Pulp (sans titre tant pis)

Ce n'est pas vraiment de la sf, ni de l'anticipation, ni du fantastique. En fait, je sais pas ce que c'est, donc j'ai mis au hasard dans cette catégorie.
Pulp

Merci pour le partage. Je lirai dès que mon texte pour le concours sera terminé

Hello, Cath !

J'ai lu ta petite friandise "pulpesque". Bien que n'en ayant jamais lu, il me semble que l'aspect populaire est bien respecté et c'est plutôt bien rythmé. Peut-être ton récit est-il un poil trop linéaire (ils fuient les méchants, puis trouvent une façon de s'esquiver, ils fuient à nouveau, avant de se faire attraper de nouveau), mais sur une longueur de 6 pages c'est pas trop choquant. Nan, j'ai plus tilté sur certaines formulations où j'ai eu l'impression que tu voulais tenir 2 phrases en une et qui m'ont pas semblé très naturelles.
Exemple : "Leur résister, et en cet instant, ils se seraient trouvés à quatre pattes dans les conduits, proches de la liberté."
Ça m'a pas complètement sorti de ma lecture, mais à deux ou trois reprises, je me suis arrêté pour relire la phrase et être bien certain de ce que tu voulais dire (enfin plutôt "comment" tu voulais le dire).

Et puis bon, pour ne pas changer les bonnes habitudes Catheriniennes, je ne suis pas sûr d'avoir tout à fait compris la fin...

Spoiler:

Dommage, car ça casse un peu la promesse du pulp, à savoir que c'est censé être un format court et accessible. Si on ne saisit pas rapidement les tenants et les aboutissements, le plaisir immédiat de la chose n'est plus de mise. Mais c'est peut-être moi qui aie raté quelque chose, aussi (dans ce cas-là, fais comme si j'avais rien dit).

Au final, j'ai bien aimé cette petite bribe d'aventure SF à l'ancienne (en cela, ça cadre parfaitement avec le thème Pulp, à mon avis), mais plus pour son rythme entraînant et son ton léger que pour l'intrigue en elle-même.
Merci pour le partage, Dame Cath !

Ah et une petite coquille, pour la route : "Ses mains glissait sur son tee-shirt, " P.4

Je me suis bien régalée et j'ai pratiquement la même analyse que Tak. ce qui pêche, c'est la fin. J'ai compris que l'homme qui baise avec ta belle rousse devient un monstre mais on ne sais pas quel monstre... genre Hulk ? On peut tout imaginer et il me semble que dans les histoires "pulp" la fin ne doit pas être ouverte, c'est peut-être ce qui a posé problème.

J'ai lu et je partage l'avis de Perro : j'ai aussi compris que l'homme devenait un monstre. Enfin, en fait, j'ai compris que la femme était une arme et qu'en toute logique, elle devrait devenir un monstre, mais la dernière phrase indique clairement que c'est lui et non elle le monstre. Donc j'avoue être un peu perdu au final.

Pour le reste, ça se lit sans problème, c'est rythmé, fluide ; de ce point de vue, la carte du pulp me parait réussie.

Honte sur moi, trois commentaires et aucun remerciement. Mais où étais-je à ce moment-là ?
Et bien merci à vous trois, Tak, Perro et Murphy. Je vois que vous avez tous les trois plutôt tiqué sur ma fin un peu trop ouverte. Je tâcherai d'y songer si un jour, je reprends ce texte. Ce qui n'est pas à l'ordre du jour puisque je n'en vois pas trop l'intérêt.