Re: BAYOU de Zaroff

par **Zaroff** Ven 11 Déc 2015 - 21:21

Ouais, j'suis content.

par **Catherine Robert** Lun 28 Déc 2015 - 14:01

Commencé le bayou. A peu près au trois quarts. Je terminerai aujourd'hui ou demain. Mais pour l'instant, j'aime bien, j'aime beaucoup même.

par **Zaroff** Lun 28 Déc 2015 - 15:59

Cool. J'attends ta chronique avec impatience.

par **FRançoise GRDR** Mar 29 Déc 2015 - 12:31

Te reste-t-il un Bayou Zaroff ?

par **Zaroff** Mar 29 Déc 2015 - 16:40

FRançoise GRDR a écrit:Te reste-t-il un Bayou Zaroff ?

Nein. Tout est parti.

par **FRançoise GRDR** Mar 29 Déc 2015 - 16:44

Tant pis, je commanderai sur le site de Trash...

par **Catherine Robert** Mer 30 Déc 2015 - 21:16

Ma chronique (trop courte crotte de scorgneugneu !) :
Bayou, chronique

par **Zaroff** Mer 30 Déc 2015 - 21:23

Merci ma belle. Elle sera postée sur notre blog en janvier.

par **Catherine Robert** Mer 30 Déc 2015 - 21:25

Pffff !!! Elle va faire minable au milieu de toutes les critiques longues et détaillées. Evil or Very Mad

par **Zaroff** Mer 30 Déc 2015 - 21:42

Meuh non.

par **Paladin** Mer 30 Déc 2015 - 21:48

Y'a plein de sexe, c'est déjà bon à savoir! :lang

par **davidoff** Mar 12 Jan 2016 - 10:10

Ai commencé Bayou ! Je le finirai ce soir et lirai ensuite les chroniques postées ici. Pour l'instant, l'atmosphère poisseuse du bayou est parfaitement rendue, j'en ai presque les mains collées - rien qu'à reprendre le bouquin et l'ouvrir. Il fait chaud, les tarés sont de sortir, l'humidité suinte et colle les doigts et les poils de couilles. Bref, du bon Zaroff dans un registre super différent de Night Stalker !

par **Zaroff** Mar 12 Jan 2016 - 15:50

Cool. Je suis content.

par **Zaroff** Mer 13 Jan 2016 - 16:33

En podcast, Samy nasty parle brièvement de BAYOU. A 1:09:33 exactement :

par **davidoff** Lun 18 Jan 2016 - 15:48

GROS SPOILER :

J'adore les deux dernières pages. Entre Usual Suspects, David Lynch et Julio Cortazar. Surtout Cortazar, d'ailleurs. Perso, c'est la fin que je préfère car elle rend hommage, revendique, assume, explicite l'onirisme (et non pas l'onanisme) dont Zaroff fait preuve dans son Bayou. Car il y a de l'onirisme (et pas de l'onanisme... quoi queue) là-dedans. Une première scène avec un crash d'anthologie, suivi de dizaines de pages poisseuses où l'on sent la moiteur du bayou, des sexes qui se rapprochent, des légendes locales, des groupuscules de dégénérés que seuls le soleil, l'humidité et la consanguinité latentes peuvent justifier. A côté de cet étalage de cul, de débilité... le plaisir. Moins sombre, beaucoup sombre que son Night Stalker, on sent que Zaroff a laissé une large place à la déconne pour son Bayou. On est loin du noir urbain, on est loin de la psychopathie crade, on est dans le rêve et les légendes, on est écrasés de chaleur au-milieu de rien. Et ça fait du bien car le plaisir qu'a pris Zaroff à écrire ce récit est largement communicatif. Hommage à la littérature de genre, hommage aux gros nibards, hommage au Baron Samedi, ce Bayou est aussi bon qu'une branlette, et mérite bien une séance d'onanisme littéraire.

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