Texte à plusieurs mains
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Zaroff
FRançoise GRDR
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Texte à plusieurs mains
Ou alors on peut commencer une histoire à plusieurs " mains " ( mais faut être sûr de venir écrire un morceau souvent ). Ce serait limité en phrases : pas plus de 3 ...
Exemple ?
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet ....
Exemple ?
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet ....
Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet ....
mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise...
mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise...
Invité- Invité
Re: Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse.
Re: Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Invité- Invité
Re: Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
Re: Texte à plusieurs mains
y'a pas de e à traînée sur la 1ere ligne... donc normalement pas une femme ^^ mais o,n peut changer sa ^^
Invité- Invité
Re: Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
Invité- Invité
Re: Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
Re: Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
L'italien désignait l'arrière du véhicule de l'index. Abélard sentit que Stéphano voulait qu'il le fasse à sa place. Il se frotta les mains avec nervosité et, avec un geste sans assurance, il ouvrit le coffre de la voiture. Le mec tremblait de froid, ligoté en caleçon, coincé entre deux bouteilles d'eau de javel et un sac en plastique bourré de chiffons usés. Le mec s'était pissé dessus.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
L'italien désignait l'arrière du véhicule de l'index. Abélard sentit que Stéphano voulait qu'il le fasse à sa place. Il se frotta les mains avec nervosité et, avec un geste sans assurance, il ouvrit le coffre de la voiture. Le mec tremblait de froid, ligoté en caleçon, coincé entre deux bouteilles d'eau de javel et un sac en plastique bourré de chiffons usés. Le mec s'était pissé dessus.
Re: Texte à plusieurs mains
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
L'italien désignait l'arrière du véhicule de l'index. Abélard sentit que Stéphano voulait qu'il le fasse à sa place. Il se frotta les mains avec nervosité et, avec un geste sans assurance, il ouvrit le coffre de la voiture. Le mec tremblait de froid, ligoté en caleçon, coincé entre deux bouteilles d'eau de javel et un sac en plastique bourré de chiffons usés. Le mec s'était pissé dessus.
Cette saloperie d'odeur d'urine, de sang et de terreur rendait le chien nerveux. Abélard lui colla un coup sur la truffe. Le boxer se cala au fond du siège en gémissant. Stéphano gueula :
— Laisse Rocky tranquille, elle n'y est pour rien la pauvre bête. C'est plutôt cet enculé que tu devrais frapper.
L'homme gigota de plus belle, les yeux écarquillés. Il tentait de crier mais le bâillon l'en empêchait. Stéphano se pencha vers lui et grimaça.
— Putain ! Il n'a pas seulement pissé dans son froc, il a chié aussi !
Sans s'en apercevoir, son calibre .45 s'était glissé dans sa main. Le canon bougeait imperceptiblement vers la tête de "l'homme-coffre" comme le surnommait Abélard.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
L'italien désignait l'arrière du véhicule de l'index. Abélard sentit que Stéphano voulait qu'il le fasse à sa place. Il se frotta les mains avec nervosité et, avec un geste sans assurance, il ouvrit le coffre de la voiture. Le mec tremblait de froid, ligoté en caleçon, coincé entre deux bouteilles d'eau de javel et un sac en plastique bourré de chiffons usés. Le mec s'était pissé dessus.
Cette saloperie d'odeur d'urine, de sang et de terreur rendait le chien nerveux. Abélard lui colla un coup sur la truffe. Le boxer se cala au fond du siège en gémissant. Stéphano gueula :
— Laisse Rocky tranquille, elle n'y est pour rien la pauvre bête. C'est plutôt cet enculé que tu devrais frapper.
L'homme gigota de plus belle, les yeux écarquillés. Il tentait de crier mais le bâillon l'en empêchait. Stéphano se pencha vers lui et grimaça.
— Putain ! Il n'a pas seulement pissé dans son froc, il a chié aussi !
Sans s'en apercevoir, son calibre .45 s'était glissé dans sa main. Le canon bougeait imperceptiblement vers la tête de "l'homme-coffre" comme le surnommait Abélard.
Re: Texte à plusieurs mains
[ ça a de la gueule ! Si je puis me permettre : il l'avait traîné, c'est du passé composé, donc pas d'accords. Cela veut dire , il avait traîné quoi ou qui , peut importe le genre. ]
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
L'italien désignait l'arrière du véhicule de l'index. Abélard sentit que Stéphano voulait qu'il le fasse à sa place. Il se frotta les mains avec nervosité et, avec un geste sans assurance, il ouvrit le coffre de la voiture. Le mec tremblait de froid, ligoté en caleçon, coincé entre deux bouteilles d'eau de javel et un sac en plastique bourré de chiffons usés. Le mec s'était pissé dessus.
Cette saloperie d'odeur d'urine, de sang et de terreur rendait le chien nerveux. Abélard lui colla un coup sur la truffe. Le boxer se cala au fond du siège en gémissant. Stéphano gueula :
— Laisse Rocky tranquille, elle n'y est pour rien la pauvre bête. C'est plutôt cet enculé que tu devrais frapper.
L'homme gigota de plus belle, les yeux écarquillés. Il tentait de crier mais le bâillon l'en empêchait. Stéphano se pencha vers lui et grimaça.
— Putain ! Il n'a pas seulement pissé dans son froc, il a chié aussi !
Sans s'en apercevoir, son calibre .45 s'était glissé dans sa main. Le canon bougeait imperceptiblement vers la tête de "l'homme-coffre" comme le surnommait Abélard.
Tout avait commencé, le jour où Stéphano surprit sa pouffiasse de femme, au téléphone. Il était rentré plus tôt que d'habitude. Elle eut un mouvement de recul, parue gênée.
- Quoi, c'est mon cousin, tu sais Gino. Sa voix tremblait en le disant. Stéphano voulut en savoir plus. Il sentait qu'elle lui mentait et ne le supportait pas.
Il l'avait traîné sur plusieurs mètres comme un vulgaire paquet mais il était finalement arrivé. Il posa son acolyte au sol, mis un coup de pied dans le sac qui roula aussitôt vers le bord de la falaise. Le vent chaud venait du sud, le soleil levant irradiant les pinacles crayeux des falaises d’une douce teinte ocreuse. Il ferma les yeux et tandis que le cadavre n'en finissait de chuter, il s'affaira à capter l'immense énergie de cette aube salvatrice.
Tandis que Stéphano regardait le corps s'écraser sur la grève, son compagnon lui toucha l'épaule.
— Tu es certain de t'en remettre ?
— Pourquoi tu me dis ça ? grinça-t-il.
— Ben... c'est quand même ta femme que tu viens de balancer.
- Ouais, j'sais bien.
- Et ça te fait rien ?
- Si. Ça me fait chier. Faut nettoyer ma banquette maintenant.
Les deux compères marchèrent lascivement jusqu'au véhicule souillé par le sang.
— Bon, dit Stéphano. On a accompli la première partie. C'était pas le plus agréable. Reste la suite, maintenant!
L'italien désignait l'arrière du véhicule de l'index. Abélard sentit que Stéphano voulait qu'il le fasse à sa place. Il se frotta les mains avec nervosité et, avec un geste sans assurance, il ouvrit le coffre de la voiture. Le mec tremblait de froid, ligoté en caleçon, coincé entre deux bouteilles d'eau de javel et un sac en plastique bourré de chiffons usés. Le mec s'était pissé dessus.
Cette saloperie d'odeur d'urine, de sang et de terreur rendait le chien nerveux. Abélard lui colla un coup sur la truffe. Le boxer se cala au fond du siège en gémissant. Stéphano gueula :
— Laisse Rocky tranquille, elle n'y est pour rien la pauvre bête. C'est plutôt cet enculé que tu devrais frapper.
L'homme gigota de plus belle, les yeux écarquillés. Il tentait de crier mais le bâillon l'en empêchait. Stéphano se pencha vers lui et grimaça.
— Putain ! Il n'a pas seulement pissé dans son froc, il a chié aussi !
Sans s'en apercevoir, son calibre .45 s'était glissé dans sa main. Le canon bougeait imperceptiblement vers la tête de "l'homme-coffre" comme le surnommait Abélard.
Tout avait commencé, le jour où Stéphano surprit sa pouffiasse de femme, au téléphone. Il était rentré plus tôt que d'habitude. Elle eut un mouvement de recul, parue gênée.
- Quoi, c'est mon cousin, tu sais Gino. Sa voix tremblait en le disant. Stéphano voulut en savoir plus. Il sentait qu'elle lui mentait et ne le supportait pas.
Re: Texte à plusieurs mains
[ ça a de la gueule ! Si je puis me permettre : il l'avait traîné, c'est du passé composé, donc pas d'accords. Cela veut dire , il avait traîné quoi ou qui , peut importe le genre. ]
ce n'est pas du passé composé mais du plus que parfait, et le COD étant placé avant le verbe, il y a accord (il l'avait prise par exemple, le COD étant l' )
il n'y a pas d'accord quand on utilise un temps composé avec l’auxiliaire avoir sauf si le COD ou COI est placé avant le verbe
J'ai pris Catherine par la main
Je l'ai prise par la main
On voit que l'école est loin pour certains :-)
ce n'est pas du passé composé mais du plus que parfait, et le COD étant placé avant le verbe, il y a accord (il l'avait prise par exemple, le COD étant l' )
il n'y a pas d'accord quand on utilise un temps composé avec l’auxiliaire avoir sauf si le COD ou COI est placé avant le verbe
J'ai pris Catherine par la main
Je l'ai prise par la main
On voit que l'école est loin pour certains :-)
Invité- Invité
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