Prométhée (texte retiré)
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Re: Prométhée (texte retiré)
Ne jouons pas sur les mots, qu'on l'appelle chute ou révélation, un final faible ou banal sera toujours décevant. Ce sont les dernières lignes ou les dernières images qui parachèvent l'ancrage d'une oeuvre dans la mémoire. Je dis bien "parachèvent", comme une cerise sur un gâteau (il faut donc qu'il y ait gâteau, pas une pâte informe et insipide).
Ensuite, je prends juste deux exemples chez Hitchcock pour distinguer deux types de chute : la chute choc, contre-pied ou coup de poing comme dans "Psychose", et puis, comme dans "Les Oiseaux, ce que j'appelle la chute tremplin, plus ouverte, qui laisse l'imagination du lecteur ou du spectateur au seuil d'un inconnu qu'il lui appartient de meubler ou de compléter.
Et ce distinguo vaut aussi bien en poésie (Le Dormeur du Val / Les Conquérants), qu'en nouvelle ("Comment servir l'homme" de Damon Knight / "La Clé laxienne" de Sheckley) ou en roman (Le Jekyll de Stevenson / l'A. G. Pym de Poe).
Il faut noter enfin que ces deux aspects ne sont pas incompatibles et qu'on peut les trouver réunis dans une seule et même fin : le "2001..." de Kubrick par exemple.
Ceci dit, je suis comme Eimelle : un auteur ou un réalisateur capable de te balader intelligemment, de t'emmailloter en douce dans une pseudo réalité pour mieux te cueillir à la fin et te laisser K-O debout, des étoiles pleins les yeux, ça reste un grand moment de jouissance.
Je pense au "Sixième sens", à "Usual suspect", à "Dark City", à "Jeu de massacre" de J.T. Rogers, "Vampir's club" de Siniac, "La Chandelle et la hache" de Brown, "La Chambre ardente" de Carr, "La Nuit qui n'en finit pas" d'A. Christie, plus quelques autres...
Et j'aime ces numéros d'illusionnisme parce qu'ils demandent de la créativité, de la précision, des intrigues serrées au quart de poil et, en plus du talent, une forme de complicité amicale avec le lecteur-spectateur :"Rien dans les mains, rien dans les poches, accroche-toi, bonhomme !"
Et des gens qui vous apprennent à vous méfier des apparences, c'est forcément des bienfaiteurs.
Ensuite, je prends juste deux exemples chez Hitchcock pour distinguer deux types de chute : la chute choc, contre-pied ou coup de poing comme dans "Psychose", et puis, comme dans "Les Oiseaux, ce que j'appelle la chute tremplin, plus ouverte, qui laisse l'imagination du lecteur ou du spectateur au seuil d'un inconnu qu'il lui appartient de meubler ou de compléter.
Et ce distinguo vaut aussi bien en poésie (Le Dormeur du Val / Les Conquérants), qu'en nouvelle ("Comment servir l'homme" de Damon Knight / "La Clé laxienne" de Sheckley) ou en roman (Le Jekyll de Stevenson / l'A. G. Pym de Poe).
Il faut noter enfin que ces deux aspects ne sont pas incompatibles et qu'on peut les trouver réunis dans une seule et même fin : le "2001..." de Kubrick par exemple.
Ceci dit, je suis comme Eimelle : un auteur ou un réalisateur capable de te balader intelligemment, de t'emmailloter en douce dans une pseudo réalité pour mieux te cueillir à la fin et te laisser K-O debout, des étoiles pleins les yeux, ça reste un grand moment de jouissance.
Je pense au "Sixième sens", à "Usual suspect", à "Dark City", à "Jeu de massacre" de J.T. Rogers, "Vampir's club" de Siniac, "La Chandelle et la hache" de Brown, "La Chambre ardente" de Carr, "La Nuit qui n'en finit pas" d'A. Christie, plus quelques autres...
Et j'aime ces numéros d'illusionnisme parce qu'ils demandent de la créativité, de la précision, des intrigues serrées au quart de poil et, en plus du talent, une forme de complicité amicale avec le lecteur-spectateur :"Rien dans les mains, rien dans les poches, accroche-toi, bonhomme !"
Et des gens qui vous apprennent à vous méfier des apparences, c'est forcément des bienfaiteurs.
"Car il faut avant tout sortir, ne fût-ce qu'un instant, de la prison sans portes ni fenêtres."
Maurice MAETERLINCK
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: Prométhée (texte retiré)
Non c'est vrai tu as raison l'idée d'une chute renversante peut ne pas avoir forcément de pertinence dans toute les nouvelles, et parfois l’absence de cette surprise en est parfois une en elle-même (faut aller chercher loin quand même). Mais là sur le coup toute la nouvelle était intrigante et j'aurai bien imaginé une fin un poil plus dans ce thème intrigant. Après ce n'est qu'un avis personnel parce que d'une même idée peut sortir un nombre incalculable de textes différents.
(mince je dois partir)
(mince je dois partir)
Invité- Invité
Re: Prométhée (texte retiré)
Je vais sans doute vous choquer mais je pense ou plus exactement je considère que ce que les twist ou des renversements de situations n'existent pas. Tu as raison Jack, pour qu'une nouvelle ou une histoire soit réussis il faut qu'il y ait un gâteau c'est-à-dire quelque chose de consistant et ici le "quelque chose de consistant" signifie de l'écrit, du récit. Tout est dans le récit. Y compris la fin. Ce fameux twist ou renversement de situation dont vous parlez comme s'il s'agissait de l'apothéose de la nouvelle n'est rien d'autre qu'une manière de mener le récit jusqu'à son terme ou jusqu'à l'un de ses termes logiques (ce que dit d'ailleurs Jack en substance). Je me sépare également de la critique de Draal : ta nouvelle Eimelle n'avait ou n'a absolument pas besoin d'un retournement de situation ou d'une scène finale qui retournerait le lecteur puisque ta nouvelle retourne déjà le lecteur. Si j'aime ce texte c'est précisément parce que tu ne te laisse pas enfermer dans une histoire à grosses ficelles. Pour le dire différemment la fin de ton histoire est en accord avec le reste de ton récit. Il y a de l'homogénéité et c'est ce qui fait que la sauce prend.
Et je maintiens : les différences de vocabulaire ne sont pas neutres. "Le langage conditionne la pensée" comme disait l'autre. Et je serais tenté de dire : "et inversement". Il y a, pour moi, une différence très nette entre la chute et la révélation. La première est brutale et est supposée être inattendue et définitive. La seconde est supposée nous apprendre quelque chose des protagonistes et laisse la possibilité d'une fin ouverte. C'est en tout cas de cette façon que je conçois les choses. Des deux, je préfère la seconde option. Parce qu'elle place le récit sous un jour plus réaliste et implique davantage l'auteur dans la caractérisation de ses personnages qui, au final, font le récit.
Mais ce n'est qu'un point de vue. L'intérêt de tout cela, de ce forum, de ces nouvelles, de ta nouvelle Eimelle tient non seulement à la possibilité d'écrire des histoires et d'être lu par les membres mais aussi de discuter ou d'échanger sur nos techniques et la manière dont nous concevons nos récits. Pas vrai ?
Edit : Bon Dieu j'aurais mieux fait de me relire avant de poster… Ou de fermer ma gueule, c'est selon !
Et je maintiens : les différences de vocabulaire ne sont pas neutres. "Le langage conditionne la pensée" comme disait l'autre. Et je serais tenté de dire : "et inversement". Il y a, pour moi, une différence très nette entre la chute et la révélation. La première est brutale et est supposée être inattendue et définitive. La seconde est supposée nous apprendre quelque chose des protagonistes et laisse la possibilité d'une fin ouverte. C'est en tout cas de cette façon que je conçois les choses. Des deux, je préfère la seconde option. Parce qu'elle place le récit sous un jour plus réaliste et implique davantage l'auteur dans la caractérisation de ses personnages qui, au final, font le récit.
Mais ce n'est qu'un point de vue. L'intérêt de tout cela, de ce forum, de ces nouvelles, de ta nouvelle Eimelle tient non seulement à la possibilité d'écrire des histoires et d'être lu par les membres mais aussi de discuter ou d'échanger sur nos techniques et la manière dont nous concevons nos récits. Pas vrai ?
Edit : Bon Dieu j'aurais mieux fait de me relire avant de poster… Ou de fermer ma gueule, c'est selon !
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Prométhée (texte retiré)
Trop tard, pièce à conviction enregistrée !
A ta décharge, je voudrais juste rebondir sur un point : "Le langage conditionne la pensée". Tout à fait d'accord. Un aspect que Jack Vance a d'ailleurs magistralement illustré dans "Les langages de Pao" (Denoël), un roman où les prédispositions des enfants sont développées au sein de groupes au vocabulaire ambiant spécifiquement orienté.
Mais il y a un autre aspect qu'on doit souligner aussi : "Le langage déguise la pensée". Il sert trop souvent d'édulcorant et de paravent quand on n'a pas envie de regarder en face des vérités embarrassantes. C'est ainsi que, depuis longtemps, il n'y a plus d'infirmes, de sourds, d'aveugles ou de vieillards, mais des handicapés, des malentendants, des non-voyants et des seniors ; les agressions sont devenues des incivilités, et le mot même de "récession" fait tellement peur qu'on préfère parler pudiquement de "croissance négative".
Et quand une société dresse les mots entre elle et les réalités, doit-on parler de "non-courage" ?
Sur un autre sujet, il existe une autre forme de chute que j'ai oubliée : la chute à tiroirs, où un même enchaînement de faits se prête à plusieurs interprétations logiques différentes ou complémentaires. C'est une mode qui a connu son apogée à l'époque du "detective novel" mais qu'on retrouve aussi assez souvent dans les histoires qui ont pour cadre un procès en tribunal ("Autopsie d'un meurtre", de R. Traver ou "Témoin à charge").
Certains sont de purs joyaux de manipulation. Les lecteurs plus littéraires les jugent en général artificiels, relevant davantage du jeu intellectuel que d'une vraie création. Littérairement parlant, c'est indéniable...
Mais ça n'empêche pas certaines parties d'échecs d'être d'authentiques oeuvres d'art. Là aussi, tout n'est qu'une question de langage...
(Hé ! vous avez vu la chute ?)
A ta décharge, je voudrais juste rebondir sur un point : "Le langage conditionne la pensée". Tout à fait d'accord. Un aspect que Jack Vance a d'ailleurs magistralement illustré dans "Les langages de Pao" (Denoël), un roman où les prédispositions des enfants sont développées au sein de groupes au vocabulaire ambiant spécifiquement orienté.
Mais il y a un autre aspect qu'on doit souligner aussi : "Le langage déguise la pensée". Il sert trop souvent d'édulcorant et de paravent quand on n'a pas envie de regarder en face des vérités embarrassantes. C'est ainsi que, depuis longtemps, il n'y a plus d'infirmes, de sourds, d'aveugles ou de vieillards, mais des handicapés, des malentendants, des non-voyants et des seniors ; les agressions sont devenues des incivilités, et le mot même de "récession" fait tellement peur qu'on préfère parler pudiquement de "croissance négative".
Et quand une société dresse les mots entre elle et les réalités, doit-on parler de "non-courage" ?
Sur un autre sujet, il existe une autre forme de chute que j'ai oubliée : la chute à tiroirs, où un même enchaînement de faits se prête à plusieurs interprétations logiques différentes ou complémentaires. C'est une mode qui a connu son apogée à l'époque du "detective novel" mais qu'on retrouve aussi assez souvent dans les histoires qui ont pour cadre un procès en tribunal ("Autopsie d'un meurtre", de R. Traver ou "Témoin à charge").
Certains sont de purs joyaux de manipulation. Les lecteurs plus littéraires les jugent en général artificiels, relevant davantage du jeu intellectuel que d'une vraie création. Littérairement parlant, c'est indéniable...
Mais ça n'empêche pas certaines parties d'échecs d'être d'authentiques oeuvres d'art. Là aussi, tout n'est qu'une question de langage...
(Hé ! vous avez vu la chute ?)
"Car il faut avant tout sortir, ne fût-ce qu'un instant, de la prison sans portes ni fenêtres."
Maurice MAETERLINCK
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: Prométhée (texte retiré)
Bravo Jack pour cette chute magistrale et cet exposé magistral également.
Pour ce qui est du langage qui masque la pensée, je ne peux qu'être d'accord avec toi et c'était d'ailleurs, je le dis en passant, tout l'enjeu de ma thèse de doctorat. J'ai en tête par ailleurs un bel aphorisme d'O. Wilde : "Une chose dont on ne parle pas n'existe pas, seul le langage confère une réalité aux choses". Chacun constatera que derrière l'aphorisme il y a aussi un sophisme voire plusieurs : non seulement une chose dont on ne parle pas peut exister, mais une chose dont on parle peut fort bien ne pas exister.
Pas de chute pour moi… Désolé...
Pour ce qui est du langage qui masque la pensée, je ne peux qu'être d'accord avec toi et c'était d'ailleurs, je le dis en passant, tout l'enjeu de ma thèse de doctorat. J'ai en tête par ailleurs un bel aphorisme d'O. Wilde : "Une chose dont on ne parle pas n'existe pas, seul le langage confère une réalité aux choses". Chacun constatera que derrière l'aphorisme il y a aussi un sophisme voire plusieurs : non seulement une chose dont on ne parle pas peut exister, mais une chose dont on parle peut fort bien ne pas exister.
Pas de chute pour moi… Désolé...
SILENCE- — — — Moine copiste — — — Disciple des Lois du Silence
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Re: Prométhée (texte retiré)
Cela rejoint ce que disait Esope à propos de la langue : la meilleure et la pire de choses.
Ta thèse allait-elle jusqu'au langage : instrument de manipulation ? Les prosélytes et les propagandistes en connaissent un rayon là-dessus...
Toujours ravi d'échanger quelques vues avec toi.
Ta thèse allait-elle jusqu'au langage : instrument de manipulation ? Les prosélytes et les propagandistes en connaissent un rayon là-dessus...
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Maurice MAETERLINCK
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Re: Prométhée (texte retiré)
Vaste sujet de réflexion qui a amené Silence à se taire...;
Françoise Grenier Droesch
Skype Woman...
Re: Prométhée (texte retiré)
Mais même un Silence muet peut être des plus éloquents !
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Maurice MAETERLINCK
Jack-the-rimeur- — — Zonard crépusculaire — — Disciple d'Ambrose Bierce
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Localisation : Narbonne
Re: Prométhée (texte retiré)
J'étais en week-end dans la belle-famille, du coup, je n'ai pas pu participer à ce débat passionnant ! Globalement, ces idées que le langage façonne le réel viennent en gros, je crois, de Barthes et de Derrida, et aussi de Foucault. Plus globalement, du linguistic turn je crois... Tu me dis si je me trompe Silence, toi qui as étudié cela lol!
Mais à mon avis, il y a des choses dans le réel que le langage ne peut saisir et pourtant que l'on arrive à comprendre, à percevoir... Pour moi, le langage ne délimite pas tout le réel, il y en a une grosse partie qui lui échappe, même s'il est vrai qu'il contribue à délimiter un champs de possibles. J'aime bien dans mes textes essayer d'explorer cette part qui échappe au langage...Vaste programme, me direz-vous !
Mais à mon avis, il y a des choses dans le réel que le langage ne peut saisir et pourtant que l'on arrive à comprendre, à percevoir... Pour moi, le langage ne délimite pas tout le réel, il y en a une grosse partie qui lui échappe, même s'il est vrai qu'il contribue à délimiter un champs de possibles. J'aime bien dans mes textes essayer d'explorer cette part qui échappe au langage...Vaste programme, me direz-vous !
Eimelle- — — — Jungle girl — — — Bazooka fou dans l'intimité
- Messages : 1537
Date d'inscription : 17/10/2013
Age : 38
Re: Prométhée (texte retiré)
Bonjour à tous,
J'ai dû retirer ce texte, parce qu'il est arrivé troisième ex aequo au prix Alain le Bussy, et qu'il va donc être publié dans la revue Géante Rouge.
Si vous désirez le lire quand-même, n'hésitez pas à me contacter par MP !
Bises
Eimelle
J'ai dû retirer ce texte, parce qu'il est arrivé troisième ex aequo au prix Alain le Bussy, et qu'il va donc être publié dans la revue Géante Rouge.
Si vous désirez le lire quand-même, n'hésitez pas à me contacter par MP !
Bises
Eimelle
"Ce qui ne me tue pas me rend plus fort" Nietsche
Eimelle- — — — Jungle girl — — — Bazooka fou dans l'intimité
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Date d'inscription : 17/10/2013
Age : 38
Re: Prométhée (texte retiré)
Félicitations !
Inventrice du "rocueil", le mixte entre le roman et le recueil.
"J'ai lu. Je sais même pas quoi dire tellement je suis atterrée.
Et le pire c'est que j'ai aimé te lire." Raven sur "Yin et yang"
"Merci de m'avoir donné envie de vomir !" Nao76 sur "Yin et yang"
"Ton texte m'avait fait penser à un film allemand atroce que j'avais vu plus jeune : Nekromantik !" Polo sur "Trafic de cadavres"
Eimelle- — — — Jungle girl — — — Bazooka fou dans l'intimité
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Date d'inscription : 17/10/2013
Age : 38
Re: Prométhée (texte retiré)
Le seul truc qui m'étonne dans cette histoire, c'est qu'il ne soit pas arrivé premier.
Je plaisante: c'est une superbe nouvelle, Eimelle. Je suis très heureux pour toi, bravo.
Plus qu'à attendre la parution du prochain numéro de Géante Rouge, désormais.
N'hésite pas à nous transmettre l'info dès que tu auras la date de sortie, surtout.
Je plaisante: c'est une superbe nouvelle, Eimelle. Je suis très heureux pour toi, bravo.
Plus qu'à attendre la parution du prochain numéro de Géante Rouge, désormais.
N'hésite pas à nous transmettre l'info dès que tu auras la date de sortie, surtout.
Re: Prométhée (texte retiré)
Félicitations !
J'ai pas eu la chance de connaître cette histoire, mais connaissant ton univers, ça m'étonne pas qu'elle soit dans un top 3.
Je veux bien la lire si c'est faisable.
J'ai pas eu la chance de connaître cette histoire, mais connaissant ton univers, ça m'étonne pas qu'elle soit dans un top 3.
Je veux bien la lire si c'est faisable.
20 minutes avant la tombe - Confession d'un mort - Les rêveurs de Somnore - La nuit derrière la porte - La dame aux yeux vides
"Je questionnai l'un de ces hommes, et je lui demandai où ils allaient ainsi. Il me répondit qu'il n'en savait rien, ni lui, ni les autres; mais qu'évidemment ils allaient quelque part, puisqu'ils étaient poussés par un invincible besoin de marcher." Baudelaire, Chacun sa chimère
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