Tous des scéléRATS

Merci Purple pour ton retour.
La distanciation sociale était un écho de l'actualité pas vraiment nécessaire. Ce sera supprimé lors de la réécriture. Mais oui, l'idée est qu'il faut se cacher des autres au maximum pour avoir une chance de survivre.

Un texte vraiment intéressant Collapsus, avec des thématiques fortes, des propos durs, et des situations "cauchemardesques" ! Il manque du travail par contre, en relecture et en correction. Les dialogues aussi mériteraient d'être un peu plus dosés, certains tombent justes, et d'autres sont plus maladroits, ou moins crédibles.
Même si ce récit mériterait d'être amélioré, ou enrichi, il part plutôt bien, à mon sens.

Un texte bien prenant sur fond de fin du monde. Claudia porte bien l’histoire et j’adhère complètement à cette histoire de fin du monde. Le respect du thème l’est presque à double titre entre la guerre nucléaire et les rats. Certes, la peur de la guerre nucléaire ne se compte qu’en décennies mais cela semble beaucoup pour l’espèce à courte durée de vie que nous sommes.
Le personnage du mari est bien trouvé, il met bien en valeur le caractère plutôt nauséabond de ta Claudia. Pour conclure c’est une histoire qui tient bien la route.

Un bon texte post apo, très noir et très pessimistes, les sentiments humanistes s’effaçant devant l’instinct de conservation.

Spoiler:

un bon texte, mais perfectible.

Texte un peu pavé, il manque d’aération.
Dialogues intéressants, mais j’imagine mal un couple se parler autant, en plus un couple en mésentente pas loin de la haine, se parler autant dans une situation de danger pareil.
Beaucoup de faire. Quelques fautes.
C’est un récit bien parti mais je le trouve incomplet, il n’y a pas vraiment de chute même si on la devine et c’est ce qui manque vraiment. Oui, c’est un cauchemar, une post-apo nucléaire, un extrait de vie dans ces conditions, mais le cauchemar ne vient pas vraiment du fond des âges puisque la catastrophe s’est produite il n’y a pas très longtemps. Ce qui ne me gêne pas comme j’ai dit.
En étoffant un peu ton texte, en écrivant une vraie fin, en réduisant un peu la part des dialogues pour en ajouter sur la description de ce monde, tu peux aboutir à une histoire qui forme un tout et que je relirai avec plaisir, pour l’instant le compte n’y est pas encore vraiment.

Bonjour à toutes et à tous,

@paulux
Merci pour ton retour. J’ai effectué un travail de relecture, certainement pas assez conséquent, mais de toutes les manières je laisse toujours passer trop de fautes ou d’erreurs.
Oui, les dialogues sont à revoir.

@Perroccina
Merci pour cette bienveillance. Le déluge nucléaire est un plus. Je pensais effectivement que les rats constituaient un cauchemar très ancien, mais ça n’a pas convaincu grand monde.
Tu as bien décrypté mon héroïne nauséabonde, j’espère ne pas m’attirer les foudres des Chiennes de Garde (humour).

@Tobermory
Merci pour ton commentaire plein d’informations utiles. Elles recoupent en partie certaines remarques des camarades. Je vais me pencher sur le temps employé, ta suggestion ne m’étonne pas, j’ai éprouvé plus de difficultés que d’habitude à ce sujet.
Pour le thème, je vois ton point de vue. Les rats ayant toujours fait peur, ils ne reviennent pas du fond des âges. Je comprends mieux maintenant les réserves sur mon traitement du thème.

@Mémoiredutemps
Merci pour ces précieux axes qui vont aiguiller la réécriture. Je vois mieux les lacunes de mon petit truc.
Les couples qui se déchirent continuent parfois à beaucoup « communiquer », même si les échanges ne sont pas constructifs. Mais je reconnais que dans cette situation de danger, ce blabla perd en crédibilité.
Pour la chute, ma foi, il faut vraiment que je la revois de fond en comble.

Un très bon texte, un très bon titre, une très bonne chute !

Le début est savoureux à souhait. Aaaah, ces histoires de couple ^^ Sauf que dans le contexte, le moindre bouchon de dentifrice mal revissé peut vite dégénérer Pour ça, je trouve que ton histoire est bien calibrée, les parties sont justement équilibrées, se répondent (on voit tout l'intérêt de la direction prise par la mère en regard de son rapport avec son conjoint, et c'est ce qui précipitera sa mort). Le thème est bien dosé : les rats, pourquoi pas, après tout depuis la Grande Peste ils ont un côté effrayant dans l'esprit collectif. Même si, finalement, le plus grand cauchemar de cette histoire n'est autre que l'égoïsme et la capacité de l'homme à nuire à son prochain. Pour ça, la chute est bien amenée : une simple histoire de contretemps.

Certes, il y a par moments un peu trop d'exposé, mais je ne vais pas bouder mon plaisir pour autant. Je retiendrai surtout les savoureux dialogues du début, tellement cyniques et réalistes, et la chute qui m'a bien fait sourire. Mais bon, ça s'appelle la sélection naturelle^^

Raven, corbeau sans aucun instinct maternel.

Un texte plaisant à lire. J'ai bien aimé cette ambiance post apo, la psychologie des personnages qui est bien posée (même s'ils sont franchement antipathiques).
La menace des rats est particulièrement angoissante et le titre m'a paru assez pertinent.

Par contre la fin m'a un peu déçue. Elle aurait mérité d'être un peu étoffée. Je ne sais pas ce qui lui manque exactement, mais même si l'idée est bonne, j'ai eu le sentiment qu'elle était un peu trop abrupte.

J'ai aussi un peu de mal avec le respect du thème. Lors de ma lecture je me suis demandée où était le "venu du fond des âges". En lisant les commentaires j'ai mieux saisi, mais peut-être qu'une petite référence sur la symbolique des rats aurait pu être la bienvenue.

Mais c'était un texte agréable à lire et j'ai passé un bon moment donc merci pour ce petit récit !

Bonjour,

@Raven
Merci pour ce commentaire bienveillant. Il y a effectivement un peu trop de "tell" dans mon texte. C'est l'un de mes gros défauts.
L'absence d'instinct maternel ou paternel m'a toujours fasciné

@Lyra
Merci pour ton commentaire qui confirme que ma fin est abrupte, comme tu le soulignes bien. Pareil pour "le fond des âges"... va falloir que je prenne les thèmes au sérieux et arrêter de n'en faire qu'à ma plume !