Conte de Poivrot (texte retiré)

Récit de Lester L. Gore :

Conte de poivrot

Excellent et surréaliste comme j'aime ! Le chat, il s’appellerait pas Bébert par hasard ?

Yep !
Je l'ai lu y a quelques jours et j'ai même pas déposé ma critique...

Le contexte, l'absurdité, les personnages, le lieu, les dialogues, le greffier...
Je suis en terrain connu, dans mon élément !
Rien ne m'a choqué, j'ai siroté tout ça comme du petit Williams !

Bien joué, Lester, t'en as d'autres ?

Merci, les gars. Non, Zaroff, je ne sais même pas comment s'appelle le chat. Les miens s'appellent Raoul, Bonnie et Clyde, mais aucun rouquin à la maison pour le moment. Ce texte est paru dans une antho consacrée aux chats chez l’œil du Sphinx, il y a ... Longtemps ! J'aime bien placer un peu d'ironie dans mes histoires, et celle-là se prêtait bien au ton décalé. Des autres, je sais pas : j'aimerais bien trouver le temps de composer un deuxième recueil, avec des inédits ou des déjà-parues mais introuvables... Mais je vais gratter les fonds de tiroir et essayer de vous en remettre une autre.

Je faisais bien évidemment référence à Bébert, le chat de Céline.

Impardonnable je suis ! J'ai pourtant lu un truc sur Bebert il y a peu de temps ! Cerveau ramolli...

Voilà, c'est ça ! J'écrivais un article sur les chats d'écrivains, et je suis tombé sur la critique de ce livre ! Dès que je le trouve, je me le lis. Merci, Comte...

Tout est bon dans le chat ??? Morceau choisi avec beaucoup de goût, Maître Lester... Comme dit précédemment, la dérision me comble, le thème est très bien amené avec malice. J'en redemande !!! ( je sais j'ai d'autres histoires de toi à lire et ... le temps n'est pas trop propice aux lectures mais là ... ça coulait tout seul ).

Merci pour le retour, Françoise. Mon maître pour les histoires courtes est Fredric Brown,
comme lui j'essaie toujours de glisser un peu d'humour... Parfois, ça marche.

lester l gore a écrit:Merci pour le retour, Françoise. Mon maître pour les histoires courtes est Fredric Brown,

Tu m'étonnes ! Fantômes et farfafouilles... quel bonheur !

J'ai dû lire ce recueil dix fois. Mon exemplaire chez Denoel en est tout farfafouillé...

De nombreuses phrases supers biens trouvées ! Ca m'a fait penser à du Bernard Werber (que j'admire beaucoup !), pour le thème.

C'est gentil, Sweetie, mais, comment dire... Si tu ne veux pas me visser de travers, évite de me comparer à werber, cette calamité de l'écriture, ce fléau des belles-lettres, ce gourou de pacotille.

Lester, Werber... c'est presque pareil ! Vous êtes jumeaux en fait.