La porte au bout du couloir (Texte retiré)
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°16 : Cauchemar (venu) du fond des âges.
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Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Les jeux de miroir entre le rêve et la réalité, l’exploration consciente des rêves, sont des thèmes qui m’ont toujours captivé (j’ai même dans ma bibliothèque le livre d’un auteur du 18ème siècle sur la façon de diriger ses rêves). Je suis très bien entré dans ton histoire et je l’ai lue d’une traite.
- Spoiler:
- Elle progresse bien, avec ses pallier successifs, les cauchemars, la tentative d’explication psychologique et psychanalytique, le sadisme, la révélation de la monstruosité générale de l’humanité, et la mise en abyme à la fin. Je trouve ce texte très lovecraftien. D’abord dans les thèmes, les cauchemars, l’évocation de civilisations disparues, la paranoïa, le dieu mauvais . Dans le ton aussi, qui est celui d’une irrémédiable tristesse, sans jamais la moindre parcelle de joie, du côté solaire de la vie, même dans l’aventure sentimentale avec Cynthia. Il y a aussi l’autre versant, les jouissances perverses, dans le rêve et ensuite dans la réalité, mais si le personnage les évoque, il ne nous les fait pas ressentir. Comme généralement les héros de Lovecraft, il reste du côté du Bien.
Sans doute cette histoire aurait-elle pu être davantage développée, mais, en bon habitué des textes courts, elle me convient très bien.
Tobermory- Écritoirien émasculé
- Messages : 397
Date d'inscription : 08/07/2015
Age : 73
Localisation : Montpellier
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Merci Tobermory !
Comme je l'ai dit, je sais que cette histoire aurait gagné à être développée, et en général j'écris des textes plus longs, mais celle-là m'a demandé un tel travail d'écriture qu'au bout de quinze jours, j'étais absolument incapable d'en faire plus !
Les rêves et les moyens de les diriger, de Léon d'Hervey de Saint-Denys... Tiens je vois qu'on le trouve en ligne, en format PDF : http://arbredor.com/ebooks/LesReves.pdf, et aussi https://fr.wikisource.org/wiki/Les_R%C3%AAves_et_les_moyens_de_les_diriger
Comme je l'ai dit, je sais que cette histoire aurait gagné à être développée, et en général j'écris des textes plus longs, mais celle-là m'a demandé un tel travail d'écriture qu'au bout de quinze jours, j'étais absolument incapable d'en faire plus !
Les rêves et les moyens de les diriger, de Léon d'Hervey de Saint-Denys... Tiens je vois qu'on le trouve en ligne, en format PDF : http://arbredor.com/ebooks/LesReves.pdf, et aussi https://fr.wikisource.org/wiki/Les_R%C3%AAves_et_les_moyens_de_les_diriger
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Un très très bon texte, Henri, j'ai été emporté de bout en bout, c'est bien amené, avec une progression qui intrigue et captive. L'évolution du récit est logique et psychologiquement fort. La conclusion fait froid dans le dos... Vraiment excellent, bravo
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Bonjour Paladin,
Une nouvelle de très haute tenue. On reconnait tout de suite l’auteur qui a des lettres et sait épurer son style. Comme quoi, il est possible d’écrire à la première personne, quasiment sans dialogues, tout en proposant un récit passionnant à la structure dynamique.
Le texte collait parfaitement à l’AT Présences d’esprits/vision du futur/ma vie est incertaine. Je ne sais pas si tu l’as soumis à temps, si cela t’intéressait bien entendu.
J’ai souris avec les passages sur Freud. Ce n’est pas avec toi que le Sieur va perdre sa réputation d’obsédé sexuel^^.
L’idée du rêve lucide est parfaitement exploitée. Cela permet au protagoniste de faire des choix (contraints par ses déductions corrompues ?) et de révéler sa nature profonde.
Le héros s’enfonce dans sa folie, par palier, et chaque analyse de sa situation dégrade un peu plus sa cognition (phénomène de dissonance ?). Comme celui qui, conscient de s’être fait arnaquer par sa voyante, va voir un marabout. J’ai remarqué une très bonne évolution de personnage. Le glissement progressif entraine un inversement complet de la réalité vécue par celui-ci. On suit avec intérêt et un fond d’angoisse cette plongée dans les tréfonds de sa psyché. Symboliquement, son cauchemar le fait descendre des escaliers au fur et à mesure qu’il perd l’entendement.
La boucle est bouclée à la fin. J’ai vraiment aimé cette chute qui magnifie encore plus ce superbe récit.
Le parfum Fantastique fait douter de la réalité prétendument palpable. Et s’il avait raison, si nous n’étions que des chimères ? Si tout n’était que songe ? Suis-je bien en train d’écrire un commentaire sur mon ordinateur ?
Une nouvelle de très haute tenue. On reconnait tout de suite l’auteur qui a des lettres et sait épurer son style. Comme quoi, il est possible d’écrire à la première personne, quasiment sans dialogues, tout en proposant un récit passionnant à la structure dynamique.
Le texte collait parfaitement à l’AT Présences d’esprits/vision du futur/ma vie est incertaine. Je ne sais pas si tu l’as soumis à temps, si cela t’intéressait bien entendu.
J’ai souris avec les passages sur Freud. Ce n’est pas avec toi que le Sieur va perdre sa réputation d’obsédé sexuel^^.
L’idée du rêve lucide est parfaitement exploitée. Cela permet au protagoniste de faire des choix (contraints par ses déductions corrompues ?) et de révéler sa nature profonde.
Le héros s’enfonce dans sa folie, par palier, et chaque analyse de sa situation dégrade un peu plus sa cognition (phénomène de dissonance ?). Comme celui qui, conscient de s’être fait arnaquer par sa voyante, va voir un marabout. J’ai remarqué une très bonne évolution de personnage. Le glissement progressif entraine un inversement complet de la réalité vécue par celui-ci. On suit avec intérêt et un fond d’angoisse cette plongée dans les tréfonds de sa psyché. Symboliquement, son cauchemar le fait descendre des escaliers au fur et à mesure qu’il perd l’entendement.
La boucle est bouclée à la fin. J’ai vraiment aimé cette chute qui magnifie encore plus ce superbe récit.
Le parfum Fantastique fait douter de la réalité prétendument palpable. Et s’il avait raison, si nous n’étions que des chimères ? Si tout n’était que songe ? Suis-je bien en train d’écrire un commentaire sur mon ordinateur ?
Collapsus- Plumitif éviscéré
- Messages : 231
Date d'inscription : 21/01/2020
Age : 59
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Merci Collapsus !
Je dois dire que je me suis senti obligé, pour "aérer" la narration, d'intégrer un petit dialogue avec Cynthia, qui n'était peut-être pas nécessaire. Souvent, chez Lovecraft, il n'y en a pas du tout.
non, je n'avais pas vu cet AT, c'est dommage ! Peut-être ce texte pourra-t-il convenir à un autre !
Oui, l'histoire de "L'homme aux loups " est une des plus célèbres des "Cinq psychanalyses" de Freud. Mais il ne faut pas oublier que Freud vivait dans la société bourgeoise de Vienne au début du XXème siècle, très puritaine, où tout ce qui était sexuel était tabou. Il a justement mis à jour que ce qui était refoulé dans l'inconscient revenait sous des formes symboliques, comme dans les rêves. C'est pour ça qu'il donne tant d'importance à la sexualité, niée à son époque, qu'il voit resurgir partout sous des formes détournées, chez ses patients (Sans doute même en en rajoutant). On ne peut surement pas aborder le sujet de la même façon dans nos sociétés modernes hyper sexualisées.
Tout cette histoire est-elle, pour le narrateur, la révélation d'une vérité cachée, ou un pur délire ? Je laisse le lecteur juger.
En effet, en es-tu bien sûr ?
Merci encore pour ton retour, Collapsus.
il est possible d’écrire à la première personne, quasiment sans dialogues, tout en proposant un récit passionnant à la structure dynamique.
Je dois dire que je me suis senti obligé, pour "aérer" la narration, d'intégrer un petit dialogue avec Cynthia, qui n'était peut-être pas nécessaire. Souvent, chez Lovecraft, il n'y en a pas du tout.
Le texte collait parfaitement à l’AT Présences d’esprits/vision du futur/ma vie est incertaine. Je ne sais pas si tu l’as soumis à temps, si cela t’intéressait bien entendu.
non, je n'avais pas vu cet AT, c'est dommage ! Peut-être ce texte pourra-t-il convenir à un autre !
J’ai souris avec les passages sur Freud. Ce n’est pas avec toi que le Sieur va perdre sa réputation d’obsédé sexuel^^.
Oui, l'histoire de "L'homme aux loups " est une des plus célèbres des "Cinq psychanalyses" de Freud. Mais il ne faut pas oublier que Freud vivait dans la société bourgeoise de Vienne au début du XXème siècle, très puritaine, où tout ce qui était sexuel était tabou. Il a justement mis à jour que ce qui était refoulé dans l'inconscient revenait sous des formes symboliques, comme dans les rêves. C'est pour ça qu'il donne tant d'importance à la sexualité, niée à son époque, qu'il voit resurgir partout sous des formes détournées, chez ses patients (Sans doute même en en rajoutant). On ne peut surement pas aborder le sujet de la même façon dans nos sociétés modernes hyper sexualisées.
Tout cette histoire est-elle, pour le narrateur, la révélation d'une vérité cachée, ou un pur délire ? Je laisse le lecteur juger.
Et s’il avait raison, si nous n’étions que des chimères ? Si tout n’était que songe ? Suis-je bien en train d’écrire un commentaire sur mon ordinateur ?
En effet, en es-tu bien sûr ?
Merci encore pour ton retour, Collapsus.
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
J'ai beaucoup aimé l'idée. Il faut dire que le flou sur la réalité, un de mes thèmes préférés, et l'ambiance glauque qui va avec ne pouvaient que me plaire.
Le style est bon, mais j'ai trouvé dommage d'opter pour une narration "en survol" à la Lovecraft. Le narrateur résume les faits plus qu'on ne les vit avec lui. Après, c'est sûr, faire vivre les évènements décrits en direct aurait supposé un nombre de pages bien plus conséquent et ce n'était pas forcément ta volonté de t'attarder en la matière. Ou peut-être que, tout simplement, tu as préférée cette optique lovecraftienne pour participer à l'ambiance générale ? Dans tous les cas, je trouve quand même ça dommage car l'idée envoie du lourd et j'aurais aimé m'immerger davantage dans cette histoire.
Sinon, le thème est parfaitement respecté et l'histoire se lit avec (grand) plaisir. C'est fluide, clair, sans temps mort. Bref, n'en seraient les 2 bémols cités plus haut, je n'aurais quasiment rien à redire.
Le style est bon, mais j'ai trouvé dommage d'opter pour une narration "en survol" à la Lovecraft. Le narrateur résume les faits plus qu'on ne les vit avec lui. Après, c'est sûr, faire vivre les évènements décrits en direct aurait supposé un nombre de pages bien plus conséquent et ce n'était pas forcément ta volonté de t'attarder en la matière. Ou peut-être que, tout simplement, tu as préférée cette optique lovecraftienne pour participer à l'ambiance générale ? Dans tous les cas, je trouve quand même ça dommage car l'idée envoie du lourd et j'aurais aimé m'immerger davantage dans cette histoire.
- Spoiler:
- Autre bémol, beaucoup plus subjectif celui-là, j'ai trouvé dommage de ramener l'origine de la monstruosité humaine à une entité. L'idée que le mal vient de l'humanité me semble plus accrocheuse et "originale" que de blâmer une déité pour ça, et ce revirement a un peu casser l'ambiance à mes yeux : le texte tend d'abord vers une bestialité humaine, puis semble dédouaner les humains en seconde partie en mentionnant qu'une créature les a créés ainsi.
Mais, je le répète, on entre là dans le côté "philosophique" du texte, parfaitement subjectif, et qui n'empiète en rien sur les qualités factuelles de cette histoire.
Sinon, le thème est parfaitement respecté et l'histoire se lit avec (grand) plaisir. C'est fluide, clair, sans temps mort. Bref, n'en seraient les 2 bémols cités plus haut, je n'aurais quasiment rien à redire.
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Merci Murphy !
Je dois dire que ce n'est pas pour imiter Lovecraft, mais je n'ai pas réussi à raconter l'histoire, à la première personne, autrement que par cette narration. Comme je l'ai dit à Collapsus, j'ai intégré un court dialogue parce que je pensais que ça manquait, mais sans être convaincu. La difficulté vient du fait que l'histoire est principalement dans le vécu du narrateur, son ressenti, il ne m'est pas paru possible de les raconter autrement. Et, je le répète, j'ai eu beaucoup de mal à rédiger ces - à peine - moins de 17 000 signes !
Pour la monstruosité, elle est à quatre niveaux ;
Je dois dire que ce n'est pas pour imiter Lovecraft, mais je n'ai pas réussi à raconter l'histoire, à la première personne, autrement que par cette narration. Comme je l'ai dit à Collapsus, j'ai intégré un court dialogue parce que je pensais que ça manquait, mais sans être convaincu. La difficulté vient du fait que l'histoire est principalement dans le vécu du narrateur, son ressenti, il ne m'est pas paru possible de les raconter autrement. Et, je le répète, j'ai eu beaucoup de mal à rédiger ces - à peine - moins de 17 000 signes !
Pour la monstruosité, elle est à quatre niveaux ;
- Spoiler:
- le premier, le narrateur pense qu'il existe n certain nombre d'entités maléfiques cachées derrière les humains.
Deuxième niveau : en réalité, tous les humains sont des entités maléfiques, derrière le vernis civilisé.
Troisième : ces entités ont été créées par un mauvais démiurge qui se réjouit de les voir s'entretuer, donc le mal est bien dans leur nature.
Quatrième : l'univers lui-même ne serait peut-être que le cauchemar de ce démiurge, au point de mettre en doute son existence.
Mais tout cela est purement subjectif. Réalité ou folie du narrateur ?
Dernière édition par Paladin le Dim 17 Mai 2020 - 21:50, édité 2 fois
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Oui, j'imagine que ça n'a pas du être évident à rédiger. Et je comprends d'autant la difficulté à venir à bout de l'écriture d'un texte que j'ai eu le même soucis sur mon propre texte.
Les 4 niveaux sont bien vus et bien amenés en tout cas, ils insufflent du rythme tout en conservant l'aspect "folie" du personnage.
Les 4 niveaux sont bien vus et bien amenés en tout cas, ils insufflent du rythme tout en conservant l'aspect "folie" du personnage.
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Un bon texte, une bonne idée, un thème respecté sans souci et un final très bien trouvé. Mais il me manquait un petit truc sans que j'arrive à mettre le doigt dessus. C'est la lecture des commentaires qui m'a fait tilter. Enfin, pour être précise, le commentaire de Murphy. Je plussoie son premier bémol sur le côté un peu survolé et résumé qui m'a un peu empêché de totalement entrer dans le texte.
Quelques coquilles sans gravité.
Mais autrement, c'était très agréable à lire.
Quelques coquilles sans gravité.
Mais autrement, c'était très agréable à lire.
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Merci Cath' !
Oui, moi-même j'ai ressenti cette impression de "survol", mais je n'ai pas pu faire mieux !
Oui, moi-même j'ai ressenti cette impression de "survol", mais je n'ai pas pu faire mieux !
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Un très bon texte ! Tu respectes bien le thème en le mêlant à un thème que j’apprécie puisque familier, le rêve lucide. Bonne progression de l'histoire, la descente aux enfers est progressive, bien dosée. Tout y est logique, justifié. Jusqu’à la fin qui se mord la queue, un petit tour que j'apprécie toujours en matière de nouvelles.
Je suis néanmoins restée un peu extérieure à la narration, sans toutefois en décrocher. Si j'avais un bémol, ce serait que pour une idée si bien menée et qui en plus traite d'un thème qui me plaît, la narration aurait pu être un poil plus inclusive. Mais au final j'ai beaucoup aimé !
Je suis néanmoins restée un peu extérieure à la narration, sans toutefois en décrocher. Si j'avais un bémol, ce serait que pour une idée si bien menée et qui en plus traite d'un thème qui me plaît, la narration aurait pu être un poil plus inclusive. Mais au final j'ai beaucoup aimé !
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
- Messages : 5782
Date d'inscription : 04/05/2015
Age : 48
Localisation : au fond à droite
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Merci Raven !
Oui, plusieurs ont eu cette impression d'extériorité, et moi aussi en l'écrivant ! Mais je n'ai pas pu faire mieux !
Oui, plusieurs ont eu cette impression d'extériorité, et moi aussi en l'écrivant ! Mais je n'ai pas pu faire mieux !
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
J'ai beaucoup aimé.
J'ai peut-être un peu trop lu d'horreur psychologique et je suis devenu assez réfractaire aux fous, sanatorium et autres asiles -pour des préjugés, hein, je sais que c'est bête. Ce n'est donc pas tant l'idée qui m'a plu mais ta façon de la mener. C'est très technique de dérouler un récit aussi claustrophobe, en gardant un rythme et sans lâcher le lecteur. Tu as très bien retranscrit la dépersonnalisation de ton personnage. Il est possible que quelques heures de travail en plus assouplissent encore les rouages de cette belle mécanique, car j'ai senti de légères frictions à certains moments. Mais bon, nul doute que ce texte va être bien classé!
J'ai peut-être un peu trop lu d'horreur psychologique et je suis devenu assez réfractaire aux fous, sanatorium et autres asiles -pour des préjugés, hein, je sais que c'est bête. Ce n'est donc pas tant l'idée qui m'a plu mais ta façon de la mener. C'est très technique de dérouler un récit aussi claustrophobe, en gardant un rythme et sans lâcher le lecteur. Tu as très bien retranscrit la dépersonnalisation de ton personnage. Il est possible que quelques heures de travail en plus assouplissent encore les rouages de cette belle mécanique, car j'ai senti de légères frictions à certains moments. Mais bon, nul doute que ce texte va être bien classé!
Re: La porte au bout du couloir (Texte retiré)
Merci Hellaz !
Oui, il y a eu de légères frictions, tellement à certains moments j'en ai eu marre !
Oui, il y a eu de légères frictions, tellement à certains moments j'en ai eu marre !
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