EHS (texte retiré)
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Ludwig
Didier Fédou
Paladin
Zaroff
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EHS (texte retiré)
Voici ma contribution faite pour l'AT "2012, fin de monde..." chez BienVenus sur Mars et qui vient d'être refusée. Le récit ne devait comprendre que cinq pages et je ne suis guère étonné de ce refus. Ce texte me plaisait sans plus malgré le thème de l'électro-hypersensibilité qui m'intéresse beaucoup. À vous de voir si ce récit vous plait. Merci à paladin pour ses conseils avant envoi.
Edit : lien supprimé pour acceptation publication webzine !Dernière édition par Zaroff le Mar 20 Jan 2015 - 16:23, édité 1 fois
Re: EHS (texte retiré)
C'est original, et la fin du monde bien amenée. Mais ce récit souffre d'un probleme de rythme.
Au début, on ne pige pas trop qui est qui et qui fait quoi. J'aurais aimé comprendre tout d'abord qui est électro-sensible, et les effets de la maladie, l'obligeant à vivre dans cet endroit. Plutot que de citer un exemple. Ensuite, parler des journalistes venus faire un reportage sur elle. Et préciser clairement que ça fait quelques temps qu'ils sont chez elle (combien de temps d'ailleurs ? Quand ils parlent de faire les provisions, on a l'impression que c'est une expédition mensuelle. Comme si la fin du monde avait déjà eu lieu). Parler du bébé est important aussi. C'est celui de la femme électrosensible ? Alors montrer les difficultés à s'occuper d'un nourrisson dans ces conditions, pour apporter un peu de profondeur.
Je crois me souvenir que tu avais des contraintes de taille, non ? Ces contraintes sont une aberration pour la littérature. Les anthologistes qui les imposent ne sont que des feignasses. Bref...
On arrive à la deuxième partie, à savoir la découverte du carnage. Tout ça manque cruellement de détails. Le silence, l'immobilité, le froid... un cadavre, un autre... La façon dont tu le présentes est très bien, ça prend graduellement, mais ça va trop vite. J'en voulais plus ! J'ai juste une remarque à faire : le gars comprend trop vite ce qui a pu tuer les gens quand il gueule pour la radio. Faire le lien juste avec l'affichette est un peu léger. Tu nous aurais montré des détails comme les ampoules des lampadaires explosées par une surcharge, un cadavre avec un portable carbonisé près de l'oreille, bref des morts près d'un appareil électrique, et là le gars aurait pu supposer que...
Bref, j'ai bien aimé, mais c'est 'achement trop court, et donc l'immersion ne se fait pas.
Au début, on ne pige pas trop qui est qui et qui fait quoi. J'aurais aimé comprendre tout d'abord qui est électro-sensible, et les effets de la maladie, l'obligeant à vivre dans cet endroit. Plutot que de citer un exemple. Ensuite, parler des journalistes venus faire un reportage sur elle. Et préciser clairement que ça fait quelques temps qu'ils sont chez elle (combien de temps d'ailleurs ? Quand ils parlent de faire les provisions, on a l'impression que c'est une expédition mensuelle. Comme si la fin du monde avait déjà eu lieu). Parler du bébé est important aussi. C'est celui de la femme électrosensible ? Alors montrer les difficultés à s'occuper d'un nourrisson dans ces conditions, pour apporter un peu de profondeur.
Je crois me souvenir que tu avais des contraintes de taille, non ? Ces contraintes sont une aberration pour la littérature. Les anthologistes qui les imposent ne sont que des feignasses. Bref...
On arrive à la deuxième partie, à savoir la découverte du carnage. Tout ça manque cruellement de détails. Le silence, l'immobilité, le froid... un cadavre, un autre... La façon dont tu le présentes est très bien, ça prend graduellement, mais ça va trop vite. J'en voulais plus ! J'ai juste une remarque à faire : le gars comprend trop vite ce qui a pu tuer les gens quand il gueule pour la radio. Faire le lien juste avec l'affichette est un peu léger. Tu nous aurais montré des détails comme les ampoules des lampadaires explosées par une surcharge, un cadavre avec un portable carbonisé près de l'oreille, bref des morts près d'un appareil électrique, et là le gars aurait pu supposer que...
Bref, j'ai bien aimé, mais c'est 'achement trop court, et donc l'immersion ne se fait pas.
Re: EHS (texte retiré)
Il y avait une contrainte de taille à 10 000 ou 12 000 signes, c'est hyper court pour developper une histoire!
Re: EHS (texte retiré)
C'est bien ce que je dis. De soi-disant éditeurs demandent des textes mais ils limitent l'imagination et le talent de l'auteur. Bande de p*d*s !
Re: EHS (texte retiré)
La première partie est un peu poussive, la contrainte de 5 pages bien-sûr aberrante...
J'adore la fin
J'adore la fin
Ludwig- Premier médaillé de l'Écritoire
- Messages : 242
Date d'inscription : 23/03/2012
Re: EHS (texte retiré)
Tu m'étonnes...
D'un autre côté, 5 pages c'est brutal comme une fin du monde!
Après rien ne t'empêche de la reprendre et la développer, je pense qu'il y a matière...
D'un autre côté, 5 pages c'est brutal comme une fin du monde!
Après rien ne t'empêche de la reprendre et la développer, je pense qu'il y a matière...
Ludwig- Premier médaillé de l'Écritoire
- Messages : 242
Date d'inscription : 23/03/2012
Re: EHS (texte retiré)
Je viens de supprimer le lien car ce récit paraîtra dans le webzine CORBEAU à la fin du mois, sous le titre de "Ondes mortelles".
Re: EHS (texte retiré)
Crotte ! Mais tu ne sais donc pas que tu ne peux présenter que des textes que j'ai déjà lus.
Néanmoins, félicitations.
Néanmoins, félicitations.
Re: EHS (texte retiré)
Félicitations, mon p'tit Zaroff!
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Date d'inscription : 29/11/2012
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