Trantor est JMDV, JMDV est Jean-Marc De Vos.

Trantor est JMDV, JMDV est Jean-Marc De Vos.

Ma présentation en quatrième de couverture est celle-ci :
Enfant du baby-boom, élevé dans l’insouciance des trente glorieuses, Jean Marc De Vos a nourri son imaginaire dans les textes des maîtres de l’âge d’or de la science-fiction.
À l’heure de la retraite, pas trop loin de sa Cité Ardente natale, il s’est posé dans les campagnes de Hesbaye où, lorsqu’il n’écrit pas de roman, il s’adonne au Ukulélé.

Je profite de l’hospitalité offerte par l’Écritoire des Ombres pour exposer ici mes publications.

Le premier roman, L'Ambassadeur, une histoire de SF Galactique avec un héro, des aliens, une menace contre l'univers...

Le second roman, Leodiensia Data, une histoire d'anticipation, aux frontières du polar et du thriller, mèlant légendes et sociétés secrètes...

Le troisième, DJAARHS !, revient à la SF pure et dure, dans un monde dystopique dirigé par des aliens insectoïdes géants :-)

Le quatrième, Dissidence, une  enquête de police ordinaire qui révèle une menace contre l'humanité...

Le cinquième, L'Immortelle de Maison-Ville, une dystopie dans l'univers hallucinant du plus grand immeuble  bidon-ville du monde, huit millions d'habitants...

Le sixième La seconde loi du caméléon, un polar d'espionnage dystopique animé par des anti-héros qui valent le détour.

Tout ces romans sont disponibles sur Amazon, ou chez moi. Je peux vous les envoyer en Belgique et en France, sans frais via Mondial Relay.

Je profite de l’hospitalité offerte par l’Écritoire des Ombres pour exposer ici ma première publication. Initialement, je la gardais un peu sous le pied, la diffusant au sein des cercles de mes amis et de mes réseaux. Non pas que je désirais la cacher, mais, ayant démarché quelques éditeurs, je ne souhaitais pas qu’elle soit trop diffusée avant d’avoir reçu les réponses.
Mais depuis peu, elle s’échappe, elle commence à apparaître dans des commentaires ici et là. Ajoutons que les réactions des éditeurs, après plus de 7 mois pour la plupart, se font toujours attendre, je me suis dit qu’il était temps de laisser respirer le bébé…

Aussi, permettez-moi de vous présenter L’Ambassadeur, un très beau roman de SF comprenant pas moins de 660.000 caractères.

Le pitch :
Depuis six siècles, aux limites du système solaire, l’armada des cargos murides attend l’autorisation du Haut Conseil Galactique d’occuper la Terre et, accessoirement, d’exterminer les Humains. Bien malgré lui, Derek Mali, le géant berbère, chef de cabinet du secrétaire général des Nations unies, est chargé d’entamer avec ces entités des négociations pour le moins désespérées.
Remarqué à cette occasion par la toute puissante Guilde des Ambassadeurs, Derek se retrouve propulsé au cœur d’un complot qui ravage la Galaxie depuis près d’un milliard d’années.
Balloté par des forces qui le dépassent, Derek Mali arrivera-t-il, au fil de rencontres exotiques à travers la Voie lactée, à découvrir qui se cache derrière la Malédiction et ainsi venger celle qu’il aimait ?

Joli pitch, et effectivement tu ne mens pas sur la marchandise : de la SF pur jus

En tous cas félicitations à toi pour ce beau bébé, j'espère qu'il trouvera vite preneur !

Bravo, très belle présentation ^^
Ce serait dommage que ton beau projet ne suscite pas de l'enthousiasme de la part des ME que tu as contactées... Lesquelles d'ailleurs ?
Il est vrai que pas mal de ME ferment leurs soumissions de manuscrits et ça devient difficile !!! Ou ont des lignes éditoriales difficiles à décrypter (il faut acheter leurs publis pour savoir ce qui leur convient)
As-tu le Grimoire Galactique des Grenouilles ? (https://cocyclics.org/?page_id=621) utile à qui cherche un éditeur dans les genres Fantasy SF (moins pour le fantastique, je trouve)...
Bonne chance dans cette aventure !

Merci des encouragements!

Non, je n'avais pas lu le Guide des éditeurs de l'imaginaire. Je m'étais contenté d'envoyer à toutes les maisons françaises qui publiaient le genre et acceptaient les manuscrits. J'ai écarté (à tort?) les trop petites maisons ( quelques titres SF) trop loin de chez moi.
Si on retire celles où la soumission de manuscrit est fermée,  qui n'acceptent pas un premier roman de plus de 500.000 caractères,  il restait actuSF, Bragelonne, Fleuve, Pocket SF, Le Bélial, Mnemos, Rivière Blanche, La volte, Critic, Orbit.

Bon, là le bouquin est dispo depuis quelques mois sur Amazon sans faire de pub, et depuis peu sur Kobo, Lulu.
On va voir si la sauce prend...

(vais quand même consulter ce Guide des éditeurs...)

Félicitations pour avoir mené à bien ce projet en tout cas !

Côté éditeurs, les délais de réponse moyens vont de 1 à 2 ans, donc c'est sûr qu'il faut avoir un bon stock de patience en réserve.

D'autant que les grandes maisons croulent déjà sous les soumissions et, on ne peut pas leur en vouloir pour ça, préféreront toujours sortir un nouveau King ou Chattam que de risquer leur survie financière avec un nouvel auteur.

Quitte à se faire éditer, je miserais donc plutôt sur les maisons moyennes et petites. Délais de réponse plus courts (certaines répondent en 6 mois), entrée plus "facile" (aucun King pour faire de la concurrence quoi). Bon après, comme dit Françoise, encore faut-il trouver des ME qui acceptent encore les soumissions de manuscrit.

Enfin, tout ça rejoint les raisons qui m'ont fait préférer l'auto-édition dès le départ. On parle souvent de l'avantage de contrôler toute la chaîne de réalisation, mais avec une ME, il y a aussi ces affaires de délais interminables qui peuvent paralyser un roman pendant de longues années l'air de rien.

Murphy Myers a écrit:Félicitations pour avoir mené à bien ce projet en tout cas !
...
Enfin, tout ça rejoint les raisons qui m'ont fait préférer l'auto-édition dès le départ. On parle souvent de l'avantage de contrôler toute la chaîne de réalisation, mais avec une ME, il y a aussi ces affaires de délais interminables qui peuvent paralyser un roman pendant de longues années l'air de rien.

Merci des conseils et des encouragements.

Je me suis dit: pourquoi ne pas marier les deux systèmes?
Auto-éditer dans un premier temps, diffuser dans ses cercles, avoir les retours, se corriger, s'améliorer. Cela permet de patienter.
En même temps, contacter les ME. Je suppose qu'une ME sérieuse ne va pas chicaner parce que le livre à déjà été diffusé par l'auteur à une centaine d'exemplaires à ses amis.

Bon, on verra. La je suis en phase d'achèvement du second: la réécriture après les avis des beta-lecteurs.

C'est une bonne tactique oui. Pas mal de textes autoédités finissent édités ensuite (souvent parce qu'ils ont eu du succès et ont donc prouvé leur valeur marchande).

Certaines ME demandent de l'inédit pur, je crois, mais ça doit être une minorité. Il y a même un éditeur, dont j'ai oublié le nom, spécialisé dans les "déjà publiés", qui n'édite donc que des textes qui ont eu une 1ere vie chez un autre éditeur par le passé (voire en autoédition, je ne suis plus sûr).

Bref, y a de quoi se débrouiller sans condamner un texte au placard pendant des années d'attente.

Sur Facebook, Souteast Jones est enthousiaste :

Ah oui, j'avais vu passer cette critique de Southeast sans savoir que JMDV se trouvait être notre Trantor.
Southeast est un vrai passionné de SF, surtout classique. Il sait donc de quoi il parle, c'est un bel avis que tu as reçu.

Catherine Robert a écrit:Ah oui, j'avais vu passer cette critique de Southeast sans savoir que JMDV se trouvait être notre Trantor.
Southeast est un vrai passionné de SF, surtout classique. Il sait donc de quoi il parle, c'est un bel avis que tu as reçu.

Oui, j'en suis conscient.

L'avis de Southeast est d'autant plus important pour moi qu'il est le premier lecteur "inconnu" à avoir commenté le livre.  Nous ne nous connaissions pas, nous n'étions pas encore en contact sur FB. J'étais juste passé chez lui suite à une petite annonce pour acheter l'intégrale de "Fiction"     , il habite à 50 bornes de chez moi. Il avait d'autres trucs à vendre et j'avais un exemplaire de mon roman dans la voiture. Il a lu la quatrième de couverture et a accepté l'échange.
Le surlendemain, il m'a contacté. Il venait de lire tout le roman d'une traite, il était emballé, il voulait m'introduire chez son éditeur.

Depuis, nous sommes devenus amis.

Belle histoire, Trantor.
Et effectivement, un très joli retour qui donne lui aussi envie d'en savoir plus. Perso je ne suis pas fan de SF, mais je suis admiratif du boulot et de l'investissement que demandent ce genre, car il demande un minimum de bagage technique et de connaissances liées à celui-ci (en comparaison, je trouve le Fantastique ou l'Horreur beaucoup plus "abordables", même si je me garde des généralités de toutes sortes).
En tous cas, chapeau, encore une fois !

Quant à votre échange sur les petites et moyennes ME, je suis preneur moi aussi, car c'est un monde que je ne connais encore que de très loin et il se trouve que je vais bientôt sauter le pas pour soumettre un roman écrit avec un ami. L'auto-édition dans un premier temps avant de tenter dans une maison, pourquoi pas, mais ça doit demander un sacré boulot derrière (et Murphy sait de quoi il cause ! ).
Peut-être dans quelques années envisagerais-je cette possibilité, si je vois que tous mes manuscrits restent à prendre la poussière dans les cartons... Mais c'est en tous cas très encourageant (et utile) de savoir qu'il existe des alternatives aux circuits habituels.

Merci Tak!

Quant à l'auto-édition, si tu es capable de produire un fichier word sans faute d’orthographe (enfin pas trop), le plus gros est fait. Après, il y a un peu de taf sur la mise en page, à moins que tu ne t'y sois attelé dès l'écriture, mais rien de rédhibitoire.

Superbe camarade ! Quel super retour ! Bravo et que ça continue

Merci Petit Carmin,

Y a pas de raison que cela ne continue pas...