Les pépins de Cancereugène
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Cancereugène
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Re: Les pépins de Cancereugène
J'aime bien le II, avec son poil d'ironie. Le III paraît bien sûr peu possible, mais je m'en fous. Même chose pour le IV. Je les aime bien tels quels.
Re: Les pépins de Cancereugène
Allez, j'en rajoute...
V (spéciale dédicace aux jeunes papas)
Le couteau s'abat, encore et encore. La lame est si longue pour ce petit corps. Elle le pourfend, le transperce, le liquéfie... le sang ruisselle en cataracte.
Il a enfin cessé de gueuler ce putain de nouveau-né !
VI
Cet être venu d'ailleurs est vraiment sexy. Elle l'accueille les jambes ouvertes. Il semble ému. Elle s'approche de son membre, s'en empare. Il est si long. Elle le lèche avec avidité. En savoure le goût subtil.
Un flot improbable de sperme jaillit. L'acide s'écrase sur son visage, le liquéfie.
VII
La Terre avait subi l'apocalypse. La flore, les animaux, l'humanité avaient disparu. L'être venu d'ailleurs prit des échantillons sur les cadavres. Pour la science. Après avoir longuement observé les lieux, il adressa un message à sa hiérarchie :
- Planète favorable au stockage de nos déchets...
V (spéciale dédicace aux jeunes papas)
Le couteau s'abat, encore et encore. La lame est si longue pour ce petit corps. Elle le pourfend, le transperce, le liquéfie... le sang ruisselle en cataracte.
Il a enfin cessé de gueuler ce putain de nouveau-né !
VI
Cet être venu d'ailleurs est vraiment sexy. Elle l'accueille les jambes ouvertes. Il semble ému. Elle s'approche de son membre, s'en empare. Il est si long. Elle le lèche avec avidité. En savoure le goût subtil.
Un flot improbable de sperme jaillit. L'acide s'écrase sur son visage, le liquéfie.
VII
La Terre avait subi l'apocalypse. La flore, les animaux, l'humanité avaient disparu. L'être venu d'ailleurs prit des échantillons sur les cadavres. Pour la science. Après avoir longuement observé les lieux, il adressa un message à sa hiérarchie :
- Planète favorable au stockage de nos déchets...
Re: Les pépins de Cancereugène
Le premier, j'aime bien (ça n'étonne personne), mais il n'a aucune surprise. Les deux autres sont, de ce côté, plus surprenants, donc peut-être plus réussis.
Re: Les pépins de Cancereugène
Pour le VI : J'ai beaucoup aimé.
Le premier ne m'a pas plus choqué que ça, maintenant que j'ai lu du "vrai" Catherine Robert (huhu). Mais l'option "balancer par la fenêtre" me semble plus efficace et moins salissante. Question de goûts...
Le dernier me semble le plus réussi et le plus "construit" des trois. Une bonne idée, qui se lit bien à la suite du précédent, malgré le changement de registre.
En fait, tu tiens un bon filon, avec ces morceaux d'histoires qui sur le long terme, peuvent former un récit complet. Pourquoi pas ?
Le premier ne m'a pas plus choqué que ça, maintenant que j'ai lu du "vrai" Catherine Robert (huhu). Mais l'option "balancer par la fenêtre" me semble plus efficace et moins salissante. Question de goûts...
Le dernier me semble le plus réussi et le plus "construit" des trois. Une bonne idée, qui se lit bien à la suite du précédent, malgré le changement de registre.
En fait, tu tiens un bon filon, avec ces morceaux d'histoires qui sur le long terme, peuvent former un récit complet. Pourquoi pas ?
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Les pépins de Cancereugène
VIII
- Pourquoi avez-vous tué cet homme ?
- Il m'ennuyait.
- Vous tuez tous ceux qui vous ennuient ?
- Oui.
- Et moi, je vous amuse ?
- Non.
Soudain, le tueur planta son couteau dans la gorge du témoin.
IX
Les spectres envahissent la chambre. Leurs formes translucides se serrent dans la pièce exiguë, se présentent face à lui. Rêve-t-il ? Non, il sent le vent caresser sa peau...
- Tu vas payer, menacent ses anciennes victimes.
Terrifié, il se jette par la fenêtre et s'écrase cinq étages plus bas.
X
- Ce plat est délicieux, ma chérie.
L'androïde sourit avec humilité.
- Laisse-moi débarrasser, mon amour.
Il s'écarte et laisse travailler sa femme. Épuisé par sa journée de labeur, il s'affale sur le canapé. Il s'endort sans rêve.
Le lendemain, l'androïde jette le corps dans le vide-ordures...
- Pourquoi avez-vous tué cet homme ?
- Il m'ennuyait.
- Vous tuez tous ceux qui vous ennuient ?
- Oui.
- Et moi, je vous amuse ?
- Non.
Soudain, le tueur planta son couteau dans la gorge du témoin.
IX
Les spectres envahissent la chambre. Leurs formes translucides se serrent dans la pièce exiguë, se présentent face à lui. Rêve-t-il ? Non, il sent le vent caresser sa peau...
- Tu vas payer, menacent ses anciennes victimes.
Terrifié, il se jette par la fenêtre et s'écrase cinq étages plus bas.
X
- Ce plat est délicieux, ma chérie.
L'androïde sourit avec humilité.
- Laisse-moi débarrasser, mon amour.
Il s'écarte et laisse travailler sa femme. Épuisé par sa journée de labeur, il s'affale sur le canapé. Il s'endort sans rêve.
Le lendemain, l'androïde jette le corps dans le vide-ordures...
Re: Les pépins de Cancereugène
J'adore le VIII, moins le IX. Le X, je ne le comprends pas très bien. J'arrive pas à déterminer ce que sont les personnages. D'abord, j'ai pensé que l'androïde était féminin. Mais ensuite, il me paraît masculin. Puis il se débarrasse du corps, mais pourquoi. Et le conjoint/la conjointe, être humain ou androïde. Bref, je m'y perds.
Re: Les pépins de Cancereugène
Je revois ma copie...
X
- Ce plat est délicieux, ma chérie.
La cyborg sourit avec humilité.
- Laisse-moi débarrasser, mon amour.
Il s'écarte pour la laisser travailler. Épuisé par sa journée de labeur, il s'affale sur le canapé, et s'endort sans rêve.
Le lendemain, la femme artificielle jette le corps dans le vide-ordures...
XI
Le vampire hume les effluves, fait rouler le liquide dans le verre. Il trempe ses lèvres. Gobe une gorgée. Le breuvage caresse ses papilles, son palais, envahit ses sens.
- Alors ?
- Je dirais... un militaire du 19ème siècle. Un officier. Capitaine.
- Bravo, vous avez encore gagné...
XII
Il fonçait à toute allure sur la nationale. Soudain, il dévia sur le bas-côté, balaya deux putes, revint sur la route, et en jouant avec le frein à main, dérapa pour faucher d'autres prostituées en faction le long de l'autre voie.
Le prêtre embrassa son crucifix et fila vers une autre destination.
XIII
À force de gratter le long de la porte, le molosse parvint à faire basculer le tabouret. Il entra dans la chambre. Respira l'odeur du bébé. La salive lui vint aux babines. Enivré, il se jeta sur le berceau.
L'enfant le saisit par les oreilles et mordit son cou.
Le chien s'écroula au sol, exsangue...
X
- Ce plat est délicieux, ma chérie.
La cyborg sourit avec humilité.
- Laisse-moi débarrasser, mon amour.
Il s'écarte pour la laisser travailler. Épuisé par sa journée de labeur, il s'affale sur le canapé, et s'endort sans rêve.
Le lendemain, la femme artificielle jette le corps dans le vide-ordures...
XI
Le vampire hume les effluves, fait rouler le liquide dans le verre. Il trempe ses lèvres. Gobe une gorgée. Le breuvage caresse ses papilles, son palais, envahit ses sens.
- Alors ?
- Je dirais... un militaire du 19ème siècle. Un officier. Capitaine.
- Bravo, vous avez encore gagné...
XII
Il fonçait à toute allure sur la nationale. Soudain, il dévia sur le bas-côté, balaya deux putes, revint sur la route, et en jouant avec le frein à main, dérapa pour faucher d'autres prostituées en faction le long de l'autre voie.
Le prêtre embrassa son crucifix et fila vers une autre destination.
XIII
À force de gratter le long de la porte, le molosse parvint à faire basculer le tabouret. Il entra dans la chambre. Respira l'odeur du bébé. La salive lui vint aux babines. Enivré, il se jeta sur le berceau.
L'enfant le saisit par les oreilles et mordit son cou.
Le chien s'écroula au sol, exsangue...
Re: Les pépins de Cancereugène
Après, j'arrête pour ce soir (j'étais motivé !)
XIV
Le tueur se présenta devant son client.
- Je vous offre quatre millions d'euros pour abattre cette salope.
Voyant la photo, l'assassin reconnut sa femme. Il tressaillit.
- Voyons, ce n'est pas sérieux.
- C'est elle ou vous.
Il dégaina mais l'autre fut plus rapide. La balle lui fit sauter la cervelle.
XV (pardon)
- Faut que je chie, dit le lycéen avant d'entrer dans le W.C.
Il s'assoit sur la cuvette et y déverse sa diarrhée.
Quelle chiasse ! Il en souffre depuis des semaines. Comme les autres.
Soudain des coups ébranlent la porte. Le verrou vibre, se détend.
La foule surgit, et déverse sa merde sur lui.
XVI
Les êtres venus d'ailleurs se posèrent sur Terre, et tentèrent de communiquer avec les Autochtones. Les machines répondirent à leurs questions par des formules pré-enregistrées « L'homme est notre maître. Nous lui obéissons. »
L'homme ? Incompréhensible.
Voyant le dialogue sans issue, ils repartirent.
XIV
Le tueur se présenta devant son client.
- Je vous offre quatre millions d'euros pour abattre cette salope.
Voyant la photo, l'assassin reconnut sa femme. Il tressaillit.
- Voyons, ce n'est pas sérieux.
- C'est elle ou vous.
Il dégaina mais l'autre fut plus rapide. La balle lui fit sauter la cervelle.
XV (pardon)
- Faut que je chie, dit le lycéen avant d'entrer dans le W.C.
Il s'assoit sur la cuvette et y déverse sa diarrhée.
Quelle chiasse ! Il en souffre depuis des semaines. Comme les autres.
Soudain des coups ébranlent la porte. Le verrou vibre, se détend.
La foule surgit, et déverse sa merde sur lui.
XVI
Les êtres venus d'ailleurs se posèrent sur Terre, et tentèrent de communiquer avec les Autochtones. Les machines répondirent à leurs questions par des formules pré-enregistrées « L'homme est notre maître. Nous lui obéissons. »
L'homme ? Incompréhensible.
Voyant le dialogue sans issue, ils repartirent.
Re: Les pépins de Cancereugène
J'adore la VII et X nouvelle version (en effet plus claire, j'ai eu les mêmes problèmes de compréhensions que Catherine sur la première version). 2 textes assez sarcastiques sur l'humain et son futur, j'adhère.
Les autres m'ont moins marqué pour diverses raisons, mais restent vraiment bien pensés et construits.
J'admire en tout cas cette capacité que t'as à créer des ambiances à part entière en même pas 4 lignes. J'avais déjà essayé à une époque et je suis juste incapable de créer quoi que ce soit de potable en si peu de mots.
Les autres m'ont moins marqué pour diverses raisons, mais restent vraiment bien pensés et construits.
J'admire en tout cas cette capacité que t'as à créer des ambiances à part entière en même pas 4 lignes. J'avais déjà essayé à une époque et je suis juste incapable de créer quoi que ce soit de potable en si peu de mots.
Re: Les pépins de Cancereugène
Je suis emporté par mon élan...
XVII
Le gigantesque squelette entra dans la chambre, et posa ses orbites ténébreuses sur le vieil homme.
- Est-ce mon heure ?
La faux s'abattit. Le vieillard tressaillit. Mais il respirait encore.
Une alarme retentit. Son voisin de chambrée venait de succomber.
XVIII
Le Shérif pointa son Colt sur le bandit et lui ordonna de lever les mains en l'air.
L'autre obéit.
- Tu es en état d'arrestation.
- Et alors ?
Sortant ses menottes, l'homme de loi s'approcha du prévenu et lui lia les poignets.
Mais la chair se délita, dévoilant un os. Le zombie le mordit au cou.
XIX
Le champ de blé s'étend jusqu'à l'horizon. Elle est là, devant moi, si jeune, si belle. Je me précipite. Elle m'enlace. Je l'embrasse.
Soudain les insectes attaquent. Ils surgissent de partout. Je pousse ma bien-aimée à l'écart. Les bêtes se jettent sur elle. Je m'enfuie.
Merci mon amour.
XVII
Le gigantesque squelette entra dans la chambre, et posa ses orbites ténébreuses sur le vieil homme.
- Est-ce mon heure ?
La faux s'abattit. Le vieillard tressaillit. Mais il respirait encore.
Une alarme retentit. Son voisin de chambrée venait de succomber.
XVIII
Le Shérif pointa son Colt sur le bandit et lui ordonna de lever les mains en l'air.
L'autre obéit.
- Tu es en état d'arrestation.
- Et alors ?
Sortant ses menottes, l'homme de loi s'approcha du prévenu et lui lia les poignets.
Mais la chair se délita, dévoilant un os. Le zombie le mordit au cou.
XIX
Le champ de blé s'étend jusqu'à l'horizon. Elle est là, devant moi, si jeune, si belle. Je me précipite. Elle m'enlace. Je l'embrasse.
Soudain les insectes attaquent. Ils surgissent de partout. Je pousse ma bien-aimée à l'écart. Les bêtes se jettent sur elle. Je m'enfuie.
Merci mon amour.
Re: Les pépins de Cancereugène
T'es très fort ! J'adore la dernière. J'aime aussi celle avec le bébé (alors que je suis jeune père et que je m'apprête à le redevenir !).
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Les pépins de Cancereugène
J'ai tout lu un peu vite, je manque un peu de temps pour commenter mais j'ai bien aimé les 7, 11, 12 et 17. Pour la 17, c'est le mot chambrée qui me gêne, ça fait plus colo de vacances que chambre d'hôpital.
Beau boulot, j'adore, ça se lit vite, on passe d'une ambiance à une autre en un clin d'œil, c'est réussi.
Beau boulot, j'adore, ça se lit vite, on passe d'une ambiance à une autre en un clin d'œil, c'est réussi.
Raven- — — Bouteuse de trains — — Disciple de la présente ligne
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Date d'inscription : 04/05/2015
Age : 48
Localisation : au fond à droite
Re: Les pépins de Cancereugène
Chapeau !
Tu vas devenir un maître de l'exercice !
Tout n'es pas du même niveau, mais je pense que ça tient surtout à une affaire de goût. Quelques remarques, toutefois :
VI - "Un flot improbable jaillit" suffirait. La précision "de sperme" est à mon avis d'autant plus futile qu'elle est erronée, et démentie dès la phrase suivante.
VIII - Le soudain, à mon avis casse trop le rythme, et contredit le côté très progressif du dialogue.
X - Dans la dernière phrase, remplacer "la femme artificielle" par "elle" pourrait faire gagner en fluidité, sans pour autant perdre en clarté.
XI - "gober" induit la déglutition rapide d'un solide, sans mâcher. Tout le contraire de ce que tu sembles vouloir dire ensuite. Il faut laisser le temps aux papilles de s'imprégner.
XIV - Je trouve que quelque chose cloche dans la dernière phrase. Sans confondre le client du tueur, j'ai l'impression qu'il y a un peu de confusion. J'aurais plus vu un truc du genre : "Le tueur le prit de vitesse; pour une fois ce fut le client qui encaissa."
Tu vas devenir un maître de l'exercice !
Tout n'es pas du même niveau, mais je pense que ça tient surtout à une affaire de goût. Quelques remarques, toutefois :
VI - "Un flot improbable jaillit" suffirait. La précision "de sperme" est à mon avis d'autant plus futile qu'elle est erronée, et démentie dès la phrase suivante.
VIII - Le soudain, à mon avis casse trop le rythme, et contredit le côté très progressif du dialogue.
X - Dans la dernière phrase, remplacer "la femme artificielle" par "elle" pourrait faire gagner en fluidité, sans pour autant perdre en clarté.
XI - "gober" induit la déglutition rapide d'un solide, sans mâcher. Tout le contraire de ce que tu sembles vouloir dire ensuite. Il faut laisser le temps aux papilles de s'imprégner.
XIV - Je trouve que quelque chose cloche dans la dernière phrase. Sans confondre le client du tueur, j'ai l'impression qu'il y a un peu de confusion. J'aurais plus vu un truc du genre : "Le tueur le prit de vitesse; pour une fois ce fut le client qui encaissa."
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
- Messages : 1307
Date d'inscription : 27/03/2014
Age : 41
Localisation : Montarroi
Re: Les pépins de Cancereugène
De mieux en mieux et quelle inspiration !
Mes préférés (qui m'ont fait sourire) : VI, VII, et XVII
Bravo
Pour Raven: les pépins sont à l'origine des micro-textes de 300 signes (titre compris) pour la revue Géante Rouge, plus axés sur la SF. Un prix Pépin est organisé chaque année :
https://www.facebook.com/Prix-Pépin-2016-1647431905530067/?fref=ts
Mes préférés (qui m'ont fait sourire) : VI, VII, et XVII
Bravo
Pour Raven: les pépins sont à l'origine des micro-textes de 300 signes (titre compris) pour la revue Géante Rouge, plus axés sur la SF. Un prix Pépin est organisé chaque année :
https://www.facebook.com/Prix-Pépin-2016-1647431905530067/?fref=ts
Re: Les pépins de Cancereugène
Je reconnais là ta méticulosité...
VI : je ne sais pas. A voir. Pour moi, c'est bien du sperme, donc...
VIII : le soudain est peut-être de trop, mais ne pas le mettre est bizarre.
X: ok, tu as raison, mais il semble que la nature du personnage féminin ne soit pas vraiment assimilée. J'ai voulu insister.
XI : excellente remarque. Au début, j'écrivais "gober sans avaler", pour le geste. Mais le pépin dépassait les 300 signes, du coup, j'ai enlevé la deuxième partie de la phrase. Le verbe est sans doute mal choisi. Bien vu.
XIV : c'est vrai que la dernière phrase est ambiguë. Je vais revoir ça.
Merci K2.
VI : je ne sais pas. A voir. Pour moi, c'est bien du sperme, donc...
VIII : le soudain est peut-être de trop, mais ne pas le mettre est bizarre.
X: ok, tu as raison, mais il semble que la nature du personnage féminin ne soit pas vraiment assimilée. J'ai voulu insister.
XI : excellente remarque. Au début, j'écrivais "gober sans avaler", pour le geste. Mais le pépin dépassait les 300 signes, du coup, j'ai enlevé la deuxième partie de la phrase. Le verbe est sans doute mal choisi. Bien vu.
XIV : c'est vrai que la dernière phrase est ambiguë. Je vais revoir ça.
Merci K2.
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