PSYCHÉ
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L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours hors-série :: Concours HS N°9 : Miroir (s)
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Re: PSYCHÉ
Merci de ton commentaire Phantom et, au passage, ravi d'avoir de tes nouvelles. Je suis content que tu n'aies rien trouvé à redire sur le français ou peut-être as-tu simplement décidé de me ménager ! Bon, peut-être aussi ne faut-il pas surestimer le degré d'inintelligibilité du texte non plus, je veux dire que je n'ai pas réécrit le Mahabharata ni l'Ulysse de Joyce (je ne l'ai pas lu, mais tous ceux qui s'y sont essayés ont eu de grands moments de doute). Les observations (que j'accepte sans souci parce qu'elles font la différence entre l'auteur d'un texte et les lecteurs de ce texte) m'ont un peu surpris dans la mesure où je savais que je n'avais pas posé les choses de façon totalement explicite, mais je ne m'imaginais pas plonger mes lecteurs dans un océan d'incompréhension non plus ! Je pensais que la lumière se ferait dans les dernières phrases, pas avec un "Bon sang mais c'est bien sûr" suggéré par Trantor (et Bourrel !), mais plutôt un "Aahhhhh d'accord !". Ceci étant dit, je crains aussi qu'en disant que le texte est hermétique, les futurs lecteurs partent de l'idée qu'il l'est et ne se mettent à douter de tout ce qu'ils lisent ! Sur ce point, je ne crois pas qu'il soit nécessaire de relire chaque segment de l'histoire deux fois... Une devrait suffire et si possible en étant bien réveillé, c'est toujours mieux ! En tout cas, mille mercis pour ta lecture Phantom et au plaisir de te revoir dans les sombres couloirs de l'écritoire.
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: PSYCHÉ
Ulysse de Joyce, j'ai dû tenir deux pages avant de renoncer...
Ca a été le cas pour moi, vu que c'est la dernière phrase qui m'a fait tout revoir. Mais pas à le première lecture, il m'en a fallu deux ou trois (mais les premières étaient sans doute trop superficielles). Et je n'avais pas retenu le petit détail qui fait la différence : le père est nu quand il va dans la chambre de son fils. Si j'avais fait le rapprochement, je pense que j'aurais compris du premier coup, et c'est pourquoi je t'ai suggéré de le dire juste avant.
Je le répète : c'est très bien que ce ne soit pas dit de façon trop explicite, c'est juste une question de dosage. Ca ne doit pas être complétement explicite pour que le lecteur comprenne par allusion, mais il faut donner suffisamment d'éléments pour que le lecteur, arrivé aux derniers mots, ait la solution. Il te suffit que quelques menus changements pour ton texte soit excellent. Et comme d'habitude, quelle écriture !
Je pensais que la lumière se ferait dans les dernières phrases, pas avec un "Bon sang mais c'est bien sûr" suggéré par Trantor (et Bourrel !), mais plutôt un "Aahhhhh d'accord !".
Ca a été le cas pour moi, vu que c'est la dernière phrase qui m'a fait tout revoir. Mais pas à le première lecture, il m'en a fallu deux ou trois (mais les premières étaient sans doute trop superficielles). Et je n'avais pas retenu le petit détail qui fait la différence : le père est nu quand il va dans la chambre de son fils. Si j'avais fait le rapprochement, je pense que j'aurais compris du premier coup, et c'est pourquoi je t'ai suggéré de le dire juste avant.
Je le répète : c'est très bien que ce ne soit pas dit de façon trop explicite, c'est juste une question de dosage. Ca ne doit pas être complétement explicite pour que le lecteur comprenne par allusion, mais il faut donner suffisamment d'éléments pour que le lecteur, arrivé aux derniers mots, ait la solution. Il te suffit que quelques menus changements pour ton texte soit excellent. Et comme d'habitude, quelle écriture !
Re: PSYCHÉ
Deux pages de Joyce ? Tu as toute mon admiration Paladin ! Je ne connais qu'une personne qui en soit venue à bout. Je sais qu'elle en a bavé. En tout cas merci à toi Pala pour tes commentaires quels qu'ils soient.
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: PSYCHÉ
J'ai eu du mal à entrer dans ton texte. Déjà le prénom Georges (qui a été utilisé pour un concours flash et qui m'a sortie de la lecture...). Le mot "test" que je n'ai pas compris
C'est très bien écrit, mais il me semble que tu as voulu mettre trop de choses pour si peu de lignes.
Thème très bien traité aussi bien physique que mental.
Un peu mitigée, quand même.
- Spoiler:
- Est - ce qu'il s'agit de faire revivre le fils du narrateur ? Dans ce cas, c'est bizarre de dire "test". Le miroir pourquoi est-il cassé ? Ce n'est pas très clair. Son fils, qui m'a l'air très jeune aurait eu cette force et cette idée de le briser pour se suicider ? Je n'y ai pas cru. S'il joue encore aux voitures et ses peluches, il a quoi 7 ans tout au plus... Et comment le narrateur a pu "réparé" ce miroir ? Ça ne doit pas être simple. Peut-être est-ce pour ça qu'il se voit tel un monstre... dans cette surface "rapiécée"
C'est très bien écrit, mais il me semble que tu as voulu mettre trop de choses pour si peu de lignes.
Thème très bien traité aussi bien physique que mental.
Un peu mitigée, quand même.
Re: PSYCHÉ
Salut Françoise,
Merci pour ta lecture. Et je suis heureux de savoir que tu as compris le fond de l'histoire. Pour répondre à ta question, le mot "test" est utilisé en référence au test de Gallup. Il s'agit d'une expérience qui permet de savoir si le sujet de cette expérience a développé un certain niveau de conscience et notamment de conscience de son corps. Pour cela on place le sujet devant un miroir après lui avoir fait une marque de couleur sur le front. S'il tente d'effacer cette marque alors on en déduit qu'il a conscience de son reflet et donc de lui-même. Ce test a été utilisé sur des animaux, des nourrissons et on évoque la possibilité de l'utiliser sur des robots pour savoir si ces derniers ont développé une conscience. L'idée ici est que le narrateur ne veut pas d'une "poupée" mais d'une "victime" ayant conscience des actes perpétrés, ce qui est atroce.
Pour le prénom Georges, et bien que puis-je dire ? C'est le prénom qui m'est venu et que j'ai adopté. J'avoue que je ne me pose pas la question des prénoms donnés dans les précédents concours.
Sur le suicide. Oui, c'est un très jeune enfant. Mais le thème du suicide chez les très jeunes est documenté. Généralement, le mot suicide est problématique dans la mesure où la conscience du caractère définitif et irréversible de la mort n'est pas présente chez les très jeunes enfants. Pourtant, cela ne les empêche pas de se pendre, de s'ouvrir les veines ou d'avaler des médicaments. Le but étant de fuir les problèmes familiaux et notamment, mais pas exclusivement, des questions de violences et d'inceste. Le phénomène est certes rares, mais il existe. Soit dit en passant, je n'ai pas écrit qu'il avait détruit le miroir sciemment. Le narrateur ne sait pas ce qu'il s'est passé. Peut-être l'enfant a-t-il cassé le miroir en jouant et en a-t-il profité pour se couper. La narration est à la première personne et c'est la femme du narrateur qui a retrouvé l'enfant.
Pour ce qui est de réparer le miroir, c'est un peu comme pour le prénom Georges, ce n'est quand même pas un point déterminant de la compréhension. Nous lisons tous les jours des textes sur des vaisseaux spatiaux ou des robots tueurs, on peut bien admettre que le narrateur ait réparé un miroir.
Je ne crois pas avoir essayé d'en dire trop dans ce texte. Les symboles ne sont pas nécessaires à sa compréhension mais à son atmosphère et puis aussi à la volonté qui est la mienne de placer des choses ici ou là pour affirmer une caractérisation ou une ambiance.
Bref encore merci. Content de savoir que tu trouves le thème traité, que tu aies compris le fin mot de l'histoire (je n'en doutais pas!), et que tu aies aimé l'écriture.
Merci pour ta lecture. Et je suis heureux de savoir que tu as compris le fond de l'histoire. Pour répondre à ta question, le mot "test" est utilisé en référence au test de Gallup. Il s'agit d'une expérience qui permet de savoir si le sujet de cette expérience a développé un certain niveau de conscience et notamment de conscience de son corps. Pour cela on place le sujet devant un miroir après lui avoir fait une marque de couleur sur le front. S'il tente d'effacer cette marque alors on en déduit qu'il a conscience de son reflet et donc de lui-même. Ce test a été utilisé sur des animaux, des nourrissons et on évoque la possibilité de l'utiliser sur des robots pour savoir si ces derniers ont développé une conscience. L'idée ici est que le narrateur ne veut pas d'une "poupée" mais d'une "victime" ayant conscience des actes perpétrés, ce qui est atroce.
Pour le prénom Georges, et bien que puis-je dire ? C'est le prénom qui m'est venu et que j'ai adopté. J'avoue que je ne me pose pas la question des prénoms donnés dans les précédents concours.
Sur le suicide. Oui, c'est un très jeune enfant. Mais le thème du suicide chez les très jeunes est documenté. Généralement, le mot suicide est problématique dans la mesure où la conscience du caractère définitif et irréversible de la mort n'est pas présente chez les très jeunes enfants. Pourtant, cela ne les empêche pas de se pendre, de s'ouvrir les veines ou d'avaler des médicaments. Le but étant de fuir les problèmes familiaux et notamment, mais pas exclusivement, des questions de violences et d'inceste. Le phénomène est certes rares, mais il existe. Soit dit en passant, je n'ai pas écrit qu'il avait détruit le miroir sciemment. Le narrateur ne sait pas ce qu'il s'est passé. Peut-être l'enfant a-t-il cassé le miroir en jouant et en a-t-il profité pour se couper. La narration est à la première personne et c'est la femme du narrateur qui a retrouvé l'enfant.
Pour ce qui est de réparer le miroir, c'est un peu comme pour le prénom Georges, ce n'est quand même pas un point déterminant de la compréhension. Nous lisons tous les jours des textes sur des vaisseaux spatiaux ou des robots tueurs, on peut bien admettre que le narrateur ait réparé un miroir.
Je ne crois pas avoir essayé d'en dire trop dans ce texte. Les symboles ne sont pas nécessaires à sa compréhension mais à son atmosphère et puis aussi à la volonté qui est la mienne de placer des choses ici ou là pour affirmer une caractérisation ou une ambiance.
Bref encore merci. Content de savoir que tu trouves le thème traité, que tu aies compris le fin mot de l'histoire (je n'en doutais pas!), et que tu aies aimé l'écriture.
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: PSYCHÉ
D'après tes explications, je vois mieux ce que tu as voulu dire tout au début. Ensuite, c'est vrai je chipote, ce qui n'enlève rien à mon impression première qu'il s'agit d'un texte à relire pour prendre le temps de s'en imprégner. À présent j'apprécie mieux la forme et le fond de cette histoire terrible.
Re: PSYCHÉ
Silence,
Ton texte, bien écrit et fluide a la lecture m'a été difficile a comprendre. C'est peut-être moi qui suis trop fatigué aujourd'hui étant donné que ce n'est pas le seul texte qui me pose problème de ce point de vue la.
Grace a tes réponse précédente je comprend un peu mieux ta démarche mais sans elles, jamais je n'aurais réussi a comprendre par moi-même.
En tout cas merci pour ton texte qui respecte le thème et qui est d'une grande qualité comme a ton habitude.
Ton texte, bien écrit et fluide a la lecture m'a été difficile a comprendre. C'est peut-être moi qui suis trop fatigué aujourd'hui étant donné que ce n'est pas le seul texte qui me pose problème de ce point de vue la.
Grace a tes réponse précédente je comprend un peu mieux ta démarche mais sans elles, jamais je n'aurais réussi a comprendre par moi-même.
En tout cas merci pour ton texte qui respecte le thème et qui est d'une grande qualité comme a ton habitude.
kalcidian- —Couteau Suisse des arts — Disciple des mystères mystérieux
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Localisation : Toulouse
Re: PSYCHÉ
Désolé Silence, je n'ai pas réussi à rentrer dans le texte, malgré quelques tentatives. J'ai besoin que la narration me tienne "fermement" par la main (comme un vieil aveugle qui traverse la rue). Chaque phrase doit annoncer la suivante. Sinon je décroche. Je suis donc incapable de juger de sa qualité, d'autant que j'ai produit moi-même un texte assez obscur ...
Malossep- Bourreau intérimaire
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Re: PSYCHÉ
Salut Malossep,
Merci d'avoir pris le temps de lire ma nouvelle. Je comprends qu'on puisse dire qu'elle est difficile à comprendre voire ambiguë ou obscure. En revanche, je ne comprends pas en quoi les phrases qui la composent ne seraient pas liées entre elles. Là, j'avoue que j'ai plus de mal. A priori c'est un problème de narration qui te bloque, mais lequel ?
Merci d'avoir pris le temps de lire ma nouvelle. Je comprends qu'on puisse dire qu'elle est difficile à comprendre voire ambiguë ou obscure. En revanche, je ne comprends pas en quoi les phrases qui la composent ne seraient pas liées entre elles. Là, j'avoue que j'ai plus de mal. A priori c'est un problème de narration qui te bloque, mais lequel ?
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Date d'inscription : 02/01/2012
Age : 49
Re: PSYCHÉ
Je relirai à tête reposée, là je ne sais pas exactement. Je me souviens avoir progressivement décroché quand le narrateur commence à tutoyer, puis avoir été frustré de ne pas comprendre, comme si le fil de l'intrigue m'échappait sans cesse. C'est peut-être moi ..
Malossep- Bourreau intérimaire
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Date d'inscription : 28/03/2017
Age : 38
Re: PSYCHÉ
Le tutoiement utilisé en l'espèce renvoie aux souvenirs du narrateur ou, plus exactement, au dialogue que celui-ci entretien avec son fils décédé. L'usage de ce type de narration m'est apparu pertinent pour plusieurs raisons : d'une part, il permet, selon moi, de mettre en avant le fait que ce qui se trouve dans le container n'est pas qu'une simple poupée ou un simple robot, mais touche à quelque chose de plus profond pour ce narrateur. D'autre part, il permet aussi, de faire passer une certaine émotion dans le récit. Sans quoi, nous aurions simplement un narrateur qui ouvre une boîte : une narration au présent sans aucun arrière-plan affectif ou historique ; ce que certains internautes appellent du "unboxing" (ces vidéos sur Youtube qui parfois sont regardées par des centaines de milliers de personnes, où des individus ouvrent des boites ou des cadeaux, sans que rien d'autre ne se passe). Je ne voulais pas cela, et la technique du flash-back, difficile à mettre en oeuvre sur un format aussi court, ne m'intéressait pas non plus. Personnellement, je suis assez satisfait de l'effet produit (encore une fois, je ne le dis pas par auto-complaisance ni égocentrisme, mais parce que de toutes les nouvelles que j'ai pu écrire, elle fait partie de celles que je préfère, pour cette raison particulière). Après, bien sûr, les choses sont totalement subjectives. On peut aimer, ne pas aimer et même carrément détester. Pas de problème. Mais dire que les phrases ne sont pas liées entre elles, ou que "chaque phrase" n'annoncerait pas la suivante, dès lors que je raconte une histoire, me semble plus obscur. Je le dis d'autant plus volontiers que tu reviens sur cette question des "phrases liées entre elles" dans ton commentaire du texte de Kalcidian (que je trouve par ailleurs excellent, même si je n'ai pas eu l'occasion pour le moment de le lui dire sur son fil) avant d'ajouter que c'est "un principe simple trop souvent oublié". J'avoue qu'après avoir lu ta critique sur Psyché, j'ai pris ces quelques phrases comme une sorte de "pique" qui n'avait pas lieu d'être ; une manière d'en rajouter une couche. Je ne sais pas si c'est ainsi qu'il faut le prendre (en toute logique, je me dis que non), mais il y a au moins une forme de comparaison entre les deux types d'écriture. La nouvelle de Kalcidian est très bien écrite, c'est peu de le dire, nous avons simplement fait le choix, chacun de notre côté, de narrations différentes. Tu adhères à l'une, pas à l'autre pour des raisons qui te sont propres, pas parce que les mots/phrases seraient lié(e)s dans un cas, pas dans l'autre. Ces deux formes de justifications sont différentes l'une de l'autre. Dans un cas, il s'agit de dire "je n'ai pas accroché". Dans l'autre il s'agit de rejeter la faute sur l'auteur du texte : "Je n'ai pas accroché, parce que ton texte est mal écrit/incohérent"... Bref, il s'agit presque de dire "Ceci n'est pas un texte, mais simplement un ensemble de phrases sans lien entre elles". Ce que je peux dire pour ma défense, c'est la chose suivante : lorsque j'écris, il m'est difficile de présumer qui parmi les lecteurs aimera ou n'aimera pas. Personnellement, je me soucie assez peu de la réception de mes textes sur les lecteurs pendant la phase d'écriture. La question est surtout de savoir si ces textes ressemblent un minimum à ce que je souhaite produire. Si c'est le cas, je le poste. Si ce n'est pas le cas, il risque de dormir dans le disque dur de mon ordinateur pour les siècles des siècles... Je ne sais pas si je suis très clair. En tout cas, j'espère que mon commentaire, Malossep, ne te mettra pas mal à l'aise ; ni vis-à-vis de moi, ni vis-à-vis de mon texte ou de mes prochains textes. Je ne cherche à offenser personne. Ce n'est absolument pas le but de la manoeuvre. J'espère aussi que mon commentaire ne me fera pas passer non plus pour une sorte de cinglé paranoïaque ou égocentrique (je ne pense pas l'être. Ceci dit, ce n'est pas parce que tu es paranoïaque que les gens ne te veulent pas du mal !... Inutile de dire que je plaisante !). Mais nous sommes tous là pour nous améliorer et pour cela j'ai besoin de comprendre - et donc que l'on m'explique - le fond du problème exposé. En d'autres termes, je souhaite simplement en savoir plus sur ton ressenti afin d'améliorer la chose et, aussi, dissiper toute forme de malentendu.
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: PSYCHÉ
J'ai simplement exprimé mon besoin en tant que lecteur, comme dit précédemment, je ne peux pas juger de la qualité de ton texte, car je n'arrive pas à m'expliquer pourquoi je n'accroche pas. Ce n'est pas forcément une question de fluidité. Promis, je relirai et tenterai d'expliquer ce qui ne fonctionne pas de mon point de vue (subjectif et donc limité..), toujours dans le but se soutenir mutuellement et s'améliorer.
Malossep- Bourreau intérimaire
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Age : 38
Re: PSYCHÉ
Malossep a écrit:Promis, je relirai et tenterai d'expliquer ce qui ne fonctionne pas de mon point de vue (subjectif et donc limité..), toujours dans le but se soutenir mutuellement et s'améliorer.
C'est effectivement tout ce que je demande Malossep !
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Date d'inscription : 02/01/2012
Age : 49
Re: PSYCHÉ
C'est précisément ce qui est génial dans ce forum Paladin !
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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