Le grand bordel

Un délire écrit à la funky pour le dernier homme sur terre ! Pas de bol, c'est un Breton ! Un post apo bigouden en somme.

lecture fluide, un petit coté conte de la crypte bien sympa... et j'adore la douce folie du perso... j'ai vraiment bien aimé

Récit écrit sans prétention et en un seul jet. Content qu'il te plaise.

Ce n'est pas ce que je lis d'habbitude, mais j'ai beaucoup aimé =)

Et ton personnage central, je le trouve vraiment bien fichu ( sa démence surout ! )

Merci. Ce fut surtout un truc écrit pour un atelier. C'est donc un délire sans prétention et qui possède certaines maladresses.

Vraiment sympathique cette petite histoire. On est bien pris dedans. La seule chose qui m'a gênée, c'est la dernière phrase, un effet de style dans son écriture qui est de trop.

Tu veux que je la change comment ?

Comment dire ? Ce qui me gêne, c'est surtout le "aaargh" (enfin le truc comme ça). J'ai toujours trouvé que ça cassait le bazar, surtout à la fin.
Pour moi, cette phrase aurait pu être écrite en écriture tout à fait normale. Je ne pense pas que l'effet de style rajoute quelque chose, au contraire.
Mais bon, je suis pas une pro hein ! C'est que mon avis.

Je comprends ton allusion et la trouve pertinente. Merci pour ton avis ma cathy.

Alors moi pour être honnête, j'ai pas vraiment accroché.
Je sais pas si ça vient du récit lui-même ou du personnage, mais je suis pas vraiment rentré dedans. J'ai bien saisi l'idée, le "concept" de ce texte, mais je m'y suis pas du tout retrouvé, car hormis ce postulat de base plutôt sympa, il ne se passe pas grand-chose. Quant au personnage, je ne l'ai pas trouvé spécialement intéressant - et pour un mec qui ne sait pas écrire, il se démerde quand même pas mal, vu la tournure de certaines phrases - , ni attachant. Heureusement, la plume reste toujours rythmée et de qualité, malgré une propension à dévier de sa ligne directrice...
Bref, une idée marrante mais sans plus, qui donne un texte anecdotique (en même temps, on a bien compris que tu n'affichais pas d'ambition particulière pour celui-ci).
Désolé donc mais cette fois-ci la mayonnaise n'a pas pris pour moi, Zaroff !

C'est pas grave mon Takounet, on ne peut pas toujours réussir un récit. Et, souvent, l'auteur n'a aucune emprise sur son intrigue. C'est le lecteur qui décide.

Du Frédéric Dard qui aurait copulé avec Harlan Ellison ! (Tiens, je suis content de l'avoir casée, celle-là.)
Sinon, bonne histoire.
On n'a pas le temps de souffler, emportés par l'urgence du bonhomme à finir son récit tant qu'il lui reste un peu de force (ou de consistance). Et cette espèce de dissolution finale, ce reste de réel qui s'englue dans une bouillie terne et liquide (retour à la soupe primitive), ça marque bien son lecteur !
Mais Catherine a raison : Un type qui s'apprête à passer l'arme à gauche ne s'amuse pas pas à écrire (en plus au crayon) un "suffira" avec une flopée de "F" plus une kyrielle de "H" superflus à la fin. "Une balle suffira" suffisait. (Cela me rappelle la nouvelle de H-P L. où il est encore en train d'écrire pendant qu'il se fait massacrer. Même les plus grands peuvent avoir leurs petits moments de distraction)

P-S : C'est quoi ce pinard dans ta cave qui fait des effets pareils ?

C'est sûr que j'ai merdé à la fin. C'est un récit de jeunesse et le pinard doit être du Madiran.

Zaroff a écrit:Tu veux que je la change comment ?

Bonsoir Zaroff,

Pourquoi pas casser la bouteille et s'ouvrir les veines avec?

Autre idée, le héros pourrait "émerger" de la cave en pleine nuit, un noir de chez noir. Et attendre patiemment que le jour se lève, et là comme tu la décris le néant.

T'es d'accord que l'écrivain est bien souvent seul devant sa feuille, mainant son écran.? Si seul, j attendrais mon heure en écrivant.

Ouhla, c'est un vieux truc dont j'ai tout oublié !