NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
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Paladin
Zaroff
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Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
Je suis en train de lire 1922...En effet c'est assez fort! Et trés sombre...
Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
J'ai lu les résumés sur le club stephen king (oui, je sais, c'est mal). J'ai la forte impression qu'il y a très peu de fantastique et beaucoup de psychologique dans ces nouvelles, non ? Le point commun semble être la question "qu'est ce qu'on ferait dans une situation de choix difficile"
Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
Différentes Saisons, sur le modèle duquel ce livre est bâti, ne comprenais qu'une histoire fantastique, La méthode respiratoire, qui était la plus courte (En fait c'était la seule nouvelle, les trois autres étaient des novellas...)
Pas encore lu
Je suis content car je l'ai acheté le 29/02/12 alors qu'il devait sortir en mars .
Shining 2 ( hors sujet je sais ! ) et dèja sorti au état unis ?
Je n'ai pas encore lu Nuit noire étoile mortes ( je dois en finir avec désolation avant )
Vous savez ou je peux trouver un résumé ( n'en ai pas trouvé sur Stephen king de A à Z )
Shining 2 ( hors sujet je sais ! ) et dèja sorti au état unis ?
Je n'ai pas encore lu Nuit noire étoile mortes ( je dois en finir avec désolation avant )
Vous savez ou je peux trouver un résumé ( n'en ai pas trouvé sur Stephen king de A à Z )
Invité- Invité
Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
Résumé du Figaro :
Un an après l'étouffant Dôme et en attendant la traduction de 11/22/1963, roman sur l'assassinat de Kennedy, on peut sans désagrément se plonger dans les quatre histoires réunies dans Nuit noire, étoiles mortes. Lesquelles mettent en scène des êtres désemparés qui ont recours à la violence pour se sortir de situations pour le moins inconfortables.
Le premier texte, 1922, pourrait avoir pour sous-titre: «Tu ne tueras point, même quelqu'un qui te rend la vie impossible». Contrairement aux trois autres, il est écrit à la première personne et se déroule à une époque reculée. Wilf, fermier du Nebraska, acculé par la folie des grandeurs de sa femme, Arlette, qui ne pense qu'à quitter la campagne pour s'installer en ville, décide de la faire disparaître avec la complicité de leur fils Henry, quatorze ans. Cet assassinat, sauvage, sera le point de départ d'une cascade d'événements dramatiques. King, drapé de moralité, montre que le crime ne paie pas.
«Tu te feras justice toi-même»
Les trois nouvelles suivantes fonctionnent sur un autre mode, qu'on pourrait cette fois résumer par: «Tu te feras justice toi-même». Grand chauffeur a été inspiré à l'écrivain par une scène vécue sur l'autoroute 84. Une femme dont la voiture avait un pneu crevé était gentiment secourue par un camionneur. Image idyllique que King ne pouvait que détourner. Tombée dans un traquenard sur une route désolée, violée et laissée pour morte, Tess, romancière rentrant d'une signature, décide de régler elle-même l'affaire. Hors de question de voir cette horreur étalée dans les tabloids. Aidée dans sa quête de vengeance par les voix imaginaires de son GPS, d'animaux et de l'héroïne de ses romans, elle va se révéler une Charles Bronson au féminin. Du King désinvolte en mode mineur.
La nouvelle Extension claire est née d'une balade de l'auteur près de l'aéroport de Bangor, Maine. Un personnage étrange y vendait des balles de golf récupérées sur les greens. À partir de là, King a imaginé la rencontre d'un homme en phase terminale et d'un vendeur d'extensions en tous genres (amour, temps, cheveux…). En échange d'un rab de vie, Streeter conclut un pacte ba-
sique avec ce monsieur Dabiel (anagramme de diable) qui lui demande de sacrifier une personne qu'il hait. Très vite, Streeter recouvre sa santé et les ennuis s'abattent sur un ami d'enfance qui l'a trahi. Et si la vie était aussi simple que cela? s'interroge l'écrivain narquois. Enfin, dans Bon ménage, King s'intéresse à ces femmes qui ont vécu de longues années à côté d'un tueur en série sans se douter de rien. Le jour où elles découvrent enfin l'horrible vérité, comment s'en sortent-elles? L'histoire, inspirée d'un fait divers, donne des frissons dans le dos. Comme quoi il est inutile de convoquer des bestioles venues de nulle part, des goules et des loups-garous pour secouer joliment le lecteur!
Critique en vidéo :
Un an après l'étouffant Dôme et en attendant la traduction de 11/22/1963, roman sur l'assassinat de Kennedy, on peut sans désagrément se plonger dans les quatre histoires réunies dans Nuit noire, étoiles mortes. Lesquelles mettent en scène des êtres désemparés qui ont recours à la violence pour se sortir de situations pour le moins inconfortables.
Le premier texte, 1922, pourrait avoir pour sous-titre: «Tu ne tueras point, même quelqu'un qui te rend la vie impossible». Contrairement aux trois autres, il est écrit à la première personne et se déroule à une époque reculée. Wilf, fermier du Nebraska, acculé par la folie des grandeurs de sa femme, Arlette, qui ne pense qu'à quitter la campagne pour s'installer en ville, décide de la faire disparaître avec la complicité de leur fils Henry, quatorze ans. Cet assassinat, sauvage, sera le point de départ d'une cascade d'événements dramatiques. King, drapé de moralité, montre que le crime ne paie pas.
«Tu te feras justice toi-même»
Les trois nouvelles suivantes fonctionnent sur un autre mode, qu'on pourrait cette fois résumer par: «Tu te feras justice toi-même». Grand chauffeur a été inspiré à l'écrivain par une scène vécue sur l'autoroute 84. Une femme dont la voiture avait un pneu crevé était gentiment secourue par un camionneur. Image idyllique que King ne pouvait que détourner. Tombée dans un traquenard sur une route désolée, violée et laissée pour morte, Tess, romancière rentrant d'une signature, décide de régler elle-même l'affaire. Hors de question de voir cette horreur étalée dans les tabloids. Aidée dans sa quête de vengeance par les voix imaginaires de son GPS, d'animaux et de l'héroïne de ses romans, elle va se révéler une Charles Bronson au féminin. Du King désinvolte en mode mineur.
La nouvelle Extension claire est née d'une balade de l'auteur près de l'aéroport de Bangor, Maine. Un personnage étrange y vendait des balles de golf récupérées sur les greens. À partir de là, King a imaginé la rencontre d'un homme en phase terminale et d'un vendeur d'extensions en tous genres (amour, temps, cheveux…). En échange d'un rab de vie, Streeter conclut un pacte ba-
sique avec ce monsieur Dabiel (anagramme de diable) qui lui demande de sacrifier une personne qu'il hait. Très vite, Streeter recouvre sa santé et les ennuis s'abattent sur un ami d'enfance qui l'a trahi. Et si la vie était aussi simple que cela? s'interroge l'écrivain narquois. Enfin, dans Bon ménage, King s'intéresse à ces femmes qui ont vécu de longues années à côté d'un tueur en série sans se douter de rien. Le jour où elles découvrent enfin l'horrible vérité, comment s'en sortent-elles? L'histoire, inspirée d'un fait divers, donne des frissons dans le dos. Comme quoi il est inutile de convoquer des bestioles venues de nulle part, des goules et des loups-garous pour secouer joliment le lecteur!
Critique en vidéo :
Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
Concernant "Dr Sleep", la suite de Shining, il semblerait qu'il doit sortir aux States fin 2012, début 2013.
Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
J'ai adoré "nuit noire, étoiles mortes". Peu de fantastique, c'est vrai mais les personnages et les situations sont très bien construites. Ce recueil est vraiment un plaisirs a lire.
kalcidian- —Couteau Suisse des arts — Disciple des mystères mystérieux
- Messages : 1310
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Age : 45
Localisation : Toulouse
Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
"Nuit Noire, Etoiles Mortes" sortira en poche chez Le Livre de Poche le 5 mars 2014 !
Puisqu'une bonne nouvelle ne vient jamais seule, sachez que le recueil comportera une nouvelle inédite !!!
En spoiler, le visuel de la couverture :
Puisqu'une bonne nouvelle ne vient jamais seule, sachez que le recueil comportera une nouvelle inédite !!!
En spoiler, le visuel de la couverture :
- Spoiler:
Re: NUIT NOIRE, ÉTOILES MORTES
Au sujet de la nouvelle inédite "A LA DURE"
Courte nouvelle d’une vingtaine de pages qui se laisse lire.
Nous suivons un publicitaire au cours d’une journée banale de travail.
L’histoire n’a rien de transcendante mais le final est percutant.
Difficile de chroniquer une nouvelle aussi courte malgré le fait que je l’ai bien aimé.
Courte nouvelle d’une vingtaine de pages qui se laisse lire.
Nous suivons un publicitaire au cours d’une journée banale de travail.
L’histoire n’a rien de transcendante mais le final est percutant.
Difficile de chroniquer une nouvelle aussi courte malgré le fait que je l’ai bien aimé.
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