MAL-ÊTRE
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours hors-série :: Concours HS N°7 : Phobie (s)
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MAL-ÊTRE
Voici ma proposition en 5299 signes (sans le titre)
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- Spoiler:
- MAL - ÊTRENe pas sortir après le coucher du soleil. Éviter les personnes au visage trop blafard, quoique sous un fond de teint elles peuvent avoir la peau livide. Toujours garder sur soi plusieurs gousses d’ail. Porter une croix autour du cou.
La vie d’Ezra Hucher n’est pas facile. Depuis cette soirée où son frère, de six ans son aîné, lui a fait regarder « 30 jours de nuit », il se méfie de tous, vit la plupart du temps reclus, et surtout au moindre doute, il est pris de tremblements, d’une terrible envie de hurler. Au lieu de s’améliorer avec l’âge, la panique, rien qu’à l’évocation du mot V.a.m.p.i.r.e, s’est amplifiée. Les séances chez un psy sont devenues régulières. Seul à Paris pour suivre des cours de droit, Ezra ne fait que survivre.*Dans le compartiment du métro, ce type aux longs cheveux noirs qui semble ailleurs l’inquiète beaucoup. Assis sur une banquette, l’inconnu, jeune, à la peau blême, qui jusque-là semblait endormi, se met à scruter l’espace. Il darde sur Ezra des prunelles charbonneuses au fond desquelles étincelle une lueur cynique. Le malaise commence. Les braises flamboyantes s’attaquent au rempart que l’étudiant a érigé. Il se sent brûlé de l’intérieur, consumé, exténué. L’autre veut se repaître de son énergie, il en est certain. Pourtant, l’heure matinale, pas encore midi, doit le protéger du risque de rencontrer l’objet de son épouvante. Obligé de déposer un CV pour un job d’été, car sa bourse ne suffit pas à tout payer, Ezra a courageusement bravé la foule, composée majoritairement de buveurs de sang, croit-il, même si ses parents, ses copains — qui ont fini par le délaisser — lui affirment que ceux-ci n’existent pas.
Calé sur un strapontin, il a beau se persuader que, non, il se trompe, des gouttes de sueur froide mordent son cou et son tee-shirt. La bouche sèche, pas seulement à cause de la moiteur du wagon peu rempli, il éprouve la morsure des flammes de l’enfer. Encore dix stations avant sa destination. Pourvu que ce monstre descende vite ! Au prochain arrêt, il ne bouge pas. L’homme blême détourne son attention vers un point situé au-delà des limites du tram, le visage impassible. Un masque sans expression qui continue à le défier à distance.
Le cœur d’Ezra tambourine. Quelqu’un lui demande s’il a besoin d’aide. La silhouette de l’individu lui apparaît floue. Ezra ne peut pas répondre, occupé à refouler sa panique. Sa respiration saccadée le trahit. Il inspire par à-coups, expire bruyamment tout en essayant d’oublier les dents prêtes à le mordre, les yeux dépourvus d’humanité. On lui applique sous le nez un tissu imbibé de menthe.
Remis de ses émotions, il s’aperçoit que l’odieux personnage a disparu. Soulagé, il se lève, prêt à sortir. Fuir le plus vite possible.
Ezra n’a pas vu que l’individu le suit et essaie de le rattraper.
— Eh, mec, je ne peux pas t’abandonner. Tu as l’air si mal en point.
En effet, l’étudiant titube, encore choqué.
— Ah ! Tu te laves à l’ail… Et cette croix… Bon, pas grave. Que t’arrive-t-il ?
— Ne me touchez pas !
Ezra observe celui qui lui parle. Il a l’allure d’une honnête personne, en costume- cravate gris bien coupé. Ce cadre pourrait avoir trente ans. Un sourire engageant se forme sur son visage quelconque. Rassuré, l’étudiant explique brièvement les causes de son état.
— Je me présente : Robyn Lacuard. Écoute, je te ramène en voiture. Ma Mercédès n’est pas loin. Je n’habite pas Paris et je la laisse sur un parking pendant mes déplacements. Pas facile de trouver une place dans certaines rues, pas vrai ?
— Merci, je vais rue de la Chine.*Installé à l’avant de la voiture, Ezra commence à somnoler. Le contrecoup sans doute. Le charmant faciès du conducteur se transforme. Le doux chuchotis sanguin affleurant les veines de son passager le rend nerveux. Un tic apparaît sur ses lèvres qui se mettent à palpiter. Il ralentit pour ranger son véhicule le long d’un trottoir. Personne en vue. Les repoussoirs dont Ezra est bardé ne l’empêchent pas de planter ses canines à la base du cou de sa victime, aspirant une quantité de fluide qui le transporte au septième ciel. Sa technique éprouvée et un anesthésiant activé pendant la succion ne réveille pas sa proie. Il a poussé le vice jusqu’à la contaminer.*Devant la porte de son immeuble, Ezra ne se rappelle rien. Tel un somnambule, il se déplace lentement. Pendant qu’il monte à son étage, le tournis le surprend. Une subite envie le submerge. Il doit trouver n’importe qui à se mettre sous la dent. C’est urgent ! Passant devant le miroir de son entrée, son absence de reflet le stupéfie. Il revient vérifier plusieurs fois. Toujours rien. Soudain, il se rappelle : le V.a.m.p.i.r.e n’en a pas non plus ! Est-il devenu un de ces morts-vivants dont le souvenir ravive sa terreur ? Ezra refuse de tout son être d’appartenir à cette espèce de dégénérés. Malgré son désir qui grandit d’enfoncer ses canines dans de la chair fraîche, il mène une lutte contre ce qu’il est devenu. Il n’ira pas assouvir ce besoin impérieux. Qui va gagner ?
Avec l’énergie du désespoir, il attrape une chaise en bois, la projette contre un mur. Encore ! Jusqu’à ce qu’elle se disloque. À l’aide d’un hachoir, il taillade un des pieds en biseau. Le malheureux serre le pieu de toutes ses forces. Tremblant et vociférant, il parvient à se transpercer le cœur.
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Re: MAL-ÊTRE
Salut Françoise,
Je viens de terminer la lecture de ta nouvelle et, dans l'ensemble, j'ai aimé. D'abord, le thème est bien trouvé même si je dois avouer que l'idée d'en traiter m'est venue également après avoir posté mon texte.
Bref, j'ai aimé ce texte en dépit des remarques qui sont les miennes. Et merci pour la référence à
Je viens de terminer la lecture de ta nouvelle et, dans l'ensemble, j'ai aimé. D'abord, le thème est bien trouvé même si je dois avouer que l'idée d'en traiter m'est venue également après avoir posté mon texte.
- Spoiler:
- Mon idée était de raconter l'histoire d'un vampire éprouvant une peur panique envers Stephenie Meyer, l'auteure de Twilight. Ceci étant dit, j'ai bien aimé comment tu t'es emparée du thème et comment tu avais investi le sujet de la phobie. J'ai également beaucoup aimé ta manière d'écrire le mot objet de la phobie v.a.m.p.i.r.e
- Spoiler:
- En revanche, certains détails m'ont géné car peu crédibles à mon avis. Lors du passage dans le métro, ton héros fait un malaise lié au stress. Ok. Mais je suis un peu surpris d'apprendre que "on lui applique sur le nez un tissu imbibé de menthe". Pas certain qu'il y ait beaucoup de passagers dans le métro parisien qui se promènent avec ce genre de trucs dans les poches. Pareillement, je n'ai pas été convaincu par le passage à la sortie du métro et le dialogue entre ton protagoniste et Robyn Lacuard. Le moment où ce dernier dit : "Ah, tu te laves à l'ail... Et cette croix... Pas grave". Je ne suis pas convaincu pour deux raisons. La première est que le propos ne me paraît pas super crédible en l'état. Je pense que le texte aurait été meilleur sans cette phrase. Par ailleurs, seconde raison, je suis étonné qu'une telle phrase ne mette pas la puce à l'oreille d'Ezra. Si le type a une peur panique des vampires, on peut imaginer que c'est justement le genre de propos qui devrait le faire tiquer, non ? Le problème en l'espèce est que tu nous divulgues un peu la fin... On se doute de ce que va vivre le pauvre Ezra et c'est dommage.
Pas sûr par ailleurs que Mercedes, la marque de bagnoles, s'écrive avec des accents.
Bref, j'ai aimé ce texte en dépit des remarques qui sont les miennes. Et merci pour la référence à
- Spoiler:
- 30 jours de nuit
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Age : 50
Re: MAL-ÊTRE
Hey Françoise ! Je trouve ton texte vraiment prenant dans l'écriture... on se met bien à la place du perso, sa phobie est bien retranscrite. Le seul bémol est ce qu'en dit Silence, car ça rend en effet la fin un peu prévisible mais bon en si peu de signes, qu'importe... il lui en faut du courage à la fin ^^ . En tout bonne participation
Mélodie Or- -Fée des chants stellaires- -Disciple du Gardien des rêves-
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Re: MAL-ÊTRE
J'ai beaucoup aimé le début, c'est-à-dire la partie précédant le dialogue.
Cette première partie m'a captivé dans la mesure où tu as su, mieux que tous les autres participants (moi compris), exploiter la notion de phobie.
Un autre point m'a frappé, plus loin : comment le "visage quelconque" du personnage peut-il se transformer, quelques lignes plus bas, en "charmant faciès" ?
En revanche, j'ai apprécié la fin.
Pour conclure, un texte intéressant, respectant parfaitement le thème du concours, mais desservi par une partie centrale perfectible.
Cette première partie m'a captivé dans la mesure où tu as su, mieux que tous les autres participants (moi compris), exploiter la notion de phobie.
- Spoiler:
- J'ai tiqué lorsque j'ai lu le nom du vampire. Lacuard = Dracula. Franchement, j'ai trouvé cela très convenu. On connaissait déjà Alucard et Mircalla.
Un autre point m'a frappé, plus loin : comment le "visage quelconque" du personnage peut-il se transformer, quelques lignes plus bas, en "charmant faciès" ?
En revanche, j'ai apprécié la fin.
Pour conclure, un texte intéressant, respectant parfaitement le thème du concours, mais desservi par une partie centrale perfectible.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
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Localisation : Sud-Est
Re: MAL-ÊTRE
Je rejoins l'avis de Blahom.
La partie avant les dialogues est une perle, vraiment!
Et puis par la suite, quelques passages m'ont fait décrocher de l'atmosphère que tu avais su créer au début:
Deux passages mis là pour "expliquer" brisent un peu le rythme, pour moi ils peuvent vraiment être supprimés:
La partie avant les dialogues est une perle, vraiment!
- Spoiler:
- Même si la phrase " On lui applique sur le nez un tissus imbibé de menthe" me gène un peu. Un "on" avec un mouchoir issu de nulle part... ll aurait pu simplement revenir lentement à lui.
Et puis par la suite, quelques passages m'ont fait décrocher de l'atmosphère que tu avais su créer au début:
- Spoiler:
- Notre vampire est un jeune cadre dynamique, costard sur mesure, Mercedes, ce qui colle bien avec ce que l'on attend du prince des ténèbres, mais il s'exprime presque comme un ado: Hé, Mec,... plus le tutoiement, alors que le héro lui, reste dans le vouvoiement;
"Ah, tu te laves à l'ail"... Bizarre comme réplique;
Le gars lui dit deux mots gentils, malgré le sous-entendu sur l'ail et la croix, et hop, Esra est rassuré, alors que descriptif de sa phobie au début y ajoute une paranoïa sévère;
Il ne faudrait pas grand chose pour rendre ces passages plus crédibles.
Deux passages mis là pour "expliquer" brisent un peu le rythme, pour moi ils peuvent vraiment être supprimés:
- Spoiler:
- Pas la peine de justifier qu'il a une voiture dans un parking et qu'il prend le métro :""Je n’habite pas Paris et je la laisse sur un parking pendant mes déplacements. Pas facile de trouver une place dans certaines rues, pas vrai ?"";
Est-ce utile de préciser que le vampire à une technique infaillible pour ne pas réveiller ses victimes et qu'il les contamine en les mordant?: ""Sa technique éprouvée et un anesthésiant activé pendant la succion ne réveille pas sa proie. Il a poussé le vice jusqu’à la contaminer.
Re: MAL-ÊTRE
Merci pour vos remarques, plutôt positives et lectures.
J'avoue que même en laissant reposer une semaine, je n'avais pas identifié les différents détails soulevés.
En effet, je comprends, Silence ce que tu soulèves, ainsi que Mélodie, Blahom et Trantor. J'arrangerai ce texte en prenant compte de tout ceci dans une prochaine version. Merci.
J'avoue que même en laissant reposer une semaine, je n'avais pas identifié les différents détails soulevés.
En effet, je comprends, Silence ce que tu soulèves, ainsi que Mélodie, Blahom et Trantor. J'arrangerai ce texte en prenant compte de tout ceci dans une prochaine version. Merci.
Re: MAL-ÊTRE
- Spoiler:
- Il développe une phobie subite des vampires après avoir vu 30 jours de nuit ?! (sérieusement ? xD) Puis il se fait mordre par un vampire ? Donc il tombe comme par hasard sur un vampire sorti de nulle part juste après la visualisation d'un film qui le rend à moitié déglingué des boyaux de la tête ? Et cerise sur le gateau, il devient un vampire et mord à son tour puis finit par se suicider ? Si j'ai bien tout compris, ce concours de circonstances me parait tiré par les cheveux. Je l'aurais mieux digéré dans un contexte où les humains vivaient par exemple avec une horde de vampires se faisant passer pour des humains mais là, sous réserve d'une bonne compréhension de ma part (j'ai pourtant l'impression d'être passé à côté de qqch), je trouve cette histoire "forcée". Sinon pour la forme, pas grand chose à dire (je rejoins toutefois l'avis Blahom). Texte sympa mais... mais...
Re: MAL-ÊTRE
Bonjour Phanthom,
En fait,
En fait,
- Spoiler:
- il a été confronté à ce film très jeune et cela l'a marqué durablement. La phobie qu'il développe le poursuit au moment de mon histoire (il va voir des psys...) alors qu'il est seul à Paris où il suit des études. J'ai eu cette idée car je connais une auteure qui a vu "Ça" à 6 ans : sa mère l'avait emmenée au ciné avec elle -_- Depuis elle a la phobie des clowns, mais vraiment ! Quand elle m'en parlait, je me disais qu'elle exagérait ; eh bien, non car j'ai vu sa réaction au Bloody WE quand un cosplayeur s'est approché d'elle déguisé en ce personnage : elle a littéralement détalé, s'est caché sous notre stand et n'en n'est ressortie que longtemps après ! Ensuite elle n'était pas dans son assiette guettant les allées et me demandant de lui signaler toute approche de "clown". Tout ça pour dire que c'est tout à fait possible d'avoir une phobie en n'ayant visionné qu'un seul film...
Concernant le background inexistant, je ne voyais pas l'intérêt et de plus avec le peu de signes, mission impossible. J'ai préféré me concentrer sur l'aspect "panique", sensations que peuvent éprouver les phobiques (j'ai une sœur que a peur de voyager en avion (elle a aussi la phobie des médecins après son accident de voiture qui lui a coûté un œil : pare-brise éclaté, d'où éclats de verre atteignant son globe oculaire), un mari claustrophobe : je comprends ce que c'est (et cette auteure qui m'a fait réaliser le handicap sous-jacent à une forme de phobie imaginaire).
Ezra ne mord personne, il lutte contre ce besoin.
Re: MAL-ÊTRE
Je rejoins l'avis général.
Une bonne idée, une bonne ambiance de 1ere partie, mais un "revirement" moins au point à mon avis, à cause du dialogue, comme dit par d'autres lecteurs, et de l'absence de méfiance du personnage, pourtant décrié comme particulièrement sur ses gardes.
Malgré tout, ça reste une lecture plaisante, avec une phobie originale et efficace.
Une bonne idée, une bonne ambiance de 1ere partie, mais un "revirement" moins au point à mon avis, à cause du dialogue, comme dit par d'autres lecteurs, et de l'absence de méfiance du personnage, pourtant décrié comme particulièrement sur ses gardes.
Malgré tout, ça reste une lecture plaisante, avec une phobie originale et efficace.
Re: MAL-ÊTRE
Bonne lecture, pour ma part. J'ai trouvé la fin un peu prévisible et je suis étonné que la proie n'ait pas été plus méfiante après sa crise.
Re: MAL-ÊTRE
Un point de détail d'abord : l'histoire commence dans le métro, mais quelques lignes plus bas tu évoques "le tram"...
Ensuite, je rejoins l'avis de mes petits camarades : on voit arriver la fin de très loin, et j'ai du mal à comprendre comment un personnage aussi méfiant et parano accepte de monter dans la voiture d'un parfait inconnu.
Sinon - même si j'ai du mal avec la narration au présent de l'indicatif - l'idée de la phobie est originale, et le récit mené sans à-coup jusqu'à une fin logique.
Ensuite, je rejoins l'avis de mes petits camarades : on voit arriver la fin de très loin, et j'ai du mal à comprendre comment un personnage aussi méfiant et parano accepte de monter dans la voiture d'un parfait inconnu.
Sinon - même si j'ai du mal avec la narration au présent de l'indicatif - l'idée de la phobie est originale, et le récit mené sans à-coup jusqu'à une fin logique.
lester l gore- — — Dragon de Huelgoat — — Disciple des Douze Heures
- Messages : 2309
Date d'inscription : 10/07/2012
Age : 62
Localisation : à la campagne
Re: MAL-ÊTRE
- Spoiler:
Oui, car je voulais éviter la répétition... Pas une bonne idéelester l gore a écrit:Un point de détail d'abord : l'histoire commence dans le métro, mais quelques lignes plus bas tu évoques "le tram"...lester l gore a écrit:Ensuite, je rejoins l'avis de mes petits camarades : on voit arriver la fin de très loin, et j'ai du mal à comprendre comment un personnage aussi méfiant et parano accepte de monter dans la voiture d'un parfait inconnu.
J'ai supposé que le vampire l'avait "hypnotisé", utilisant ses pouvoirs pour justement le rendre malléable. Bon il faudrait que je rajoute ce genre de détail dans une prochaine version.
Merci pour ta lecture et cet avis qui me rassure car on ne sait jamais comment le lecteur appréciera notre propos. ici c'était assez simple comme phobie, pour moi, mais j'ai cru bon d'accentuer certaines particularités de cet être maudit (du coup Trantor a trouvé que j'en rajoutais trop. D'autres vont sans doute penser qu'il aurait fallu expliquer plus...)lester l gore a écrit:Sinon - même si j'ai du mal avec la narration au présent de l'indicatif - l'idée de la phobie est originale, et le récit mené sans à-coup jusqu'à une fin logique.
Dernière édition par FRançoise GRDR le Lun 29 Juil 2019 - 17:12, édité 2 fois
Re: MAL-ÊTRE
Salut Françoise, j'ai aimé comme on aime une série B, pour se divertir. Sans doute en raison du déroulement prévisible. Un côté pulp v.a.m.p.i.r.e sympathique
Malossep- Bourreau intérimaire
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Date d'inscription : 28/03/2017
Age : 38
Re: MAL-ÊTRE
Quand même pas ! C'est difficile d'innover avec le vampire en général. L'associer à la phobie par le biais de la fiction est original. Juste à partir du milieu que ça devient prévisible
Malossep- Bourreau intérimaire
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Date d'inscription : 28/03/2017
Age : 38
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