GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
44, le chiffre des rats. C'est un clin d'oeil mystérieux voyons...
Ça manque de viande.
Julien H- Bourreau intérimaire
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Pour James Herbert, c'est plutôt 48, non ? Re-clin d'oeil.
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
James étant mort, on ôte 4, forcément.
Je pensais être dispensé d'expliquer ces plus élémentaires opérations, voyons...
Bon, cela dit, il est vrai que les chiffres n'ont jamais été votre spécialité, donc je vous pardonne, cher monsieur Nécrorian.
Je pensais être dispensé d'expliquer ces plus élémentaires opérations, voyons...
Bon, cela dit, il est vrai que les chiffres n'ont jamais été votre spécialité, donc je vous pardonne, cher monsieur Nécrorian.
Ça manque de viande.
Julien H- Bourreau intérimaire
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Oh la mauvaise foi.
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Déjà lu cinquante pages. Y a pas à dire, nous baignons dans le même trip mon cher Julien.
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Rien de mieux que les 80's (pour le cinéma d'horreur, s'entend).
Ça manque de viande.
Julien H- Bourreau intérimaire
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Lu et apprécié!
S'il faut faire un parallèle avec Night Stalker de notre Zaza national, je dirais que Garbage Rampage est aussi gris (comme les ruelles des bas fonds où sévissent les méchantes bestioles) que Night Stalker est jaune (comme le soleil qui semble s'être mis d'accord avec la peur qu'inspire le tueur pour accabler la ville).
Comme dans Pestilence, on patauge dans la merde. Sacs poubelle éventrés, bouteilles brisées, vomi, flaques de sang, eau croupie, moisissures, pollution, rats monstrueux, industriels véreux, Garbage Rampage vous présente un plateau de fruits de merde.
Il y a un truc que j'aime vraiment bien dans ce bouquin: c'est le personnage principal, Gamble Farley. Elle se laisse pas faire par ses sexistes de collègues, elle hésite pas à coller un direct du droit aux mecs qui lui sortent des saloperies. Elle sait se battre, elle est intelligente, et j'aime bien sa façon de parler très franche - voire carrément vulgaire bullshit! -, et ce peu importe à qui elle s'adresse. Même si elle déteste royalement Amelin, son collègue, elle cherche quand même à le sauver. Et, contrairement à ses collègues flics, elle écoute ceux que personne n'écoute en temps normal, c'est-à-dire les clochards. Ça, c'est un personnage qui envoie du pâté.
Avec ça, c'est bien écrit, ça se lit tout seul. Fait suffisamment rare pour être signalé: les dialogues sont très réalistes. L'intrigue est pas révolutionnaire, mais l'ambiance et le rythme compensent.
En conclusion, c'est un bon petit roman. Si je devais choisir entre Pestilence et Garbage Rampage, je dirais que je préfère Garbage Rampage.
S'il faut faire un parallèle avec Night Stalker de notre Zaza national, je dirais que Garbage Rampage est aussi gris (comme les ruelles des bas fonds où sévissent les méchantes bestioles) que Night Stalker est jaune (comme le soleil qui semble s'être mis d'accord avec la peur qu'inspire le tueur pour accabler la ville).
Comme dans Pestilence, on patauge dans la merde. Sacs poubelle éventrés, bouteilles brisées, vomi, flaques de sang, eau croupie, moisissures, pollution, rats monstrueux, industriels véreux, Garbage Rampage vous présente un plateau de fruits de merde.
Il y a un truc que j'aime vraiment bien dans ce bouquin: c'est le personnage principal, Gamble Farley. Elle se laisse pas faire par ses sexistes de collègues, elle hésite pas à coller un direct du droit aux mecs qui lui sortent des saloperies. Elle sait se battre, elle est intelligente, et j'aime bien sa façon de parler très franche - voire carrément vulgaire bullshit! -, et ce peu importe à qui elle s'adresse. Même si elle déteste royalement Amelin, son collègue, elle cherche quand même à le sauver. Et, contrairement à ses collègues flics, elle écoute ceux que personne n'écoute en temps normal, c'est-à-dire les clochards. Ça, c'est un personnage qui envoie du pâté.
Avec ça, c'est bien écrit, ça se lit tout seul. Fait suffisamment rare pour être signalé: les dialogues sont très réalistes. L'intrigue est pas révolutionnaire, mais l'ambiance et le rythme compensent.
En conclusion, c'est un bon petit roman. Si je devais choisir entre Pestilence et Garbage Rampage, je dirais que je préfère Garbage Rampage.
Attention, je suis un sale hibou ! (Dixit Raven.)
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Merci beaucoup Naëlle pour cette belle critique.
Je suis content que tu ais apprécié les points évoqués qui étaient importants pour moi:
- Déjà, la ville, ses bas-fonds. Je voulais, après Pestilence et son "ode au pus" comme l'a qualifié Nécrorian (ce dont je ne suis pas peu fier, j'avoue), tenter l'ode aux ordures...
- Et surtout pour Gamble Farley ! En fait, j'ai réalisé que je n'avais pas écrit de véritable personnage féminin valorisé dans mes précédents boulots. C'étaient des personnages avec, je l'espère, du relief, parfois des adjoints au protagoniste principal ou de belles méchantes bien salopes (j'ai le droit de dire un gros mot, on est dans la section TRASH ) mais jamais d'héroïne.
Il était temps d'y remédier. Je suis heureux de voir que le personnage te plaît.
Pour la petite histoire, son nom est un mélange du nom de Teresa Farley et de Gamble Pace, son personnage, dans Breeders, un film de SF fauché qui m'a beaucoup inspiré.
Voici sa frimousse:
Elle joue assez super mal mais bon, on lui pardonne.
- De même, je suis très heureux de lire ton avis sur les dialogues. J'adore écrire les dialogues et j'essaie, modestement, qu'ils sonnent le plus vrai possible. Je ne suis pas un lecteur difficile mais si les dialogues, pour moi, passent mal, je décroche. Je suis donc assez soigneux dessus. Ce qui ne veut pas dire que c'est réussi et donc lire cette critique me fait bien plaisir.
Pour l'intrigue, clairement, je voulais marcher dans les pas des films de l'époque, sans apporter du nouveau de ce côté là.
Bref, super cool, ça merci !!
Ça manque de viande.
Julien H- Bourreau intérimaire
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Eh ben moi je suis vachement contente que tu sois content Non, vraiment, pour une fois qu'on peut donner son avis à un auteur (publié, s'entend) et que celui-ci vous répond, pourquoi s'en priver?
Je suis fan de Gamble Farley. D'une part parce que c'est rare d'avoir des personnages féminins forts peu importe le type de littérature qu'on lit, et d'autre part parce que dans les quelques Trash que j'ai lus (Silence Rouge, Night Stalker, Pestilence et Bloodfist), les femmes ont rarement une grande importance, sont rarement marquantes, et souvent elles sont les jouets des hommes (Night Stalker est un brillant exemple: à part la rombière qui se fait volontairement sodomiser par son mari, toutes les autres femmes sont violées, et ça va jusqu'au personnage secondaire de la secrétaire du maire qui doit donner du plaisir à ce connard pour espérer prendre du galon...). Alors ça me met en joie de voir que dans Garbage Rampage, non seulement le personnage principal est une femme, mais en plus cette femme fout des roustes aux rustres (huhu, sonorité rigolote!).
Soit dit en passant, je l'imaginais pas du tout comme sur l'image, la Gamble. Plutôt très noire de peau. (Ceci dit, mon imagination est peut-être partie totalement en vrille lors de ma lecture.)
Je suis fan de Gamble Farley. D'une part parce que c'est rare d'avoir des personnages féminins forts peu importe le type de littérature qu'on lit, et d'autre part parce que dans les quelques Trash que j'ai lus (Silence Rouge, Night Stalker, Pestilence et Bloodfist), les femmes ont rarement une grande importance, sont rarement marquantes, et souvent elles sont les jouets des hommes (Night Stalker est un brillant exemple: à part la rombière qui se fait volontairement sodomiser par son mari, toutes les autres femmes sont violées, et ça va jusqu'au personnage secondaire de la secrétaire du maire qui doit donner du plaisir à ce connard pour espérer prendre du galon...). Alors ça me met en joie de voir que dans Garbage Rampage, non seulement le personnage principal est une femme, mais en plus cette femme fout des roustes aux rustres (huhu, sonorité rigolote!).
Soit dit en passant, je l'imaginais pas du tout comme sur l'image, la Gamble. Plutôt très noire de peau. (Ceci dit, mon imagination est peut-être partie totalement en vrille lors de ma lecture.)
Attention, je suis un sale hibou ! (Dixit Raven.)
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Naëlle, si tu apprécies les personnages féminins forts, Sous la peau devrait te combler...
Schootswater- Bourreau intérimaire
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Je suis en train de le lire, justement!
Attention, je suis un sale hibou ! (Dixit Raven.)
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Splendide. J'ai hâte de lire ton retour.
Et le tien aussi, ami Schootswater !
Pour en revenir au sujet, je suis content de voir que nos intentions sont comprises. Car il est vrai que la littérature Gore/Trash est souvent misogyne. Et notre troisième vague prend cette tendance à contrepied. Alors je n'irai peut-être pas jusqu'à affirmer que MurderProd est un roman féministe, mais personne ne pourra prétendre que le personnage de Sushi est sexiste...
Quant à la belle Gamble Farley, moi je l'ai vue comme ça:
Pam Grier.
Et je profite de l'occasion pour renchérir d'un autre avis positif sur Garbage Rampage:
"Garbage Rampage c'est du bonheur en barres! J'ai adoré du début à la fin (mais non reste là Screamy, Sous la peau est toujours mon favori, ça manque un peu de douleur ici!)
C'est un peu "Pestilence" dans le New York des années 80 : très bien écrit, enquête intéressante à suivre, personnages intéressant (la relation entre Gamble et Amelin est cool) du gore présent mais guère douloureux, on est plus dans l'immonde, avec des ordures et du putride...
Mais ce qui fait vraiment plaisir c'est le coté série B décomplexée du truc! L'histoire va vite, y'a plein de clichés comme autant d'ingrédients de genre. Avec les clodos, les égouts, les créatures et tout on se croirait dans C.H.U.D. (ou plutôt dans R.A.T.S. pour "Rather Aggressive Transgenic Species") ce roman là ne se déroule pas très loin de la décharge de Street Trash, et d'ailleurs, Gamble croise Duane & Belial dans le métro..."
Merci Maniak !
Et le tien aussi, ami Schootswater !
Pour en revenir au sujet, je suis content de voir que nos intentions sont comprises. Car il est vrai que la littérature Gore/Trash est souvent misogyne. Et notre troisième vague prend cette tendance à contrepied. Alors je n'irai peut-être pas jusqu'à affirmer que MurderProd est un roman féministe, mais personne ne pourra prétendre que le personnage de Sushi est sexiste...
Quant à la belle Gamble Farley, moi je l'ai vue comme ça:
Pam Grier.
Et je profite de l'occasion pour renchérir d'un autre avis positif sur Garbage Rampage:
"Garbage Rampage c'est du bonheur en barres! J'ai adoré du début à la fin (mais non reste là Screamy, Sous la peau est toujours mon favori, ça manque un peu de douleur ici!)
C'est un peu "Pestilence" dans le New York des années 80 : très bien écrit, enquête intéressante à suivre, personnages intéressant (la relation entre Gamble et Amelin est cool) du gore présent mais guère douloureux, on est plus dans l'immonde, avec des ordures et du putride...
Mais ce qui fait vraiment plaisir c'est le coté série B décomplexée du truc! L'histoire va vite, y'a plein de clichés comme autant d'ingrédients de genre. Avec les clodos, les égouts, les créatures et tout on se croirait dans C.H.U.D. (ou plutôt dans R.A.T.S. pour "Rather Aggressive Transgenic Species") ce roman là ne se déroule pas très loin de la décharge de Street Trash, et d'ailleurs, Gamble croise Duane & Belial dans le métro..."
Merci Maniak !
Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
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Ou pas.
Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Ce Hellbroke est un sacré visionnaire.
Ça manque de viande.
Julien H- Bourreau intérimaire
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Re: GARBAGE RAMPAGE de Julian C. Hellbroke
Chronique postée sur mon blog :
"Ce que j'aime chez cet auteur, c'est son univers où je me retrouve totalement. Même si je suis plus vieux d'une décade, nous pataugeons dans le même bourbier des nanars eighties, bavant devant un Invasion Los Angeles ou un Sudden Impact.
Ce gore new-yorkais reprend le thème traditionnel (et fondamental) des créatures des égouts. Les plus pervers d'entre nous y retrouveront des souvenirs enfouis comme C.H.U.D ou STREET TRASH. Mais l'auteur est plus intelligent. Il ne se contente pas de régurgiter une pâle copie des RATS DE MANHATTAN même si la célèbre trilogie de James Herbert est encensée par le biais d'un personnage homonyme. L'auteur pose une intrigue fameuse aux accents glauques, l'atmosphère est puante, les bas-fonds sont suintants de médiocrité, la féminité est enfin mise en valeur par le dévouement et le professionnalisme. On y discerne quelques références littéraires, comme le détective de Gilles Bergal (Cauchemar à Staten Island) avec plaisir inavouable. Avec Pestilence (chez le même éditeur), l'auteur avait rédigé un bouquin intelligent et expressif. Pour Garbage Rampage, on sent que l'écrivain s'est replongé dans l'essence du gore série B, qu'il s'est amusé dans la nostalgie pour fidéliser un vieux lectorat dont je fais partie. La structure du récit est un imbroglio de diverses influences, de Jackie Brown à Bad Taste. Les créatures n'ont rien à voir avec mes références citées (je veux vous embrouiller, bande de salopards) mais je veux partager mon ressenti de lecteur old school. Si je devais comparer ce mystérieux Julian C. Hellbroke à un écrivain de même acabit, je pense aussitôt à Chester Himes (pour le décor) et à une histoire culte, posant les bases de son délire trashy : L’île du Docteur Moreau. Eh oui les gars, ce Hellbroke est le H.G Wells du Gore. Il en a toutes les qualités imaginatives structurelles. À quand une prochaine invasion extra-terrestre façon Mars Attacks ou Guerre des Mondes ? Avec des tripailles évidemment !"
"Ce que j'aime chez cet auteur, c'est son univers où je me retrouve totalement. Même si je suis plus vieux d'une décade, nous pataugeons dans le même bourbier des nanars eighties, bavant devant un Invasion Los Angeles ou un Sudden Impact.
Ce gore new-yorkais reprend le thème traditionnel (et fondamental) des créatures des égouts. Les plus pervers d'entre nous y retrouveront des souvenirs enfouis comme C.H.U.D ou STREET TRASH. Mais l'auteur est plus intelligent. Il ne se contente pas de régurgiter une pâle copie des RATS DE MANHATTAN même si la célèbre trilogie de James Herbert est encensée par le biais d'un personnage homonyme. L'auteur pose une intrigue fameuse aux accents glauques, l'atmosphère est puante, les bas-fonds sont suintants de médiocrité, la féminité est enfin mise en valeur par le dévouement et le professionnalisme. On y discerne quelques références littéraires, comme le détective de Gilles Bergal (Cauchemar à Staten Island) avec plaisir inavouable. Avec Pestilence (chez le même éditeur), l'auteur avait rédigé un bouquin intelligent et expressif. Pour Garbage Rampage, on sent que l'écrivain s'est replongé dans l'essence du gore série B, qu'il s'est amusé dans la nostalgie pour fidéliser un vieux lectorat dont je fais partie. La structure du récit est un imbroglio de diverses influences, de Jackie Brown à Bad Taste. Les créatures n'ont rien à voir avec mes références citées (je veux vous embrouiller, bande de salopards) mais je veux partager mon ressenti de lecteur old school. Si je devais comparer ce mystérieux Julian C. Hellbroke à un écrivain de même acabit, je pense aussitôt à Chester Himes (pour le décor) et à une histoire culte, posant les bases de son délire trashy : L’île du Docteur Moreau. Eh oui les gars, ce Hellbroke est le H.G Wells du Gore. Il en a toutes les qualités imaginatives structurelles. À quand une prochaine invasion extra-terrestre façon Mars Attacks ou Guerre des Mondes ? Avec des tripailles évidemment !"
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