Dead Zone
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Dead Zone
John Smith fait une chute durant du patinage sur un lac glacé. Il s’évanouit quelques instants. Greg Stillson, représentant de commerce, terrasse un chien à coups de pieds. Sa violence est démoniaque et il a soif de pouvoir. Ainsi débute un prologue halluciné.
Adulte, John (devenu enseignant) est amoureux de Sarah. Leur amour est naissant lorsque Smith a un terrible accident. Il tombe dans le coma durant cinq années. Ses parents (dont la mère est une hystérique de la Foi) patientent dans le doute. Sarah se remarie et tombe enceinte. A son réveil, John a des visions sur le passé en touchant le bras de son médecin. Son traumatisme d’enfance a évolué. Les prémonitions de John prennent de l’ampleur tandis que Stillson grimpe dans la hiérarchie sociale. Son antisémitisme (allié à sa haine des communistes) définit le personnage. Le pouvoir de John est une malédiction. Prédire les évènements et les destins des hommes n’est réservé qu’à Dieu. Il se retrouve incompris, haï et harcelé. Dead Zone, malgré un début prometteur, s’essouffle entre deux rebondissements. Le film est connu comme un classique mais ce roman est mineur. L’intrigue est linéaire et les personnages peu fouillés. La caricature de Vera Smith, femme fanatique fait penser à la mère de Carrie dont le roman est cité d’ailleurs dans Dead Zone.
Adulte, John (devenu enseignant) est amoureux de Sarah. Leur amour est naissant lorsque Smith a un terrible accident. Il tombe dans le coma durant cinq années. Ses parents (dont la mère est une hystérique de la Foi) patientent dans le doute. Sarah se remarie et tombe enceinte. A son réveil, John a des visions sur le passé en touchant le bras de son médecin. Son traumatisme d’enfance a évolué. Les prémonitions de John prennent de l’ampleur tandis que Stillson grimpe dans la hiérarchie sociale. Son antisémitisme (allié à sa haine des communistes) définit le personnage. Le pouvoir de John est une malédiction. Prédire les évènements et les destins des hommes n’est réservé qu’à Dieu. Il se retrouve incompris, haï et harcelé. Dead Zone, malgré un début prometteur, s’essouffle entre deux rebondissements. Le film est connu comme un classique mais ce roman est mineur. L’intrigue est linéaire et les personnages peu fouillés. La caricature de Vera Smith, femme fanatique fait penser à la mère de Carrie dont le roman est cité d’ailleurs dans Dead Zone.
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