Chasse aux nains (image 2)

Voilà je viens de faire ça vite fait avant d'aller me pieuter. J'ai pas du tout corriger (je le ferai au réveil et je le posterai avec la suite que j ai pas encore fini) mais je tenais quand même a le poster pour m auto engager xD
Bref désolé pour le brouillon et promis je le terminerai tout propre tout beau pour ce soir ou demain soir selon la tache (si vous m autorisez a le faire). Vous allez aussi surement voir mon principal problème qui est la construction de phrase simple et qui entraine des redondances. Voilà pourquoi je préfère lire qu'écrire ^^. Je pense également qu'écrire sans correction -dans ce cas- peut être bénéfique pour situer naturellement mes points faibles (ca je pense qu il y a pas de point fort a en tirer pour le moment). Bref bon courage pour lire cette première et promis je le reprendrai.


Matrix termina de trancher son dernier assaillant et posa un genoux par terre pour reprendre son souffle. La luminosité du crépuscule commença a franchir l'épaisse brume montante et a l'aveugler tout en lui rappelant les longues heures passé depuis le début de cette folie. Comment avait il pu se retrouver dans cette situation ? L'empire n'était il pas censé confiner les troupes romaines pour éviter les dérapages de ce genre ? Ou était ce tout simplement une tentative assassinat a son encontre ? Bien que cette dernière hypothèse lui ait traversé l'esprit, cela paraissait guère possible car n'avait il pas prit toute les dispositions pour arriver à ******** avant les jeux ? N'était ce pas tous simplement de sa faute ? N'aurait il pas mieux valu pour lui et sa troupe de tracer directement jusqu'à la cité à une demi-journée de route au lieu de privilégiée la tranquillité du camp du à l'absence de population ?
Il n'eut pas le temps de songer à cela car il entendit un craquement de bois au loin.
Il aurait pu fuir mais en regardant sa première victime ramper pour tenter de fuir, il se dit que ce gaillard là était sûrement qu'un éclaireur et que le gros de la troupe -sûrement a cheval- le rattraperai facilement. De plus il arrivait pas a se situer dans cette immense foret. Un nain a rarement le sens de l'orientation en surface.
Il s’avança vers l'homme qui perdait ses entrailles en tentant de fuir et commença a lui donner des coups de pied.
L'homme prit de panique, ne cessa de demander la grasse de matrice tout en accélérant l allure vers un possible échappatoire. Lasse, Matrix le saisit par le haut de son Lorica segmentata (armure en plaque de fer) au niveau du cou et le traîna jusqu à un arbre qui se trouvait nom loin. Là il le souleva avec une extrême facilité et l'appuya contre le contre de l'arbre pour lui dire :
« Crie !
-Pitiez ! Laissez moi partir !
-Crie !!!! » ordonna Matrix tout en enfonçant sa hache dans la large blessure abdominal de l'homme. Celui ci ne se fit pas prié pour se faire entendre a des lieux a la ronde.

J'ai lu. Je ne vais pas m'étendre sur les défauts, j'attends que tu les corriges, ce qui permettra de voir ton implication dans la relecture. N'oublie pas que 90% du travail de l'écrivain résident dans les corrections. Le reste, l'histoire, les idées – même géniales – ne sont rien si le style et la forme ne sont pas là pour les mettre en valeur.

J'imagine que ce texte est inspiré de ta mythologie propre (Empire, nains), celle que tu nous as décrite dans ta présentation. Donc je constate que tu as fait et digéré un petit travail de recherches (à ce propos, lorica est féminin).

Bref, j'attends de voir la version finale mais merci de t'être déjà bien motivé pour nous offrir ce texte aussi rapidement.

C'est une bonne attitude de participer aux ateliers. J'espère que nous serons à la hauteur pour t'aider à améliorer tes écrits.
Je constate au vu de ces quelques lignes, que tu es certes frappé du syndrome du manque de confiance assez fréquent chez les écrivaillons que nous sommes, mais que c'est à juste titre. Tu es tellement conscient d'avoir des lacunes, que tu les laisses et demande aux lecteurs de passer outre, ce qui est illusoire. Personnellement, je n'ai lu que ça. Orthographe, syntaxe, répétitions. C'est dur à lire, et au final, je me suis éloigné de l'action décrite en me demandant où était le rapport avec l'image.
Je conserve après lecture une impression de confusion ; j'ai eu du mal à visionner la scène, et à m'y impliquer.
Je suis moi-même une quiche en orthographe. Pour cela, je me suis procuré un logiciel de correction, intégré à Open Office. Il fait bien son boulot. Il existe aussi des logiciels gratuits pour détecter les répétitions. Nous avons une rubrique spéciale pour ces outils (mais tu n'y as peut-être pas encore accès, patience !) De même j'imprime toujours mes écrits car sur papier, on voit davantage de défauts.
Voilà, ne vois rien de désagréable dans mes propos, je reviendrai quand tu auras peaufiné la forme, car pour reprendre l'image de certains dans le post de ta présentation, un musicien qui joue faux peut bien composer des chefs-d'oeuvre, il ne sera jamais entendu.

Pourquoi, comment ce passage ? Cela ressemble à un extrait de texte plus qu'à un texte : état initial, élément perturbateur, développement (les protagonistes combattent ou intègrent l'élément perturbateur, nouvel état). Quant aux fautes, il y en a de toutes sortes : inattention, accord, grammaire, conjugaison. Comme le dit Cancereugène : imprime et relis plusieurs fois en te concentrant à chaque fois sur une seule catégorie. C'est rasoir mais c'est le seul moyen de progresser.
Dernier truc : c'est quoi ******* ?

Oui je m'y attendais un peu et je le retravaille cette nuit
Effectivement Perroccina j'avoue que ca pique les yeux et moi meme je me mettrai des baffes.
Les************ sont les noms que j arrive pas a nommer.

Là je m'en doutais un peu, mais ça ne peux pas le faire dans un texte quitte à appeler le bled : KflgsTru. Nommer les lieux est aussi important que nommer les gens. Cela peut être juste indicatif comme pour l'exemple que j'ai choisi, cela peut avoir un sens plus profond ou caché comme Gilbert Gossein le personnage principal de Van Vogt "le monde des non-A".

J'ai déjà lu des auteurs classiques qui utilisaient des abréviations ou juste la première lettre "L..." pour évoquer le lieu de l'action. Ce n'est pas forcément important de savoir où l'on se situe, concrètement. De même il n'est pas indispensable de connaître le nom du personnage. Tout dépend du contexte. Dans un texte long, cela semble en effet important, mais dans une nouvelle, peut-être pas.

OK, mais ça me parait bizarre quand même, comme un goût d'inachevé.

Cancereugène a écrit:J'ai déjà lu des auteurs classiques qui utilisaient des abréviations ou juste la première lettre "L..." pour évoquer le lieu de l'action. Ce n'est pas forcément important de savoir où l'on se situe, concrètement. De même il n'est pas indispensable de connaître le nom du personnage. Tout dépend du contexte. Dans un texte long, cela semble en effet important, mais dans une nouvelle, peut-être pas.

Oui, ta remarque me fait penser à Lovecraft, qui utilisait souvent cet artifice de la première lettre.
On peut facilement faire abstraction de tels détails, si l'action et l'atmosphère sont suffisamment prenantes. Mais c'est sûr qu'on ne peut pas laisser la chose tel quelle dans un texte fini...

En ce qui concerne ton petit morceau de prose Badavoine, je suis assez d'accord sur les points soulevés par mes camarades.
Retravailles dessus si tu veux, mais je te conseillerais surtout de bosser sur les autres ateliers, avec des textes inédits pour le coup. Ce sont ces exercices-là qui te feront progresser. Allez, au turbin !

Oui je m y attellerai des que possible Tak. Par contre j'aimerai vous proposer une photo pour l’atelier. Une photo d'une de mes œuvres préféré en matière de gore/fantasy

Pour le moment  j en suis là


Les deux derniers assaillants s'échangèrent des regards anxieux. Ce nain vient de terrasser deux des leurs sans même paraître en difficulté avec cette étrange hache. Pourtant, il devrait se trouver à l'agonie. La flèche -qu'il avait reçu prêt de la rivière- était imbibé de poison capable de tétaniser un éléphant. Il aurait dû sombrer il y a fort longtemps ! Ils tentèrent de l'encercler, mais Nad'ri bondit sur l'ennemi qui lui faisait face et le décapita d'un magnifique coup de hache latérale. Profitant de l'engagement, le deuxième romain tenta de perforer le dos du nain. Mais celui-ci pivota, dévia l'attaque sur la gauche avec le manche et enchaîna avec un coup frontal propulsant le romain sur quelques mètres.
Nad'ri posa un genou à terre espérant reprendre son souffle. Son corps -fumant dans le froid- était anormalement fatigué. Il ressentait des picotements dans ses membres et sa respiration s’accélérait.
« Haha. Mon arme est empoisonnée nain !! dit le romain en esclaffant. Tu crèveras comme le sale chien que tu es. L'unique ne veut plus de toi dans son monde »
Nad'ri pressa sa main sur ses cotes. A un pouce prêt son poumons était perforé. Il leva la tête pour admirer le ciel. La luminosité aveuglante du crépuscule commença a franchir l'épaisse brume montante, lui rappelant les longues heures passées depuis le début de cette folie. Comment avait-il pu se retrouver dans cette situation ? Une tentative d'assassinat ? Bien que cette dernière hypothèse lui ait traversé l'esprit, cela paraissait guère probable au vu des précautions prisent pour arriver ici avant les jeux. Concluant que le fruit du hasard avait un goût amer, Nad'ri regretta de ne pas avoir su écouter les conseils lui dictant de ne pas s'attarder en chemin.
Le hennissement d'un cheval au loin le tira de ses élucubrations. Il se doutait que le gros de la troupe suivrait. Ces quatre-là étaient sûrement des éclaireurs et les fausses pistes laissées derrière lui n'ont sûrement pas eu l'effet escompté. De plus, il n'arrivait pas a se situer dans cette immense forêt. Un nain a rarement le sens de l'orientation en surface. Alors avec des arbres... Des arbres !!!!
Regardant sa dernière victime désireuse d'échapper à son sinistre destin, Nad'ri leva son corps endolori, mis sa lourde hache sur son épaule et pressa le pas pour rattraper le fuyard rampant qui gémissait plus qu'il n'avançait.
L'homme prit de panique, accéléra l'allure espérant un illusoire échappatoire.
« Maudit !!!! C'est impossible, tu es maudit. Maudit !!Laisse moi !!!!  dit-il en sentant l'ombre de Nad'ri dans son dos. T'approche pas. LAISSE MOI !!!! »
Las, celui-ci lui cassa le nez contre le sol, le saisit par l'arrière de sa Lorica segmentata (armure en plaque de fer) et le traîna en haut d'une butte laissant derrière eux une traînée de sang perceptible à des lieux a la ronde. Là, il le souleva avec une extrême facilité, l'adossa contre un arbre pour mieux le molester et lui dit :«Je veux tous savoir.
-Que l'unique t'emporte sale nain ! » Répondit-il en lui crachant dessus sous un air de défi.
-Et tu vas crier ».
A ce moment-là, l'homme se demanda s'il allait être accepté dans le royaume de l'unique. Il avait eu un mauvais pressentiment avant de partir pour cette expédition et s'il avait su, il serait resté au camp. Il sut qu'il allait le payer chèrement en regardant ce misérable nain enfonçait la dague de sa hache sur sa large plaie abdominal et il espérait ardemment ne pas voir la fin du crépuscule.


*******************
« Vous avez entendu ?
-Oui j'espère qu'il n'est pas trop tard.
-Vous pensez que....
-Rassemblez les hommes nous n'avons plus de temps à perdre. Dites aux éclaireurs d'essayer de les prendre a revers et quant a nous, dirigeons nous a pas forcé vers ce cri si ça en était un.
Tous ce qui a été entrepris jusqu'à présent ne servira a rien si nous échouons. Exécution !!! »
Une fois la troupe rassemblé, ils se mirent en route.

La forme est encore imparfaite, mais pour ma part, j'ai pu suivre l'action sans problème. C'est une scène de bataille furieuse, mais le rapport avec l'image me paraît lointain. Tu pourrais peut-être placer l'action dans la neige. Un corps fumant dans le froid, ce n'est pas très réaliste. Il n'y a que le souffle qui émit un panache, la chaleur corporelle, bof. Pas grave. Là, je pinaille.
Ça tient la route.
Je trouve cependant très bizarre la dernière phrase de la première partie "Il sut qu'il allait le payer chèrement en regardant ce misérable nain enfonçait la dague de sa hache sur sa large plaie abdominal et il espérait ardemment ne pas voir la fin du crépuscule."
Outre les fautes d'orthographe :
Il sut qu'il allait le payer chèrement / il espérait ne pas voir la fin du crépuscule = une contradiction dans la même phrase, ça paraît décousu. S'il est sûr qu'il prendre cher, il sait qu'il va en chier, la dernière partie de la phrase ne va pas. S'il caresse encore un espoir, la première partie de la phrase me semble de trop.

Oui l'action se passe dans la neige, mais je comptais le préciser en écrivant le début. Ce soir je vais travailler le dessus de l'action et le gros de la suite que j ai pas terminé. Merci des conseils Je vais effectivement chnger la phrase de clôture.

Des progrès en effet, mais c'est encore un peu confus pour moi.

Tu évoque un instant les raisons de la situation présente, mais abandonne l'idée au bout de deux phrases, et la piste que tu donnes ne semble avoir aucun rapport. Je suppose que le personnage et le narrateur en savent plus, mais en tant que lecteur, ça me laisse plutôt dubitatif.

Pour ce qui est du panache de buée dans le froid. En fait, le phénomène provient de l'évaporation de l'eau qui cristallise au contact de l'air plus froid mais continue de s'élever avec l'air plus chaud. Bref, c'est un nuage. On peut l'observer quand l'air est froid et sec, lorsqu'on respire (eau contenue dans l'haleine), mais aussi sur des sources chaudes, ou des corps en pleine transpiration comme sur un terrain de rugby. Je suppose qu'une bataille est au moins aussi physique qu'un match, et que se phénomène peut s'observer, là où la transpiration peut s'évaporer directement ( peau nue, vêtements peu épais et proches du corps). Enfin, si un champ de bataille frisquet on peut voir le célèbre déballage de tripes fumantes (de buée).

Voilà voilà... (Désolé, quand j'étais petit je voulais être savant)

Ouille ! Y'a du boulot ! Moi qui adore les combats dans un univers médiéval fantastique, je n'ai pas du tout accroché. Le style et l'orthographe sont faibles. La trame de l'histoire est floue. Je n'ai pas accroché du tout.
Merci de ta participation à cet atelier. Ecrire, encore écrire, toujours plus. C'est le meilleur conseil que je puisse te donner, si toutefois tu repasses par l'écritoire un de ces jours.