Poèmes
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Naëlle
anouk
Catherine Robert
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Poèmes
- I. LE PIRE POISON :
- "Je t’ai attendu et poursuivi, encore et encore.
Jusque là, tu es restée impassible, inaccessible.
Sans toi, je ne sais ni qui à raison, ni qui à tort.
Perdu dans ces questions aux réponses indicibles.
Ton pire ennemi se joue de moi, me tourmente.
J’ai beau chercher, je ne lui trouve aucune fente.
J’erre entre les milliers de réponses qu’il me sert
Et il enserre chaque solution possible, les enterre.
J’ignore toujours où tu es, mais je garde espoir.
Un jour viendra et mettra fin à cet infernal noir,
Qui me poignarde à chaque seconde de l’intérieur,
Qui, intouchable et sans faille, jamais ne se meurt.
***
Ta lumière s’est enfin élevée, tel le soleil,
Elle m’a réveillé de ce profond sommeil.
Tu as mis fin à mes cauchemars si sombres,
Et à ce Doute qui me condamnait aux ombres.
Ta brillance incandescente me réchauffe enfin.
Cette nuit infernale se termine, cède au matin.
Et tu brilles enfin mais je te vois déjà t’éloigner,
Moi qui t’ai tellement attendu et recherché.
Peu à peu, disparaît ta si grande puissance.
Tu me fuis à nouveau, me condamne à la solitude,
Je comprends juste à l’instant ta présence,
Alors pourquoi pars-tu déjà, Certitude ?"
- II. L'INVAINCUE :
- "Tu es entrée, tel un poison, dans leur cœur,
Et tu y as installé ton règne immortel.
Les âges et les cycles t’ont donné ta grandeur.
Sous l’œil de la lune, tu as brûlé leurs ailes.
Un à un, tu les as rendus frères et sœurs,
Unis par ces ténèbres nommées rancœur.
Tu as astreint leur esprit, avec ta horde,
Pour y implanter tes idées de discorde.
Tu les as tous rendus et aveugles et sourds,
Tu as fermé la vérité à double tour.
Ta mascarade n’a encore jamais perdu,
Sombre Rage, tu es, comme toujours, invaincue."
- III. L'OMBRE SUR LE REFLET :
- "Du fil de la vie à l’aiguille de l’horloge,
Des cris du berceau au tombeau où l’on loge,
L’ombre sur le reflet se repait en silence,
Hématome rampant qui dévore les sens.
Du pied du mur jusqu’en haut de la tour,
De chaque nuit blanche jusqu’aux idées noires,
Cette ombre muette nous guide toujours,
Etreinte suffocante sur des bris de miroirs.
Et des nouvelles lunes jusqu’au dernier soleil
Elle nous guette, se terre dans notre sommeil.
Elle prend des forces, lentement s’éveille
Et sourit d’avance en nous rêvant vermeil… "
- IV. DU HAUT DE LA TOUR :
- "La peur dans le cœur, la mort dans la tête,
La danse sur les tombes jamais ne s’arrête.
Et le corps piétine, ne sait où se mettre,
Piétine ce qu’il est, voudrait ne plus être.
Respire pour le geste et pour sa beauté,
Mais les veines rouges veulent se saboter.
Et, sous l’apparence, se fissure la glace.
Les pensées défilent, l’esprit demande grâce.
L’âme se jette à l’eau, du haut de la tour,
S’élance et s’envole, s’écrase, sans retour.
Brume dans la gorge, et des glaciers autour,
L’écume se fait lourde, le souffle se fait court."
- V. LES ÂMES LÉTHARGIQUES :
- Il est des visages qui ont perdu leur nom,
Comme des présages qui ne mènent nulle part.
Il est des virages qui dévient de l’histoire
Et, tel un adage, peu s’en souviendront.
Il est des larmes qui ont perdu leur raison.
Il est des ombres qui dévorent les soleils.
Et leurs souffles, qui mordent les lendemains,
Toujours en nombre, occultent les destins.
Il est des souffrances, de tout temps, qui veillent.
Et des silences qui dévorent le sommeil.
Il est des trésors qui tombent comme des rêves.
Il est des vivants qui meurent à l’intérieur,
Ou sont-ils déjà morts, ranimés par la peur ?
Les vents d’outre-tombe prient qu’on les achève.
Mais il est des armes que, jamais, on ne lève.
Il est des cauchemars qui griffent le réel
Et de plus noirs qui rongent les doux songes.
Il est de vieux arts qui deviennent mensonges
Et, venu le soir, on arrache leurs ailes.
Il est des âmes qui jamais ne s’éveillent…
Dernière édition par Murphy Myers le Mar 16 Aoû 2016 - 16:38, édité 8 fois
Re: Poèmes
C'est vrai qu'il est un peu maladroit par moment, quelques rimes un peu bateau, mais il a quand même du charme. Et c'est vrai qu'on ne devine le fin mot qu'au dernier mot, ce qui est un point positif !
Re: Poèmes
En effet, je m'étais pas trop pris la tête pour les rimes. Avec le recul, je changerais bien quelques morceaux de la 2e partie. M'enfin, je vais laisser cette version en tant que souvenir. Et aussi pour avoir certaines critiques dessus, histoire de pointer les problèmes, et dès que je me remets à la poésie, je posterais une version améliorée.
Re: Poèmes
Poète de surcroit ? Bravo. Si tu vas dans poésie, tu verras que je trempe ma plume dans l'encrier de la poésie, du moins j'essaie.
Tes deux poèmes sont pas mal du tout hormis quelques rimes pauvres.
Tes deux poèmes sont pas mal du tout hormis quelques rimes pauvres.
Re: Poèmes
Merci C'est en fait un seul poème mais en 2 parties. 2 parties qui forment d'ailleurs une boucle sans fin ; à la fin de la 2e, le "narrateur" revient au stade du début de la 1ere et ainsi de suite.
J'ai mis "poèmeS d'un maudit" en titre parce que j'en ai pas mal en stock, et je pensais en mettre quelques uns ici de temps en temps.
Je vais faire une ronde dans la section poésie dès que possible en tout cas.
J'ai mis "poèmeS d'un maudit" en titre parce que j'en ai pas mal en stock, et je pensais en mettre quelques uns ici de temps en temps.
Je vais faire une ronde dans la section poésie dès que possible en tout cas.
II. L'invaincue
J'ai l'impression de rien avoir posté depuis un moment, alors pour la simple beauté du geste, voilà un second poème sorti de mes vieux tiroirs.
Le fait que le concept soit similaire à celui du premier poème que j'ai posté (Le pire poison) est un pur hasard. De souvenir, je n'ai fait, en tout, "que" 3 poèmes de ce genre - c'était d'ailleurs pas voulu du tout - et je trouve juste que ces 2-là sont parmi mes plus potables.
II. L'invaincue
"Tu es entrée, tel un poison, dans leur cœur,
Et tu y as installé ton règne immortel.
Les âges et les cycles t’ont donné ta grandeur.
Sous l’œil de la lune, tu as brûlé leurs ailes.
Un à un, tu les as rendus frères et sœurs,
Unis par ces ténèbres nommées rancœur.
Tu as astreint leur esprit, avec ta horde,
Pour y implanter tes idées de discorde.
Tu les as tous rendus et aveugles et sourds,
Tu as fermé la vérité à double tour.
Ta mascarade n’a encore jamais perdu,
Sombre Rage, tu es, comme toujours, invaincue."
"Tu es entrée, tel un poison, dans leur cœur,
Et tu y as installé ton règne immortel.
Les âges et les cycles t’ont donné ta grandeur.
Sous l’œil de la lune, tu as brûlé leurs ailes.
Un à un, tu les as rendus frères et sœurs,
Unis par ces ténèbres nommées rancœur.
Tu as astreint leur esprit, avec ta horde,
Pour y implanter tes idées de discorde.
Tu les as tous rendus et aveugles et sourds,
Tu as fermé la vérité à double tour.
Ta mascarade n’a encore jamais perdu,
Sombre Rage, tu es, comme toujours, invaincue."
Le fait que le concept soit similaire à celui du premier poème que j'ai posté (Le pire poison) est un pur hasard. De souvenir, je n'ai fait, en tout, "que" 3 poèmes de ce genre - c'était d'ailleurs pas voulu du tout - et je trouve juste que ces 2-là sont parmi mes plus potables.
Dernière édition par Murphy Y le Mer 11 Juin 2014 - 12:22, édité 1 fois
Re: Poèmes
C'est pas mal, un peu sombre comme j'aime.
Quelques fautes d'accord^^
- tu es entré (bien que s'agissant de la rage, ça peut peut-être être considéré comme juste, mais ça ne me plait pas parce qu'au départ on ne sait pas qu'il s'agit de la rage, alors je sais pas en fait^^)
- tu as astreint
- tu as fermé
Quelques fautes d'accord^^
- tu es entré (bien que s'agissant de la rage, ça peut peut-être être considéré comme juste, mais ça ne me plait pas parce qu'au départ on ne sait pas qu'il s'agit de la rage, alors je sais pas en fait^^)
- tu as astreint
- tu as fermé
Re: Poèmes
Merci, Catherine. Je corrige ça tout de suite (comment j'ai fait pour ne pas les voir, ces fautes, moi ? ).
Pour "tu es entrée", je pense qu'on peut se référer au titre "L'invaincue" qui montre bien qu'on parle de quelqu'un ou quelque chose de féminin. Mais pour le reste, je suis impardonnable.
Pour "tu es entrée", je pense qu'on peut se référer au titre "L'invaincue" qui montre bien qu'on parle de quelqu'un ou quelque chose de féminin. Mais pour le reste, je suis impardonnable.
Re: Poèmes
Ça faisait bien longtemps que j'avais rien tenté en rimes. Et puis, entre quelques phrases, qui me sont venues de nulle part un soir d'insomnie, et l'image d'une tour qui a débloqué mon imagination, je me suis retrouvé à écrire ces deux choses pas très joyeuses ce matin.
J'ai tenté de faire des vers plus ou moins de même longueur, mais j'avoue que c'est tout nouveau pour moi.
J'ai tenté de faire des vers plus ou moins de même longueur, mais j'avoue que c'est tout nouveau pour moi.
- III. L'OMBRE SUR LE REFLET:
- "Du fil de la vie à l’aiguille de l’horloge,
Des cris du berceau au tombeau où l’on loge,
L’ombre sur le reflet se repait en silence,
Hématome rampant qui dévore les sens.
Du pied du mur jusqu’en haut de la tour,
De chaque nuit blanche jusqu’aux idées noires,
Cette ombre muette nous guide toujours,
Etreinte suffocante sur des bris de miroirs.
Et des nouvelles lunes jusqu’au dernier soleil
Elle nous guette, se terre dans notre sommeil.
Elle prend des forces, lentement s’éveille
Et sourit d’avance en nous rêvant vermeil… "
- IV. DU HAUT DE LA TOUR:
- "La peur dans le cœur, la mort dans la tête,
La danse sur les tombes jamais ne s’arrête.
Et le corps piétine, ne sait où se mettre,
Piétine ce qu’il est, voudrait ne plus être.
Respire pour le geste et pour sa beauté,
Mais les veines rouges veulent se saboter.
Et, sous l’apparence, se fissure la glace.
Les pensées défilent, l’esprit demande grâce.
L’âme se jette à l’eau, du haut de la tour,
S’élance et s’envole, s’écrase, sans retour.
Brume dans la gorge, et des glaciers autour,
L’écume se fait lourde, le souffle se fait court."
Dernière édition par Murphy Y le Jeu 18 Déc 2014 - 21:37, édité 1 fois
Re: Poèmes
D'un point de vue technique, y a des trucs à redire (vers irréguliers, problèmes de césure), mais honnêtement pour une fois je m'en fiche un peu parce que j'ai vraiment beaucoup aimé ces deux petits poèmes. Je suis un peu truffe, moi: les poèmes que je pige pas, je peux pas y adhérer totalement. Les tiens sont limpides et le fond me plaît, donc j'aime.
Quelques passages que je trouve faibles dans le premier poème:
- "Du soir à l’aube et de l’aube au soir,"
Et dans le second:
- la deuxième strophe
- il y a un problème de compréhension, pour moi: dans le premier vers de la troisième strophe, tu nous dis que l'âme se jette à l'eau, alors moi, bêtement, j'imagine la personne en train de sauter pour de vrai! Et dans le second vers, tu dis que l'âme s'élance et s'envole... sauf que pour moi elle a sauté au vers d'avant! Voilà voilà. Il y a eu une petite ambiguïté pour moi à la lecture, je sais pas si ça l'aura fait aux autres.
Passages que je trouve très cools:
- la première strophe du premier poème
- la première strophe du second poème
- "L’écume se fait lourde, le souffle se fait court."
Quelques passages que je trouve faibles dans le premier poème:
- "Du soir à l’aube et de l’aube au soir,"
Et dans le second:
- la deuxième strophe
- il y a un problème de compréhension, pour moi: dans le premier vers de la troisième strophe, tu nous dis que l'âme se jette à l'eau, alors moi, bêtement, j'imagine la personne en train de sauter pour de vrai! Et dans le second vers, tu dis que l'âme s'élance et s'envole... sauf que pour moi elle a sauté au vers d'avant! Voilà voilà. Il y a eu une petite ambiguïté pour moi à la lecture, je sais pas si ça l'aura fait aux autres.
Passages que je trouve très cools:
- la première strophe du premier poème
- la première strophe du second poème
- "L’écume se fait lourde, le souffle se fait court."
Naëlle- — — Madone des Ombres — — Disciple de la Discipline
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Re: Poèmes
Merci du commentaire !
J'avoue que je suis pas vraiment au point côté technique. J'essaie de lire à voix haute pour voir si c'est mélodieux, mais les césures, les E muets et ceux qui ne le sont pas, ce genre de choses, je n'y comprends pas grand chose. Mais je me soigne.
C'est vrai que "du soir à l'aube" est pas très fort maintenant que tu le dis. Sur le coup, là, je me dirais que ça passerait peut-être mieux avec une phrase comme "De chaque nuit blanche jusqu’aux idées noires" à la place.
Je vais voir comment je peux arranger la 2e strophe du 2e poème. C'est vrai que c'est une transition un peu faible et pas très fluide.
Pour "se jeter à l'eau" moi-même j'ignore si c'est à prendre au figuré ou non. J'ai voulu garder les 2 possibilités à vrai dire : la métaphore de se lancer à l'eau dans un projet qui finira mal et le fait de se jeter à l'eau pour s'y noyer. Mais j'imaginais la 2e phrase comme une continuité en fait, qui donne les détails sur la 1ere. Mais c'est vrai que ça peut prêter à confusion. Je vais chercher un verbe pour remplacer "s'élance" au pire. Le reste peut rester je pense, elle se jette, s'envole et s'écrase.
En tout cas, ton commentaire confirme des soupçons que j'avais déjà : les "bons" morceaux de mes poèmes sont les fameuses phrases sorties de nulle part, que j'écris sans m'en rendre compte ou qui me viennent quand j'essaie de dormir. Et ensuite, quand j'essaie de rajouter des strophes pour en faire un "vrai" poème, ça donne les autres passages, moins fluides, moins forts, voire totalement foireux pour certains. Je devrais moins forcer en fait et voir si d'autres phrases peuvent pas me venir d'elles-mêmes.
J'avoue que je suis pas vraiment au point côté technique. J'essaie de lire à voix haute pour voir si c'est mélodieux, mais les césures, les E muets et ceux qui ne le sont pas, ce genre de choses, je n'y comprends pas grand chose. Mais je me soigne.
C'est vrai que "du soir à l'aube" est pas très fort maintenant que tu le dis. Sur le coup, là, je me dirais que ça passerait peut-être mieux avec une phrase comme "De chaque nuit blanche jusqu’aux idées noires" à la place.
Je vais voir comment je peux arranger la 2e strophe du 2e poème. C'est vrai que c'est une transition un peu faible et pas très fluide.
Pour "se jeter à l'eau" moi-même j'ignore si c'est à prendre au figuré ou non. J'ai voulu garder les 2 possibilités à vrai dire : la métaphore de se lancer à l'eau dans un projet qui finira mal et le fait de se jeter à l'eau pour s'y noyer. Mais j'imaginais la 2e phrase comme une continuité en fait, qui donne les détails sur la 1ere. Mais c'est vrai que ça peut prêter à confusion. Je vais chercher un verbe pour remplacer "s'élance" au pire. Le reste peut rester je pense, elle se jette, s'envole et s'écrase.
En tout cas, ton commentaire confirme des soupçons que j'avais déjà : les "bons" morceaux de mes poèmes sont les fameuses phrases sorties de nulle part, que j'écris sans m'en rendre compte ou qui me viennent quand j'essaie de dormir. Et ensuite, quand j'essaie de rajouter des strophes pour en faire un "vrai" poème, ça donne les autres passages, moins fluides, moins forts, voire totalement foireux pour certains. Je devrais moins forcer en fait et voir si d'autres phrases peuvent pas me venir d'elles-mêmes.
Re: Poèmes
Ah bin, j'avais raté ça moi ! Deux jolis poèmes. Bien sûr pas parfait au niveau des règles, mais on n'est pas toujours obligé de respecter les règles.
Je n'ai pas grand chose à dire de plus, je ne suis pas dans une période poésie et du coup, j'ai un peu de mal à entrer dans les vers (ce qui ne veut rien dire, ça m'a fait un peu la même chose sur le poème de Jack lu un peu plus tôt dans la journée).
Je n'ai pas grand chose à dire de plus, je ne suis pas dans une période poésie et du coup, j'ai un peu de mal à entrer dans les vers (ce qui ne veut rien dire, ça m'a fait un peu la même chose sur le poème de Jack lu un peu plus tôt dans la journée).
Re: Poèmes
Merci d'avoir pris le temps de commenter.
J'avoue que je ne compte pas les syllabes. Je fais juste en sorte que ça "sonne" bien, je cherche des vers qui ont presque la même longueur, mais je ne cherche pas l'exacte même longueur non plus. Beaucoup me diraient que c'est une faute grave, mais on peut bien faire de la poésie en prose alors tout est permis pour moi.
On peut pas accrocher à chaque fois, y a des jours où ça veut pas. Peut-être que de futurs poèmes te tenteront plus.
J'avoue que je ne compte pas les syllabes. Je fais juste en sorte que ça "sonne" bien, je cherche des vers qui ont presque la même longueur, mais je ne cherche pas l'exacte même longueur non plus. Beaucoup me diraient que c'est une faute grave, mais on peut bien faire de la poésie en prose alors tout est permis pour moi.
On peut pas accrocher à chaque fois, y a des jours où ça veut pas. Peut-être que de futurs poèmes te tenteront plus.
Re: Poèmes
Peut-être, qui sait. Faut dire que je suis un peu cyclique dans mon écriture. Je passe de périodes "poèmes" à des périodes "nouvelles". Si je suis à fond dans l'une, je fais rien dans l'autre genre. Ou presque.
Et y a pas de fautes graves lorsque le néo-classique, plus ou moins libéré, est assumé. Il n'y a faute que si l'on se réclame de la poésie classique.
Et y a pas de fautes graves lorsque le néo-classique, plus ou moins libéré, est assumé. Il n'y a faute que si l'on se réclame de la poésie classique.
Re: Poèmes
Je réponds un peu tard, j'ignore pourquoi j'ai oublié de le faire avant.
J'avais jamais pensé à distinguer une poésie classique d'une poésie "moderne" (je n'y connais pas grand chose en poésie, on l'aura remarqué) mais en effet, je n'ai jamais été attiré par l'idée d'écrire de la poésie classique (à cause de ses règles trop complexes pour moi), lui préférant une version plus "libre", alors que parallèlement, j'adore en lire.
Je viens de changer 2-3 trucs par rapport aux suggestions de Naëlle. J'ai tenté d'arranger 2 des 3 points faibles qu'elle a évoqué. (Je garde le 3e point pour une autre fois, pas réussi à l'améliorer sur le coup). Et en prime, j'ai changé la fin de la 1ere strophe parce que, même si personne n'y a mentionné de défaut, j'étais pas trop fan.
J'avais jamais pensé à distinguer une poésie classique d'une poésie "moderne" (je n'y connais pas grand chose en poésie, on l'aura remarqué) mais en effet, je n'ai jamais été attiré par l'idée d'écrire de la poésie classique (à cause de ses règles trop complexes pour moi), lui préférant une version plus "libre", alors que parallèlement, j'adore en lire.
Je viens de changer 2-3 trucs par rapport aux suggestions de Naëlle. J'ai tenté d'arranger 2 des 3 points faibles qu'elle a évoqué. (Je garde le 3e point pour une autre fois, pas réussi à l'améliorer sur le coup). Et en prime, j'ai changé la fin de la 1ere strophe parce que, même si personne n'y a mentionné de défaut, j'étais pas trop fan.
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