Eux contre nous (texte retiré)

Catherine tu réussis à nous accrocher dès les premières lignes, je trouve que tes récits sont de plus en plus prenants. Tu mènes cette histoire sans faiblir.
Je trouve juste dommage que l'idée soit un peu trop classique, on se doute qu'il y a une histoire de perception biaisée et que la folie rôde. ( J'ai d'ailleurs cru un moment que Luc n'existait que dans l'esprit du narrateur) .
J'ai moins ressenti l'angoisse que la peur   mais c'est aussi , on le voit sur le concours ,  une affaire de vécu.  En fait, dans mon esprit la peur est une réaction à un danger alors que l'angoisse peut être présente sans danger réel ou immédiat .

Merci de ta lecture Ulysse. C'est un texte assez classique, je suis d'accord. Et pour l'angoisse, je n'en sais rien, je suis pas sûre d'être vraiment dans le thème.

Bien écrit, clair, éfficace, pour moi ce sonts des paranos qui se fonts chopper par des flics a la fin, je ne met cette histoire que dans mon top 10 du concours pas le top 5.

Bien écrit, on se croit dans le monde futur avec un ennemi venu d'ailleurs. C'est juste un tandem de tueurs. Alors on se dit qu'on a plongé à fond. La fin est top. Bravo !

Merci pour ta lecture Malbordus. Et tu me classes où tu veux, aucun problème.  

Merci pour ta lecture Anouk. Et également pour ton commentaire. Si tu as apprécié, je suis contente.

Je me suis bien laissé prendre, et je pense que c'est l'essentiel !
Pas évident de trouver un "truc" avec une fin étonnante en 3000 signes. Ici, je trouve que c'est réussi, même si le côté "angoisse" vient plus du contexte que de l'ambiance du récit.

Merci Cancereugène. Contente que mon récit ait fait le boulot. Pour l'angoisse, elle n'est pas dans l'ambiance (ça j'y arriverai peut-être un jour, mais je n'en suis pas encore capable), elle est dans les personnages. C'est leur quotidien même si on peut dire que c'est plus de la peur que de l'angoisse. C'est sur le fil en fait. Alors, moi, je dis que c'est de l'angoisse.   

Catherine, aprés une nouvelle lecture je le trouve encore mieux ton récit, je t'ai lu plusieurs fois car je voulais bien comprendre, donc bien !

Merci de ces relectures Malbordus. Si elles t'ont permis d'apprécier encore plus mon texte, ce n'est que bonus.

Tu n'as pas commenté le miens ?

J'ai pas encore fini mes lectures, j'avance, mais je suis pas spécialement pressée. Ton tour viendra comme tous ceux qu'ils me restent à lire.

J’ai eu la même interrogation que Paladin et Perro.
Par contre, je n’ai pas fait le rapport avec les yeux bleus et les gyrophares, et donc, je n’avais pas deviné la chute.

S’il est vrai que l’angoisse n’est pas l’élément marquant du récit, l’incipit crée la tension en évoquant une crise à son paroxysme. L’atmosphère est très bien restituée, et le lecteur entre de plein pied dans une histoire qu’il devine peu banale.
Le premier paragraphe, que Hemingway aurait sans doute approuvé parce qu’il ne contient pas de mots inutiles, contribue à donner un rythme haletant grâce à ses phrases courtes. Le suspense est créé avec Mais ça, c’était avant, et le lecteur meurt d’envie de connaître la suite.

Concernant la forme, ton écriture est efficace. Je regrette seulement les phrases construites avec des propositions juxtaposées. Dans certains cas, elles peuvent correspondre à un effet de style, mais le plus souvent, je trouve que c’est une solution de facilité. Je précise qu’il y en a très peu dans ce texte et qu’il s’agit uniquement de mon goût personnel.

Catherine, je voulais insérer une rose rouge, mais je m'aperçois que cette icône a disparu. Serais-je devenue aveugle ?

@Léonox : fumier = ordure ?

T.

Oui, "ordure" est très bien, merci Tipram !

Quant à la rose rouge, il convient d'actionner le volet déroulant situé au-dessus des smileys pour la retrouver. Elle figure dans la catégorie "Joie et amour". La voici:  

Merci pour le tuyau, Léonox.

T.

Merci beaucoup pour ton commentaire Tipram. Il me fait très plaisir.