Des clous dans la tête
+14
Catherine Robert
mormir
Jack-the-rimeur
Perroccina
Tak
Blahom
Paladin
Mélodie Or
kalcidian
Petit-Carmin
mémoiredutemps
SILENCE
Murphy Myers
FRançoise GRDR
18 participants
L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°13 : BLACK-OUT
Page 2 sur 3
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Re: Des clous dans la tête
SILENCE a écrit:Bonjour Françoise,
Désolé pour le retard dans ma lecture, mais je me tape une rage de dents carabinée depuis quelques jours, du coup...
Bref, aujourd'hui, j'ai donc lu ton texte. Et je trouve l'idée plutôt bonne, voire excellente.
Merci pour ta lecture et les questions soulevées. C'est déjà encourageant ^^
SILENCE a écrit: Un autre problème vient de ton utilisation de la couleur. C'est étrange, je sais, mais tu décris un homme plongé dans l'obscurité (de ce point de vue, il y a bien black-out), mais ce qui est problématique, c'est qu'en dépit de cette obscurité, qui par ailleurs semble totale, tu parles d'une "bouillie épaisse de couleur verdâtre" et plus loin d'êtres minuscules de couleur rose pale. C'est un problème car du coup on ne sait plus si ce sont les souvenirs d'un black-out, ou si c'est un rêve ou...
- Spoiler:
- C'est parce qu'il a des images mentales très précises. Il peut imaginer sans voir réellement. J'avoue que ça prête à confusion surtout si l'on veut savoir s'il rêve ou pas… Pour moi, il ne rêve pas, mais est en proie à des visions intérieures (qu'il avait quand il était petit).
SILENCE a écrit:Bref, j'aurais encore beaucoup de choses à dire sur ton texte, mais je ne compte pas écrire un pavé non plus. L'idée était excellente, encore une fois, mais je suis resté hermétique à l'histoire et tu m'en vois désolé...
Pas grave, mais si tu veux ou vois des pistes pour améliorer ce texte, tu peux m'envoyer tes commentaires en mp.
Re: Des clous dans la tête
Bonsoir Mélodie Or,Mélodie Or a écrit:Bonjour Françoise,
Je viens de lire ta nouvelle... Alors tout d'abord, j'aime ton style d'écriture, c'est fluide et agréable à lire.
Je suis contente de cette première impression.
Mélodie Or a écrit:Concernant l'histoire, j'avoue moi aussi avoir été un peu déçue de la fin, le côté réveil d'un cauchemar, classique.
Ce n'est pas si simple car il ne s'agit pas d'un cauchemar, mais de vrais souvenirs éprouvés qui débouchent sur il est vrai aucune transformation de Tristan. Plutôt un échec de ses relations avec les gens. Je comprends la frustration et je vais tenter (pour plus tard) de revoir cette fin.
Oui, ce serait intéressant, mais j'ai préféré ne pas m'appesantir et laisser le lecteur imaginer la suiteMélodie Or a écrit:Et j'aurai bien aimé me plonger plus dans la tête du personnage à l'état d'éveil pour comprendre sa façon d'être, les conséquences pour lui de cette enfance...
Re: Des clous dans la tête
Comme souvent, Françoise, ce qui me pose problème dans tes textes, ce n'est pas l'histoire, tu as souvent de bonnes idées, mais le style. Et comme souvent, je suis gêné par l'absence d'émotions exprimées : ton perso est devant son ordi, soudain, les lumières s'éteignent, et ils se retrouve das un tout autre endroit que chez lui, un endroit très inquiétant, on lui fait manger des trucs dégeus de force, etc... Mais on ne perçoit jamais sa surprise, ni sa peur, c'est seulement quand on veut lui faire avaler la bouille qu'on commence à ressentir son dégoût, mais encore, là, on comprends mal s'il s'agit de souvenirs ou de choses vécues dans le présent.
A partir de ce passage-là, j'ai bien compris qu'il revivait des choses traumatisante de son enfance, avec des parents brutaux, mais c'est peu clair. Et reste une ambiguïté sur son expérience : était-ce un rêve, ou a-t-il été transporté ailleurs ? Bon, il est tout à fait légitime de jouer la carte de l'ambiguïté, peut-être rêve, peut-être pas, mais il me manque quelque chose pour conclure ce passage, difficile à définir, je dirais ce paroxysme de la terreur qui précède le réveil, dans un cauchemar. Tu en parles, mais je ne le sens pas, tout reste sur un ton assez neutre.
Et puis, tu abuses un peu trop des phrases à la forme interrogative, ce qui alourdit l'ensemble.
Pour le respect du thème, c'est peut-être un peu limite, mais ça passe : il y a black-out visuel, puisque le personnage est plongé dans le noir, et on aborde aussi le black-out de la mémoire, il semble que ses souvenirs douloureux avaient été effacés.
A partir de ce passage-là, j'ai bien compris qu'il revivait des choses traumatisante de son enfance, avec des parents brutaux, mais c'est peu clair. Et reste une ambiguïté sur son expérience : était-ce un rêve, ou a-t-il été transporté ailleurs ? Bon, il est tout à fait légitime de jouer la carte de l'ambiguïté, peut-être rêve, peut-être pas, mais il me manque quelque chose pour conclure ce passage, difficile à définir, je dirais ce paroxysme de la terreur qui précède le réveil, dans un cauchemar. Tu en parles, mais je ne le sens pas, tout reste sur un ton assez neutre.
Et puis, tu abuses un peu trop des phrases à la forme interrogative, ce qui alourdit l'ensemble.
Pour le respect du thème, c'est peut-être un peu limite, mais ça passe : il y a black-out visuel, puisque le personnage est plongé dans le noir, et on aborde aussi le black-out de la mémoire, il semble que ses souvenirs douloureux avaient été effacés.
Re: Des clous dans la tête
Merci Pala pour ta lecture et tes pistes d'amélioration…
- Spoiler:
- Je pourrais en effet donner plus de consistance à ce que Tristan ressent quoique pour moi il est en sidération et je pensais que les "images" suffisaient. Les émotions sont difficiles aussi à traiter car il y a l'homme qu'il est devenu sans émotions à cause de l'enfant maltraité qu'il était en un seul corps… réel ou pas selon le lecteur. Pour moi le passage à travers l'écran est quand même réel car éprouvé par le biais d'une expérience de conscience modifiée.
Oui, tu as bien compris mon histoire et je voulais aussi le black-out émotionnel
Re: Des clous dans la tête
Françoise, ton idée de départ est intéressante mais aurait gagné à être développée de manière plus passionnelle, en cela les suggestions de Paladin sont intéressantes.
J'aime l'idée de renvoyer le lecteur à ses propres insuffisances dans le domaine des nouvelles technologies et tu as su rendre la frustration que nous avons tous ressentie face à un écran noir.
En revanche, j'ai eu du mal avec la fin (ce n'était qu'un cauchemar...).
Pour conclure, une histoire avec ses qualités indéniables et ses petits défauts...
P.-S. Le titre, excellent, aurait dû orienter ton récit dans une direction plus sombre, plus glauque.
J'aime l'idée de renvoyer le lecteur à ses propres insuffisances dans le domaine des nouvelles technologies et tu as su rendre la frustration que nous avons tous ressentie face à un écran noir.
En revanche, j'ai eu du mal avec la fin (ce n'était qu'un cauchemar...).
Pour conclure, une histoire avec ses qualités indéniables et ses petits défauts...
P.-S. Le titre, excellent, aurait dû orienter ton récit dans une direction plus sombre, plus glauque.
Blahom- —Adorateur du (mauvais) genre— Chuchoteur dans les ténèbres
- Messages : 2383
Date d'inscription : 02/10/2013
Age : 57
Localisation : Sud-Est
Re: Des clous dans la tête
Bonjour Blahom,
Merci pour ta lecture et tes remarques. Oui, ce titre voulait justement dire que Tristan avait des problèmes anciens accrochés à son subconscient… (clous = les points noirs, les blessures). Ce qu'il vit n'est pas un cauchemar mais des faits réels qu'il avait occultés jusque là…
En effet un traitement plus franchement fantastique ou sordide aurait été mieux compris, pourtant je ne voyais pas cette histoire se terminer autrement.
Merci pour ta lecture et tes remarques. Oui, ce titre voulait justement dire que Tristan avait des problèmes anciens accrochés à son subconscient… (clous = les points noirs, les blessures). Ce qu'il vit n'est pas un cauchemar mais des faits réels qu'il avait occultés jusque là…
En effet un traitement plus franchement fantastique ou sordide aurait été mieux compris, pourtant je ne voyais pas cette histoire se terminer autrement.
Re: Des clous dans la tête
Hello, Françoise !
Je vais l'annoncer d'emblée : j'ai été moins convaincu par ce texte.
En creusant un peu le fond, on devine ce que tu cherches à faire, mais dans l'exécution ça manque un peu de clarté et même si le concept de ton texte se tient, il aurait peut-être fallu le traiter différemment pour lui rendre justice. En l'état, comme d'autres apparemment, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à l'idée d'un cauchemar, même si on comprend au fur et à mesure qu'il s'agit plutôt de réminiscences. Le problème vient probablement du manque de "liant" entre tous les éléments composant ce récit et que malgré quelques jolies tournures, le style général, trop hâché et peu clair par moments, perd plus le lecteur qu'il ne lui donne des clés de compréhension.
Et je l'avoue, y'a bien eu un ou deux moments où j'étais paumé dans ma lecture, sans savoir réellement où tu voulais en venir (je n'aurais jamais compris certains détails d'ailleurs, sans avoir lu les explications sur ce sujet).
Il y a aussi ce truc des "couleurs" qui m'a moi aussi un peu gêné, alors que ton personnage est censé se trouver dans le noir complet...
Concernant la plume, comme je disais il y a de bonnes idées et certains passages sont très réussis, mais il y a encore de nombreuses tournures ou constructions perfectibles et quelques récurrences de verbes faibles qui nuisent à la "spontanéité" de ta prose.
Bref, il y a des bonnes choses dans ce texte et d'autres moins réussies, mais au final je n'ai été complètement emballé, désolé Françoise.
P.S: Par contre j'adore le titre, même si là aussi il m'aura fallu recourir à tes explications pour en expliciter le sens, car en l'état et avec les éléments disséminés dans le texte, la signification était loin d'être évidente...
Je vais l'annoncer d'emblée : j'ai été moins convaincu par ce texte.
En creusant un peu le fond, on devine ce que tu cherches à faire, mais dans l'exécution ça manque un peu de clarté et même si le concept de ton texte se tient, il aurait peut-être fallu le traiter différemment pour lui rendre justice. En l'état, comme d'autres apparemment, je n'ai pas pu m'empêcher de penser à l'idée d'un cauchemar, même si on comprend au fur et à mesure qu'il s'agit plutôt de réminiscences. Le problème vient probablement du manque de "liant" entre tous les éléments composant ce récit et que malgré quelques jolies tournures, le style général, trop hâché et peu clair par moments, perd plus le lecteur qu'il ne lui donne des clés de compréhension.
Et je l'avoue, y'a bien eu un ou deux moments où j'étais paumé dans ma lecture, sans savoir réellement où tu voulais en venir (je n'aurais jamais compris certains détails d'ailleurs, sans avoir lu les explications sur ce sujet).
Il y a aussi ce truc des "couleurs" qui m'a moi aussi un peu gêné, alors que ton personnage est censé se trouver dans le noir complet...
Concernant la plume, comme je disais il y a de bonnes idées et certains passages sont très réussis, mais il y a encore de nombreuses tournures ou constructions perfectibles et quelques récurrences de verbes faibles qui nuisent à la "spontanéité" de ta prose.
Bref, il y a des bonnes choses dans ce texte et d'autres moins réussies, mais au final je n'ai été complètement emballé, désolé Françoise.
P.S: Par contre j'adore le titre, même si là aussi il m'aura fallu recourir à tes explications pour en expliciter le sens, car en l'état et avec les éléments disséminés dans le texte, la signification était loin d'être évidente...
Tak- Mélomane des Ondes Noires
Disciple des Livres de Sang - Messages : 6299
Date d'inscription : 01/12/2012
Age : 42
Localisation : Briançon, Hautes-Alpes
Re: Des clous dans la tête
Hello Françoise
Ton parfois un peu trop badin qui contraste avec l’histoire et son ambiance plutôt angoissante.
Quelques erreurs acquit au lieu de acquis / phrase lourde « cependant ce qu’il trouva n’allait pas… ». Un mot me semble inadéquat p3 « il arriva au bout de cette interminable séparation » (c’est un simple mur du moins selon ce que j’ai compris)
Les descriptions du labyrinthe ( est-ce bien un labyrinthe ?) ne sont pas faciles à comprendre.
L’histoire en elle-même est bien menée mais il manque un lien entre le cauchemard et la vie réelle. Tu décris un personnage et livres des caractéristiques précises dont on ne fait rien ensuite.
L’histoire est pile dans le thème mais il manque quelque chose pour la lier.
Ton parfois un peu trop badin qui contraste avec l’histoire et son ambiance plutôt angoissante.
Quelques erreurs acquit au lieu de acquis / phrase lourde « cependant ce qu’il trouva n’allait pas… ». Un mot me semble inadéquat p3 « il arriva au bout de cette interminable séparation » (c’est un simple mur du moins selon ce que j’ai compris)
Les descriptions du labyrinthe ( est-ce bien un labyrinthe ?) ne sont pas faciles à comprendre.
L’histoire en elle-même est bien menée mais il manque un lien entre le cauchemard et la vie réelle. Tu décris un personnage et livres des caractéristiques précises dont on ne fait rien ensuite.
L’histoire est pile dans le thème mais il manque quelque chose pour la lier.
Perroccina- — — — — E.T à moto — — — — Disciple asimovienne
- Messages : 4109
Date d'inscription : 26/12/2012
Age : 59
Localisation : Béarn
Re: Des clous dans la tête
Coucou, jeune amie.
Encore une histoire de sociophobe qu'un black-out impromptu replonge dans les affres d'une mémoire traumatisante.
Dans le genre, ton récit n'est pas le pire, ni le mieux maîtrisé. (Le ressenti de ton personnage, qui oscille entre présent et souvenirs déformés, est assez déroutant.)
Reste que ce thème s'avère étrangement récurent dans ce concours, à croire que ce "Black-out" serait aussi un étouffoir à l'imaginaire...
Encore une histoire de sociophobe qu'un black-out impromptu replonge dans les affres d'une mémoire traumatisante.
Dans le genre, ton récit n'est pas le pire, ni le mieux maîtrisé. (Le ressenti de ton personnage, qui oscille entre présent et souvenirs déformés, est assez déroutant.)
Reste que ce thème s'avère étrangement récurent dans ce concours, à croire que ce "Black-out" serait aussi un étouffoir à l'imaginaire...
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
- Messages : 2415
Date d'inscription : 23/01/2013
Age : 72
Localisation : Narbonne
Re: Des clous dans la tête
Merci Jack,
J'avoue ne pas avoir eu d'idée décoiffante sur ce thème… Contrairement à toi car j'ai lu ton Men In Black Out (pas encore mis de commentaires…) qui est brillantissime et en effet donne une autre dimension à ce thème, ouvre des perspectives que je n'avais pas imaginées.
Donc oui, je prends le point au sujet de ma participation bancale et peu convaincante.
J'avoue ne pas avoir eu d'idée décoiffante sur ce thème… Contrairement à toi car j'ai lu ton Men In Black Out (pas encore mis de commentaires…) qui est brillantissime et en effet donne une autre dimension à ce thème, ouvre des perspectives que je n'avais pas imaginées.
Donc oui, je prends le point au sujet de ma participation bancale et peu convaincante.
Re: Des clous dans la tête
Hello chère amie !
Ton texte ne m'est pas aisé à commenter. J'ai apprécié son style, plus prenant que certains de tes textes. L'idée est bonne et le black-out mémoriel la place dans le thème. Je crois toutefois que tu aurais pu aller plus loin dans la revivance car il y a peu d'horreur "ressentie" par ton personnage.
La première moitié m'a emporté et je voulais absolument connaître la suite... qui mp'a moins emballé.
Et puis j'ai du mal à imaginer un manager excellent orateur et asocial-qui-le-cache. Dans les grandes organisations où j'ai passé 25 ans de ma vie, l'asocial finit toujours par se voir - certains en jouent même.
En synthèse, je reste mitigé : c'est un bon texte, encore améliorable. J'espère que tu te repencheras dessus.
Merci à toi Françoise !
Ton texte ne m'est pas aisé à commenter. J'ai apprécié son style, plus prenant que certains de tes textes. L'idée est bonne et le black-out mémoriel la place dans le thème. Je crois toutefois que tu aurais pu aller plus loin dans la revivance car il y a peu d'horreur "ressentie" par ton personnage.
La première moitié m'a emporté et je voulais absolument connaître la suite... qui mp'a moins emballé.
Et puis j'ai du mal à imaginer un manager excellent orateur et asocial-qui-le-cache. Dans les grandes organisations où j'ai passé 25 ans de ma vie, l'asocial finit toujours par se voir - certains en jouent même.
En synthèse, je reste mitigé : c'est un bon texte, encore améliorable. J'espère que tu te repencheras dessus.
Merci à toi Françoise !
mormir- — Arpenteur des mondes — Disciple de l'arbre noir
- Messages : 2638
Date d'inscription : 11/05/2013
Age : 60
Localisation : Près de Chartres
Re: Des clous dans la tête
Un texte qui ne m'a pas vraiment marquée. Qui ne m'a pas déplu non plus cela-dit. Je trouve qu'il manque un peu d'affect au niveau du personnage. Je n'ai pas ressenti son angoisse ou sa souffrance alors que j'aime l'idée de cette pièce sombre et certainement terrifiante.
Je n'ai pas trop aimé la fin. Elle ne renverse rien, mais elle n'explique rien non plus, tout comme, elle ne change rien. Bref, au bout, je me suis dit : "juste un cauchemar, tout ça pour ça". Et puis, j'ai pas trop compris pourquoi manipuler devenait une question de survie.
Je pense qu'il a moyen de tirer ce texte vers le haut en retravaillant le perso pour qu'on le ressente beaucoup plus, lui et ce qu'il vit et en changeant la fin.
Je n'ai pas trop aimé la fin. Elle ne renverse rien, mais elle n'explique rien non plus, tout comme, elle ne change rien. Bref, au bout, je me suis dit : "juste un cauchemar, tout ça pour ça". Et puis, j'ai pas trop compris pourquoi manipuler devenait une question de survie.
Je pense qu'il a moyen de tirer ce texte vers le haut en retravaillant le perso pour qu'on le ressente beaucoup plus, lui et ce qu'il vit et en changeant la fin.
Re: Des clous dans la tête
Merci Mormir et Cat pour votre lecture attentive.
Peut-être, oui, dois-je travailler plus l'affect de ce personnage… Mais dans ma tête, il s'agit d'un pervers narcissique sans affect, justement. Il a besoin d'emprise psychologique sur son entourage pour éviter de regarder en face le peu d'estime de sa personne qu'il a à cause de son enfance bafouée. Souvent une des causes du PN est une enfance dysfonctionnelle causée par des comportements parentaux excessifs…
Il se valorise en rabaissant les autres. C'est ce que j'ai compris de ce genre de personnage en lisant des témoignages là-dessus. Ce sont des enfants de 7 ans, niveau construction psy (enfin Paladin pourrait m'éclairer à ce sujet ? Ou Sarah ?)
Il est vrai que je n'ai pas insisté sur sa relation avec sa compagne sinon, je peux développer ce point… Mais là, ça aurait été hors sujet.
À améliorer, je suis entièrement d'accord.
Peut-être, oui, dois-je travailler plus l'affect de ce personnage… Mais dans ma tête, il s'agit d'un pervers narcissique sans affect, justement. Il a besoin d'emprise psychologique sur son entourage pour éviter de regarder en face le peu d'estime de sa personne qu'il a à cause de son enfance bafouée. Souvent une des causes du PN est une enfance dysfonctionnelle causée par des comportements parentaux excessifs…
Il se valorise en rabaissant les autres. C'est ce que j'ai compris de ce genre de personnage en lisant des témoignages là-dessus. Ce sont des enfants de 7 ans, niveau construction psy (enfin Paladin pourrait m'éclairer à ce sujet ? Ou Sarah ?)
Il est vrai que je n'ai pas insisté sur sa relation avec sa compagne sinon, je peux développer ce point… Mais là, ça aurait été hors sujet.
À améliorer, je suis entièrement d'accord.
Re: Des clous dans la tête
J'avoue ne pas avoir perçu le personnage comme un pervers narcissique du tout (même sans parler du flou artistique qui entoure cette notion et sa définition, je veux dire). Le personnage se complique la vie, se torture sur une présentation, flippe de ce qu'on en dira : tout ça me donne l'image de quelqu'un de timide et/ou de socialement phobique. Bien loin d'un manipulateur froid et calculateur comme le voudrait certaines définitions de la perversion narcissique. :/
Côté affect, vu que ses souvenirs montrent comment il a été maltraité dans son enfance, il y aurait peut-être moyen d'appuyer cet aspect pour provoquer l'empathie des lecteurs. Je veux dire : à cette époque, il n'est encore qu'un gamin victime et innocent, qu'importe ce qu'il deviendra plus tard. Ça ouvre donc une parfaite porte à l'empathie.
Côté affect, vu que ses souvenirs montrent comment il a été maltraité dans son enfance, il y aurait peut-être moyen d'appuyer cet aspect pour provoquer l'empathie des lecteurs. Je veux dire : à cette époque, il n'est encore qu'un gamin victime et innocent, qu'importe ce qu'il deviendra plus tard. Ça ouvre donc une parfaite porte à l'empathie.
Page 2 sur 3 • 1, 2, 3
Sujets similaires
» une petite musique trotte. dans ma tête. une petite musique trotte dans ma tête. une petite musique... dans ma tête...
» La tête de l'emploi
» Une phrase vous tombe sur la tête...
» La Tête En l'Ere (fanzine SFFF gratuit)
» La Tête En Noir (fanzine Polar gratuit)
» La tête de l'emploi
» Une phrase vous tombe sur la tête...
» La Tête En l'Ere (fanzine SFFF gratuit)
» La Tête En Noir (fanzine Polar gratuit)
L'Écritoire des Ombres :: CONCOURS DE L'ÉCRITOIRE DES OMBRES :: Archives des concours :: Concours N°13 : BLACK-OUT
Page 2 sur 3
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum