Les Hommes Noirs (Texte retiré)
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours hors-série :: Hors-série N°2 : Angoisse(s)
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Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
A défaut de pouvoir l'expliciter, tu as donné ton ressenti, Cancereugène!
Merci à toi!
Merci à toi!
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Aah, bon petit texte, parfaitement dans le thème. Et très bonne chute aussi. Dans le haut du panier, assurément.
Quelques critiques tout de même, juste pour dire quelque chose. Pas convaincu de citer nommément Belphégor dans le texte. Ok, vu le format, ça aide, mais libéré de contraintes de taille, il vaut mieux soigner tes descriptions pour nous y faire penser, le show don't tell, tu connais.
Après j'aurais aimé un peu plus de prises de risques dans le style. Plus moderne, un peu plus costaud. Ce n'est vraiment que ça qui m'as manqué, être scotché par l'écriture.
Du bon boulot. Merci.
Quelques critiques tout de même, juste pour dire quelque chose. Pas convaincu de citer nommément Belphégor dans le texte. Ok, vu le format, ça aide, mais libéré de contraintes de taille, il vaut mieux soigner tes descriptions pour nous y faire penser, le show don't tell, tu connais.
Après j'aurais aimé un peu plus de prises de risques dans le style. Plus moderne, un peu plus costaud. Ce n'est vraiment que ça qui m'as manqué, être scotché par l'écriture.
Du bon boulot. Merci.
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Merci Didier!
Oui, bien sûr, Show, don't tell! En fait, Belphégor est aussi un souvenir personnel, parce que ce feuilleton me terrifiait littéralement quand je le regardais vers 6 ou 7 ans, mais j’aurais pu ne pas le citer. D'ailleurs, ce n'était pas pour allonger la sauce, puisque j'ai dû au contraire réduire mon texte après la première version.
Oui, bien sûr, Show, don't tell! En fait, Belphégor est aussi un souvenir personnel, parce que ce feuilleton me terrifiait littéralement quand je le regardais vers 6 ou 7 ans, mais j’aurais pu ne pas le citer. D'ailleurs, ce n'était pas pour allonger la sauce, puisque j'ai dû au contraire réduire mon texte après la première version.
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Je me rends compte que mon commentaire n'était vraiment pas terrible.
J'essaie d'expliciter mon ressenti.
Le texte décrit une peur infantile. 75% du récit est une description de cette peur. C'est bien écrit, bien fait, ok, je ne dis pas que c'est sans intérêt, loin de là.
Et puis on a le paragraphe "impossible de se rappeler"... et là, on a en quelques lignes une vie entière est dilapidée dans des phrases extrêmement convenues "enfance heureuse et insouciante" "la vie amenait son lot de problèmes et d'inquiétudes" "ses angoisses concernaient l'avenir, le travail...", ce paragraphe tue à mon avis, le récit. C'est cliché, trop facile, et ça décrit tout de même toute la vie du gamin.
Et la chute tombe, (sans jeu de mots) comme un cheveu sur la soupe.
Elle m'a paru très artificielle, cette chute, car les hommes noirs de la peur infantile n'ont aucune raison d'être des employés des pompes funèbres, les enfants n'étant pas instruits de cette profession.
Je ne suis donc pas convaincu.
J'essaie d'expliciter mon ressenti.
Le texte décrit une peur infantile. 75% du récit est une description de cette peur. C'est bien écrit, bien fait, ok, je ne dis pas que c'est sans intérêt, loin de là.
Et puis on a le paragraphe "impossible de se rappeler"... et là, on a en quelques lignes une vie entière est dilapidée dans des phrases extrêmement convenues "enfance heureuse et insouciante" "la vie amenait son lot de problèmes et d'inquiétudes" "ses angoisses concernaient l'avenir, le travail...", ce paragraphe tue à mon avis, le récit. C'est cliché, trop facile, et ça décrit tout de même toute la vie du gamin.
Et la chute tombe, (sans jeu de mots) comme un cheveu sur la soupe.
Elle m'a paru très artificielle, cette chute, car les hommes noirs de la peur infantile n'ont aucune raison d'être des employés des pompes funèbres, les enfants n'étant pas instruits de cette profession.
Je ne suis donc pas convaincu.
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
"l'enfance heureuse et insouciante", opposée au "lot de problèmes et d'inquiétudes de la vie adulte", c'est un cliché, mais volontaire: c'est le cliché que les adultes ont de l'enfance, qu'ils idéalisent, en oubliant toutes les souffrances et les angoisses que peut ressentir un enfant.
Je ne dis pas que l'enfant avait peur de la mort (notion très vague pour un enfant) ni des employés des pompes funèbres, qu'il ne connait pas. Ce qui m'a guidé dans ce texte, ce sont les angoisses infantiles liées à la nuit, et à des "choses" indéfinies qui pourraient s'y trouver. Souvent, les enfants disent "les loups", mais pour eux il ne s'agit pas de l'animal, mais de ces peurs mal définies. Moi j'ai choisi de les représenter par des "hommes noirs", c'est là que je j'ai pensé à l'image de Belphégor, qui incarnait pour moi toutes ces peurs.
Ensuite, j'ai pensé aux angoisses de l'adulte, qui finalement se ramènent souvent à la peur de la mort, avec justement des images de néant et de nuit. C'est là que j'ai bouclé la boucle. Je crois même que je n'ai pensé aux pompes funèbres qu'au dernier moment.
Voila le cheminement de cette histoire, il n'est ni linéaire, ni vraiment logique. C'est plus des associations d'idées.
Elle m'a paru très artificielle, cette chute, car les hommes noirs de la peur infantile n'ont aucune raison d'être des employés des pompes funèbres, les enfants n'étant pas instruits de cette profession.
Je ne dis pas que l'enfant avait peur de la mort (notion très vague pour un enfant) ni des employés des pompes funèbres, qu'il ne connait pas. Ce qui m'a guidé dans ce texte, ce sont les angoisses infantiles liées à la nuit, et à des "choses" indéfinies qui pourraient s'y trouver. Souvent, les enfants disent "les loups", mais pour eux il ne s'agit pas de l'animal, mais de ces peurs mal définies. Moi j'ai choisi de les représenter par des "hommes noirs", c'est là que je j'ai pensé à l'image de Belphégor, qui incarnait pour moi toutes ces peurs.
Ensuite, j'ai pensé aux angoisses de l'adulte, qui finalement se ramènent souvent à la peur de la mort, avec justement des images de néant et de nuit. C'est là que j'ai bouclé la boucle. Je crois même que je n'ai pensé aux pompes funèbres qu'au dernier moment.
Voila le cheminement de cette histoire, il n'est ni linéaire, ni vraiment logique. C'est plus des associations d'idées.
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Paladin a écrit:"l'enfance heureuse et insouciante", opposée au "lot de problèmes et d'inquiétudes de la vie adulte", c'est un cliché, mais volontaire: c'est le cliché que les adultes ont de l'enfance, qu'ils idéalisent, en oubliant toutes les souffrances et les angoisses que peut ressentir un enfant.
Je dirais pas que c'est un cliché mais plutôt que c'est simplement relativiser. Quand on se retrouve sans boulot avec un crédit de 10 000euros sur le dos, on se dit que flipper de l'ombre imaginaire sur la porte de sa chambre d'enfance, c'était pas grand chose finalement. Ce qui est logique.
Sans parler de peur enfantine, ça marche aussi avec les peurs qu'on avait 5 ans en arrière. Même si la peur passée était pire que la présente, elle semble obligatoirement moins pire dans la mesure où elle est justement passée, qu'elle a trouvé une solution et n'est donc plus un problème actuel. Alors qu'à côté, la peur présente, elle, semble ne pas avoir d'issue. Bref, pour moi cette logique se tient.
Sinon, je pense que les enfants savent parfaitement ce qu'est la mort, ou au moins la notion de "disparition totale" (terme différent mais même idée).
D'ailleurs, je n'ai pas perçu, à la lecture, que les ombres dans la chambre d'enfant étaient forcément celles des pompes funèbres. Le type, en mourant, peut très bien se souvenir de ses peurs d'enfant et faire un parallèle, une association d'idées.
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
(édité à 13h20)
Une phrase d'accroche efficace suivie d'une jolie expression : "comme un corps rendu par la mer". Voilà qui place dans de bonnes dispositions. La suite m'évoque des terreurs nocturnes peuplées de cauchemars et/ou de visiteurs. L'angoisse est bien présente, et je la ressens d'autant mieux que j'ai expérimenté plusieurs fois, enfant, ce genre de terreurs nocturnes durant lesquelles on se sent observé. Par contre pour moi il s'agissait de cauchemars : je me réveillai en pleine nuit, angoissé, en sueur. Je me souviens que je retenais ma respiration, j’essayais de ne pas bouger d'un pouce... Sauf ma main droite qui avançait très lentement vers l'interrupteur (au niveau de mon lit) pour allumer la lumière d'un coup, le cœur battant. Autant le texte de Naëlle n'évoque rien pour moi (paralysie...), autant celui-là me parle. Avant de m'endormir, moi aussi j'étais rassuré par le bruit des parents et de la TV dans le salon. Je dormais même avec une veilleuse
J'ai donc beaucoup aimé cette ambiance dans ton texte. Je ferais juste une remarque : pour moi il manque une image forte qui accompagnerait ces silhouettes sombres pour les rendre vraiment angoissantes, moins quelconques. Expliquer moins qu'elles suscitent la terreur, l'horreur, mais la suggérer (tu connais pourtant bien le principe du show don't tell ) : par exemple elles penchent la tête bizarrement sur le côté ? Ou parler de regard "torve" (mot qui porte en lui quelque chose de malsain et angoissant je trouve) - ce sont 2 exemples à la con, tu vois l'idée. D'ailleurs, à l'inverse, "hiératique" pour moi ne colle pas bien à l'ambiance (la sémantique et le choix des mots est important). Même chose avec "miséricordieux" qui n'est peut-être pas à sa place.
Et puis vient cette chute (vraie surprise !). Je n'ai pas compris cette histoire de cercueil, ni le rapport avec le reste du texte. J'ai relu le texte, pensant qu'elle faisait office de révélation qui changerait le sens de celui-ci, mais non. Donc je ne vois pas. A moins que ce soit simplement un autre cauchemar ? Ou la poursuite de celui de la jeunesse, mais qui va plus loin en se développant d'avantage. Peut-être que tu veux faire un parallèle entre l'angoisse de la terreur nocturne et l'angoisse de la mort ? Quoi qu'il en soit, je n'aime pas cette chute, c'est dommage.
------------------------
En lisant les commentaires et surtout ton premier spoiler je suis rassuré dans le sens où j'avais à peu près compris ton intention (partie soulignée au dessus), mais vraiment, sur le moment, ce n'est pas clair du tout. Ce cercueil fait dérailler l'interprétation (à mon avis, bien sûr). D'ailleurs, tu expliques toi-même la "faiblesse" de cette chute : il s'agit d'associations d'idées, les tiennes. Or il y a peu de chance que le lecteur fasse les mêmes associations, et sans incertitude frustrante.
Malgré tout, c'est une bonne contribution à ce concours. L'angoisse y est, pas de doute !
Il y a des valeurs sûres sur ce forum.
Une phrase d'accroche efficace suivie d'une jolie expression : "comme un corps rendu par la mer". Voilà qui place dans de bonnes dispositions. La suite m'évoque des terreurs nocturnes peuplées de cauchemars et/ou de visiteurs. L'angoisse est bien présente, et je la ressens d'autant mieux que j'ai expérimenté plusieurs fois, enfant, ce genre de terreurs nocturnes durant lesquelles on se sent observé. Par contre pour moi il s'agissait de cauchemars : je me réveillai en pleine nuit, angoissé, en sueur. Je me souviens que je retenais ma respiration, j’essayais de ne pas bouger d'un pouce... Sauf ma main droite qui avançait très lentement vers l'interrupteur (au niveau de mon lit) pour allumer la lumière d'un coup, le cœur battant. Autant le texte de Naëlle n'évoque rien pour moi (paralysie...), autant celui-là me parle. Avant de m'endormir, moi aussi j'étais rassuré par le bruit des parents et de la TV dans le salon. Je dormais même avec une veilleuse
J'ai donc beaucoup aimé cette ambiance dans ton texte. Je ferais juste une remarque : pour moi il manque une image forte qui accompagnerait ces silhouettes sombres pour les rendre vraiment angoissantes, moins quelconques. Expliquer moins qu'elles suscitent la terreur, l'horreur, mais la suggérer (tu connais pourtant bien le principe du show don't tell ) : par exemple elles penchent la tête bizarrement sur le côté ? Ou parler de regard "torve" (mot qui porte en lui quelque chose de malsain et angoissant je trouve) - ce sont 2 exemples à la con, tu vois l'idée. D'ailleurs, à l'inverse, "hiératique" pour moi ne colle pas bien à l'ambiance (la sémantique et le choix des mots est important). Même chose avec "miséricordieux" qui n'est peut-être pas à sa place.
Et puis vient cette chute (vraie surprise !). Je n'ai pas compris cette histoire de cercueil, ni le rapport avec le reste du texte. J'ai relu le texte, pensant qu'elle faisait office de révélation qui changerait le sens de celui-ci, mais non. Donc je ne vois pas. A moins que ce soit simplement un autre cauchemar ? Ou la poursuite de celui de la jeunesse, mais qui va plus loin en se développant d'avantage. Peut-être que tu veux faire un parallèle entre l'angoisse de la terreur nocturne et l'angoisse de la mort ? Quoi qu'il en soit, je n'aime pas cette chute, c'est dommage.
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En lisant les commentaires et surtout ton premier spoiler je suis rassuré dans le sens où j'avais à peu près compris ton intention (partie soulignée au dessus), mais vraiment, sur le moment, ce n'est pas clair du tout. Ce cercueil fait dérailler l'interprétation (à mon avis, bien sûr). D'ailleurs, tu expliques toi-même la "faiblesse" de cette chute : il s'agit d'associations d'idées, les tiennes. Or il y a peu de chance que le lecteur fasse les mêmes associations, et sans incertitude frustrante.
Malgré tout, c'est une bonne contribution à ce concours. L'angoisse y est, pas de doute !
Il y a des valeurs sûres sur ce forum.
Max- Écritoirien émérite
- Messages : 779
Date d'inscription : 19/11/2012
Age : 36
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Effectivement, il s'agit plus d'associations d'idée entre les angoisses d'un enfants (des présences maléfiques) et les angoisses d'adulte (la mort) qu'une construction rationnelle.
Mais ma limite à me servir de ces souvenirs, c'est que dans mon enfance, si j'imaginais des présences, je ne leur donnait pas de forme particulière. Là encore, j'ai fait un rapprochement avec l'image de Belphégor qui, dans le feuilleton, apparait souvent hiératique, c'est à dire immobile, figé, ce qui contribuait à "l'inquiétante étrangeté "dont parle Freud, et Murphy dans un de ses textes : il n'avait pas besoin de pencher la tête ou d'avoir le regard torve: il était immobile, masqué, silencieux, un peu comme Michael Myers bien plus tard: l’absence d'expression du visage, de parole, de mouvement lui ôtait tout ce qui le fait ressembler à un humain.
concernant le terme "miséricordieux" je parle du "sommeil miséricordieux", parce que quand enfin je m'endormais, les angoisses étaient finies et je me réveillais le matin.
pour moi il manque une image forte qui accompagnerait ces silhouettes sombres pour les rendre vraiment angoissantes, moins quelconques
Mais ma limite à me servir de ces souvenirs, c'est que dans mon enfance, si j'imaginais des présences, je ne leur donnait pas de forme particulière. Là encore, j'ai fait un rapprochement avec l'image de Belphégor qui, dans le feuilleton, apparait souvent hiératique, c'est à dire immobile, figé, ce qui contribuait à "l'inquiétante étrangeté "dont parle Freud, et Murphy dans un de ses textes : il n'avait pas besoin de pencher la tête ou d'avoir le regard torve: il était immobile, masqué, silencieux, un peu comme Michael Myers bien plus tard: l’absence d'expression du visage, de parole, de mouvement lui ôtait tout ce qui le fait ressembler à un humain.
concernant le terme "miséricordieux" je parle du "sommeil miséricordieux", parce que quand enfin je m'endormais, les angoisses étaient finies et je me réveillais le matin.
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Oui, c'est vrai que Belphégor n'étant pas de ma génération, ça ne me touche pas forcément, mais pour ceux qui connaissent, j'imagine que ça doit véhiculer des images angoissantes qui me font défaut. "Miséricordieux" marche moyen dans ce sens, et c'est connoté, je trouve. Un terme plus neutre serait sans doute plus adapté. Ce n'est qu'une suggestion et un détail
Max- Écritoirien émérite
- Messages : 779
Date d'inscription : 19/11/2012
Age : 36
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Excellente chute, Pala !
T.
T.
Tipram- — — Sérénité du Levant — — Disciple du mot juste
- Messages : 1655
Date d'inscription : 07/03/2013
Age : 73
Localisation : Paris
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Beau tour de force que partir de la thématique du croque-mitaine pour basculer à celle du croque-mort en guise de chute. Un texte court, efficace comme un crochet au foie.
François Fischer- Plumitif éviscéré
- Messages : 225
Date d'inscription : 27/12/2014
Age : 47
Re: Les Hommes Noirs (Texte retiré)
Court et efficace ! L'angoisse monte vite mais pas brutalement. Pour ma part, je la trouve bien dosée. Et la dernière phrase fait office de dernier coup de marteau. Ce texte m'a fait un peu penser au Horla, de Maupassant.
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