La prison de Greta
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: N°6 : Pièges, prisons
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Re: La prison de Greta
La prison de Greta est une prison à vie semble-t-il. Le piège est partout. Très bien écrit, le texte se lit d'une traite jusqu'à la fin qui appelle une suite !
Re: La prison de Greta
Merci de ta lecture Anouk. Et pour la fin, tout le monde ou presque semble d'accord (même moi d'ailleurs, même si ma fin me plait toujours malgré tout).
Re: La prison de Greta
J'ai beaucoup aimé ce texte. Le style est précis, les éléments s'agencent avec aisance. La fin pourrait être effectivement plus fouillée, mais elle ne m'a pas déçu.
C'est incontestablement une réussite à mes yeux.
C'est incontestablement une réussite à mes yeux.
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
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Re: La prison de Greta
Merciiiiiiii !!!! Moi, toujours contente quand j'ai l'impression d'avoir à peu près réussi.
Re: La prison de Greta
Bonjour Catherine !
Pas mal, mais sans plus... Les problèmes résident essentiellement dans la fin, comme dit dans mon texte, mais aussi dans l'univers, qui n'est pas assez décrit. On a du mal à comprendre les tenants et les aboutissants du piège, et c'est dommage, parce que ça crée une grosse frustration.
Ce texte mériterait en fait de faire 30 000 signes au moins, avec une vraie histoire qui nous fasse découvrir peu à peu le fonctionnement de cette prison-piège, un vrai combat de Greta, et une vraie fin- chute.
En clair, garder une part de mystère, c'est bien, mais comme le disait Ferdinand Céline : " Après tout, le lecteur a payé sa place. Il a le droit de voyager en dehors qu'en cabine", et ainsi, de voir tout ce qu'il y a autour, et d'être emmené dans une histoire haletante, plutôt que dans ce qui me semble être une introduction...
Bises
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Pas mal, mais sans plus... Les problèmes résident essentiellement dans la fin, comme dit dans mon texte, mais aussi dans l'univers, qui n'est pas assez décrit. On a du mal à comprendre les tenants et les aboutissants du piège, et c'est dommage, parce que ça crée une grosse frustration.
Ce texte mériterait en fait de faire 30 000 signes au moins, avec une vraie histoire qui nous fasse découvrir peu à peu le fonctionnement de cette prison-piège, un vrai combat de Greta, et une vraie fin- chute.
En clair, garder une part de mystère, c'est bien, mais comme le disait Ferdinand Céline : " Après tout, le lecteur a payé sa place. Il a le droit de voyager en dehors qu'en cabine", et ainsi, de voir tout ce qu'il y a autour, et d'être emmené dans une histoire haletante, plutôt que dans ce qui me semble être une introduction...
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Re: La prison de Greta
Merci de ta lecture. Qui sait, peut-être un jour reprendrai-je cette histoire pour la gonfler, ajouter de la chair, faire une suite. Y a de l'idée derrière, mais ce n'est pas pour tout de suite.
Re: La prison de Greta
Je partage assez l'avis d'Eimelle sur ce texte. (J'ai l'impression que j'accroche beaucoup moins qu'avant à tout ce que je lis en ce moment ).
Déjà les bons côtés : C'est très bien écrit, ambiance superbe et anxiogène, glauque à souhait sans gore pour autant (ce que je préfère même si j'ai rien contre l'hémoglobine). C'est prenant et c'est aussi le texte qui colle le plus au thème du concours, parmi ceux que j'ai déjà lu.
Mais, plus que la fin qui est assez convenue, ce qui m'a manqué, personnellement, c'est une "vraie" trame de fond. Ne rien révéler dans une histoire fantastique ne me gêne pas vraiment, surtout quand c'est une histoire de toi. Mais dans une histoire SF, où tout un nouveau monde est inventé, il me faut des explications, le comment du pourquoi on en est arrivé là, ou au moins l'intérêt d'une telle prison (la "vraie" prison, je veux dire, pas la "vie prison" que vit Greta), comment et pourquoi on finit dedans. Il semble qu'il suffit de faire preuve d'humanité pour être enfermé, mais ça n'explique pas grand chose de plus.
Je rejoins l'avis de quelques autres lecteurs que tu as là matière à faire une histoire plus longue et plus développée, si l'envie et la motivation te viennent. (Et voilà pour l'avis le plus inutile qui soit, qui n'apporte rien de nouveau par rapport aux précédents ).
Déjà les bons côtés : C'est très bien écrit, ambiance superbe et anxiogène, glauque à souhait sans gore pour autant (ce que je préfère même si j'ai rien contre l'hémoglobine). C'est prenant et c'est aussi le texte qui colle le plus au thème du concours, parmi ceux que j'ai déjà lu.
Mais, plus que la fin qui est assez convenue, ce qui m'a manqué, personnellement, c'est une "vraie" trame de fond. Ne rien révéler dans une histoire fantastique ne me gêne pas vraiment, surtout quand c'est une histoire de toi. Mais dans une histoire SF, où tout un nouveau monde est inventé, il me faut des explications, le comment du pourquoi on en est arrivé là, ou au moins l'intérêt d'une telle prison (la "vraie" prison, je veux dire, pas la "vie prison" que vit Greta), comment et pourquoi on finit dedans. Il semble qu'il suffit de faire preuve d'humanité pour être enfermé, mais ça n'explique pas grand chose de plus.
Je rejoins l'avis de quelques autres lecteurs que tu as là matière à faire une histoire plus longue et plus développée, si l'envie et la motivation te viennent. (Et voilà pour l'avis le plus inutile qui soit, qui n'apporte rien de nouveau par rapport aux précédents ).
Re: La prison de Greta
Merci de ta lecture Murphy et plutôt d'accord avec toi. Je sais que l'univers est un peu trop flou. Parfois, ça ne gênera pas certains lecteurs, parfois oui.
Oui, il y a la matière pour en faire un truc plus long, plus fouillé, je ne sais pas si je vais le faire par contre. Il m'est très difficile de retravailler un texte fini dans ce sens. Je veux dire pour l'allonger. Ce qui est dommage, parce que je l'aime bien mon histoire et aussi mon univers.
Et ton avis n'est certainement pas inutile. On n'est pas toujours obligé de trouver quelque chose de nouveau à dire à ce qu'on dit les précédents commentateurs (ou alors, je parlerais pas souvent, ce qui serait quand même bien embêtant pour la bavarde que je suis ).
Oui, il y a la matière pour en faire un truc plus long, plus fouillé, je ne sais pas si je vais le faire par contre. Il m'est très difficile de retravailler un texte fini dans ce sens. Je veux dire pour l'allonger. Ce qui est dommage, parce que je l'aime bien mon histoire et aussi mon univers.
Et ton avis n'est certainement pas inutile. On n'est pas toujours obligé de trouver quelque chose de nouveau à dire à ce qu'on dit les précédents commentateurs (ou alors, je parlerais pas souvent, ce qui serait quand même bien embêtant pour la bavarde que je suis ).
Re: La prison de Greta
En effet, je ne parlerais presque jamais si c'était le cas.
Sans forcément reprendre cette histoire précisément, tu pourrais tenter quelque chose comme Bradbury avec ses Chroniques martiennes : plusieurs petites histoires qui se passent dans un même univers. Avec quelques références par ci par là, le lecteur pourrait réunir la trame de fond, le pourquoi du comment, par lui-même. Ça pourrait commencer dans "notre" monde, avec tes nouvelles d’horreur, et plus on avance dans les textes, plus on va vers le futur, faisant de La prison de Greta une des histoires finales.
J'avoue que c'est ce que j'ai fais, dans ma tête, après la lecture. Ça m'a rappelé le texte "Coupable" de Françoise du concours Angoisse où une machine tue l'héroïne parce qu'elle est "déviante", grosso modo. Du coup, je suis parti du principe que les machines ont aussi pris le pouvoir dans ton texte et éliminent toute trace d'humanité. (Oui, je suis parti loin).
Bon, je fais que suggérer au cas où un jour ça te tentes un jour, je pense bien que pour l'instant, t'as bien d'autres choses à faire/écrire. (Ça m'aura au moins fait l'occasion de dire quelque chose "d'original" lol).
Sans forcément reprendre cette histoire précisément, tu pourrais tenter quelque chose comme Bradbury avec ses Chroniques martiennes : plusieurs petites histoires qui se passent dans un même univers. Avec quelques références par ci par là, le lecteur pourrait réunir la trame de fond, le pourquoi du comment, par lui-même. Ça pourrait commencer dans "notre" monde, avec tes nouvelles d’horreur, et plus on avance dans les textes, plus on va vers le futur, faisant de La prison de Greta une des histoires finales.
J'avoue que c'est ce que j'ai fais, dans ma tête, après la lecture. Ça m'a rappelé le texte "Coupable" de Françoise du concours Angoisse où une machine tue l'héroïne parce qu'elle est "déviante", grosso modo. Du coup, je suis parti du principe que les machines ont aussi pris le pouvoir dans ton texte et éliminent toute trace d'humanité. (Oui, je suis parti loin).
Bon, je fais que suggérer au cas où un jour ça te tentes un jour, je pense bien que pour l'instant, t'as bien d'autres choses à faire/écrire. (Ça m'aura au moins fait l'occasion de dire quelque chose "d'original" lol).
Re: La prison de Greta
J'ai déjà pensé à faire des trucs du style série de petites nouvelles se passant dans un même monde, mais en général, je ne m'y tiens pas plus que pour un texte long. J'avais essayé pour mon univers sur Prométhée, le contexte était bien défini, j'avais des idées d'autres nouvelles et puis finalement, ça n'a donné naissance qu'à deux histoires.
Ici, en plus, je dois bien dire que moi-même je ne sais pas grand chose de ce qui entoure la prison, ni des tenants et aboutissants de la situation, le "pourquoi" "qui" "comment", j'en n'ai aucune foutue idée.
Ici, en plus, je dois bien dire que moi-même je ne sais pas grand chose de ce qui entoure la prison, ni des tenants et aboutissants de la situation, le "pourquoi" "qui" "comment", j'en n'ai aucune foutue idée.
Re: La prison de Greta
Salut Catherine,
Pour ma part, j'ai quelques remarques à te faire.
Tu as une écriture aboutie, mais j'ai néanmoins noté quelques maladresses plutôt rares il est vrai. Je sais que ce n'ai pas forcément le but du concours que de s'attarder sur ce genre de détail, mais comme je l'ai vu, je le dis. Et surtout, j'ai eu un souci avec tes concordances de temps. Pour moi, un texte au présent s'articule avec du passé composé et éventuellement avec de l'imparfait, mais le plus que parfait crée un décalage trop fort. Tu l'utilises plusieurs fois et ça m'a perturbé (il m'en faut peu, certes).
Pour moi, la longueur de ton texte est très bien comme ça. Pas besoin, à mon avis, d'en rajouter des tartines. Tu pourrais évidemment décrire la tristesses des murs, la poussière et l'odeur de moisi et de salpêtre des geôles glauques, mais ton récit fonctionne tel quel. A la rigueur, tu aurais pu faire monter l'incertitude de ton personnage au fur et à mesure.
Tu dis dans un des commentaires que tu partais pour faire un texte plus adulte, et puis non. ça se sent dans ton récit qui commence avec une dureté et un froideur de pierre, puis glisse vers le sentimental. La conséquence est que j'ai trouvé que ton paragraphe familial était aussi froid que le début et ne fonctionnait pas. Je pense que j'étais sous l'influence du début du texte. Il aurait peut-être mieux valu commencer par présenter ton héroïne dans son cadre familial, avec tout le carcan qui l'enserre, puis nous montrer le côté mécanique et déshumanisé de son travail. On aurait gardé en mémoire ses préoccupations maternelles et peut-être plus ressenti le côté implacable de sa situation.
Si la fin est plutôt évidente, ça ne m'a pas dérangé, et j'ai trouvé intéressant la curiosité du personnage. J'aurais aimé aussi la voir sans doute un peu plus sûre d'elle, du fait qu'elle connaissait déjà les rouages dans lesquels elle était entraînée. Elle aurait pu en jouer pour accélérer le processus et le rendre moins douloureux, voire même indifférent.
Bref, j'ai quand-même bien aimé ton texte, mais il manquait à mon avis d'un peu plus de relecture.
Pour ma part, j'ai quelques remarques à te faire.
Tu as une écriture aboutie, mais j'ai néanmoins noté quelques maladresses plutôt rares il est vrai. Je sais que ce n'ai pas forcément le but du concours que de s'attarder sur ce genre de détail, mais comme je l'ai vu, je le dis. Et surtout, j'ai eu un souci avec tes concordances de temps. Pour moi, un texte au présent s'articule avec du passé composé et éventuellement avec de l'imparfait, mais le plus que parfait crée un décalage trop fort. Tu l'utilises plusieurs fois et ça m'a perturbé (il m'en faut peu, certes).
Pour moi, la longueur de ton texte est très bien comme ça. Pas besoin, à mon avis, d'en rajouter des tartines. Tu pourrais évidemment décrire la tristesses des murs, la poussière et l'odeur de moisi et de salpêtre des geôles glauques, mais ton récit fonctionne tel quel. A la rigueur, tu aurais pu faire monter l'incertitude de ton personnage au fur et à mesure.
Tu dis dans un des commentaires que tu partais pour faire un texte plus adulte, et puis non. ça se sent dans ton récit qui commence avec une dureté et un froideur de pierre, puis glisse vers le sentimental. La conséquence est que j'ai trouvé que ton paragraphe familial était aussi froid que le début et ne fonctionnait pas. Je pense que j'étais sous l'influence du début du texte. Il aurait peut-être mieux valu commencer par présenter ton héroïne dans son cadre familial, avec tout le carcan qui l'enserre, puis nous montrer le côté mécanique et déshumanisé de son travail. On aurait gardé en mémoire ses préoccupations maternelles et peut-être plus ressenti le côté implacable de sa situation.
Si la fin est plutôt évidente, ça ne m'a pas dérangé, et j'ai trouvé intéressant la curiosité du personnage. J'aurais aimé aussi la voir sans doute un peu plus sûre d'elle, du fait qu'elle connaissait déjà les rouages dans lesquels elle était entraînée. Elle aurait pu en jouer pour accélérer le processus et le rendre moins douloureux, voire même indifférent.
Bref, j'ai quand-même bien aimé ton texte, mais il manquait à mon avis d'un peu plus de relecture.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Re: La prison de Greta
Merci de ta lecture K² et de tes commentaires. Et ce n'est pas parce que c'est un concours qu'il ne faut pas s'attarder sur les détails, ça ne change rien, et c'est toujours intéressant pour l'auteur.
La partie sur la vie de famille était censée provoquer une cassure avec la première partie et la troisième. Mais peut-être est-il un peu froid effectivement.
Pour la fin, elle ne peut pas non plus être excessivement sûre d'elle, même si elle connaît les rouages et justement parce qu'elle connaît les rouages. Néanmoins, elle accepte directement les demandes pour que les choses se passent plus vite, c'est quand même suggéré.
Pour les concordances de temps, faudra que je vérifie.
La partie sur la vie de famille était censée provoquer une cassure avec la première partie et la troisième. Mais peut-être est-il un peu froid effectivement.
Pour la fin, elle ne peut pas non plus être excessivement sûre d'elle, même si elle connaît les rouages et justement parce qu'elle connaît les rouages. Néanmoins, elle accepte directement les demandes pour que les choses se passent plus vite, c'est quand même suggéré.
Pour les concordances de temps, faudra que je vérifie.
Re: La prison de Greta
Evidemment, elle ne peut pas arriver confiante dans le final, mais je me demande.. Le processus de négation de soi, de soumission réflexe à l'autorité mis en oeuvre sur les prisonniers qui ont tant de mal à l'accepter, n'était-il pas déjà présent chez Greta ? Ne serait-ce pas plus facile pour elle à supporter ? C'est d'ailleurs ce que tu laisses penser juste avant ton épilogue.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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Re: La prison de Greta
Bien sûr qu'il est déjà présent en elle. Elle a accepté sans même se révolter de faire souffrir d'autres personnes, pour ne pas elle prendre de risques, donc la soumission est déjà installée avant même son passage de l'autre côté.
Quant à savoir si c'est plus facile pour elle de supporter le traitement, je ne pense pas. Ce n'est pas parce qu'on croit savoir qu'on sait réellement. Donc, elle pense pouvoir supporter plus facilement, mais au fond, dans l'état, le texte ne donne pas la réponse... Et moi, je sais qu'elle se goure complètement.
Quant à savoir si c'est plus facile pour elle de supporter le traitement, je ne pense pas. Ce n'est pas parce qu'on croit savoir qu'on sait réellement. Donc, elle pense pouvoir supporter plus facilement, mais au fond, dans l'état, le texte ne donne pas la réponse... Et moi, je sais qu'elle se goure complètement.
Re: La prison de Greta
En effet, c'est possible, mais si, elle, elle pense pouvoir le supporter plus facilement, ça lui donne plus confiance en elle! Haha! (rire démoniaque) D'où l'ouverture sur sa curiosité...
En tout cas, j'aime bien ton texte.
En tout cas, j'aime bien ton texte.
K²- — Kmarade Carré — Rassembleur de points perdus
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