Anne Stien alias Anouk
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Anne Stien alias Anouk
Bibliographie
UN SI JOLI CHEMIN (Editions Saint Martin 2007)
Personne n’emprunte jamais le chemin conduisant à la maison isolée. Alors qui est cet inconnu dont la présence est pour le moins insolite ? Que fait cette étrangère, réfugiée dans le grenier ? Suspense et rebondissements …
VAGUE A L’AME (Editions Saint Martin 2008)
Qu’est-il arrivé à Paul Tardieu ? Personne ne l’a revu depuis ce matin de Juin où il est sorti en mer. Pourtant, « la Mariette » est à quai à son emplacement habituel… ire nous entraîne au-delà du réel jusqu’au dénouement particulièrement insolite. Subrepticement, nous devenons les intimes du héros et partageons sa quête de la vérité.
FATALE CONSTANCE (Editions EDILIVRE 2009)
Antoine est un entrepreneur de travaux publics dans la belle région des Pyrénées Atlantiques. Il travaille « main dans la main » avec les élus. Imbroglios, compromissions, il se perd chaque jour davantage jusqu’au point de rupture. Cela sera un révélateur pour lui-même, amoureux de son Béarn et attaché à ses racines.
REFLETS INCERTAINS (Editions EDILIVRE 2009°
Léa et Paul forment un couple comme tant d’autres, entouré de leurs deux enfants Clémentine et Alex. Ils vivent dans le Béarn, au pied des Pyrénées. Les gaves cascadent joyeusement et les montagnes sont les gardiennes bienveillantes des vertes vallées. Les coteaux sont couverts de vignes.
RESONANCE (Editions EDILIVRE 2009) Recueil de nouvelles-
CENDRES (Editions les 2 encres juillet 2011) Recueil de nouvelles
LES FAUX-SEMBLANTS (Editions les Plumes d’Ocris 2012) Recueil de nouvelles
L’ECHELLE DES JOURS (Editions les Plumes d’Ocris 2012) Recueil de nouvelles et poèmes
AUSPICES ET DELICES (Edilivre 2009, poésie)
ALTITUDE (Edilivre 2010, poésie)
Récompenses
Prix Mendiono 2009 pour « Argentina »
Mention d’honneur Paul Verlaine 2010 pour «Neige »
Prix Paul Verlaine 2011 (3ème) pour « Hypnose »
Mention d’honneur Paul Verlaine 2012 pour « Fugue » et « Le précis imparfait »
Vague à l'âme
Mon roman est en réédition. Il naitra une seconde fois courant février 2014. Vente auprès de moi et de l'éditeur St Martin ainsi que chez Amazon.
4ème de couve :
Qu’est-il arrivé à Paul Tardieu ? Personne ne l’a revu depuis ce matin de Juin où il est sorti en mer. Pourtant, « la Mariette » est à quai à son emplacement habituel… Subrepticement, nous devenons les intimes du héros et partageons sa quête de la vérité. Son itinéraire nous entraîne au-delà du réel jusqu’au dénouement particulièrement insolite.
L’auteur se livre ici à un exercice périlleux, loin des schémas traditionnels du genre. Tel un funambule, au fil des chapitres, elle entraîne le lecteur sur des chemins inexplorés, reliant notre monde tangible à un univers fantasmatique.
Loin d’être obscur et complexe, Vague à l’âme est un roman poignant qui touche chacun d’entre nous d’une manière singulière et bouleversante.
https://i.servimg.com/u/f57/16/58/03/86/livrev12.jpg
UN SI JOLI CHEMIN (Editions Saint Martin 2007)
Personne n’emprunte jamais le chemin conduisant à la maison isolée. Alors qui est cet inconnu dont la présence est pour le moins insolite ? Que fait cette étrangère, réfugiée dans le grenier ? Suspense et rebondissements …
VAGUE A L’AME (Editions Saint Martin 2008)
Qu’est-il arrivé à Paul Tardieu ? Personne ne l’a revu depuis ce matin de Juin où il est sorti en mer. Pourtant, « la Mariette » est à quai à son emplacement habituel… ire nous entraîne au-delà du réel jusqu’au dénouement particulièrement insolite. Subrepticement, nous devenons les intimes du héros et partageons sa quête de la vérité.
FATALE CONSTANCE (Editions EDILIVRE 2009)
Antoine est un entrepreneur de travaux publics dans la belle région des Pyrénées Atlantiques. Il travaille « main dans la main » avec les élus. Imbroglios, compromissions, il se perd chaque jour davantage jusqu’au point de rupture. Cela sera un révélateur pour lui-même, amoureux de son Béarn et attaché à ses racines.
REFLETS INCERTAINS (Editions EDILIVRE 2009°
Léa et Paul forment un couple comme tant d’autres, entouré de leurs deux enfants Clémentine et Alex. Ils vivent dans le Béarn, au pied des Pyrénées. Les gaves cascadent joyeusement et les montagnes sont les gardiennes bienveillantes des vertes vallées. Les coteaux sont couverts de vignes.
RESONANCE (Editions EDILIVRE 2009) Recueil de nouvelles-
CENDRES (Editions les 2 encres juillet 2011) Recueil de nouvelles
LES FAUX-SEMBLANTS (Editions les Plumes d’Ocris 2012) Recueil de nouvelles
L’ECHELLE DES JOURS (Editions les Plumes d’Ocris 2012) Recueil de nouvelles et poèmes
AUSPICES ET DELICES (Edilivre 2009, poésie)
ALTITUDE (Edilivre 2010, poésie)
Récompenses
Prix Mendiono 2009 pour « Argentina »
Mention d’honneur Paul Verlaine 2010 pour «Neige »
Prix Paul Verlaine 2011 (3ème) pour « Hypnose »
Mention d’honneur Paul Verlaine 2012 pour « Fugue » et « Le précis imparfait »
Vague à l'âme
Mon roman est en réédition. Il naitra une seconde fois courant février 2014. Vente auprès de moi et de l'éditeur St Martin ainsi que chez Amazon.
4ème de couve :
Qu’est-il arrivé à Paul Tardieu ? Personne ne l’a revu depuis ce matin de Juin où il est sorti en mer. Pourtant, « la Mariette » est à quai à son emplacement habituel… Subrepticement, nous devenons les intimes du héros et partageons sa quête de la vérité. Son itinéraire nous entraîne au-delà du réel jusqu’au dénouement particulièrement insolite.
L’auteur se livre ici à un exercice périlleux, loin des schémas traditionnels du genre. Tel un funambule, au fil des chapitres, elle entraîne le lecteur sur des chemins inexplorés, reliant notre monde tangible à un univers fantasmatique.
Loin d’être obscur et complexe, Vague à l’âme est un roman poignant qui touche chacun d’entre nous d’une manière singulière et bouleversante.
https://i.servimg.com/u/f57/16/58/03/86/livrev12.jpg
Jeu de mains en compétition sur "Ecrire au féminin"
Ma nouvelle "Jeu de mains" a été sélectionnée pour concourir avec d'autres dans le cadre du prix écrire au féminin du magazine Fémina.
voici le lien pour voter :
http://www.aufeminin.com/ecrire-aufeminin/jeu-de-mains-s792976.html
merci de diffuser autour de vous
amitiés
voici la nouvelle :
JEU DE MAINS
voici le lien pour voter :
http://www.aufeminin.com/ecrire-aufeminin/jeu-de-mains-s792976.html
merci de diffuser autour de vous
amitiés
voici la nouvelle :
JEU DE MAINS
Le hall était noir de monde. C’était un jour de grande affluence. Les Aoûtiens s’agglutinaient aux comptoirs d’enregistrement. L’aéroport bruissait en permanence. Lydie patientait depuis un long moment devant l’accueil de British Airways. Elle rêvait d’entendre sonner Big Ben, de longer les eaux sombres de la Tamise, de faire des achats inconsidérés chez Harrods, d’engloutir avec des mines gourmandes un nombre incalculable de cup cakes et de retrouver la bande de copines qui l’attendaient dans un pub de Nothing Hill. Ah ! Rencontrer Hugh Grant par hasard, l’accoster, l’éblouir, le conquérir… La voix séraphine d’une hôtesse invita les passagers à se rendre à la salle d’embarquement.
Elle avait réservé une chambre dans un Bed and breakfast proche de l’aéroport. Elle téléphonerait à ses amies pour leur confirmer qu’elle serait bien au rendez-vous du groupe, le lendemain, dans l’après-midi. Un taxi l’emmena à l’hôtel où elle sombra dans un sommeil agité mais néanmoins profond.
Dès le réveil, elle fit ses plans. C’était simple : elle prendrait son temps et ne gâcherait pas son plaisir. Elle irait chez Harrods, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige ! Elle mourait d’envie de choisir un pull en cachemire. Elle adorait fureter parmi les stands, avoir un coup de foudre pour un article, craquer pour des ballerines ou s’étourdir à en essayant des bibis et autres chapeaux de toute sorte. Une styliste fit une création sur elle. Le résultat était enchanteur. En s’admirant devant une glace en pied, elle sentit une présence, un regard lourd. Son image réfléchie par le miroir se brouilla.
En se retournant, elle vit une foule de gens se précipiter vers la sortie du magasin. L’escalier roulant était surchargé. Pourtant aucune alarme n’avait sonné. Que faire ? La styliste avait disparu. Comment sortir ? Restait l’ascenseur. Lydie se dirigea vers les portes et appuya sur le bouton d’appel. Elle entra dans la cabine baignée d’une lumière bleutée. Les portes se refermèrent tandis que le brouhaha du magasin s’amenuisait. Curieusement, elle ne se sentait pas seule dans cet espace réduit et oppressant.
Machinalement elle appuya sur rez-de-chaussée. L’ascenseur fit un drôle de bruit comme s’il régurgitait puis la musique d’ambiance se mit à folâtrer un peu trop avec une sonorité passant du grave à l’aigu.
L’ascenseur gémissait de plus en plus. Montait-il ou descendait-il ? Impossible de le déterminer. Tout à coup, les portes s’ouvrirent lentement. Elle aperçut une silhouette masculine. L’homme était habillé de noir de la tête aux pieds. Il pénétra dans l’ascenseur en regardant fixement la jeune fille. La cacophonie atteignait son paroxysme. La panique gagnait tous les étages, les voix devenaient hystériques. Pour quelle raison, que se passait-il réellement ?
Miracle, l’ascenseur sembla repartir d’un bon pied. Il ronronnait, la musique avait retrouvé sa tonalité et son rythme, le tableau ne clignotait plus dans tous les sens. Au moment où elle allait appuyer sur rez-de-chaussée, l’homme, émergeant soudain de son rêve éveillé, lui saisit la main. Interloquée elle se tourna vers lui. D’une voix basse résonnant comme un écho venu des profondeurs, il lui intima l’ordre de le suivre pour sa propre sauvegarde. Elle était sans volonté. Ils descendirent jusqu’au dernier sous-sol. Les portes s’ouvrirent sur un corridor sombre et tortueux. Lydie se sentit oppressée.
L’homme l’entraînait vers un abîme inconnu. Elle butait sur des pierres apparentes, s’embourbait dans des flaques d’eau saumâtre, scrutait les ténèbres à la recherche d’une issue, tout cela sans dire un mot, sans rébellion mais non sans appréhension.
Au bout d’une longue marche souterraine, ils débouchèrent dans une pièce ronde, éclairée par des torches. Cela ressemblait à une crypte sans gisants. Quelques personnes silencieuses étaient assises en cercle en se tenant les mains. Elles l’accueillirent en effectuant une inspiration longue et profonde suivie d’une expiration encore plus lente accompagnée du son produit de l’intérieur. Elle prit cela pour une salutation et se plaça à l’endroit désigné pour elle. La méditation reprit naturellement. Elle observa l’assemblée entre ses cils.
Une poussière épaisse se mit à tomber. On entendait une rumeur venue de la rue. C’était hallucinant. Comme si les bâtiments s’effondraient en amas de pierres. Là-haut, les gens hurlaient et couraient dans tous les sens. Chacun écoutait les bribes de conversation de la rue, pétrifié d’horreur. Attentat, un 11 septembre bis ? Le magasin Harrods aurait été visé ? Ces questions cruciales fusaient alors que l’homme en noir était revenu. Il faisait face au cercle avec un air mystérieux. Aucune réponse ne fut donnée.
Soudain, les feux croisés des lumières s’intensifièrent. Le corridor insalubre et sombre avait disparu. Une double porte s’ouvrit. Un groupe animé entra dans la salle qui n’avait plus rien de comparable à une crypte. En fait c’était une scène. Elle figurait parmi les acteurs ! Le rideau rouge s’ouvrit. Son nom fut prononcé. On l’invita à venir sur le podium.
Elle apprit avec stupéfaction qu’elle avait été choisie pour cette simulation nommée « Jeu de mains » et que, grâce à son sang-froid, elle était nominée en tant que marraine du magasin Harrods dont elle présenterait désormais la marque dans le monde entier Lydie s’adapta aux circonstances. C’est avec toute la grâce et le chic français qu’elle fut pendant de longues années la figure célébrée aux quatre coins de la planète. Ses chapeaux connurent un succès mérité.
Lorsqu’elle retourne de temps à autre à Londres, elle ne manque jamais de pénétrer dans le temple de l’élégance anglaise. Puis elle emprunte l’ascenseur et monte jusqu’au cinquième étage où l’attend peut-être Hugh Grant pour un tea-time servi avec une multitude de ses cup cakes préférés.
[justify]
Elle avait réservé une chambre dans un Bed and breakfast proche de l’aéroport. Elle téléphonerait à ses amies pour leur confirmer qu’elle serait bien au rendez-vous du groupe, le lendemain, dans l’après-midi. Un taxi l’emmena à l’hôtel où elle sombra dans un sommeil agité mais néanmoins profond.
Dès le réveil, elle fit ses plans. C’était simple : elle prendrait son temps et ne gâcherait pas son plaisir. Elle irait chez Harrods, qu’il pleuve, qu’il vente ou qu’il neige ! Elle mourait d’envie de choisir un pull en cachemire. Elle adorait fureter parmi les stands, avoir un coup de foudre pour un article, craquer pour des ballerines ou s’étourdir à en essayant des bibis et autres chapeaux de toute sorte. Une styliste fit une création sur elle. Le résultat était enchanteur. En s’admirant devant une glace en pied, elle sentit une présence, un regard lourd. Son image réfléchie par le miroir se brouilla.
En se retournant, elle vit une foule de gens se précipiter vers la sortie du magasin. L’escalier roulant était surchargé. Pourtant aucune alarme n’avait sonné. Que faire ? La styliste avait disparu. Comment sortir ? Restait l’ascenseur. Lydie se dirigea vers les portes et appuya sur le bouton d’appel. Elle entra dans la cabine baignée d’une lumière bleutée. Les portes se refermèrent tandis que le brouhaha du magasin s’amenuisait. Curieusement, elle ne se sentait pas seule dans cet espace réduit et oppressant.
Machinalement elle appuya sur rez-de-chaussée. L’ascenseur fit un drôle de bruit comme s’il régurgitait puis la musique d’ambiance se mit à folâtrer un peu trop avec une sonorité passant du grave à l’aigu.
L’ascenseur gémissait de plus en plus. Montait-il ou descendait-il ? Impossible de le déterminer. Tout à coup, les portes s’ouvrirent lentement. Elle aperçut une silhouette masculine. L’homme était habillé de noir de la tête aux pieds. Il pénétra dans l’ascenseur en regardant fixement la jeune fille. La cacophonie atteignait son paroxysme. La panique gagnait tous les étages, les voix devenaient hystériques. Pour quelle raison, que se passait-il réellement ?
Miracle, l’ascenseur sembla repartir d’un bon pied. Il ronronnait, la musique avait retrouvé sa tonalité et son rythme, le tableau ne clignotait plus dans tous les sens. Au moment où elle allait appuyer sur rez-de-chaussée, l’homme, émergeant soudain de son rêve éveillé, lui saisit la main. Interloquée elle se tourna vers lui. D’une voix basse résonnant comme un écho venu des profondeurs, il lui intima l’ordre de le suivre pour sa propre sauvegarde. Elle était sans volonté. Ils descendirent jusqu’au dernier sous-sol. Les portes s’ouvrirent sur un corridor sombre et tortueux. Lydie se sentit oppressée.
L’homme l’entraînait vers un abîme inconnu. Elle butait sur des pierres apparentes, s’embourbait dans des flaques d’eau saumâtre, scrutait les ténèbres à la recherche d’une issue, tout cela sans dire un mot, sans rébellion mais non sans appréhension.
Au bout d’une longue marche souterraine, ils débouchèrent dans une pièce ronde, éclairée par des torches. Cela ressemblait à une crypte sans gisants. Quelques personnes silencieuses étaient assises en cercle en se tenant les mains. Elles l’accueillirent en effectuant une inspiration longue et profonde suivie d’une expiration encore plus lente accompagnée du son produit de l’intérieur. Elle prit cela pour une salutation et se plaça à l’endroit désigné pour elle. La méditation reprit naturellement. Elle observa l’assemblée entre ses cils.
Une poussière épaisse se mit à tomber. On entendait une rumeur venue de la rue. C’était hallucinant. Comme si les bâtiments s’effondraient en amas de pierres. Là-haut, les gens hurlaient et couraient dans tous les sens. Chacun écoutait les bribes de conversation de la rue, pétrifié d’horreur. Attentat, un 11 septembre bis ? Le magasin Harrods aurait été visé ? Ces questions cruciales fusaient alors que l’homme en noir était revenu. Il faisait face au cercle avec un air mystérieux. Aucune réponse ne fut donnée.
Soudain, les feux croisés des lumières s’intensifièrent. Le corridor insalubre et sombre avait disparu. Une double porte s’ouvrit. Un groupe animé entra dans la salle qui n’avait plus rien de comparable à une crypte. En fait c’était une scène. Elle figurait parmi les acteurs ! Le rideau rouge s’ouvrit. Son nom fut prononcé. On l’invita à venir sur le podium.
Elle apprit avec stupéfaction qu’elle avait été choisie pour cette simulation nommée « Jeu de mains » et que, grâce à son sang-froid, elle était nominée en tant que marraine du magasin Harrods dont elle présenterait désormais la marque dans le monde entier Lydie s’adapta aux circonstances. C’est avec toute la grâce et le chic français qu’elle fut pendant de longues années la figure célébrée aux quatre coins de la planète. Ses chapeaux connurent un succès mérité.
Lorsqu’elle retourne de temps à autre à Londres, elle ne manque jamais de pénétrer dans le temple de l’élégance anglaise. Puis elle emprunte l’ascenseur et monte jusqu’au cinquième étage où l’attend peut-être Hugh Grant pour un tea-time servi avec une multitude de ses cup cakes préférés.
[justify]
Re: Anne Stien alias Anouk
Une bien jolie nouvelle, pleine de sensibilité. A la lecture de ce texte, j'ai eu un sentiment de solitude, qui éveille toujours en moi un écho positif. On parle en effet des amis de l'héroïne, des gens qui l'entourent, mais de manière distanciée.
J'ai été "aimer" ta nouvelle sur le concours. J'espère qu'elle ira loin !!!
J'ai été "aimer" ta nouvelle sur le concours. J'espère qu'elle ira loin !!!
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
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