"10 000 litres d'horreur pure", de Thomas Gunzig
Page 1 sur 1
"10 000 litres d'horreur pure", de Thomas Gunzig
10 000 litres d'horreur pure
Auteur : Thomas GUNZIG
Éditeur : Au diable vauvert
Année : 2007, réédition poche en 2019
Pages : 224
Mon avis :
Un court roman d'horreur qui se lit vite et facilement. Il commence comme un Slasher, avec sa galerie de personnages savoureusement stéréotypés (le "nerd" grassouillet, le beau gosse riche et arrogant, la belle chaudasse superficielle,…), son décor (le chalet au bord d'un lac) et, au bout d'un moment, la silhouette massive et inquiétante qui se découpe au loin pour inaugurer les hostilités... Puis il prend un tournant qui pourra surprendre celui qui s'attendait à un pur Slasher de A à Z, tournant qui nous plonge dans une horreur monstrueuse antédiluvienne à laquelle l'illustration de couverture, signée Blanquet, nous avait préparé (et il y a quelques autres illustrations dans le même style à l'intérieur du livre). Ces illustrations représentent bien le chaos organique que constituent les créatures auxquelles sont confrontés les protagonistes. Ces monstres sont l'élément auquel seront sans doute le plus sensibles les fans de films tels que The Thing de John Carpenter ou Slither/Horribilis de James Gunn. En dehors de ça, ce qui frappe le plus dans 10 000 litres d'horreur pure, c'est l'efficacité de l'écriture de Thomas Gunzig, qui vient de son style direct et du découpage en très brefs chapitres présentant avec alternance le point de vue de chaque personnage, avec à chaque fois un petit cliffhanger, comme dans les séries. Procédé qui fait qu'on n'a pas envie de lâcher le livre. Voilà donc un petit roman qui se dévore tout cru, d'une traite ou presque.
Auteur : Thomas GUNZIG
Éditeur : Au diable vauvert
Année : 2007, réédition poche en 2019
Pages : 224
Mon avis :
Un court roman d'horreur qui se lit vite et facilement. Il commence comme un Slasher, avec sa galerie de personnages savoureusement stéréotypés (le "nerd" grassouillet, le beau gosse riche et arrogant, la belle chaudasse superficielle,…), son décor (le chalet au bord d'un lac) et, au bout d'un moment, la silhouette massive et inquiétante qui se découpe au loin pour inaugurer les hostilités... Puis il prend un tournant qui pourra surprendre celui qui s'attendait à un pur Slasher de A à Z, tournant qui nous plonge dans une horreur monstrueuse antédiluvienne à laquelle l'illustration de couverture, signée Blanquet, nous avait préparé (et il y a quelques autres illustrations dans le même style à l'intérieur du livre). Ces illustrations représentent bien le chaos organique que constituent les créatures auxquelles sont confrontés les protagonistes. Ces monstres sont l'élément auquel seront sans doute le plus sensibles les fans de films tels que The Thing de John Carpenter ou Slither/Horribilis de James Gunn. En dehors de ça, ce qui frappe le plus dans 10 000 litres d'horreur pure, c'est l'efficacité de l'écriture de Thomas Gunzig, qui vient de son style direct et du découpage en très brefs chapitres présentant avec alternance le point de vue de chaque personnage, avec à chaque fois un petit cliffhanger, comme dans les séries. Procédé qui fait qu'on n'a pas envie de lâcher le livre. Voilà donc un petit roman qui se dévore tout cru, d'une traite ou presque.
Page 1 sur 1
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum