Derniers films vus (ciné, DVD) 2017-2018-2019

Vu ce soir, le film Summer of 84, dans l'esprit des années 80 of course, avec une bande de 4 jeunes qui cherchent à démasquer un serial ailler en la personne de leur voisin. Franchement bien mené.On retrouve les bons vieux films d'époque. Et la fin change du happy ending classique. Franchement sympa ! à faire douter de nos voisins

J'ai vu Summer of 84 il y a quelque temps, ça se regarde bien en effet.

Vu 2 films sympas cette semaine.
You might be the killer : rien qu'avec le titre, j'étais convaincu que je devais voir ça !
L'idée de départ est vraiment sympa : un moniteur de vacances en sang fuit un tueur dans la forêt ; il se planque dans une cabane et appelle une amie spécialiste des films d'horreur (il a déjà appelé les flics avant, mais dans le coin, il n'y a qu'un shérif de 65 ans qui est déjà allé se coucher ; mais tout va bien, le moniteur a laissé un message sur répondeur pour demander de l'aide ^^). Bref, donc il demande à son amie (c'est l'actrice de Willow dans Buffy d'ailleurs) de le sortir de ce merdier en découvrant qui pourrait être le tueur parmi ses amis moniteurs (parmi ceux qui n'ont pas déjà été zigouillés, bien sûr).
De là, on suit d'un côté des flashbacks (le body count à l'écran nous aide à situer la chronologie des évènements) qui expliquent comment on en est arrivé là ; et de l'autre, comment le type va faire pour sortir de cette embrouille.

Bref, un hommage aux slashers vraiment génial. On retrouve la caméra embarquée derrière un masque pendant les meurtres (comme Halloween), un costume de tueur et un camp de vacances qui renvoient directement aux Vendredi 13, un scénario basé sur un échange au téléphone à la Scream (sauf qu'au lieu d'un tueur qui joue avec sa victime, c'est ici un victime qui demande de l'aide). Certaines des victimes s'appellent Fred et Nancy (bonjour Les griffes de la nuit), pas mal de "méta-blague" m'ont bien plu (du genre "- Donc je peux éliminer les monitrices de la liste des suspects ; le tueur est forcément un mec baraqué non ? - Va dire ça à la mère de Jason...) et plusieurs situations incontournables du slasher sont ici retournées avec brio.

Bon, après je dois admettre une légère perte de rythme sur la fin. Le concept de base est aussi simple que génial ; si bien que j'espérais quelques revirements qui ne sont jamais arrivés. Reste que dans le genre "petit film sans budget et sorti sans faire de bruit", celui-là sort bien du lot pour le fan d'horreur que je suis.

2e film sympa de la semaine : Mirage (2018). Un thriller espagnol qui joue sur les réalités alternées, un peu comme "L'effet papillon" mais en un peu moins incohérent.
A travers sa télé, une femme en 2018 est mise en lien direct avec un gamin des années 80 ; tous les deux vivent à la même date, mais avec 30 ans de décalage. Or, elle sait que ce gamin est mort dehors le soir-même et elle tente de le convaincre de ne surtout pas quitter sa chambre avant le lendemain. Sauf que... si le gamin ne meurt pas, à quel point le futur et donc la vie de la femme seront impactés ?
Pas parfait, qui ne joue pas assez avec les dilemmes moraux comme je l'aurais voulu, teinté par moments de romance (bon, ça reste léger au final, heureusement), mais qui se suit sans déplaisir quand même. Ce n'est clairement pas le meilleur film de ce réalisateur (à qui on doit la pépite Les yeux de Julia et l'intriguant El cuerpo) mais ça reste de bonne facture.

Deux pitchs qui me plaisent bien. Faut que je les case dans un tiroir de ma mémoire pour penser à les regarder.

Aujourd'hui j'ai fait une pause entre les copies et pendant la sieste de ma fille pour regarder Glass, le dernier film d'un de mes réalisateurs préférés M. Night Shyamalan. Ok, c'est vrai, il a eu comme qui dirait un "léger" passage à vide après une série de navets monumentaux (certains d'ailleurs classent injustement dans cette liste le film Le village, mais je ne suis pas d'accord). Mais quand même disons les choses comme elles sont : Sixième sens est, à mon sens, une leçon de réalisation et de scénarisation. Sans parler de la perfection visuelle de ce film. Quant à Incassable, ce film est tout simplement un sommet du septième art. Difficile de faire mieux. Chaque fois que je regarde (et mon Dieu, combien de fois ai-je pu le regarder ?), j'ai l'impression de découvrir non seulement le film dans son ensemble, mais des détails que je n'avais pas aperçu les fois précédentes. Glass, n'est autre que le troisième volet de la saga super-héroïque (mais le terme est réducteur) initié par incassable et par Split (encore un film qui m'a scotché ! Et que dire des dix, vingt dernières minutes... J'ai bien failli en chialer !). Autant dire que j'attendais de voir la bête (je parle du film, pas du personnage du même nom... encore que !). Or donc que dire ?
Je me suis pris ma baffe. Le dispositif est d'une simplicité enfantine, mais punaise, quelle efficacité ! Night Shyamalan réussit le pari à me tenir en haleine alors qu'objectivement il ne se passe pas grand chose pendant un bon tiers du film. Mais le travail des acteurs (James McAvoy est encore une fois très très impressionnant, Samuel L. Jackson semble s'être glissé avec délice dans la peau d'Elijah Price et Bruce Willis est parfaitement à sa place dans son rôle du père de famille justicier), le travail sur les ambiances, sur l'image et le son est simplement parfait et annonce, bien sûr, ce que sera la confrontation finale entre Dunn et la Bête. Shyamalan comme à son habitude, apparaît dans le film, mais aussi et surtout joue énormément avec les symboles (comme sur l'un des écrans de caméra de sécurité qui filmant l'arrivée de Dunn, affiche H20 (H vingt ou H2O ?, symbole essentiel dans la construction de Dunn), notamment sur les couleurs. Alors, c'est vrai, le film est parfois explicatif dans sa narration, notamment dans les 20 ou 30 dernières minutes, mais vous savez quoi ? On s'en fout ! Le film est à la fois simple et impressionnant (comme généralement tout ce qui est maîtrisé). J'ai adoré. Et il est clair qu'il va me falloir le revoir... Oh... disons une bonne centaine de fois !

Oui, Murphy, j'ai vu aussi Mirage, je n'en pense que du bien mais tu le dis mieux que moi.

Revu Suspiria de 1977 : toujours du mal à accrocher à "l'histoire" qui semble hyper décousue (un "reproche" récurrent avec Dario Argento, en ce qui me concerne), et toujours aussi fan du visuel (même si de nombreux effets ont mal vieilli, à commencer par le sang presque rose qui était sans doute déjà vieux à l'époque) et surtout du travail sonore.

Et enchaîné sur le nouveau Suspiria (2018)... qui aura au moins eu le mérite de me faire revoir l'original on va dire.
Ce remake a aussi un super visuel (pourtant, j'étais le premier à y aller à reculons en voyant qu'il se débarrassait des couleurs flashantes pour une variante affadie ; mais si le rendu est différent, on reste sur un bon jeu de nuances), et le scénario est un peu plus cohérent (même si j'avoue avoir décroché de ce côté, trop de longueurs). Il y a aussi quelques scènes mémorables (dès qu'on daigne se rapprocher un peu de l'horreur en fait).
Par contre, côté son, c'est un ratage complet. Pour n'importe quel autre film, je n'aurais peut-être rien remarqué mais là... Suspiria c'est quand même 95% d'ambiance à base de travail visuel et sonore quoi ! Quelle idée d'utiliser des musiques "tristes" ? Il n'y a rien de tel pour casser tout le potentiel horrifique d'une scène et l'échec saute d'autant aux yeux que la BO de l'original pourrait à être seule provoquer des cauchemars.

Ajouté à ça une vague impression de regarder quelque chose de prétentieux par moments, sans trop savoir d'où vient cette impression.

Bref, content d'avoir tenté ce visionnage malgré tous ces bémols ; il faut admettre qu'on a déjà vu bien pire en termes de remakes. Mais je m'éviterais un 2e visionnage quand même.

Suspiria de 1977, c'est un peu comme les films de Jean Rollin : c'est pas trop l'histoire, très décousue, qui compte, ni les dialogues complètement plats : le film est dans ses images, son esthétique de folie, son ambiance où la musique de Goblin est bien sûr pour beaucoup. On peut dire pareil pour le second volet, Inferno.
J'ai pas encore vu la version 2018, mais je crains un peu...

C'est même encore plus voyant avec Inferno, oui, qui enchaîne des "tableaux cauchemardesques" sublimes sans même essayer de les relier (là où Suspiria tente quand même d'uniformiser le tout, on va dire).
C'est dommage je trouve : un travail visuel de ce niveau sur un scénario solide, ça donnerait un chef d’œuvre monstre du cinéma. Après, c'est un parti-pris comme un autre, qui a le mérite de permettre des choses originales et sans "entraves" scénaristiques.

Suspiria 2018, je dirais qu'il faut le voir comme un film à part, pas comme un remake. D'ailleurs, le réalisateur dit que l'original le hantait dans son enfance ou, plus précisément, l'affiche de l'original le hantait, car il était trop jeune pour voir le film. Et effectivement, quand on voit ce "remake", on sent qu'il s'est construit à partir de l'affiche (celle avec la danseuse en sang sur fond noir) plutôt qu'à partir du film (même si on retrouve bien sûr les grandes lignes de l'histoire). Je dirais même que l'affiche en question correspond mieux au remake qu'à l'original.

Après, toute réticence mise à part, il faut aussi pouvoir se ménager 2h30 pour le visionnage, ce qui n'est pas toujours évident.

Vu The mimic 2017 (à ne pas confondre avec la trilogie Mimic de 90-2000), un "drame de hantise" coréen, c'est le terme qui définirait le mieux l'intrigue où l'aspect épouvante sert surtout à alimenter le thème du deuil. De ce point de vue, c'est un peu comme L'orphelinat en fait, même si les ambiances diffèrent.

On suit donc une mère, dont le fils a disparu depuis 5 ans, qui croise le chemin d'une entité (une sorte d'esprit enfermé dans la forêt) ayant pour particularité de ne communiquer qu'en imitant les autres (ça utilise leurs gestes, leurs paroles, et même leur voix et leur apparence).

L'intrigue n'est pas vraiment surprenante (le titre nous apprend déjà tout ce qu'il faut savoir) mais ça se suit vraiment avec plaisir malgré tout. La métaphore du deuil est efficace, le rythme est posé mais entraînant grâce à l'ambiance d'étrangeté mise en place, les quelques scènes horrifiques sont réussies sans effets putassiers (hormis quelques jumpscares par chance bien plus rares que la moyenne habituelle), la légende utilisée m'a beaucoup plu et nous change de ces énièmes films à base de démons chrétiens (tous les goûts sont dans la nature bien sûr, mais j'en ai vraiment ma dose des possédés et des nonnes qui fuient devant un crucifix).

Bref, pas le film du siècle mais qui sort quand même du lot par sa sobriété et son ambiance "mature" (dans le sens "sérieux et sans blague nulle pour détendre/gâcher l'atmosphère").

Vu Glass, qui attendait dans son coin depuis un moment.
Je crois que Silence en a parlé dernièrement. Je dois avouer que j'étais loin de partager son enthousiasme au départ. Incassable m'avait globalement ennuyé malgré ses bonnes idées ; Split m'avait carrément blasé tant l'ambiance me semblait "lisse" ; à aucun moment je n'avais ressenti la moindre tension. En fait, de façon générale, autant j'adhère aux idées de ce réalisateur, qui cherche toujours à surprendre, autant le résultat m'a rarement emballé (à part les fins "chocs", ses intrigues semblent trop souvent stagner).

Bref, malgré toutes ces "réticences", reste que la curiosité l'a emporté. Et la curiosité a bien fait !
Le film se suit sans déplaisir, on ressent par moments cette fameuse tension qui manquait cruellement à Split. La réalisation et les acteurs sont géants (ça, c'est une qualité qu'on retrouve dans presque tous les films de ce réalisateur).
Côté retournements de situation, rien de bien renversant ou d'inattendu pour cette fois mais qu'importe ; le tout fonctionne même sans provoquer une surprise monstre.

Spoiler:

Cela dit, j'ai vu que les critiques n'avaient pas été tendres, donc peut-être que la saga s'arrêtera là. Je ne comprends pas trop lesdites critiques d'ailleurs : sans être fan absolu du film, il passe bien le temps et propose de bonnes idées. Je ne vois rien qui justifierait de le descendre en flèche. Bon, après, vous me direz, les critiques sont abonnés à ce genre d'illogisme (Fight club avait été démoli à sa sortie ; et là encore, sans en être un fan absolu, je n'ai jamais compris cette déferlante).

Vu Le jour d'après de 83 que Catherine conseillait (je remarque d'ailleurs qu'elle en parlait en fait sur le topic Netflix... ce qui m'amène à poser une question qui me taraude depuis un moment : pourquoi un topic Netflix ? il fait inutilement doublon avec les topics films vus et séries vues et me perd plus qu'autre chose :/ ).

Bref, Le jour d'après est effectivement à la hauteur, comme Catherine le disait. On ne sent presque pas qu'il s'agit d'un téléfilm. Je veux dire, oui, les effets sont d'époque et ça se voit, de même que la qualité de l'image, et les personnages sont pour la plupart représentatifs de ce genre de fiction. Mais ça ne freine pas l'immersion ; on se laisse entraîner avec plaisir. Bon, un plaisir tout relatif parce que, dans l'idée, c'est quand même bien flippant et déprimant ; pour enfoncer le clou, un message de fin annonce que la réalité serait pire que cette fiction si jamais ça arrivait... Manquerait plus qu'on vende une corde en bonus avec le DVD en fait !

Bref, efficace, bien réalisé et prenant. Un très bon visionnage !

Ah contente que tu aies aimé ce film Murphy. C'est vrai que c'est flippant et déprimant parce qu'il y a un côté hyper réaliste qu'on ne trouve généralement pas dans les films de science-fiction. Je veux dire que les histoires de science-fiction peuvent être réalistes (et elles doivent l'être), mais ce n'est pas pour ça qu'on va y croire. Ici, on a l'impression que c'est presque un documentaire de comment ça se passerait si ça se produisait. Et c'est là, la grosse qualité de ce film. Surtout que malgré cette impression de réalité, ça reste quand même une histoire avec des personnages qui doivent faire face.

Vu récemment The Void, très bon petit fantastique aux effets spéciaux "old-school" (comprenez "non-numérique") et aux influences années 80 parfaitement assumées, notamment Carpenter et les histoires de SK. Très sympa, mais pas inoubliable non plus, disons que ça fait très bien le job pour un honnête divertissement de fin de soirée.

Ah oui et j'ai maté la trilogie Mad Max, dont je ne connaissais finalement pas grand-chose avant d'avoir vu Fury Road et je me suis juste é-cla-té !
Bon, le jeune Gibson est encore un peu vert (niveau jeu) sur le 1e, mais ça ne l'empêche d'incarner à la perfection un Max à la psyché aussi dévastée que le monde qui l'entoure. Le 2 est une véritable merveille post-apo' qui n'a étrangement pas pris une ride en près de 40 ans (visuellement c'est quand même une sacrée claque) et le 3e, malgré des ajouts rigolo à l'univers, ne prend véritablement sa dimension que dans son dernier tiers. Mais l'un dans l'autre, malgré les petites faiblesses des uns et des autres, ça reste une série d'excellente facture et qui n'a évidemment pas volé sa réputation.
Content je suis, d'avoir pu enfin pallier à cette énorme lacune !

J'avais parlé il y a pas longtemps de "You might be the killer".
Eh bien dans le même genre "petit film sorti sans faire de bruit / hommage-parodie aux slashers / qui valent bien plus le détour que 95% des grosses productions", je viens de tomber sur "The final girls" (Scream girl en VO), sorti en 2015.

Pour le petit résumé : "Une jeune femme faisant le deuil de sa mère, qui était une célèbre actrice des années 80, se retrouve projetée dans l'un de ses films. Les deux femmes désormais réunies vont tenter de combattre le meurtrier qui s'y trouve."

Alors l'humour n'est vraiment pas du genre à se fendre la gueule, mais j'aime toujours quand on s'amuse avec les codes du slasher (et surtout de Vendredi 13, camp de vacances oblige). Ici, on essaie d'identifier la fameuse "survivante" pour rester coller à ses basques et survivre, on amorce un strip-tease si on veut faire apparaître le tueur, etc (j'évite d'en dire plus côté "codes parodiés", la découverte sur le moment fait partie du plaisir du visionnage).
Il y a aussi une certaine inventivité, en toute simplicité, notamment avec le coup des flashbacks. Et la façon de filmer, sans être révolutionnaire, est bien plaisante (malgré l'usage de plans numériques par moments, mais ils sont assez bien faits pour ne pas être dérangeants).

Enfin, en dehors de l'aspect purement parodique/hommage, j'ai trouvé les personnages plutôt bien pensés. Je veux dire que l'air de rien, on traite le sujet du deuil (et de son déni) avec efficacité : l'un des personnages du film dans le film étant joué par la défunte mère de l'héroïne du film (vous suivez?).
C'est paradoxal d'ailleurs car je trouve toujours les personnages de parodies de slashers plus fouillés et "profonds" que les personnages des vrais slashers. Sans doute parce que justement, en jouant et se moquant des stéréotypes, ils arrivent à s'en extirper plus ou moins.

Seul bémol à mes yeux : le bêtisier dans le générique de fin, vraiment, faut arrêter avec ça. C'est jamais drôle, souvent lourd ; tant mieux s'il y avait une bonne ambiance de tournage, mais c'est à mes yeux aussi kitch et inintéressant que des vidéos de mariage de parfaits inconnus (ou même de proches, d'ailleurs ).

Vu hier Spider-Man Far From Home, avec mon petit gars.
Bon, c'était vraiment pour passer un moment avec mon fils, parce qu'en soi, pour qui connait la petite recette Marvel, rien de nouveau sous le soleil : de l'action et des péripéties sympa mais pas hallucinantes non plus, de l'humour bien calibré pour toute la famille et pas mal de clins d'oeil à l'univers gravitant tout autour, pour ne pas perdre de vue la fameuse "continuité" de cet univers étendu qu'on nous vend à toutes les sauces depuis plus de 10 ans. Donc oui, il y a de quoi ne pas s'ennuyer pendant 2h, mais rien qui nous donne envie de grimper au plafond non plus. Une ou deux scènes valent quand même le coup d’œil ceci dit (notamment les illusions autour de Mystério, toutes très réussies) et encore une fois, le casting tire l'ensemble vers le haut. J'aime particulièrement la jeune Zendaya, qui s'amuse ponctuellement à dégommer les clichés de la petite amie/princesse en péril (et c'est plutôt rafraîchissant), de même que Jake Gyllenhaal, toujours au top, qui incarne ici un Quentin Beck/Mysterio charismatique en diable.
Au final, un honnête divertissement Marvel (un de plus), qui s'il ne restera pas dans les annales, fait quand même le job... mais bon, j'aimerais bien un jour revoir un Spidey du niveau de ceux de Sam Raimi, qui eux sont toujours dans les mémoires. Certains feraient bien d'en prendre de la graine !