Peur4

Merci, Tak.
Si j'avais le temps de reprendre ce texte, je serais sans doute amené à en modifier certains aspects, en particulier les dialogues. Tout cela m'obligerait à développer le récit et je serais amené à atteindre les 6OOO ou 7000 signes.

Un bon texte mais, malgré sa qualité, j'ai eu du mal à rentrer dans le récit. Je ne saurais expliquer pourquoi. Les descriptions sont bien faites et le style est fluide et propre. Certains passages sont un peu lourd mais ça a déjà été signalé et je n'ai rien d'autre à ajouter.  

L'idée à la death note est également très intéressante.

Néanmoins, même si je n'ai pas accroché, il reste un bon texte !

Très sympa à lire. Je trouve que l'usage de la force pour le forcer à écrire est un peu tiré par les cheveux. Néanmoins, ma lecture fut agréable et, en peu de lignes, on y prend plaisir.

Bravo Blahom, c'était couru d'avance j'aurais envie de dire ! Elle était prévenu... Lorsque ça touche l'univers de l'écriture, ça nous parle forcément. Il y a des murs à franchir et des facilités insolentes, des luttes pour finir un chapitre et d'autres pour entamer une nouvelle oeuvre.
J'ai vraiment bien aimé ton histoire, simple, efficace et jouissive, lol

Un texte très sympathique une bonne idée de démarrer avec la peur de la page blanche pour déboucher sur autre chose, des dialogues efficaces. Divertissant !

Merci à vous pour vos commentaires.

L'idée est bien trouvée, la peur d’écrire, mais un prétexte (pour justifier qu’il n’écrit plus) peut-il être phobique ?
D’autant plus que finalement il accepte de corriger son texte pour aiguiser son pouvoir encore un peu plus ?
Je trouve que finalement le sujet de la phobie n'est pas vraiment respecté par beaucoup.
Cela m'a fait un peu penser au manga/film japonais Deathnote puisque écrire la fin brutale d'un personnage entraîne la mort inéluctable.

Bon texte! Je n'aime vraiment pas lire des dialogues en général mais là, c'est rondement mené.

mémoiredutemps : Phantom avait déjà relevé les similitudes avec Deathnote, manga dont j'ignorais l'existence...
Pour en revenir à la question de la phobie, celle-ci ne peut-elle pas trouver son origine dans un (ou plusieurs) événements déclencheurs ?
J'ai longtemps eu la phobie des petits reptiles suite à une rencontre inattendue et déplaisante avec une couleuvre alors que je devais avoir cinq ou six ans.

Hellaz : je ne voyais pas comment venir à bout de mon idée sans recourir aux dialogues. Heureux de constater que le résultat était lisible même par des gens réfractaires aux dialogues.

Ah, la peur d’écrire, voilà qui doit parler à chaque écritoirien ou presque, à ceci près qu’ici tu donnes à cette peur des raisons réelles d’être. Alors Phobie or not Phobie ? A chacun de juger, je trouve pour ma part que ton récit reste dans les clous. La prémisse en est excellente — elle m’a rappelé non pas Destination Finale mais plutôt Death Note — de même que la chute.

Le seul point faible consiste dans l’utilisation du passé simple pour un récit essentiellement dialogué : les répliques perdent en spontanéité, sonnent trop « littéraires » et la suspension d’incrédulité en prend un coup.

Il est exact que l'utilisation du passé simple dans un dialogue nous fait courir le risque de sonner trop littéraire. L'ennui, c'est que je déteste le passé composé. Alors que faire ?

Merci d'avoir pris le temps de commenter, François.