Sous le prunier en fruits

Allez hop, Françoise: écris-nous un scène d'amour et une scène de cul!

J'aimerais bien mais je n'ai au(cul)ne idée (ou alors si j'en ai besoin pour mon histoire, sinon, je trouve que c'est artificiel... ). Dans l'Atelier du Peintre, il y a des passages "Hot"
Si jamais je me réveille la nuit avec l'Idée qu'il me faut la (l'idée) coucher sur le papier (l'ordi) en fait, et bien, ça pourrait se faire.

Pour moi c'est encore un réussite. Encore une fois, ton texte m'a surpris en utilisant le thème sous un angle auquel j'aurais pas pensé. Et j'adore d'autant plus que t'arrives à allier le thème, donc, à quelque chose de triste, voire mélancolique, avec succès. J'aurais aimé avoir eu ce genre d'idée, et réussir le même traitement que tu lui as donné.

Sinon, je trouve pas non plus que tes textes manquent d'émotions (ça, ça serait plutôt les miens). C'est rarement des émotions positives, bien entendu. Sans parler du gore/trash/glauque/malsain où t'excelles, il y a aussi pas mal de textes qui transmettent très bien la nostalgie, le désespoir, la dépression et j'en passe. Et c'est d'ailleurs pour ça que j'adore toujours tes histoires. La noirceur est toujours bien plus intéressante et innovante que la lumière.
A la limite, en termes d'émotions positives, certaines de tes histoires "absurdes" (la maison à l'envers, le temps détraqué) arrivent à manier l'ironie du sort ou la mentalité désabusée du personnage avec succès là encore.

Bref, pour revenir à ce texte, je rejoins l'avis général : il est sublime.

Bin toi, quand tu décides de te faire une séance de rattrapage lecture, tu lésines pas.
Celui-là, je l'aime bien, même si j'ai encore pris le thème en biais. Je suis ravie si tu l'as apprécié.
Merci de ta lecture.

C'est que j'ai pas mal de retard à rattraper ! (Et estimez-vous heureux que j'ai déjà lu et commenté certains textes de l'atelier jadis ).

Bonne idée de remonter des vieux trucs, parce que celui-là, j'étais passée à côté en beauté ! Et quel dommage c'eût été de ne pas le lire.

Une vision qu'on n'attendait pas de l'amour, peut-être un peu à la limite de l'atelier, mais il y a bien de l'amour là-dedans. Et du positif : venant de toi, je m'attendais à une fin genre couple qui se déchire parce que l'enfant était le ciment qui les unissait, et sans lui plus de couple. Or, tu pars dans un truc très différent, tout en retenue et pudeur, avec une dimension fantastique proche du conte. C'est simple, c'est beau. Nul besoin d'en rajouter, tout est dit dans le non-dit.
Il y a l'amour du vieux couple mais aussi l'amour filial. Et l'espoir, du début (le plantage de prunier) à la fin.

Un texte qui sort vraiment de tes habitudes. Et qui m'a collé une poussière dans l’œil.

Merci Raven, je l'aime bien ce petit texte. Même si je pense être un peu limite par rapport à l'exercice proposé par l'atelier, il m'a sortie de mes habitudes effectivement.

Je découvre ce texte avec plaisir. Les sentiments y sont bien présents et l'amour c'est aussi s'épauler sans faillir dans les moments difficiles. Je ne suis donc pas certaine que le texte soit border-line par rapport au thème. Pour moi c'est une scène d'amour dans le sens où il y a un échange profond, jusqu'à mourir ensemble. Quant à la fin, elle est tout simplement géniale.
Tu vois Cath' que tu sais écrire de belles fins

Oui, oui, bientôt, mon premier roman estampillé Harlequin (enfin un jour quoi... lointain, je vais quand même d'abord continuer à étriper un peu ).
Merci de ta lecture Perro.

Eh oui l'amour ce n'est pas qu'à travers les papillons et les fées qu'il s'exprime... je n'y vois aucun hors sujet pour ma part. Ça reste de l'amour et Dieu sait qu'il en faut pour qu'un couple n'explose pas après pareille épreuve. Très beau texte

Merci de ta lecture sur ce petit texte plutôt à part dans ma production (comme souvent, les ateliers permettent de sortir de sa zone de confort).