Femme-objet
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours hors-série :: Concours HS N°10 : Poupée(s)
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Re: Femme-objet
En ce qui concerne les concours HS, je me disais qu'une limitation à 5500 signes (plus la très appréciée tolérance de10%) permettrait sans doute à la plupart des participants de peaufiner davantage leur chute. Cela ne bouleverserait pas le principe de l'exercice et permettrait de proposer des conclusions plus satisfaisantes.
Il ne s'agit bien sûr que d'une suggestion dont on pourrait reparler plus tard.
Il ne s'agit bien sûr que d'une suggestion dont on pourrait reparler plus tard.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
- Messages : 2383
Date d'inscription : 02/10/2013
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Localisation : Sud-Est
Re: Femme-objet
Salut Pala ! : )
J'ai beaucoup aimé ton texte. Contrairement à d'autres, je n'ai pas vu venir la fin, étant absorbé et déjà très satisfait de ce que j'avais lu ça ne l'a rendue que plus plaisante.
C'est très agréable à lire, délicat dans l'ensemble, comme beaucoup de tes écrits et on reconnaît bien ta patte.
C'est une question à part entière ces poupées japonaises et, comme les bars à chat et un millier d'autres choses dans ce pays, on voit bien que psychiquement ça part à la dérive. Pourtant sur le principe je suppose que ce n'est pas très différent que de s'occuper d'un bonzaï ou même d'un tamagotchi. Il y a une notion de prendre grand soin d'une chose sur laquelle on projette son affection, un idéal personnel et, du fait même que c'est une projection (de l'intérieur vers l'extérieur), il y aussi cette notion d'intimité profonde avec soi-même.
Il doit aussi y avoir l'aspect masque social, qui ne tombe jamais vraiment (surtout au japon, culture basée sur la honte), et le fait de ne jamais pouvoir être pleinement soi-même avec un autre, même pas un proche, soumit lui aussi à cette rigidité ultra codée des rapports entre les individus.
Ce sont des aliénations exacerbées chez les nippons, et qui s'expliquent très logiquement par leur histoire et leur mœurs sociétaux (et peut-être le trauma de la bombe aussi... x) ).
Il y a quelque chose de très triste là dedans et, en même temps, j'ai l'impression d'y voir une sorte de tentative d'auto-guérison, un truc du genre...
K : Boss, on parle d'une poupée sexuelle, sur quelle planète tu es encore allé te paumer ? 8D
Je pense toujours thérapeutique ! x)
Pour en revenir à ton texte, le thème est respecté et ça se lit avec plaisir.
Une très bonne participation ! : )
Mnémosyne- Hydre Alter-native
Disciple de la douzaine d'Eux - Messages : 1835
Date d'inscription : 14/01/2020
Age : 40
Re: Femme-objet
Merci Mnémosyne !
Pour la fin, le problème n'est pas tant que les lecteurs l'ont vu venir, c'est plutôt que je crois que souvent ils l'ont mal compris, j'ai dû l'expliquer en spoiler après le commentaire de Silence.
Les love dolls, au Japon, peuvent être utilisées comme poupées sexuelles, mais pas seulement et même quelquefois pas du tout, c'est ce qui fait la complexité du phénomène. Ces poupées sont vécues pour certains utilisateur comme des personnes à part entières. Cet article de Libération est intéressant à ce sujet. Un des propriétaire de love doll y explique qu'il avait acheté sa poupée pour le sexe et qu'il y a renoncé depuis : « il m'est devenu impossible d'avoir des relations sexuelles avec elle. Quand je regarde son visage, il me confronte si cruellement au caractère à sens unique de notre relation que je ne peux plus rien faire. Le désir ne vient que de moi. Je lui impose mon désir et cela me remplit de pitié».
Sans doute est-ce assez typique de l'esprit japonais et de la culture Shinto où ce que nous voyons comme un objet peut acquérir une personnalité.
Pour la fin, le problème n'est pas tant que les lecteurs l'ont vu venir, c'est plutôt que je crois que souvent ils l'ont mal compris, j'ai dû l'expliquer en spoiler après le commentaire de Silence.
Les love dolls, au Japon, peuvent être utilisées comme poupées sexuelles, mais pas seulement et même quelquefois pas du tout, c'est ce qui fait la complexité du phénomène. Ces poupées sont vécues pour certains utilisateur comme des personnes à part entières. Cet article de Libération est intéressant à ce sujet. Un des propriétaire de love doll y explique qu'il avait acheté sa poupée pour le sexe et qu'il y a renoncé depuis : « il m'est devenu impossible d'avoir des relations sexuelles avec elle. Quand je regarde son visage, il me confronte si cruellement au caractère à sens unique de notre relation que je ne peux plus rien faire. Le désir ne vient que de moi. Je lui impose mon désir et cela me remplit de pitié».
Sans doute est-ce assez typique de l'esprit japonais et de la culture Shinto où ce que nous voyons comme un objet peut acquérir une personnalité.
Re: Femme-objet
On entre facilement dans l’histoire, le contexte se déroule sans forcer, avec ce qu’il faut de show et de tell.
Contrairement à plusieurs commentaires que j’ai survolés, je ne trouve pas la fin classique ou prévisible. J’irai même dans l’idée inverse : elle est peut-être un peu trop surprenante et originale, dans le sens où absolument rien avant les 3 dernières lignes ne laisse présager ce revirement final. Pas d’indice qu’on comprendrait après coup, je veux dire ; ce qui est logique car 1/ je ne vois pas comment intégrer de tels indices dans cette histoire et 2/ comme tu le disais quelque part, la fin t’est venue en cours d’écriture, à la place d’une autre fin que tu trouvais moins bonne.
Bref, c’est donc mon seul bémol, un peu à contre-courant des autres : un léger manque de « liant » entre le déroulé du texte et ses toute dernières lignes.
En dehors de ça, vraiment rien à redire. Ça a été pour moi une lecture plaisante, au style toujours aussi efficace et limpide.
- Spoiler:
- J’ai bien compris la chute comme tu l’entendais (la poupée et la femme inversent leurs « corps »). Pour moi, le texte ne pourrait être plus clair à ce niveau.
Contrairement à plusieurs commentaires que j’ai survolés, je ne trouve pas la fin classique ou prévisible. J’irai même dans l’idée inverse : elle est peut-être un peu trop surprenante et originale, dans le sens où absolument rien avant les 3 dernières lignes ne laisse présager ce revirement final. Pas d’indice qu’on comprendrait après coup, je veux dire ; ce qui est logique car 1/ je ne vois pas comment intégrer de tels indices dans cette histoire et 2/ comme tu le disais quelque part, la fin t’est venue en cours d’écriture, à la place d’une autre fin que tu trouvais moins bonne.
Bref, c’est donc mon seul bémol, un peu à contre-courant des autres : un léger manque de « liant » entre le déroulé du texte et ses toute dernières lignes.
En dehors de ça, vraiment rien à redire. Ça a été pour moi une lecture plaisante, au style toujours aussi efficace et limpide.
Re: Femme-objet
Merci Murphy !
En réalité, la fin ne m'est pas venue en cours d'écriture, mais avant d'écrire j'ai eu une première idée, que j'ai remplacé par une autre. Justement la première idée me semblait trop prévisible : la femme jetait la poupée par la fenêtre, le mari furieux la jetait elle aussi et la femme se retrouvait paralysée sur son lit, alors le mari prenait soin d'elle comme d'une poupée.
En réalité, la fin ne m'est pas venue en cours d'écriture, mais avant d'écrire j'ai eu une première idée, que j'ai remplacé par une autre. Justement la première idée me semblait trop prévisible : la femme jetait la poupée par la fenêtre, le mari furieux la jetait elle aussi et la femme se retrouvait paralysée sur son lit, alors le mari prenait soin d'elle comme d'une poupée.
C'était bien là mon intention : surprendre le lecteur dans les dernières phrases. Mais peut-être l'ai-je fait de façon trop brutale.elle est peut-être un peu trop surprenante et originale, dans le sens où absolument rien avant les 3 dernières lignes ne laisse présager ce revirement final.
Re: Femme-objet
Yo Pala' !
Bon, comme d'hab', c'est toujours un plaisir de te lire, ta plume toujours aussi fluide et limpide nous immerge sans effort dans un récit que l'on suit sans sourciller du début à la fin. J'ai pas mal kiffé le passage où le type se fait découvrir par sa femme face à son "amante" en mode "gros couillon"
Le postulat de base ne réinvente peut-être pas l'eau chaude, mais tu te l'appropries de façon assez intelligente, jusqu'à cette surprenante chute que je n'avais pas du tout vu venir ! Néanmoins, je serais assez d'accord avec Murphy sur ce point : il n'y a pas vraiment d'élément permettant de lier celle-ci au reste du récit et du coup, sans être réellement HS, je trouve qu'elle dénote un peu par rapport au reste, en ce sens qu'elle donne presque l'impression de sortir d'un chapeau magique, sur le moment...
En revanche, toi qui aime bien être surpris par une chute inattendue (d'autant plus dans un récit court, qui se doit de finir sur une note percutante pour laisser le lecteur sur une bonne impression), tu tapes en plein dans le mille et malgré ma réserve, j'ai également été surpris et apprécié cette chute, à laquelle je ne m'attendais pas.
Hormis ce petit point (que je ne considère pas réellement comme "négatif", mais qui aurait pu être amené de façon plus naturelle), j'ai passé un très bon moment et tu amènes une variation intéressante sur le thème, loin des histoires sordides de poupées diaboliques ou autres.
Une proposition de très belle tenue, donc, encore une fois !
Bon, comme d'hab', c'est toujours un plaisir de te lire, ta plume toujours aussi fluide et limpide nous immerge sans effort dans un récit que l'on suit sans sourciller du début à la fin. J'ai pas mal kiffé le passage où le type se fait découvrir par sa femme face à son "amante" en mode "gros couillon"
Le postulat de base ne réinvente peut-être pas l'eau chaude, mais tu te l'appropries de façon assez intelligente, jusqu'à cette surprenante chute que je n'avais pas du tout vu venir ! Néanmoins, je serais assez d'accord avec Murphy sur ce point : il n'y a pas vraiment d'élément permettant de lier celle-ci au reste du récit et du coup, sans être réellement HS, je trouve qu'elle dénote un peu par rapport au reste, en ce sens qu'elle donne presque l'impression de sortir d'un chapeau magique, sur le moment...
En revanche, toi qui aime bien être surpris par une chute inattendue (d'autant plus dans un récit court, qui se doit de finir sur une note percutante pour laisser le lecteur sur une bonne impression), tu tapes en plein dans le mille et malgré ma réserve, j'ai également été surpris et apprécié cette chute, à laquelle je ne m'attendais pas.
Hormis ce petit point (que je ne considère pas réellement comme "négatif", mais qui aurait pu être amené de façon plus naturelle), j'ai passé un très bon moment et tu amènes une variation intéressante sur le thème, loin des histoires sordides de poupées diaboliques ou autres.
Une proposition de très belle tenue, donc, encore une fois !
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 41
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Femme-objet
Merci Tak !
Je crois qu'il me faudrait rependre les quelques phrases entre " Ne lui fait pas de mal !" et "Mon mari m’est revenu", c'est là que se passe le basculement qui amène la fin que je voulais surprenante, d'où aussi l'impression de rupture, mais qui manque de coordination avec ce qui précède. J'ai écrit ce passage trop vite, à quelques jours de la deadline, alors que c'était ce qui devait être le plus travaillé, pour que la chute, tout en étant une révélation, arrive de façon plus "naturelle". Ce qui confirme :
1- que je suis moins à l'aise dans les formats courts
2 - que j'ai besoin de prendre du temps pour rédiger une histoire, cette fois l'idée m'étant venue la veille de la dernière semaine (trop court pour moi, je ne m'appelle pas Catherine qui peut écrire le dernier jour).
Je crois qu'il me faudrait rependre les quelques phrases entre " Ne lui fait pas de mal !" et "Mon mari m’est revenu", c'est là que se passe le basculement qui amène la fin que je voulais surprenante, d'où aussi l'impression de rupture, mais qui manque de coordination avec ce qui précède. J'ai écrit ce passage trop vite, à quelques jours de la deadline, alors que c'était ce qui devait être le plus travaillé, pour que la chute, tout en étant une révélation, arrive de façon plus "naturelle". Ce qui confirme :
1- que je suis moins à l'aise dans les formats courts
2 - que j'ai besoin de prendre du temps pour rédiger une histoire, cette fois l'idée m'étant venue la veille de la dernière semaine (trop court pour moi, je ne m'appelle pas Catherine qui peut écrire le dernier jour).
Re: Femme-objet
Salut Paladin !
Un joli texte que tu nous proposes là ! D'ailleurs, même si je n'avais pas su que c'était le tien, le thème poupée sexuelle m'aurait surement permis de le deviner !!!
J'ai aimé la construction de l'histoire et les personnages très attachant. La fin n'est pas si originale mais elle est bien menée.
Une jolie participation en somme !
Un joli texte que tu nous proposes là ! D'ailleurs, même si je n'avais pas su que c'était le tien, le thème poupée sexuelle m'aurait surement permis de le deviner !!!
J'ai aimé la construction de l'histoire et les personnages très attachant. La fin n'est pas si originale mais elle est bien menée.
Une jolie participation en somme !
Nao76- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 701
Date d'inscription : 26/08/2017
Age : 36
Localisation : Quelque part dans le disque monde
Re: Femme-objet
Merci Nao !
Ah bon, pourquoi ?
Mais comme je le disais dans les commentaires d'avant, les love dols japonaises ne sont pas que des poupées sexuelles, certains hommes les considèrent vraiment comme des compagnes.
même si je n'avais pas su que c'était le tien, le thème poupée sexuelle m'aurait surement permis de le deviner !!!
Ah bon, pourquoi ?
Mais comme je le disais dans les commentaires d'avant, les love dols japonaises ne sont pas que des poupées sexuelles, certains hommes les considèrent vraiment comme des compagnes.
Re: Femme-objet
Paladin a écrit:Merci Nao !même si je n'avais pas su que c'était le tien, le thème poupée sexuelle m'aurait surement permis de le deviner !!!
Ah bon, pourquoi ?
Mais comme je le disais dans les commentaires d'avant, les love dols japonaises ne sont pas que des poupées sexuelles, certains hommes les considèrent vraiment comme des compagnes.
Oui oui ne t'inquiète pas, je résumais grossièrement mais j'avais bien compris l'idée des love dolls.
et parce que ?? (ça suffit comme réponse ou tu vas m'envoyer me faire fouetter dans les oubliettes pour cet affront ? )
Nao76- Écritoirien émérite stagiaire
- Messages : 701
Date d'inscription : 26/08/2017
Age : 36
Localisation : Quelque part dans le disque monde
Re: Femme-objet
J'ai bien aimé le ton du récit, cette "chasse" à la maîtresse ; le mari adultère qui balance la phrase clichée mille fois utilisée "c'est pas ce que tu crois" - j'y vois une volonté de jouer sur cette situation de vaudeville, pour mieux la retourner avec un élément fantastique.
Je trouve que ça marche, même l'échange de conscience m'a paru clair, car l'avant-dernier paragraphe me semble assez explicite. Certes, ça m'a fait un peu réfléhir, mais la toute fin a supprimé les doutes.
Très bon, vraiment.
Je trouve que ça marche, même l'échange de conscience m'a paru clair, car l'avant-dernier paragraphe me semble assez explicite. Certes, ça m'a fait un peu réfléhir, mais la toute fin a supprimé les doutes.
Très bon, vraiment.
Re: Femme-objet
En effet, je ne sais pas pourquoi, il a disparu !
Cette semaine je suis en vacances, sur mon téléphone, mais tu as le texte aussi en spoiler dans le post initial !
Cette semaine je suis en vacances, sur mon téléphone, mais tu as le texte aussi en spoiler dans le post initial !
Re: Femme-objet
Content, Paladin, que tu aies pu participer, ça nous aurait manqué. J’ai lu ton texte hier soir, lecture très agréable même si l’histoire n’est pas follement originale. Je l’ai relu ce matin et là, ce qui m’a frappé c’est l’habileté avec laquelle tu nous conduis progressivement, en même temps que ton héroïne, jusqu’à la découverte de la poupée. D’abord elle imagine la maitresse comme une « pétasse » puis comme une bimbo avant de constater que c’est effectivement une bimbo, et enfin, une poupée. Après tout entre une bimbo et une poupée sexuelle il n’y a pas grande différence puisqu’on voit généralement la première comme hyper sexy et pas grand-chose dans la tête. De la plastique au plastique il n’y a qu’un pas.
Tu joues aussi très bien sur la différence d’apparence entre la bimbo/poupée et l’épouse executive-woman
Je n’ai eu aucun mal à comprendre la fin vu que sur d’autres forums j’ai utilisé plusieurs fois ce genre de transfert, soit en chute soit dans le corps de l’intrigue. Et aussi sur LDO (concours «Corps» et « Cauchemar du fond des âges »). Il me semble que ce n’est plus tellement original, mais bien sûr, il est toujours possible de régénérer un thème éculé
Ici, la poupée a un minimum de psyché ( ce qui la rapproche encore de la bimbo) et il semble qu’elle a échangé son apparence avec l’épouse. Mais que va-elle valoir comme executive-woman ?
Tu joues aussi très bien sur la différence d’apparence entre la bimbo/poupée et l’épouse executive-woman
Je n’ai eu aucun mal à comprendre la fin vu que sur d’autres forums j’ai utilisé plusieurs fois ce genre de transfert, soit en chute soit dans le corps de l’intrigue. Et aussi sur LDO (concours «Corps» et « Cauchemar du fond des âges »). Il me semble que ce n’est plus tellement original, mais bien sûr, il est toujours possible de régénérer un thème éculé
Ici, la poupée a un minimum de psyché ( ce qui la rapproche encore de la bimbo) et il semble qu’elle a échangé son apparence avec l’épouse. Mais que va-elle valoir comme executive-woman ?
Tobermory- Écritoirien émasculé
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Date d'inscription : 08/07/2015
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