Directives

J'ai entamé le texte pour le concours, j'espère avoir terminé pour le 30 avril. Même après quatre ou cinq ans j'en apprécie toujours le début, c'est la fin que je dois reprendre et raccourcir aussi parce que si je laisse 75000 signes vous allez faire la moue.

Pour ma part, petit coup de mou dans l'écriture ces derniers jours, mais je sais que ça n'est que passager et autant dans la semaine qui vient je ponds 30 000 signes d'un coup... J'ai toujours été un "impulsif" en matière d'écriture, ça marche par "cycles" et autres phénomènes de rebonds et renvois successifs, d'un texte à l'autre ; d'une idée à l'autre.
Alors c'est souvent le bordel à organiser arrivé sur la ligne de départ, mais une fois que c'est parti, c'est parti ! Le temps de mûrir un peu les idées et essayer d'en faire quelque chose. Attendez-moi un peu les gars, juste le temps que je chauffe le moteur...

Moi aussi, ça mûrit... Ça mûrit tellement que ça sent la viande avariée...
J'ai eu une 3e idée, comme Cath le suggérait (comme quoi elle dit pas que des conneries ). Elle peut tenir dans le format (mon idée, pas Cath). Plus qu'à laisser pourrir mûrir.

Moi, ça n'avance pas. J'ai des idées qui me traversent le cerveau, elles y restent quelques heures/jours, puis elles s'en vont s'en arriver à se déployer, et encore moins à se poser sur l'écran.

J'ai une idée, elle demande un gros travail de préparation. En tout cas, plus gros que d'habitude. Je ne sais pas ce que ça va donner, en tout cas, je serai bien présent...

Yes ! On va se mettre du Cancereugène sous la dent ! (j'espère qu'il est tendre, pas envie de faire sauter mes plombages).

Cette nuit, j'ai avancé sur mon idée (ouais, dur dur le changement d'heure, déjà ils nous en sucrent une, et le peu qu'il me reste j'arrive pas à les dormir), la fin est encore un peu maladroite mais je pense que ça peut tenir la route. Bon, c'est encore dans ma tête, mais je tiens le bon bout.

Catherine Robert a écrit:Moi, ça n'avance pas. J'ai des idées qui me traversent le cerveau, elles y restent quelques heures/jours, puis elles s'en vont s'en arriver à se déployer, et encore moins à se poser sur l'écran.

J'ai cherché mais je ne suis pas parvenue à te trouver un filet à idées pour t'aider à les retenir.

Moi je les retiens, mais comme à mon habitude en un peu trop grande quantité. Moyennant finances ou faveurs diverses, je peux toujours t'en refiler quelques unes Cath, si tu es intéressée...

J'en ai pas mal qui passent aussi. Le problème n'est pas là, mais de réussir à en faire quelque chose.

Bon bin au moins je ne suis pas le seul dans cette situation, c'est rassurant

Allez Garraty, c'est comme pour voyager, cela commence toujours par un premier pas. Ecris quelques lignes et tu verras bien où tu arrives.

Catherine, tu nous quoi là ? Tu vas devoir travailler dans l'urgence.

Tak, faut se décider maintenant, si tu veux je peux te prêter mon dé 20 faces.

Comment ça je vous nargue ? Et ben ouais, moi j'avance un petit peu tous les jours.

Moi, c'est l'inverse : j'ai jamais d'idée. Alors dès que j'en ai une, je l'attrape, je la retiens, je la secoue dans tous les sens, je la triture, je la presse, l'étire, lui fais sortir ses tripes pour essayer d'en tirer quelque chose. C'est ça ou attendre deux mois pour que l'idée suivante pointe le bout de son nez (en même temps, vu le traitement que je leur fais subir, ça m'étonne pas qu'elles me fuient).

J'ai toujours eu des idées de départ assez facilement. Le genre de trucs "tiens et si ceci arrivait". Mon problème est plutôt que ça en reste souvent là, je n'arrive pas à y greffer une intrigue. Pour ça aussi que souvent, je démarre sans rien parce que ça me barbe, et je laisse faire mes doigts. Le défaut étant que, régulièrement, le récit s’essouffle, s'amollit car on sent que j'étire parce que finalement j'ai pas d'idées. Deuxième défaut : je n'ai donc jamais de fin non plus (ou tellement rarement que ça en revient au même) et mes fins ne sont du coup pas souvent top.

Et d'ailleurs, là, j'en ai une d'idée, un machin fantastique, tel truc arrive à un gars lambda. Et j'aime bien cette idée, sauf que le problème est toujours le même : quoi faire de cette base bien sympa ? Que peut faire mon bonhomme (ou ma bonne femme, pas décidé ça) ? Comment peut évoluer le phénomène ? Comment peut-il se solutionner (ou comment ne pas le solutionner de façon intéressante) ? Je n'ai rien de tout ça, juste la situation initiale.
Et donc, je vais finir par écrire au kilomètre comme je le fais d'habitude et puis on verra bien quelle histoire ça donnera au bout.

Moi, les idées, j'en ai à revendre , je repense à certaines et parfois outre l'idée, je trouve un scénario et une chute (si c'est une nouvelle) ou des développements et une fin... le problème est que j'utilise mon clavier pour l'écrire car je sais que si je commence, ça me prend la tête et tout mon temps car en plus je ne me contente pas d'un premier jet... non, faut tout de suite que je relise ce que je viens d'écrire pour corriger les fautes de frappe, les erreurs de rédaction, les répétitions, donc j'avance très lentement.
Alors si je commence, la vie m'oblige souvent à arrêter ... alors j'ai plein de textes commencés, pas finis dont certains donneraient sans doute quelque chose, compléter ma saga de Rainette : par exemple j'ai commencé "le jeu avec le cœur" pour laquelle je me suis inscrite sur un site de jeu de cartes - le tarot - pour qu'elle soit hyper réaliste - et l'ambiance pourrie entre les joueurs m'a donné de quoi en faire un roman, peut-être une trilogie...
j'ai aussi un truc chats et réchauffement climatique, un thriller/espionnage, un polar style silence des agneaux, une anticipation/espionnage pire que 1984 (on tue pas trop, on torture peu mais surtout on reconditionne), un fantastique qui me permet de démontrer que les loups garous sont fort utiles, une autre où une externe aux urgences passe ses nuits à des activités qui amènent le lendemain à surbooker les urgences avec ses victimes nocturnes...
et ceci sans oublier les textes quasi terminés ou pas revus car anciens...

Ce coup-ci, j'ai une idée, ce qui n'était pas le cas la fois précédente, idée qui tend même à s'affiner avec les jours. Ce qui me manque, c'est le temps.