Victor Segalen : René Leys (mise en forme par TIPRAM Poivre)
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Victor Segalen : René Leys (mise en forme par TIPRAM Poivre)
Le plus grand soin à été apporté à la mise en forme de ce roman posthume de Victor Segalen, médecin, archéologue, poète et amoureux de la Chine. Un véritable travail éditorial a été effectué, et des notes explicatives ont été ajoutées à l’attention des lecteurs non-spécialistes de l’histoire de la Chine. Quelques photos du début du 20e siècle permettent de mesurer la métamorphose de la capitale de l’Empire du Milieu.
L’action est placée à Pékin, au début du 20e siècle, à l’époque des Concessions arrachées au 19e siècle par les puissances coloniales à la force des canonnières lors des deux guerres de l’opium. La Chine est en pleine déliquescence. Des révoltes éclatent dans tout le pays contre le pouvoir impérial et contre la domination étrangère. L’insécurité sévit, à Pékin comme dans les provinces.
Le récit revêt la forme d’un journal couvrant neuf mois, de février à novembre 1911. L’empereur Kouang-Siu est mort, et le pouvoir est exercé par le Régent, père de l’empereur en titre, âgé de seulement quatre ans. Il s’achève sur l’abdication de l’empereur.
C’est sur cette trame que Segalen construit une intrigue quasi policière.
Obsédé par les mystères de la Cité interdite, le narrateur espère que son professeur de Chinois, un jeune belge fils d’épicier, lui permettra de franchir les lourdes portes de la Cité interdite, le siège de tous ses désirs. Ce professeur est en effet l’ami du Régent et l’amant de l’impératrice douairière. Il a aussi été le confident – l’amant ? – du défunt empereur Kouang-Si « qui n’a encore jamais vu de femme », et raconte la nuit de noces impériale avec un naturel désarçonnant.
Il fallait le talent et la sensibilité de Segalen pour aborder des thèmes tels que la prostitution, les amours ancillaires et l’homosexualité sans verser dans la facilité des mots crus. Pour évoquer le fantasme de l’homme blanc couchant avec une Mandchoue, il trempe son pinceau dans la meilleure encre de Chine.
Cette œuvre se prétend un roman, mais elle contient tant de coïncidences avec des faits réels qu’il est légitime de soupçonner une histoire vraie. D’autant plus que l’écrivain donne au narrateur, personnage censé fictif, le nom de… Victor Segalen.
Acheter sur YouScribeL’action est placée à Pékin, au début du 20e siècle, à l’époque des Concessions arrachées au 19e siècle par les puissances coloniales à la force des canonnières lors des deux guerres de l’opium. La Chine est en pleine déliquescence. Des révoltes éclatent dans tout le pays contre le pouvoir impérial et contre la domination étrangère. L’insécurité sévit, à Pékin comme dans les provinces.
Le récit revêt la forme d’un journal couvrant neuf mois, de février à novembre 1911. L’empereur Kouang-Siu est mort, et le pouvoir est exercé par le Régent, père de l’empereur en titre, âgé de seulement quatre ans. Il s’achève sur l’abdication de l’empereur.
C’est sur cette trame que Segalen construit une intrigue quasi policière.
Obsédé par les mystères de la Cité interdite, le narrateur espère que son professeur de Chinois, un jeune belge fils d’épicier, lui permettra de franchir les lourdes portes de la Cité interdite, le siège de tous ses désirs. Ce professeur est en effet l’ami du Régent et l’amant de l’impératrice douairière. Il a aussi été le confident – l’amant ? – du défunt empereur Kouang-Si « qui n’a encore jamais vu de femme », et raconte la nuit de noces impériale avec un naturel désarçonnant.
Il fallait le talent et la sensibilité de Segalen pour aborder des thèmes tels que la prostitution, les amours ancillaires et l’homosexualité sans verser dans la facilité des mots crus. Pour évoquer le fantasme de l’homme blanc couchant avec une Mandchoue, il trempe son pinceau dans la meilleure encre de Chine.
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