Le dernier né des Richards

Merci mon bon Zaroff, on verra bien la suite

Merci pour ta lecture et ton avis Françoise

je l'ai téléchargé je le lirai dès que possible...

Viens là que je t'engueule...

Spoiler:

Bordel, je suis possédé !!!

Merci DIdier Bon, je crois que j'ai fait le con sur ce coup-là. La prochaine fois je m'abstiendrai de participer si j'ai pas une idée qui déchire

La faiblesse c'est qu'au final on pas un vraie histoire, mais plus une série de commentaires rigolos sur les différentes images. Contrairement aux autres textes on ne peut suivre l'histoire sans voir les images et en ça tu ne t'es pas détaché du point de départ, c'est un peu dommage. Il y a une fin, que je trouve pas mal trouvée, mais elle n'est pas un aboutissement en fait, chaque passage sur les tableaux étant indépendants du reste. Cela fait un manque de cohésion de l'ensemble. Pourtant je sens que tu t'es marré à écrire ça! C'est plutôt agréable à lire, on rigole bien à te suivre dans tes délires. C'est du Lestat mais ça fait penser un peu à du Maerlyn, par moment!

Tu aurais pu, mais ça aurait été un travail gros et long (Non Para, j'ai pas fais de blague de cul cette fois!) faire comme dans les films à sketches et imaginer une petite histoire courte pour chaque image, et la fin serait bien tombée. Mais même si le dialogue père-fils est bien trouvé et drôle à chaque fois, il n'y a pratiquement jamais de vraies histoires, justes de anecdotes. Te connaissant, tu as du t'y mettre trop tard sinon tu nous aurais pondu un truc bien plus abouti, alors que là on a une série de blagues qu'on raconte à table aux copains: c'est marrant, mais ça ne constitue pas une nouvelle.

Merci Pala

Oui en effet, l'idée m'ait venu assez tard, et j'ai sauté dessus parce qu'en fait j'avais rien trouvé depuis l'annonce des photos quelques mois avant, et rien ne voulait venir, donc j'allais pas attendre encore pour finalement ne pas participer. VOilà, ça donne ça... après je sais pas, contrairement à d'autres concours, sur celui-ci je n'avais aucun retour avant de le poster, donc si quelque chose clochait, j'ai pas pu rectifier le tir avant la date limite.

Ta nouvelle ressemble plus à une tranche de vie qu'à une structure dramaturgique. Pourquoi pas, je ne suis pas contre. Cependant, ce n'est pas pour autant que tu surprends. À vrai dire, la fin me laisse perplexe. T'as expédié ça à la va-vite, je pense. Comme si tu étais pressé d'en finir.
J'ai aimé le ton entre le père et le fils (Zaroff peut avoir tort et raison à la fois en ce qui concerne le même niveau de langage entre eux. De nos jours, y a moins de différences que dans le passé, voire plus aucune si l'enfant en est au moins à l'adolescence. Les adultes d'aujourd'hui, et depuis la génération 68, sont plus infantilisés que les générations d'avant. Je rencontre pas mal de personnes arrivées à la retraite qui parlent encore comme des jeunes, parfois carrément comme des jeunes d'aujourd'hui, ou au minimum du temps de leur jeunesse. Le nombre de cinquantenaire dont j'ai ententu dire " neuf trois " ou " neuf quatre ", dès que c'est passé dans le langage courant, pour signaler leur département est assez manifeste).
Le style est correct.
Le résultat final est moyen à mes yeux. Donc note moyenne.
Peut mieux faire. Élève dissipé. Chahute au fond de la classe et se colle au radiateur. Parfois, imite des zombies. Parents à convoquer d'urgence.

N.B : La soupe aux choux est une adaptation d'un roman de René Fallet, à qui on doit aussi les célèbres « Les vieux de la vieille », « Un idiot à Paris » et « Le beaujolais nouveau est arrivé ». Le roman est de loin meilleur que le film dont Louis de Funès lui-même a travaillé sur l'adaptation. Fallet était un grand ami de Georges Brassens (inséparable ; il existe une interview vidéo des deux très intéressante sur Daily ou You Teub), de Marcel Aymé et d'Audiard (ce dernier a travaillé sur les dialogues des adaptations de « Les vieux de la vieille » et de « Un idiot à Paris »).

Merci pour ta lecture et ton avis Para

Merci pour l'anecdote, je l'ignorais.

Peut mieux faire. Élève dissipé. Chahute au fond de la classe et se colle au radiateur. Parfois, imite des zombies. Parents à convoquer d'urgence.

Et moi qui m’inquiétais de la longueur ! Lestat qui nous fait du presque court ! Tout arrive !
Et bien, contrairement à mes petits camarades de bac à sable, j'ai bien aimé. Un peu comme une tranche de vie, un bout de quelque chose. Pas transcendant mais amusant. La fin est un peu expédiée ou manque de force, je ne sais pas.
Bref, un texte sympa mais auquel il manque un petit truc.

Merci Catherine

Hmm, y a pas grand chose qui marche dans ce texte.
Le plus gros problème, c'est qu'il n'y a pas d'histoire en fait. Ce qui ressemble à une trame principale avec le fils rendant visite au grand-père mourant ne mène à rien au final.
Ensuite, y a l'idée de la galerie de tableaux. Je pense que ça aurait pu marcher. Faire une sorte d'anthologie de mini-récits. Mais là, on est plus au niveau de l'anecdote, et sans aucun liant tangible (ou pertinent tout du moins) entre elles.
Pour finir, même au niveau de tes persos, ce n'est pas une réussite. Autant le fiston avait l'air d'avoir une personnalité un peu travaillée, autant le daron m'a semblé virevolter au gré des anecdotes, on a du mal à y voir un vrai perso.

Désolé Lestat, mais c'était vraiment faiblard.