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Non, je ne lis pas trop de fantasy, ça ne me botte pas beaucoup. Mais parfois, je m'y laisse entraîner. Mais réellement en fantasy, je n'ai pas beaucoup d'expérience. Bien sûr, il y a La tour sombre, et puis aussi Le seigneur des anneaux et Harry Potter, mais à côté de cela, pas grand chose : les quatre premiers tomes de L'épée de vérité (mais ça m'a lassé et j'ai jamais cherché à trouver la suite), le premier tome d'Eragon (j'ai les autres, mais même chose, ça ne m'attire plus), et donc, L'assassin royal dont j'avais lu les deux premiers cycles et que j'aime beaucoup. Ayant rentré les quatre premiers tomes de la suite, je m'y suis replongée avec plaisir. A côté de cela, j'ai les deux autres cycles se passant dans le même univers (La cité des anciens et Les aventuriers de la mer), mais je ne m'y suis jamais mise. En fait, ce qui me gêne, entre autres, dans la fantasy, c'est que c'est toujours des sagas en une masse de tomes et ça, je n'ai plus du tout envie.

Récemment, on m'a donné:
-Le silence des agneaux, Thomas Harris
-Dragon rouge, Thomas Harris
-Hannibal Lecter, Thomas Harris
-Cent ans de solitude, Gabriel Garcia Marquez.

Je suis fortement intéressé par le dernier, qui sera surement ma lecture de vacance.

Reçu :

- Patrick ERIS, L'Autobus de minuit (préface de Anne Dugüel), éd. Naturellement, coll. 2000.com, 2000.



- Danielle BROLLI (dir. par), Jeunesse cannibale (anthologie), éd. Naturellement, coll. 2000.com, 2000.

Ça a l'air plutôt sympa. J'aime bien les couv en tout cas.

Carrément, la couv' de Jeunesse Cannibale est superbe !
Ça parle de quoi ?

Raven a écrit:Carrément, la couv' de Jeunesse Cannibale est superbe !
Ça parle de quoi ?

Visiblement, ce sont des nouvelles tournant autour du cannibalisme. Je n'en sais pas plus. Pas encore commencé à lire (et pas pour tout de suite).

Achat compulsif/à l'aveugle sur internet :

- Elmor HELL, Le Boucher du terril, éd. Ravet-Anceau, coll. Polars en Nord, 2018.

Ah ben voilà ce qui arrive quand on est désœuvré ! Ils auraient jamais dû fermer les mines

Quelques unes de mes dernières rentrées :
- Dictionnaire du Fantastique : A. Pozzuoli et J.P. Krémer
- Satan était un ange : Karine Giebel
- Rêver : Franck Thilliez
- Neil Gaiman : Neverwhere
- J.C. Grangé : Le passager
- Maison hantée : Shirley Jackson
- Deuil pour deuil : Brice Pelman
- La fin de la piste : Emmanuel Errer
- Silhouettes de mort sous la lune blanche : Kââ (je sais plus si je l'ai)
- Huit histoires de Cthulhu : Bloch, Campbell, Kuttner, Lumley, Shea
- Poppy Z. Brite : Âmes perdues
- Robin Hobb :Les aventuriers de la mer T7 (le seul qui me manquait de la saga)

Mets-moi de côté Neverwhere, ça fait trop longtemps que je retarde sa lecture, et aussi le Poppy, ça fait trop longtemps que j'en ai pas lu. À joindre avec les autres pour la prochaine fois. Merci beaucoup.

Le souci c'est que je dois les lire avant de décider si je les garde ou si je m'en sépare. Et vu ma vitesse de lecture, on n'y est pas encore   .

A part ça, aujourd'hui est arrivé :

Ah ok, je croyais que c'était déjà à vendre. Bon, zut, Neverwhere va encore devoir attendre.
Là, c'est une belle photo ! Le fond, le dégradé des couvertures, la continuité de la ligne blanche. Tu vois que tu peux quand tu veux Bonnes lectures !

Neverwhere est excellent, par contre Âmes perdues de Popy Z.Brite, je l'avais commencé mais je n'avais pas dépassé une trentaine de pages tellement j'avais trouvé ça chiant !

Paladin a écrit:Neverwhere est excellent, par contre Âmes perdues de Popy Z.Brite, je l'avais commencé mais je n'avais pas dépassé une trentaine de pages tellement j'avais trouvé ça chiant !

Perso je ne l'ai pas lu, mais ma femme a eu à peu près le même avis sur le Z. Brite (en plus elle avait pas du tout aimé le style, si je me souviens bien). Neverwhere est très bon, c'est un classique, mais il m'a manqué d'un petit chouïa de profondeur ou de je ne sais quoi pour lui donner la note optimale.
Cela dit, j'aime bien l'univers décalé du monsieur, il a une voix vraiment à part.

Son délire avec les noms de stations de métro londonienne montre la créativité du bonhomme : comme on dit à Marseille, il craint dégun !