, loin des débauches fun et super-colorées des Avengerinous et compagnie. On reste ici dans l'approche de Man of Steel, mais avec en plus le regard d'un Batman ultra-violent et désabusé face à des choses qui le dépassent. Intéressant. De plus, le Batman montré ici est véritablement un justicier (un "vigilante", même), plus qu'un héros. On est loin des versions à moitié parodiques pré-Nolan. Ici, on a un personnage ayant vécu et souffert, connaissant pour seule réponse au crime une justice expéditive qui en fait clairement un hors-la-loi plutôt qu'un "sauveur". Il est donc doublement intéressant de le confronter à un Superman qui se pose comme tel, tout en atomisant des villes entières.
Au niveau des thématiques, on a donc un film vraiment sympa.
Le problème, c'est qu'au-delà de l'affrontement Batou vs. Cape rouge, ce film est aussi le chapitre introductif de l'univers ciné DC Comics. Un cahier des charges lourd, qui déséquilibre dangereusement un métrage qui se tenait pourtant bien jusque-là (disons approximativement les deux tiers). De l'intrigue première, on nous rajoute ci et là des recherches du méchant L.Luthor - un brin "too much" comparé à la retenue des autres protagonistes - sur les méta-humains. Ainsi que la kryptonite. La dépouille de Zod comme champ d'expérimentation. On tente soudain de nous faire avaler l'équivalent de 3 saisons en moins de 50 minutes. Oulà, gare à l'indigestion ! Car effectivement, si toute la partie visuelle est intéressante, la trame devient vite très bordélique, pour arriver sur une dernière ligne droite bourrine et excessive, où malgré son talent pour l'image et les effets numériques, Snyder peine à véritablement incarner toutes les promesses du film. Bien dommage parce qu'il y avait moyen de balancer un spectacle vraiment over-the-top et jouissif... A la place, on a l'impression de voir un "chapter one" d'une franchise en construction un peu mal dégrossie, avec ses passages obligés et les facilités scénaristiques qui vont avec.
C'est d'autant plus dommage que la 1e partie était vraiment réussie et posait clairement les enjeux.
Avant de s'embourber dans un second acte à la ligne directrice moins franche, jonglant entre plusieurs trames et plusieurs tons parfois mal assortis. Quant il ne s'agit pas d'un scénar' indigeste à force d'éléments empilés les uns sur les autres.
Après, j'ai quand même pris du plaisir à voir ce film hein, j'aime toujours autant la mise en images de Snyder et le combat final ne m'a pas semblé aussi indigeste que décrit un peu partout (j'ai trouvé le dernier Avengers beaucoup plus lourd, de ce coté-là). Le teasing sur la Justice League fonctionne bien aussi, pour peu d'être réceptif à l'univers DC.
Mais comme l'impression d'un petit chose manquant pour en faire un vrai bon film.
Un très agréable divertissement, dans les tous les cas (à condition de ne pas chercher à comprendre le plan "machiavélique" de Luthor, entre autres, hum). Mais tout de même à des lieues des derniers pop-corns movie faciles et second degré de chez Marvel, à mon humble avis
Il y a quelques années encore, j'aurais sûrement jubilé en voyant ce film. Là en l'état, je l'ai juste trouvé "sympa". Peut-être même un peu plus que ça, mais pas inoubliable pour autant (et pourtant ça me fait mal au cul de dire ça, étant un fan de monsieur Zack Snyder).
Peut-être a-t-on trop vu de super-héros et de villes détruites entre-temps. Peut-être qu'à moins d'un nouveau héros aux pouvoirs révolutionnaires, une certaine lassitude s'installe-t-elle, même avec des têtes d'affiches aussi fortes que Batman et Superman. Pour autant, je n'ai pas passé un "mauvais" moment non plus, faut pas déconner.
Au rayon des bonnes choses, on peut saluer le style de Zack Snyder, toujours capable d'emballer des plans ou des séquences formidables, transcendées dans la grâce du mouvement. Que ce soit la très belle intro mettant en scène la jeunesse traumatisante de Bruce Wayne ou le passage suivant, montrant le même Bruce Wayne, plus de 30 ans plus tard, se frayer un chemin dans une Metropolis assiégée, le réalisateur sait toujours donner l'impact nécessaire à ses stupéfiantes images. Et quant il s'atèle à l'iconisation de certains, là encore on est fasciné. Une très belle idée d'ailleurs, que d'avoir voulu traiter Superman ici sous l'angle d'un dieu au milieu des hommes. Le discours fait sens avec les actes aussi bien que le poids des conséquences de ceux-ci, à l'échelle d'un monde entier. J'ai trouvé ce point du scénario très bien traité et soulevant des problématiques qu'on n'a pas forcément l'habitude de voir chez les concurrents de Marvel, par exemple.
Un très bon point.
De même, le traitement, de façon générale plus adulte et mature du genre - pas si noir qu'on n'aurait bien voulu nous le faire croire non plus - apporte un ton particulier à l'ensemble, loin des débauches fun et super-colorées des Avengerinous et compagnie. On reste ici dans l'approche de Man of Steel, mais avec en plus le regard d'un Batman ultra-violent et désabusé face à des choses qui le dépassent. Intéressant. De plus, le Batman montré ici est véritablement un justicier (un "vigilante", même), plus qu'un héros. On est loin des versions à moitié parodiques pré-Nolan. Ici, on a un personnage ayant vécu et souffert, connaissant pour seule réponse au crime une justice expéditive qui en fait clairement un hors-la-loi plutôt qu'un "sauveur". Il est donc doublement intéressant de le confronter à un Superman qui se pose comme tel, tout en atomisant des villes entières.
Au niveau des thématiques, on a donc un film vraiment sympa.
Le problème, c'est qu'au-delà de l'affrontement Batou vs. Cape rouge, ce film est aussi le chapitre introductif de l'univers ciné DC Comics. Un cahier des charges lourd, qui déséquilibre dangereusement un métrage qui se tenait pourtant bien jusque-là (disons approximativement les deux tiers). De l'intrigue première, on nous rajoute ci et là des recherches du méchant L.Luthor - un brin "too much" comparé à la retenue des autres protagonistes - sur les méta-humains. Ainsi que la kryptonite. La dépouille de Zod comme champ d'expérimentation. On tente soudain de nous faire avaler l'équivalent de 3 saisons en moins de 50 minutes. Oulà, gare à l'indigestion ! Car effectivement, si toute la partie visuelle est intéressante, la trame devient vite très bordélique, pour arriver sur une dernière ligne droite bourrine et excessive, où malgré son talent pour l'image et les effets numériques, Snyder peine à véritablement incarner toutes les promesses du film. Bien dommage parce qu'il y avait moyen de balancer un spectacle vraiment over-the-top et jouissif... A la place, on a l'impression de voir un "chapter one" d'une franchise en construction un peu mal dégrossie, avec ses passages obligés et les facilités scénaristiques qui vont avec.
C'est d'autant plus dommage que la 1e partie était vraiment réussie et posait clairement les enjeux.
Avant de s'embourber dans un second acte à la ligne directrice moins franche, jonglant entre plusieurs trames et plusieurs tons parfois mal assortis. Quant il ne s'agit pas d'un scénar' indigeste à force d'éléments empilés les uns sur les autres.
Après, j'ai quand même pris du plaisir à voir ce film hein, j'aime toujours autant la mise en images de Snyder et le combat final ne m'a pas semblé aussi indigeste que décrit un peu partout (j'ai trouvé le dernier Avengers beaucoup plus lourd, de ce coté-là). Le teasing sur la Justice League fonctionne bien aussi, pour peu d'être réceptif à l'univers DC.
Mais comme l'impression d'un petit chose manquant pour en faire un vrai bon film.
Un très agréable divertissement, dans les tous les cas (à condition de ne pas chercher à comprendre le plan "machiavélique" de Luthor, entre autres, hum). Mais tout de même à des lieues des derniers pop-corns movie faciles et second degré de chez Marvel, à mon humble avis
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Vu México Bárbaro (2014), une anthologie de courts-métrages mexicains. Huit films regorgeant de bonnes idées, caractérisés par un mélange détonant de modernité et de tradition. Pas de ligne directrice comme dans les vieux films de la Amicus qui s'articulaient autour d'une trame centrale, si ce n'est l'influence que peuvent avoir à l'intérieur du Mexique contemporain de monstrueuses entités issues du folklore local.
Tzompantli de Laurette Flores Bornn constitue une bonne mise en bouche avec l'histoire de ce journaliste qui recueille les confidences d'un membre repenti d'un cartel du crime s'inspirant des rituels aztèques. Ceux qui auront préalablement cherché le sens du titre comprendront mieux la sinistre conclusion de cette histoire prenante mais un peu trop brève.
Jaral de Berrios d'Edgar Nito, savoureux mélange de western et d'histoire de fantôme, constitue une indéniable réussite. Imaginez Les Wurdalaks de Mario Bava transposés dans le désert mexicain, avec comme protagonistes principaux deux hors-la-loi qui connaîtront un destin tragique. Excellent mais déconseillé aux maniaques du cunnilingus ...
Drena, d'Aaron Soto, s'avère particulièrement mémorable. Une jeune fille découvre le corps d'un jeune homme dans le désert et récupère le mégot qu'il serrait dans sa main. De retour chez elle, elle le fume et un génie maléfique lui apparaît, la sommant de recueillir le sang menstruel de sa sœur. Si elle ne s'acquitte pas de cette tâche dans les douze heures, l'esprit reviendra lui aspirer l'âme par son trou du cul : "I’ll suck your soul through your anus!" Les amateurs de trashitude apprécieront.
La cosa mas preciada d'Isaac Ezban, plus classique dans la forme, évoque un conte façon Creepshow qui partirait salement en vrille. Un jeune couple loue un bungalow dans les bois afin de se dépuceler sans stress. Un vieillard plus ou moins cinglé les met pourtant en garde : des créatures maléfiques vivraient dans la forêt et s'empareraient des objets que l'on aurait eu le malheur de laisser traîner. Le jeune homme aurait mieux fait d'écouter le bonhomme : "l'objet" auquel il tient le plus lui sera enlevé et une espèce de chupacabra remplacera le muchacho au moment crucial. Une histoire fort réjouissante, sorte de version modernisée de The Beast de Borowczyk, le vernis intellectuel en moins mais en tout aussi explicite.
Lex Ortega et son excellentissime Lo que importa es lo de adentro nous propose une version réactualisée des histoires d'ogres. Une petite fille est persuadée que le SDF qui traîne devant son immeuble est un cruel bogeyman. Bien sûr, sa mère, qui est en admiration devant son fils aîné, ne cesse de la rabrouer. Un soir, pourtant, son petit chéri sorti jouer au ballon ne rentrera pas, ne rentrera plus... Un récit bien glauque qui ne recule pas devant le gore et ayant pour arrière-plan une sombre histoire de trafic d'organes.
Après ça, le Muñecas de Jorge Michel Grau ne peut que (relativement) décevoir. Certes, l'histoire de cette femme traumatisée qui n'a échappé à un péril mortel que pour retomber dans la gueule du loup est menée de façon efficace mais sa brièveté laisse un goût de trop peu...
Ulises Guzman remonte substantiellement le niveau avec Siete veces siete, remarquable récit de vengeance qui nous fera passer d'une morgue froide et aseptisée à un superbe paysage de montagne. Au bord d'un lac lunaire, le héros défiguré se lance dans un éprouvant rituel visant à ramener un mort à la vie. Dans quel but ? Indéniablement le segment le plus travaillé, esthétiquement parlant, avec Jaral de Berrios.
Le Día de los Muertos de Gigi Saul Guerrero clôt cette mémorable anthologie en beauté. "Le jour des morts" permettra aux malheureuses stripteaseuses d'un tripot de se venger des salauds de clients qui les méprisent et les exploitent. Une conclusion bien gore et particulièrement réjouissante.
Bref, un excellent moment qui ravira les amateurs de fantastique et de cinéma horrifique.
México Bárbaro confirme la bonne santé et la vitalité du cinéma mexicain actuel.
Tzompantli de Laurette Flores Bornn constitue une bonne mise en bouche avec l'histoire de ce journaliste qui recueille les confidences d'un membre repenti d'un cartel du crime s'inspirant des rituels aztèques. Ceux qui auront préalablement cherché le sens du titre comprendront mieux la sinistre conclusion de cette histoire prenante mais un peu trop brève.
Jaral de Berrios d'Edgar Nito, savoureux mélange de western et d'histoire de fantôme, constitue une indéniable réussite. Imaginez Les Wurdalaks de Mario Bava transposés dans le désert mexicain, avec comme protagonistes principaux deux hors-la-loi qui connaîtront un destin tragique. Excellent mais déconseillé aux maniaques du cunnilingus ...
Drena, d'Aaron Soto, s'avère particulièrement mémorable. Une jeune fille découvre le corps d'un jeune homme dans le désert et récupère le mégot qu'il serrait dans sa main. De retour chez elle, elle le fume et un génie maléfique lui apparaît, la sommant de recueillir le sang menstruel de sa sœur. Si elle ne s'acquitte pas de cette tâche dans les douze heures, l'esprit reviendra lui aspirer l'âme par son trou du cul : "I’ll suck your soul through your anus!" Les amateurs de trashitude apprécieront.
La cosa mas preciada d'Isaac Ezban, plus classique dans la forme, évoque un conte façon Creepshow qui partirait salement en vrille. Un jeune couple loue un bungalow dans les bois afin de se dépuceler sans stress. Un vieillard plus ou moins cinglé les met pourtant en garde : des créatures maléfiques vivraient dans la forêt et s'empareraient des objets que l'on aurait eu le malheur de laisser traîner. Le jeune homme aurait mieux fait d'écouter le bonhomme : "l'objet" auquel il tient le plus lui sera enlevé et une espèce de chupacabra remplacera le muchacho au moment crucial. Une histoire fort réjouissante, sorte de version modernisée de The Beast de Borowczyk, le vernis intellectuel en moins mais en tout aussi explicite.
Lex Ortega et son excellentissime Lo que importa es lo de adentro nous propose une version réactualisée des histoires d'ogres. Une petite fille est persuadée que le SDF qui traîne devant son immeuble est un cruel bogeyman. Bien sûr, sa mère, qui est en admiration devant son fils aîné, ne cesse de la rabrouer. Un soir, pourtant, son petit chéri sorti jouer au ballon ne rentrera pas, ne rentrera plus... Un récit bien glauque qui ne recule pas devant le gore et ayant pour arrière-plan une sombre histoire de trafic d'organes.
Après ça, le Muñecas de Jorge Michel Grau ne peut que (relativement) décevoir. Certes, l'histoire de cette femme traumatisée qui n'a échappé à un péril mortel que pour retomber dans la gueule du loup est menée de façon efficace mais sa brièveté laisse un goût de trop peu...
Ulises Guzman remonte substantiellement le niveau avec Siete veces siete, remarquable récit de vengeance qui nous fera passer d'une morgue froide et aseptisée à un superbe paysage de montagne. Au bord d'un lac lunaire, le héros défiguré se lance dans un éprouvant rituel visant à ramener un mort à la vie. Dans quel but ? Indéniablement le segment le plus travaillé, esthétiquement parlant, avec Jaral de Berrios.
Le Día de los Muertos de Gigi Saul Guerrero clôt cette mémorable anthologie en beauté. "Le jour des morts" permettra aux malheureuses stripteaseuses d'un tripot de se venger des salauds de clients qui les méprisent et les exploitent. Une conclusion bien gore et particulièrement réjouissante.
Bref, un excellent moment qui ravira les amateurs de fantastique et de cinéma horrifique.
México Bárbaro confirme la bonne santé et la vitalité du cinéma mexicain actuel.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Bon, c'est pas vu, c'est juste acheté, mais à défaut d'un topic spécifique (qui ne serait pas très utile), je fourre ici, ainsi vous pourrez me dire ce qui vaut la peine d'être regardé en premier.
- Soul Mates
- Le psychopathe
- Maniac cop
- Progeny
- For hire
- Scanners
- Virgil la malédiction
- Demon house
- Memory run
- Clone 2.0
Moi, à part "Scanners" que j'ai vu il y a longtemps, je n'en connais aucun, mais ils étaient pas cher du tout.
- Soul Mates
- Le psychopathe
- Maniac cop
- Progeny
- For hire
- Scanners
- Virgil la malédiction
- Demon house
- Memory run
- Clone 2.0
Moi, à part "Scanners" que j'ai vu il y a longtemps, je n'en connais aucun, mais ils étaient pas cher du tout.
Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
J'aime Scanners, un bon Cronenberg vintage, une sympathique histoire de mutants, moins glamour que les X Men.
Maniac Cop est une efficace série B réalisée par W. Lustig, certes moins dérangeante que Maniac, et produite par L. Cohen.
Maniac Cop est une efficace série B réalisée par W. Lustig, certes moins dérangeante que Maniac, et produite par L. Cohen.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Pareil, dans le tas je ne connais que Scanners, même si certains titres me disent quelque chose...
Tu es du genre à aller fouiner dans les bacs dvd à 2€ ? c'est là qu'on fait les meilleures affaires (ou qu'on trouve les meilleures bouses, au choix).
Tu es du genre à aller fouiner dans les bacs dvd à 2€ ? c'est là qu'on fait les meilleures affaires (ou qu'on trouve les meilleures bouses, au choix).
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Vu hier le remake de Point Break.
Ben si vous ne l'avez pas vu, vous manquez rien les amis ! Pas un mauvais film en soi, les images sensationnelles et le rythme trépidant sont toujours là, mais il manquait un petit quelque chose pour rendre ce film vraiment mémorable. Des acteurs marquants ? Un sous-texte plus intéressant peut-être que cette philosophie new-age écolo ?
C'est sûr, la relecture ne dépassera pas l'original, mais comme divertissement du samedi soir, ça se laisse regarder quand même.
(et puis, ça manquait un peu de Patrick Swayze, tout ça ! )
Ben si vous ne l'avez pas vu, vous manquez rien les amis ! Pas un mauvais film en soi, les images sensationnelles et le rythme trépidant sont toujours là, mais il manquait un petit quelque chose pour rendre ce film vraiment mémorable. Des acteurs marquants ? Un sous-texte plus intéressant peut-être que cette philosophie new-age écolo ?
C'est sûr, la relecture ne dépassera pas l'original, mais comme divertissement du samedi soir, ça se laisse regarder quand même.
(et puis, ça manquait un peu de Patrick Swayze, tout ça ! )
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Tak a écrit:Vu hier le remake de Point Break.
mais il manquait un petit quelque chose pour rendre ce film vraiment mémorable.
Oui Tak, il manque un scénario, un réalisateur et des acteurs crédibles.
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Ben crédibles ça va, mais c'est surtout difficile de passer derrière le duo Swayze/Reaves (même si en replaçant les choses dans leur contexte, ces deux-là ne sont pas les acteurs du siècle non plus... mais ils ont, du moins dans ce film-là, un sacré charisme).
Le problème, c'est surtout de vouloir faire "mieux" ou "plus" qu'un film culte. Que rajouter de plus ? Comment tourner la chose différemment tout en gardant l'essence du propos ? Ce qui était culte et marquant en 1991 ne l'est plus forcément maintenant. Et c'est ça le gros piège des studios américains, avec toutes leurs conneries de reboots/remakes et autres préquelles foireuses : si un film a cartonné à une époque, c'est qu'il savait cristalliser toutes les thématiques et attentes des spectateurs de l'époque, tout en les surprenant (je pense que c'est dernier point est crucial). Mais aujourd'hui, où est passée la surprise ? Tous les films se ressemblent, chacun veut piquer la recette de l'autre en essayant de le tourner à sa sauce, mais il est de plus en plus difficile de trouver un "produit" (on parle même plus de film, c'est navrant) avec un minimum de personnalité. Les grands réalisateurs, qui proposent des choses nouvelles, des concepts sortant un peu des sentiers battus, se font de plus en plus rares, au détriment de "yes-men" sans identité qui se plient aux exigences des studios sans broncher.
Point Break est l'un des derniers nés de cette industrie-là, plus soucieuse du box-office que d'une quelconque proposition de cinéma.
Aaah, triste siècle...
Le problème, c'est surtout de vouloir faire "mieux" ou "plus" qu'un film culte. Que rajouter de plus ? Comment tourner la chose différemment tout en gardant l'essence du propos ? Ce qui était culte et marquant en 1991 ne l'est plus forcément maintenant. Et c'est ça le gros piège des studios américains, avec toutes leurs conneries de reboots/remakes et autres préquelles foireuses : si un film a cartonné à une époque, c'est qu'il savait cristalliser toutes les thématiques et attentes des spectateurs de l'époque, tout en les surprenant (je pense que c'est dernier point est crucial). Mais aujourd'hui, où est passée la surprise ? Tous les films se ressemblent, chacun veut piquer la recette de l'autre en essayant de le tourner à sa sauce, mais il est de plus en plus difficile de trouver un "produit" (on parle même plus de film, c'est navrant) avec un minimum de personnalité. Les grands réalisateurs, qui proposent des choses nouvelles, des concepts sortant un peu des sentiers battus, se font de plus en plus rares, au détriment de "yes-men" sans identité qui se plient aux exigences des studios sans broncher.
Point Break est l'un des derniers nés de cette industrie-là, plus soucieuse du box-office que d'une quelconque proposition de cinéma.
Aaah, triste siècle...
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Je suis du même avis que toi quant aux acteurs du premier film mais les nouveaux sont totalement calamiteux : ils n'ont aucun charisme ! Et du reste, tout a été fait dans le film pour réduire au maximum les scènes de texte. On passe d'une séquence de ski à une séquence de base-jump à une séquence de surf qui elle-même précède une séquence de moto ou de parapente. Mais lorsqu'il s'agit de parler alors là il n'y a plus personne ! Le personnage principal (tatoué comme il se doit, ils le sont tous dans le film : j'imagine que cela tient lieu de philosophie) n'a même pas l'air de comprendre ce qu'il dit. Je ne parle même pas de la pseudo philosophie asiatique qui est supposée enrober le tout et tente (mais en vain) de donner une profondeur à la chose. J'ai ri les 10 premières minutes, me suis emmerdé les dix minutes suivantes avant de décider les 10 minutes après de mettre fin à mon calvaire et au leur... Pour le reste, je suis du même avis que toi sur la nécessité de faire un nouveau film ce qui, a mon humble avis, était totalement dispensable. Bon sang quelle daube !
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
En parlant de purges et de reboots mal branlés, aviez-vous vu le remake de Robocop, sorti il y a quelques années ? Mouarf, j'en rigole encore
Sinon, hier j'ai vu A la Poursuite de Demain (aka Tomorrowland en VO).
Et honnêtement, je me suis bien éclaté ! Pas un très grand film, on donne encore dans le grand divertissement de masse, mais j'ai trouvé qu'un petit truc en ressortait, qu'on ne voit pas si souvent au cinéma ces temps-ci. De... l'optimisme ! Eh oui, pour une fois, pas d'immeubles ou de villes entières qui s'écroulent au ralenti sous le rire machiavélique d'un méchant de service. Juste une "bête" histoire de voyages dans le temps et d'inventions, avec un petit soupçon de rêve. Après, faut pas y rechercher non plus une grande profondeur et il y a bien un ou deux points noirs (la trame, par exemple, qui prend rapidement des allures de "simple" course-poursuite, là où il y avait matière à jouer de façon plus intéressante sur les ressorts scénaristiques des paradoxes temporels), mais dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé la fraîcheur qui ressort de ce métrage.
On y parle clairement à l'enfant qui dort en chacun de nous, en convoquant des images science-fictionnelles issues de l'univers Vernien, entre rétro et futurisme. Je crois me souvenir d'une citation de l'auteur lui-même qui décrivait son oeuvre comme de la "science d'aventures" ou quelque chose s'en approchant. Et c'est exactement ça : l'émerveillement nous est offert aussi bien par les inventions fofolles qui jalonnent le film que les aventures dans lesquelles celles-ci prennent part. Un temps où l'on pouvait nous faire rêver juste à partir machine ou d'une invention géniale, sans chercher à nous en mettre plein la vue avec un univers créé de toute part ou des effets spéciaux gargantuesques. Le Nautilus, le canon de Voyage autour de la Lune, tout ça quoi ! Ce film retranscrit très bien cet enchantement du gosse face aux merveilles d'une science inexplorée, source d'inconnus fantasmés.
Alors après, c'est peut-être un brin naïf et comme je le disais, pas très profond dans le traitement, mais je reste sur cette bonne impression. Les films qui se permettent de parler aux rêveurs optimismes qui dorment en nous sont tellement rares qu'on ne peut que saluer l'initiative. Les sfx sont présents et forts jolis, mais ne sont pas là pour en mettre la vue, le but est ailleurs. Quand bien même l'ensemble est enrobé de la chape moralisatrice habituelle Disney - qui se réapproprie en même temps l'univers de Jules Vernes et des autres grands visionnaires de son temps de fort belle façon -, impossible de ne pas bouder mon plaisir face à cette fable moderne joliment troussée et pleine de bons sentiments. De plus, le réalisateur (Brad Bird, auteur des très sympathiques Les Indestructibles, toujours chez Disney et de Mission Impossible 4), y apporte une dynamique et un sens du rythme imparable. Les idées, tant visuelles que conceptuelles, foisonnent et on ne s'ennuie guère devant les 2h et des brouettes du film.
Le dernier acte est peut-être un peu faible et il est dommage que le fameux Tomorrowland ne soit pas plus montré que ça, hormis une ou deux scènes d'introduction excellentes et une dernière partie qui va droit à l'essentiel, mais encore une fois, je reste sur cette note positive. Hugh Laurie, en dictateur cynique est un peu caricatural et le charme de la jeune héroïne ne fait pas tout (même Georges Clooney m'a semblé un peu sous-exploité), mais le ton du film ne permettait pas non plus de traiter ces personnages sous toutes les coutures. C'est fonctionnel, mais ça marche plutôt bien. A condition de se laisser embarquer par le postulat de base et de visionner le film avec nos yeux d'enfant. Ce que j'ai fait avec grand plaisir, dois-je dire.
Bref, pas un coup de coeur, mais un très bon divertissement familial qui peut plaire à tous, sans chercher à nous retourner dans tous les sens. Juste un bon film de SF "gentil" et plein à craquer d'une belle candeur qui fait plaisir à voir en ces temps d'apocalypse cinématographique généralisé.
Dans son genre, j'ai beaucoup aimé !
P.S: Ah, on me souffle en régie que la limite-pavé vient d'être franchie, alors je vais m'arrêter là, bonjour à vous !
Sinon, hier j'ai vu A la Poursuite de Demain (aka Tomorrowland en VO).
Et honnêtement, je me suis bien éclaté ! Pas un très grand film, on donne encore dans le grand divertissement de masse, mais j'ai trouvé qu'un petit truc en ressortait, qu'on ne voit pas si souvent au cinéma ces temps-ci. De... l'optimisme ! Eh oui, pour une fois, pas d'immeubles ou de villes entières qui s'écroulent au ralenti sous le rire machiavélique d'un méchant de service. Juste une "bête" histoire de voyages dans le temps et d'inventions, avec un petit soupçon de rêve. Après, faut pas y rechercher non plus une grande profondeur et il y a bien un ou deux points noirs (la trame, par exemple, qui prend rapidement des allures de "simple" course-poursuite, là où il y avait matière à jouer de façon plus intéressante sur les ressorts scénaristiques des paradoxes temporels), mais dans l'ensemble j'ai beaucoup aimé la fraîcheur qui ressort de ce métrage.
On y parle clairement à l'enfant qui dort en chacun de nous, en convoquant des images science-fictionnelles issues de l'univers Vernien, entre rétro et futurisme. Je crois me souvenir d'une citation de l'auteur lui-même qui décrivait son oeuvre comme de la "science d'aventures" ou quelque chose s'en approchant. Et c'est exactement ça : l'émerveillement nous est offert aussi bien par les inventions fofolles qui jalonnent le film que les aventures dans lesquelles celles-ci prennent part. Un temps où l'on pouvait nous faire rêver juste à partir machine ou d'une invention géniale, sans chercher à nous en mettre plein la vue avec un univers créé de toute part ou des effets spéciaux gargantuesques. Le Nautilus, le canon de Voyage autour de la Lune, tout ça quoi ! Ce film retranscrit très bien cet enchantement du gosse face aux merveilles d'une science inexplorée, source d'inconnus fantasmés.
Alors après, c'est peut-être un brin naïf et comme je le disais, pas très profond dans le traitement, mais je reste sur cette bonne impression. Les films qui se permettent de parler aux rêveurs optimismes qui dorment en nous sont tellement rares qu'on ne peut que saluer l'initiative. Les sfx sont présents et forts jolis, mais ne sont pas là pour en mettre la vue, le but est ailleurs. Quand bien même l'ensemble est enrobé de la chape moralisatrice habituelle Disney - qui se réapproprie en même temps l'univers de Jules Vernes et des autres grands visionnaires de son temps de fort belle façon -, impossible de ne pas bouder mon plaisir face à cette fable moderne joliment troussée et pleine de bons sentiments. De plus, le réalisateur (Brad Bird, auteur des très sympathiques Les Indestructibles, toujours chez Disney et de Mission Impossible 4), y apporte une dynamique et un sens du rythme imparable. Les idées, tant visuelles que conceptuelles, foisonnent et on ne s'ennuie guère devant les 2h et des brouettes du film.
Le dernier acte est peut-être un peu faible et il est dommage que le fameux Tomorrowland ne soit pas plus montré que ça, hormis une ou deux scènes d'introduction excellentes et une dernière partie qui va droit à l'essentiel, mais encore une fois, je reste sur cette note positive. Hugh Laurie, en dictateur cynique est un peu caricatural et le charme de la jeune héroïne ne fait pas tout (même Georges Clooney m'a semblé un peu sous-exploité), mais le ton du film ne permettait pas non plus de traiter ces personnages sous toutes les coutures. C'est fonctionnel, mais ça marche plutôt bien. A condition de se laisser embarquer par le postulat de base et de visionner le film avec nos yeux d'enfant. Ce que j'ai fait avec grand plaisir, dois-je dire.
Bref, pas un coup de coeur, mais un très bon divertissement familial qui peut plaire à tous, sans chercher à nous retourner dans tous les sens. Juste un bon film de SF "gentil" et plein à craquer d'une belle candeur qui fait plaisir à voir en ces temps d'apocalypse cinématographique généralisé.
Dans son genre, j'ai beaucoup aimé !
P.S: Ah, on me souffle en régie que la limite-pavé vient d'être franchie, alors je vais m'arrêter là, bonjour à vous !
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Vu hier Zootopia, le dernier Disney.
Ben honnêtement, j'ai passé un très bon moment familial. Parce que même en retrouvant le propos moralisateur habituel, j'ai trouvé que le fond n'était pas de dénué de finesse et de pertinence, un peu à la manière des films Pixar, qui jouent sur plusieurs niveaux de lectures. Et contrairement aux derniers films de la firme, on y retrouve pas de grandes chansons destinées à écouler plein de cds pour les tous petits en plein milieu. Et du coup c'est beaucoup moins cucul et aucune baisse de rythme.
Contrairement aux films d'animation (de synthèse) précédents de Disney sur lesquels j'avais encore quelques réserves (style Volt), celui-ci est passé tout seul. Bien joué, Mickey !
Ben honnêtement, j'ai passé un très bon moment familial. Parce que même en retrouvant le propos moralisateur habituel, j'ai trouvé que le fond n'était pas de dénué de finesse et de pertinence, un peu à la manière des films Pixar, qui jouent sur plusieurs niveaux de lectures. Et contrairement aux derniers films de la firme, on y retrouve pas de grandes chansons destinées à écouler plein de cds pour les tous petits en plein milieu. Et du coup c'est beaucoup moins cucul et aucune baisse de rythme.
Contrairement aux films d'animation (de synthèse) précédents de Disney sur lesquels j'avais encore quelques réserves (style Volt), celui-ci est passé tout seul. Bien joué, Mickey !
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
J'ai bien aimé aussi (bon Dieu, ce petit lapin trop mignon !), mais j'ai pas trouvé ce film transcendant. Sympa sans plus, quoi. Reste que j'aime bien le message qu'il véhicule, comme quoi t'es peut-être pas le type de personne qu'on imagine pour tel ou tel métier, mais que si tu te donnes à fond t'as tes chances de réussir quand même. Ou encore que l'habit ne fait pas le moine (genre le renard qu'on pense vilain et rusé, qui se révèle effectivement rusé mais qui n'est pas si vilain).
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
- Messages : 3668
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Age : 33
Localisation : Sur la Lune
Re: Derniers films vus (ciné, DVD): 2015-2016
Les Disney ont pas mal évoluer quand même par les messages qu'ils véhiculent.
J'ai pas trop regardé leurs derniers dessins animés, mais ça se voit de loin quand même.
J'ai lu un article sur le Web où il parlait des thèmes cachés dans les films, et la reine des neiges parlerait apparemment de l'homosexualité.
Alors, bon ok faut pas croire toute les conneries lu, mais vu de cet angle, le peu que je connais du film semble coller à cette idée.
En tout cas Zootopia me tente bien lui aussi.
En film Disney, y a Alice de l'autre côté du miroir que j'ai vu et qui est pas mal du tout. Un plaisir, aucune déception. Ça bouge beaucoup, y a pas mal de contenu, le film fait pile la bonne taille ni trop long ni trop court.
J'ai pas trop regardé leurs derniers dessins animés, mais ça se voit de loin quand même.
J'ai lu un article sur le Web où il parlait des thèmes cachés dans les films, et la reine des neiges parlerait apparemment de l'homosexualité.
Alors, bon ok faut pas croire toute les conneries lu, mais vu de cet angle, le peu que je connais du film semble coller à cette idée.
En tout cas Zootopia me tente bien lui aussi.
En film Disney, y a Alice de l'autre côté du miroir que j'ai vu et qui est pas mal du tout. Un plaisir, aucune déception. Ça bouge beaucoup, y a pas mal de contenu, le film fait pile la bonne taille ni trop long ni trop court.
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